samedi 31 mai 2008

Pose a la Defense

six des 9 jeunes lyceens danseuses arrivees de Hunedoara posent a La Defense, par ou nous avons passees avant d'atterir place Concorde en passant du bus au metro

apres leur avoir montre aussi place Vendomes et descendu rue St Honore, arrivee a Louvre, j'ai callee

elles sont entrees au musee pour deux heures et moi je me suis dirigee vers la maison, mais les premieres 42 photos sont deja sur Flickr 

Commencement du week-end

Tres sympatique professeur de francais et directrice des maison des jeunes de Hunedoara est arrive avec les neuves danseuses et le coreographe et une parente et deja elles ont fait fort bonne impression et impose leur besoins: aller des ce matin a Paris pour la decouvrir aussi tot que possible.

"La dejeuner organise? Manger ce n'est pas important, voir Paris l'est."

Tout le monde a finalement compris et approuve.

Le president de l'association qui organise le festival, ici juste revenu de la Croatie, aussi, autant que les membres de ASF qui acceuilleront l'un apres l'autre les danseurs venus des villes jumeles.

Danse de cabaret arrive de Allemagne, danse Ecossais et counemousse, danse de salon de Portugal, danse populaire stylise et hip hop de Roumanie, ensemble avec les danses des petits de Agora Argenteuil.

Hier soir, au diner, pris sur le vif, des gestes entre copains: meme si la photo n'est pas parfaite, vous comprendrez en la regardant pourquoi j'aime le spontane candide. Deux amis portugais ici, discutant. 
En attendant le festival de demain, aujourd'hui je vais avec les filles arrivees de Hunedoara a Paris: une longue journee en perspective mais surement interessante.

vendredi 30 mai 2008

Il y a des miracles!

Ce matin, a cinq heures, j'ouvre mon PC portable: il ne s'allume pas!

Peut-etre plus tard?

Non. Finalement, apres neuve heures j'appelle mon fils: il peut me preter son Mac portable. Je la presumais. Un baiser rapide, quelques mots, mais importants echenges et chacun de nous s'en va, lui a son travail et moi retourne a la maison.

Le miracle est ailleurs: aussitot que j'ouvre le Macintosh chew moi, clavier anglais comme vous le voyez, sans accents, tant pis, je trouve le navigateur ouverte. Et le lien sans film WIFI, s'etablit. J'ecris Julie70 et je tombe sur les adresses flickr et ce blog. Il n'a plus fallu que me deconnecter et reconnecter avec mon nom, et me voila ecrivant ce billet.

Je voulais ecrire d'autre chose ce matin, apres une journee des difficultes a me connecter a Weight Watchers francais - si mal programmee qu'au lieu de me dire 'surcharge' ou 'revenez plus tard', apres avoir bien prise toutes mes donnees, il tourne en rond, tourne en rond. 

Mauvais probramation, mauvais interface utilisateur, aucun d'eux n'a prevu que d'un coup, trop des gens voudrais s'y connecter. C'est a tout cela que sert ce qui s'appelle ergonomie: faire la vie de l'utilisateur agreable.

Bravo, Apple et le Mac, ne peux dire que cela maintenant - tout en sachant, combien des choses differents doivent travailler dessous la capote en sourdine pour que se conecter ne demande autre chose que ouvrir la machine!


jeudi 29 mai 2008

Si j'avais su

Je viens de lire une note fâché, "si j'avais su que..." je n'aurais pas...

Et moi, si j'avais su?

La plupart de fois, j'aurais agit du même. Chaque heurt, chaque problème, m'a apporté quelque chose importante, a modifié ma vie d'une façon inattendue, et sur le moment désagréable voir triste pour le moment, mais la plus souvent m'offrant un trajet, un cadeau sans quoi je ne voudrais pas avoir vécu.

Si j'avais su... que mon mari soigneusement choisi pour être fidèle, me trompera la première semaine de mariage et souvent plus tard, d'accord, je ne m'aurais pas marié avec. Mais je n'aurais pas mes deux enfants, mes cinq petit enfant, tel qu'ils sont, tel que je les aime!

Si j'avais su... dans ma vie, tellement de fois!

La plupart de fois, je dirais maintenant, c'est bien que je ne l'ai su ou alors que je n'ai pas tenu compte de ce que je ne sentais que vaguement, mais aussi d'avoir souvent laissé mes sens dominer la raison.

J'ai bien lutté tant que j'ai pu ensuite, mais à un moment, abandonnant, mon chemin changé m'a conduit vers des "rives inconnus, nouvelles" - et je "ne regrette rien".

Je sais maintenant que ce que je pense et veux peut influencer le sort, mais la destinée des fois agit, frappe, et me détourne de mon chemin habituelle. Me montre des sentiers que je n'aurais pas choisi, même pas aperçu! Il y a une chanson merveilleux avec cette thème parlant des vent ayant détourné le bateau, et des découvertes des iles merveilleux. Une de mes préférés et maintenant je ne me souviens plus de nom. Je vais le chercher, le mettre ici.

