D'abord, celui sur lequel j'ai déjà écrit une note, cette nuit. C'était un qui a envoyé la troisième % de nouveau venus. Je ne me suis étonné de blog Ouziel, Pierre me lit, mais ensuite je tombe sur un fait suprenant : personne toute la semaine, et samedi cela jaillit. Dimanche encore est là, mais diminuant. Cela veut dire, qu'un de mes commentaires à incité plusieurs à me rendre visite.
Un autre source de nouveau venus à ce blog est la lettre aux abonnés de Club-Internet, je viens de découvrir avec étonnement, qu'ils ont référencés non pas le blog nommé "notes" où j'écris sur l'écriture, mais celle-ci, en m'apportant un flot des lecteurs qui ne m'auront pas découvert autrement.
La retraite, vous y songez ? Julie, elle y pense maintenant... et a décidé d'en profiter pour écrire, une passion de jeunesse refoulée. Heureusement que le blog est là !C'est paru dans la lettre de Club-Internet, est il m'a apporté quelle que nouveau lecteurs, qui, j'espère, retourneront.
D'un moyen de 50, par l'intermediaire d'eux et d'autres copains qui m'ont mis, même sans que je sache entre leurs liens, (MERCI !) j'arrive ainsi près de 100 visiteurs par jour, j'espère que la plupart resteront fidèles, comme ceux d'avant. Mais que je sois lu par cinq ou par cent, j'écrirai ce qui me vient, je suivrai ma voie à m'exprimer librement et aussi sincèrement que possible.
Je m'en suis rendu compte cette nuit, après avoir lu sur le débacle des élections, que dans mon journal de jeunesse j'arive à surmonter une crise et ensuite, saute, enfin, dans ma quête de la tendresse, de l'autre, les premiers émois sensuelles. Bientôt, dans un jour ou deux, nous y serons. Le premier baiser, le premier promenade avec un autre tenant comme négligement son main sur ma nuque sensible, les premiers intérogation : oui ou non...
"L'Europe surmontera cette période de crise, comme elle en a surmontées d'autres au cours de son histoire" dit-on un peu partout, après avoir dit qu'on était deçus par la France et ses résultats.Moi aussi, après le débacle de la révolution hongroise de 1956 et l'intervention des troupes russes, dont je n'osais presque pas à en parler dans mon journal d'alors, j'ai survécu, m'accrochant, enfin... à autre chose. Nous ne sommes pas encore là, mais nous verons à quoi de bon tout qui arriva hier peut mener.
Non Julie, tes images n'encombrent pas ton blog, c'est très bien comme ça :-)
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