Comme l'explique si bien la romancière Penny Perrick, dans son livre La fille du Connemara, que j'ai rencontré là-bas, mais c'est encore une autre histoire pour une autre jour, il y a beaucoup d'irlandais au cheuveux noirs, descendants des espagnols qui l'ont envahi à un moment donné et dont certains sont restés.
En fait, il y a du tout.
Récémment, il y a beaucoup des polonais venus travailler, vivre à Limerick par exemple, et des portugais pour travailler ailleurs, j'en ai rencontré bien sûr aussi des touristes. Dans mes portraits, dont je ferais une collection, il y aura presque autant des Irlandais "vrais" que ceux qui habitent ou s'y promène seulement.
Le premier "irlandais" rencontré à l'aéroport était un adolescent français (d'origine irlandais???) s'y rendant. Magnifiques yeux bleus, cheveux rousses, j'étais deçu quand il me parla en français, me disant qu'il y alla juste pour un mois.
Dans un pub, j'ai rencontré l'Irlandais typique avec barbe rousse et lui aussi me dit qu'il venait seulement de l'Amérique, mais qu'il doit avoir au moins un ancêtre Irlandais. Il parait que les Irlandais sont partis vivre un peu partout.
Avant partir, je me disais "je serais heureuse si quelques uns des gens là-bas me permettent à prendre leur portrait" et j'étais gâtée de ce point de vue.
Le reste, qu'ils sont ou non réussis, ne dépendait que de moi, mais un nombre beaucoup plus grand était disposé à être photographié, mais aussi de discuter.
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J'ai tellement vécu et appris en quelques jours!
Non seulement sur l'Irlande et les Irlandais, mais sur la vie en générale et même sur moi même. Finalement, je crois que c'est le cadeau apporté par les voyages quand on fait un peu plus que du tourisme.
Merci de nous faire partager ton voyage. Comme d'habitude, les photos sont magnifiques.
RépondreSupprimerMaryseyaya, surbooké mais toujours fidèle.
je t'admire, j'ai un petit barrage intérieur nommé timidité, en pplus de la langue, qui m'empèche de rencontrer les gens quand je voyage (ou voyageais). Je me contente de les cottoyer et d'échanger des sourires dans les transports ou en achetant des tomates et des crevettes ou autre
RépondreSupprimerComme Brigetoun, je ne suis pas capable de parler avec des gens que je ne connais pas, encore moins leur demander de les photographier...
RépondreSupprimerJe suis toujours et encore fascinee par tes reportages.
RépondreSupprimermerci Julie, et à bientôt, je pars pour une semaine et reviendrai te voir à mon retour ! super les portraits !
RépondreSupprimerIl parait que les Irlandais sont aussi partis ivres un peu partout... Enfin ce ne sont que des rumeurs...
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