De George Moustachi! Je dois la retrouver!

mercredi 28 mai 2008

La première fois

Il y a tellement des premières fois dans la vie!

A n'importe quelle âge!

"La première fois", on peut en avoir des centaine des premières différents, cette fois le titre est glané du blog de Polly où je suis arrivée en flânant de blog en blog, de lien en lien.

En lisant sa dernière note hier soir, je me suis dit aussitôt: "moi aussi"!

Vous vous souvenez des deux hommes prises en photo en cueillant des bourgeons des coquelicots au sous l'autoroute? "Elles s'ouvriront dans une vase" m'ont ils expliqué alors.

Je les ai imité ce jour-là et pris moi aussi à la maison quelques brins encore verts et une seule coquelicot rouge, ouverte. Dans ma vase, lentement, les bourgeons s'ouvrent, chacun à tour de rôle, pendant que l'ancienne tombe. Hier, j'ai eu déjà trois fleurie et d'autres qui commencent à s'ouvrir!

La première fois dans ma vie, j'ai apporté des bourgeons de coquelicots chez moi! La première fois, jour à jour, je suis leur vies courtes mais intéressantes, prenant des photos près du mur en différentes angles. La première fois...

Oui, même après 70 ans on peut avoir pas mal des premières fois.
PS. Ce n'est qu'après avoir écrit et publié ce texte que j'ai aperçu, dans l'autre pièce, mes coquelicots: de hier soir à ce matin, quelles modifications!
poppies opens before my eyes (7)
Je l'ai même vu s'ouvrir davantage, pendant que je prenais des photos!
poppies opens before my eyes (44)

mardi 27 mai 2008

La vérité à multiple facettes

Ce viking, "venant du nord" (en fait la 13e arrondissement du Paris) était bien habillé à l'ancienne, mais photographe passionné, il n'arrêtait pas à prendre des images de ses amis, le furet, les outils anciens, les gens qui sont venus les voir.

Moderne appareil digital près de son accoutrement me paru curieux, intéressant.

Il était près l'un des démonstrations les plus intéressantes dimanche fascinant aussitôt ma petite fille.

On montra comment moudre les grains entre deux pierres, coudre le peau, mais surtout, il y avait deux petits furets!

Un petit furet au moyen age
Il n'y avait d'ailleurs que les Chevaliers, quelques femmes participaient aussi aux luttes. En tout cas, dans les romans aussi de temps en temps, même les femmes prenaient les armes...
DSC02200
La vérité?

La vérité du passé est fluide, chacun de nous le voit autrement.

Même nos propres vérités d'ailleurs, on le crois ou on le décrit suivant l'époque que nous vivons et suivant comment nous voulons le présenter à ce moment-là aux autres - et même à nous mêmes!

Ce matin, j'ai publié dans le Retro-blog, une note parlant des vérités déformés de mon adolescence. Il ne faisait pas bien dans le pays communiste d'être fille d'un ancien voyageur de commerce devenu directeur de sa boite internationale, alors j'ai écrit "papa était fonctionnaire".

C'est juste une exemple trouvé lors le traduction des journaux qui m'avait frappée. Probablement, il y en a d'autres. D'ailleurs, ailleurs, je disais "comme je voudrais être fille d'un ouvrier ou ancien communiste!" bien sûr c'était eux l'aristocratie d'alors là bas.

Plus tard, à cause que je ne l'étais pas, on m'interdit de continuer mes études après 18 ans. Mais, comme je ne l'étais pas et mes parents tenaient que j'étudie davantage, finalement, j'ai continué par correspondance. Pendant six ans!

J'ai beaucoup travaillé pendant toute ma vie, mais je ne crois pas jamais avoir été autant occupé qu'entre mes 18 et 24 ans: travailler huit heures, faire le trajet à pieds et en tramway, étudier le soir et les week-ends et tous les semaines de vacances, passer des examens, aller à quelques cours de soir et laboratoires, me prit tout le temps.

Ce n'est pas étonnant que je n'ai pas eu le temps à me promener et sortir avec des garçons! Je n'ai commencé que les dernière deux années, après 23 ans passée. Et encore, ce n'était qu'un premier baiser. Le reste attendra encore presque deux ans!
Juli 23Juli au lac 25 ans
Julie, jeune fille à 23 ans et à 25 ans

Je croyais jusque ce matin que je n'ai pas sortie avec les garçons tant que je croyais trop fermement en communisme, qu'ils avaient peur de moi et ma passion pour "la cause", mais non, je n'avais non plus du temps à leur consacrer ou sortir et les rencontrer.

Tout cela pour dire, combien c'est vrai que nous voyons la vérité autrement, en différents périodes de nos vies, mais aussi que même dans le journal tout qui est dit n'est pas exactement "ça et pas autre chose".

D'ailleurs, le premier baiser j'ai reçu à 23 ans d'un garçon rencontré à mon travail. Simon, pleine des souvenirs! J'écrivais pas mal à ce moment, même si je m'en souviendrai différemment maintenant. Comme maman pouvait lire mon journal, je faisais quand même attention ce que j'y mettais.

Voilà, une deuxième exemple, quand ce que j'écrivais dans mes journaux intimes, n'était pas sinon fausse mais incomplète. J'étais toujours une jeune fille, mais je commençais, vers vingt trois ans à être un peu moins sage. Il avait même touché une fois mes seins, et bien sûr, vous n'allez pas trouver ceci nul part.

Par contre, en lisant les écrits de cette époque, on se rend compte que je n'étais pas loin de craquer, lui céder, puisqu'il voulait davantage. J'appelais ceci plus tard "la lutte entre les sens et la raison" - on me l'avait traduit en "sentiments" mais c'était bien les sens qui me disaient autre chose que mon raisonnement.

Jusque ce jour, je ne sais pas lequel aurait du vaincre.

lundi 26 mai 2008

Festival de Moyen Age


Elle et son chevalier
Le moyen âge n'est pas mon temps préféré, mais c'est vrai que tellement des histoires s'y passent et pour les enfants c'est un temps de rêve et combats "à la loyal" - au moins dans les récits. Un temps pour se déguiser aussi.

Le visage de ce chevalier était tout à fait caché, mais il a bien voulu poser pour moi, d'ailleurs tous ont été là entre autres pour prendre des images seuls ou avec les enfants.

J'en ai pris un total de 300 à l'Argenteuil Médiévale!

Revenue chez moi, épuisée, je n'ai pas mis encore tout sur ma site, mais les premiers 40 peuvent être déjà visionnés et plus tard, j'ai ressemblé d'autres dans une vidéo publié dans mon blog Argenteuil.

Dans une courte vidéo là-bas, on peut même entendre le choc des sabres.

Curieusement, même si pas mal entre eux me plaisent, l'image qui m'a enchanté le plus était le fruit de l'hasard. On dit "la chance arrive à celle préparé" - j'avais mon caméra prête à prendre un des chevaux qui devaient évaluer plus tard en profil. En arrivant chez moi, j'arrivais à peine la croire: j'avais réussi à prendre tout une scène!
As taken (by chance)
Romantique, j'imagine tout une histoire derrière cette image.

dimanche 25 mai 2008

Sur le Pont des Arts

On trouve tout sur le Pont des Arts, passant de Louvre vers l'Institut de France, ce matin de samedi, comme vous voyez, même un crocodile rouge.

Mise là pour se pencher et prendre une photo en regardant l'entrée du cour carré du Louvre, mais en partant, pleine des enfants étaient autour, soit l'admirer, le toucher ou le prendre en photo.

Je suis si heureuse que la pluie qui commençais à tomber à ma sortie de la maison n'a pas réussi à me décourager d'y aller! D'ailleurs, en sortant d'Argenteuil, il s'était arrêté déjà. C'est seulement vers cinq heures d'après-midi qu'un averse courte mais forte est arrivé.

D'ici-là, j'espère que tous les livres semés par les nombreux "bookcrossers" présents ont trouvé preneur. En plus, on les avait mis dans des sachets de plastique pour les attacher au pont.

Il y a des jours quand j'ai l'impression que rien ne se passe dans ma vie, mais hier, j'étais envahie par tellement des rencontres diverses que je ne sais même pas par quoi commencer.

J'ai pris presque cent photos et en les regardant soit en diaporama sous ci-dessous en musique, vous comprendrez, un peu, l'heure que j'ai passé sur le Pont des Arts, "passerelle piéton" sur la Seine.

A l'entrée, quelques artistes vendant leur savoir faire, j'ai commencé sans attendre semer quelques livres sur les bancs.

"Vous avez oublié..."
Non, c'est offert, à prendre à qui veut le lire.

Revenue une heure plus tard, j'ai eu la joie de revoir un d'eux discutant avec l'autre tout en serrant contre sa poitrine mon livre! En regardant cette image, je me suis rendu compte qu'il me demandait, un instant avant de loin "vous voulez le reprendre?"
Au Pont des Arts-78
C'est à ce moment-là que j'ai compris vraiment: ce qui n'est plus nécessaire pour l'un peut être le trésor pour un autre.

En plus des touristes, venant de Prague, Londres, Nigérie, Amérique, ce samedi-là, il y eu sur un banc trois offrant des livrets sur la "vraie lecture du bible" à mon étonnement, même en langue Roumaine! Ils me l'ont offert en Roumain, "Réveillez-vous", dit le titre, "peut la science et la religion s'entendre?"
Au Pont des Arts-23
Mais aussi tout une groupe des couples franco-américaines militant pour le candidat Obama à la Maison Blanche. J'ai eu ainsi au milieu de Paris un goût de la campagne américaine.
Au Pont des Arts-59
D'autres passaient en roller ou bicyclette, mais la plupart prenaient leur temps à admirer la Seine étincelant sous le soleil, les ponts environnants et le bout de Ile de la Cité, ou regarder les autres passer. Je me suis assis moi aussi, près de mes collègues pour boire une verre de jus d'ananas - tout en résistant vaillement au petits pains au chocolat offertes.

Je n'ai pas eu le courage de rester pour le déjeuner, pourtant j'étais invité et j'aurais pu ainsi rencontrer encore d'autres, leur parler davantage. Non seulement pour ne pas payer plus de parking, mais probablement j'étais déjà trop remplie de tout ce que j'avais vécu en si peu de temps.

J'ai porté un sac entier des livres diverses, je suis revenue quand même - comment ai-je pu résister - avec un livre: Visites inattendues, instants magiques à Londres.
Au Pont des Arts-33
L'étiquette collé dessus dit: Livre voyageur.
Au Pont des Arts-46d

A l'intérieur il y a un numéro pour suivre son voyage, lire les opinions de ceux qui l'ont lu déjà, mais aussi:

Bonjour cher lecteur!
Je ne suis pas un livre habituel. Je voyage et passe de main en main, au fil des rencontres. Emporte moi, lis moi, et relâche-moi pour que je continue ma route.
N'oublie pas d'aller sur le site pour signaler que tu m'as trouvé et pour dire où tu m'as libéré. Tu pourras aussi voir qui m'a lu et ce qu'on a pensé de moi.

J'ai compris soudain l'importance des étiquettes. Pas tant pour le numéro et le 'suivre' mais surtout pour expliquer l'action et inciter les autres à le prendre, le lire, à le passer à un autre ensuite.

Mais, mais j'attendrai encore quelques semaines, voir mois, pour passer mon petit livre tout mince à quelqu'un d'autres! Il propose plus de 20 promenades "non touristiques" à Londres. Soudain, j'ai envie d'y aller et avoir le temps et loisir de découvrir cette ville.

Hier soir, je m'y suis déjà mise à le lire et j'imaginais les lieux décrits et moi m'y promener et prendre des photos aussi bien sûr. Buvant du thé au lait, goûtant les beigels polonais. Comme il se devait, l'aventure se termine dans la pâtisserie de Louis, un immigré hongrois avec un fort accent,à 32, Heath street, Hamstead, tout au nord du Londres.

Du centre de Paris et le Pont des Arts, je suis arrivée en quelques heures loin! Même si, en partie, n'est pour le moment que dans mon imagination, ce n'est pas étonnant que je me suis sentie épuisée à la fin.

samedi 24 mai 2008

Itt a pipacs!

Coquelicots sous l'autoroute 86, presque un champ entier à l'entrée longeant les usines. Poppy en anglais et pipacs en hongrois.

Ce matin, l'exclamation "les coquelicots sont là" (en titre de ce blog en hongrois) m'a fait énormément plaisir.

Je lis et écris très rarement dans ma langue maternelle, depuis vingt ans même pas dans mon journal intime. Cependant, tout comme la musique tzigane hongrois, le violon qui pleure son amour perdu ou sa patrie lointaine, une petite phrase laissé sous cette image prise hier, m'a fait trembler du plaisir.

Des fois, il faut si peu pour vous faire trembler de plaisir.

Des coquelicots brillant sous le soleil. Vous y revenez deux jours plus tard, tâcher de rendre un peu de votre ressentie. Deux hommes cueillant des brins pas ouvertes encore. Et un petit phrase arrivant de loin.
Poppies under the highway-11
Autre fois, cela peut être une sourire complice, "je vous comprends" ou une commentaire ou un email. Quelque chose qui vous atteigne, vous touche. Vous fait trembler de tout votre corps. Un regard hésitant. Un nouveau blog découvert. Que des joies dans notre vie!
Poppies under the highway-31Poppies under the highway-12
Oui! Les chevaliers de Transylvanie sont arrivés dans notre ville.

Les coquelicots près de l'autoroute, sur le bord du chemin me font encore plus d'impression que ceux dans les cours, pourtant, je sais que tous les deux sont plantés, pas là du au négligence de cultivateur du champs de blé, comme les premières aperçus dans mon enfance en allant d'une village à l'autre vers mes 12 ans.

Les voilà. En hongrois "itt"
Poppies under the highway-27
Itt a pipacs!

vendredi 23 mai 2008

Champ des coquelicots?

J'irai ce matin prendre quelques images du champ des coquelicots aperçu mercredi près de l'autoroute au bord de la Seine, mais ces quelques fleurs ont été pris dans le cour de la piscine.

Je continue à nager, mais seulement trois fois par semaine: mercredi, samedi et dimanche, quand je peux y aller le matin dès l'ouverture.

Mercredi j'ai eu 230 visiteurs et jeudi c'est tombé au plus bas depuis longtemps vers 150! Je ne comprends plus rien. Ce que j'écris n'intéresse plus du tout ou alors avec le printemps, se promener dehors deviennent nettement plus important? Je comprendrais si l'augmentation ou diminution des nombre de mes lecteurs serait constant.

Hier, a la réunion des Weight Watchers j'ai enfin dépassé la barre de -15kgs! Maintenant, encore trois de moins pour que je sois résolument dans le 7x.x de la balance. Plusieurs femmes présents ont lu Prima et se sont dit: "je connais cette femme!", mais le nombre de mes lecteurs n'a pas augmenté sérieusement pour autant.

Rose sauvage macro
Tant pis. Je devrais d'ailleurs jeter le compteur et ne plus regarder au moins un mois entier l'augmentation ou diminution de ceux qui viennent me lire. En le voyant augmenter, je suis contente, sans plus, et en le voyant diminuer je me tourmente: "qu'es-je fait de mauvais?"

Avec ma tête, je sais pourtant, que chacun a ses propres préoccupations, ce n'est pas la qualité de mon écriture ou images qui provoquent à chaque fois la fluctuation! Pourtant...

Ah! je commence à comprendre la fascination des dirigeants des télé pour la mesure de l'audience.

Rien spécial pour ce matin, mais ce weekend, je pourrais décrire la visite des Chevaliers de Hunedoara et ailleurs dans notre ville. Ils doivent arriver ce soir.

Orange poppy caressed (8) macroPourquoi nous prenons "normal" quand des bonnes choses arrivent et nous décourageons pour un peu de recul? Normal, que j'ai réussi à perdre 15 kilos (d'après moi déjà 16) en quelques mois, mais découragée quand je vois la balance augmenter de quelques centaines des grammes!

"Normal" quand quelqu'un me sourit chaleureusement, mais me tourmentant pour quelqu'un changeant soudain d'humeur envers moi? Normal quand on m'écrit du bien de mes images, sentant un creux soudain quand personne ne les commente.

Curieux animal, cette être humain. Et moi, entre eux, pas mieux.

Si j'écrirai ceci pour mon journal intime, je finirai en écrivant: "courage, Julie! ne te décourage pas trop facilement!" - en plus, j'ai de quoi être heureuse. Hier, deux heures agréable passées à midi avec mon petit fils, qui a déjà appris à chanter l'alphabet anglais avec un très bon accent! Vive les grèves des enseignants ou personnel de l'école, pour une fois ils m'ont permis de passer de bon temps.

En plus, le nombre de ceux qui lisent mon Retro-journal a augmenté, et non, ceux-là ne font pas jojo comme dans ce blog-ci!

jeudi 22 mai 2008

Mars 31 2005 bouquiniste

Bouquiniste au bord de la Seine en train d'ouvrir et étaler ses livres.

C'était il y a trois ans.

Je ne sais pas si cette image est déjà sur ce blog, mais ce matin un copain anglais de flickr me l'a rappelé.

"C'était la sixième image que j'ai commenté sur la site et je l'aime toujours autant", me dit-il.

Mars 31 Paris 5
Après avoir pris cette photographie "candide" je ne suis approché. Nous avons parlé.

Elle y travaillait déjà depuis 35 ans! Quelle visage extraordinaire aussi et ce sourire lumineuse!

Je viens de vérifier: elle n'est pas dans mes notes d'il y a trois ans, j'apprenais seulement à envoyer directement des images de flickr dans les blog à l'époque.

Une email que je viens de reçevoir m'invite sur le Pont des Arts pour samedi matin: nous, les "bookcrossers" allons semer des livres sur le pont! On peut venir les "cueillir"!

Les lire, les passer à d'autres.
Ponts avec Samsung (88)
Belle initiative!

Cela me permettra aussi, j'espère, de prendre quelques meilleurs images de là, plus de perspective! Espérons que le temps sera clément avec nous.
Ponts avec Samsung (85)
La seule problème pour moi: quel livre y porter. J'en ai tant à offrir! J'ai encore des livres français, même si la plupart qui me restent maintenant son anglais.

C'est une plaisir d'offrir les livres à ceux qui l'apprécieront, liront. Puis, si possible, le passeront aux autres.

mercredi 21 mai 2008

Moyen Age arrive chez nous


Chaque année, chaque printemps, les chevaliers de l'âge Médiéval arrivent dans notre ville pour un tournoi, mais aussi montrer différentes métiers de cette époque.

Les enfants adorent!

Mais c'est intéressant pour tout âge.

L'automne dernier, à Hunedoara en Roumanie, dans le cour du château médiéval des Hunyadi, nous avons pu observer des Chevaliers lutter à pied, des filles danser, les outils de jadis.

Je les avais alors invité, demandé s'il voudraient venir chez nous, près de Paris pour la fête organisé dans notre ville. L'Association des Coteau et Argenteuil sans frontière les a invité à participer.
Visite a Hunedoara (168)

Medieval like fights, Hunedoara

Visite a Hunedoara (173)

Ils arrivent!

Vendredi soir je vais les accueillir et dimanche tout la journée on pourrait les voir démontrer ce qu'ils ont appris en étudiant les anciens documents et en s'exerçant.

Sur le plateau des Coteaux, ils seront là, bien sûr, en même temps avec d'autres venus d'autres parts de la France - ou du monde?

Voilà quelques images prise il y a quatre ans, quand j'ai découverte la première fois cette fête organisé par l'association des Coteaux d'Argenteuil. A l'époque, je prenais encore peu des images, je devais payer cher pour les faire développer puis les faire graver et imprimer.
MoyenAge-11MoyenAge-12
Déjà, j'aimais faire des portraits, de plus loin puis plus près.
MoyenAge-08
C'était mon premier image de groupe. Une troupe de théatre?
MoyenAge-24
Celle-ci est mon préféré néanmoins.

Seulement quatre ans plus tard, et j'ai pris depuis plus de 30 000 photos! Je me suis améliorée un peu, l'exercice aide, mais aussi les yeux critique des autres. Relativement à mon inexpérience d'alors, ce n'étaient pas si mal finalement.

mardi 20 mai 2008

Quelquefois, autrefois...

J'adore quand quelqu'un m'offre cette cadeau merveilleux, inattendue, une sourire chaleureuse des yeux en plus de toute le visage.

Je lui disais que sa moustache était fort beau, et c'est vrai, en plus un peu comme ceux de mon grand-père paternel jadis, ce dont je ne me suis rendu compte que chez moi, le lendemain.

Quelle plaisir de regarder cet inconnu, me sourire de nouveau et encore, me regarder comme si j'étais quelqu'un de bien et pas avec reproches ou indifférence, ne serait-ce que pour un moment.

Mais comme j'ai réussi à saisir l'instant, il dure.

Une email arrivant ce matin me caresse aussi le cœur. Tout n'est pas gris autour de moi!

En plus, j'ai repris hier quelques photographies faites il y a quelques jours et d'abord, j'ai fait une composition avec Picassa, ensuite des cadres puis des variations avec Digimax que j'ai reçu lors de l'achat d'un de mes cameras. Ou quand j'ai reçu le Samsung?
collage cadre
comme dessin
collage cadre dessin
comme une sorte d'aquarelle
collage paint timbre
Et finalement, en prenant une seule image, de la rose et tulipe à la fin de leur vie pris dans la fenêtre sous le soleil, j'ai fait plusieurs variations dont celle-ci.
DSC01751
C'est quand même important la présentation!

Au lieu de prendre cent images, je ferais mieux d'en prendre trois et consacrer du temps à jouer avec, les présenter au mieux. Sauf que, en prenant beaucoup, j'ai plus de chance qu'une ou deux réussissent et font ou disent ce que je ressens. Ou me disent, souvent, aussi des choses dont je ne m'attendais pas en les prenant.

Je ne vais pas mettre ici, mais c'est entre mes images sur ma site, la femme maghrébine cachant son visage avec le main et sa petite fille la regardant tristement. Vous pouvez la voir aujourd'hui, à droit de ce texte, entre mes dernières images. Il y a tellement dans le regard de cette fillette! Je croyais tout simplement faire quelques photos des gens qui se sont réfugiés devant l'avers sous notre tente. Mais j'ai pris, s'en me rendre compte un instant, déchirant, de vie.

Tant le sourire lumineux que cette dernière photographie triste, sont mes trésors. Mais aussi l'expérimentation avec mes fleurs presque fanées ou je me reconnais, d'une certaine façon.

lundi 19 mai 2008

Quelques précisions

Sous les arbres, dont on ne s'en rend pas bien compte quand on est pourtant dessous, quand l'averse ne tombait pas sur nous, le soleil arrivait jusque nous par touches impressionnistes.

Est-ce être passionné de la photographie est une lubie? une obsession? c'est surtout une grande plaisir et en même temps m'ouvre les yeux sur le monde et les autres et envers les gens.

J'ai envoyé le journal avec l'article Prima à ma fille en Amérique "il y a tellement des choses déformées," me disait-elle hier par téléphone.

C'est vrai, tant dans l'article de Val d'Oise que dans Prima, tout n'est pas "exacte" mais l'esprit c'est quand même tout à fait vrai. Les détails n'importent pas trop (ou pas du tout) les lecteurs. A cause de la discussion avec ma fille, j'ai décidé néanmoins d'ajouter quelques précisions aujourd'hui.
Braderie Centre Argenteuil (62)
Vous voyez cette photographie? Les arbres ne sont pas "dans le miroir" s'y reflètent seulement à cet instant.

Par exemple, l'article dit "vite elle trouve une autre solution pour publier ses journaux".

A partir de leur traduction, jusque début de publication en blog il s'était passé 10 ans! Et je n'ai pas pensé à les publier qu'une fois j'étais déjà en train d'écrire dans ce blog-ci. En fait, j'avais ouverte un blog 2004, voulant raconter dedans mon 70e année, c'est ce blog-là, d'abord écrit d'ailleurs en anglais puis en français, qui c'est transformé après quelques tâtonnements en Retro-Blog.

Ensuite, avec beaucoup de travail, j'ai fait le blog Journal de Jeunesse, qui contient (recopiant) les même débuts de journal, de 10 à 23 ans (les premiers 9 cahiers), mais en lecture "comme un livre" pas à l'envers comme un blog. Je ne sais pas d'ailleurs, si finalement, ceux qui ne m'ont pas suivis depuis le début, commencent par lire ma vie de là, ou directement de Retro blog.

Dans mes journaux, je raconte mes privations probablement, mais encore plus mes joies! Ce que je sentais sur le moment, ce que débordait et attendait à sortir à un moment donné.

Au début, je n'étais pas du tout sûr d'avoir des lecteurs et ils ne sont pas venus que peu à peu. Une joie toutefois renouvelée avec chaque nouveau venu et commentaire!
***
Mon culture hongrois se révolte en lisant dans l'article que je suis née sur "terre roumaine", même si en 1934, la Transylvaine appartenait, depuis 14 ans déjà à la Roumanie. Auparavant, c'était "terre hongrois" pendant 1000 ans! Ou de temps en temps, principauté indépendante, sous les turcs ou des autrichiens, avec différentes gens et religions vivant paisiblement les uns avec les autres (la plupart de temps).

Je ne crois qu'un décret, traité de guerre, peut transformer une province aussi rapidement.

D'ailleurs, j'y ai vécu surtout pendant mes écoles primaires et premiers années de lycée (jusque 15 ans) et pendant ce temps, il y eu plus des hongrois habitant dans ma ville que des roumains. Sous la dictature de Ceausescu, qui entre autre de ses méfaits a aussi déplacé des populations, le pourcentage a changé, maintenant on entend parler autant le hongrois que la langue roumain là bas.

Bien sûr, c'est sinon mon sang, ma culture hongrois qui parle ici, probablement mon beau-père aurait senti différemment. Ses parents gardaient des moutons dans les Carpates déjà avant la première guerre mondiale et il était incorporé dans l'armée hongrois, lui. Pendant que mon père, déjà après 1920, a fait l'armée roumain!
Braderie Centre Argenteuil (14)d
Pour cette image dans un autre miroir du marché, je me suis déplacé pour ne pas y être dedans, attendant que quelqu'un passe - un instant s'y reflète seulement.

Mais ce qui avait été le moins compris, et c'est tout à fait normal avec ma vie bien compliquée, remplie des hauts et des bas, c'est que je n'ai jamais fait des études universitaires "habituelles". Je n'ai pas été permis de continuer mes études, malgré mes très bonne note de baccalauréat technique, et je suis entré dans l'institut de recherche de chimie, comme technicienne vers 19 ans. J'ai continué pendant six ans mes études en parallèle avec mon travail.

J'avais écrit un billet, le récit de ce qui c'était passé juste avant que je ne réussisse pas à passer mon examen d'état pour devenir ingénieur et pour ceux intéressés des détails peuvent le retrouver dans ce blog (voir Textes sur ma vie dans le volet de droit): ma rencontre avec la femme du futur tyran roumain m'a privée, après des années de travail et d'études, de l'un et de l'autre. Comme "ennemi de peuple" j'ai appris quelques jours seulement avant de passer l'ultime examen, que j'étais interdit de continuer des études - j'avais déjà été privé de mon travail à l'époque.

Je n'ai réussi à avoir un diplômé qu'en France, beaucoup des années après que je suis arrivée, à 43 ans au lieu de 24!

Toute fois, je devrais préciser, même si sans aucun lien avec ce qu'on écrit ici ou là de moi, qu'étudier sans fréquenter l'Université, pendant six ans, m'a énormément servi pendant toute ma vie: j'ai appris à apprendre! J'ai appris à continuer toute seule! Je n'ai jamais arrêté!

Je ne suis pas du tout poète, mais de temps en temps je "commets" des vers me venant du cœur.

Aujourd'hui, publié dans le Retro-blog, que relativement peu entre vous ont le temps de regarder, donc je le recopie ici, quelques lignes sur l'Histoire de ma vie:

«C’est une histoire sur l’espérance
C’est une histoire sur l’écriture
C’est une histoire de solitude
C’est une histoire qui serre mon cœur.

C’est une histoire de l’espérance déçue
C’est une histoire de l’espoir revenu
C’est une histoire de l’amitié nouvelle née
C’est une histoire sur la confiance.

C’est une histoire pour vous, pour moi
C’est une histoire… aurait-elle une fin ?
C’est une histoire triste,
C’est une histoire qui finira bien
Je l’espère. »

(Écrite l’été 1998 à Le Châtre, retrouvé mars 2003.)

dimanche 18 mai 2008

Vide Grenier du centre Argenteuil

Je me suis réveillée à 5 heures hier, et malgré mes intentions je me suis perdue dans le web une heure entière, mais il faisait encore noir dehors et je me suis dit "qui sera là à cette heure?"

Ma belle-fille est venu me chercher et aider avec les caisses plus lourds en même temps, juste avant sept heures.

Que n'était mon étonnement: déjà le marché était plein du monde!

Non seulement des vendeurs, s'installant encore, mais déjà plein des acheteurs courant presque d'un stand à l'autre!
Braderie  (28)
Au début, j'avais mis mes livres par terre, et curieusement certains adoraient fouiller dedans, même quand nous avons installés les tables et la plupart des livres avaient migré là, certains préféraient quand même fouiller dans les deux cartons restés devant, que je laissais comme réserve pour ne pas trop encombrer la table.

Heureusement, Lilly a aussi apporté (à pieds!) et installée une tonnelle au dessus notre tête. Du soleil le matin, mais aussi l'après-midi la plupart de temps, nous avons eu aussi trois averses très rapides et fortes. L'eau dégringolait avec force!
averse (53)
Sauf la première fois, quand je me suis aperçu que un bout du table et livres dépassaient et certains ont pris quelques gouttes de l'eau avant que je les déplace, nous n'avions pas été mouillés. Mais le beau temps a alterné avec le froid et j'étais heureuse de n'avoir pas pu vendre un des pulls que j'ai apporté: je pu le mettre sur moi. Heureusement que Lilly a pensé à tout!

Très anxieuse, vendredi, mais même samedi matin encore, je me demandais combien des livres vais-je réussi à placer. Le but était de placer les livres rab aux gens qui aimeraient les lire.

Comme c'était une braderie, j'ai offerte d'abord 2 livres pour 1 euros. Non, pas 50 centimes le livre, je n'avais aucune envie de m'occuper à chercher de change. Ensuite, j'ai eu une paire des femmes arrivées d'une ville environnant, qui ont avidement regardé les livres et ont commencé à négocier pour une prix plus bas.
Braderie Centre Argenteuil (21)
Bien, vous pouvez avoir 9 pour 3 euros.

Elles ont choisie, toute heureuses, finalement 12! Autant des livres de moins... Bonne lecture! Merci. Elles sont partie ravies, autant d'avoir eu des livres pour pas cher que d'avoir pu choisir.

Voilà le clé d'un bonne commerçante: vendre en offrant du plaisir.

A partir de là, je vendais surtout 9 pour 3 au lieu de 2 pour 1 et je peux dire que non seulement les gens, surtout femmes d'ailleurs, étaient ravies de choisir plus que deux ou trois, tout en regardant attentivement de prendre les livres à leurs goût.

De tout façon de voulais surtout ne plus avoir les livres sur mon dos, malgré que j'aime et j'ai lu tous que j'avais porté là, mais pas assez pour les conserver, j'ai en plus eu la joie de les voir passer sur les mains qui les apprécieront.

Une fois, j'ai même offert un livre à quelqu'un qui avait mal à se décider. Au lieu de partir, il m'a offert finalement un euros et remercié plusieurs fois!

Les goûts étant différents certains ont acheté un livre parce que l'auteur était à gauche, très à gauche me disait-il, les autres parce que c'était écrit par Steel, ou Nora Roberts, des autres encore puisque c'était historiques, ainsi de suite. Le seul qui n'est pas parti était pourtant un très bon livre sur Mitterand, écrit par l'archiviste et copine de celui-ci. "Pas des livres politiques pour moi" me disait un à qui je l'avais chaudement recommandé.

Pendant la journée, la plupart de temps j'étais derrière mes livres, me levant seulement pour conseiller ou réarranger après qu'on les a tout bouleversé en fouillant. Rendre plus facile à trouver ses plaisirs. Toutefois, je suis partie deux trois fois pendant les 12 heures suivantes (de 7 heures le matin à 7 heures de soir!) et j'ai pris environ 80 images en tout. Vous pouvez les regarder bientôt, déjà les premières photos sont disponibles sur ma site flickr. Vous pouvez aussi regarder les images à droit du ce texte. Comme d'habitude, mes dernières dix visibles toujours là. Dès ce soir, vous aurez aussi les autres en même diaporama.
Braderie Reflexions (8)
Conclusions?
  • Je suis revenu avec presque pas des livres! (et ma petite fille a contribué elle aussi à les vendre).
  • J'ai réussi à rendre des acheteurs heureux.
  • En plus, j'ai été reconnue comme "julie70" non seulement par ces deux organisateurs volontaires de centre ville, mais aussi par trois petites filles, un peu plus tard dans la journée.
Braderie Organisateurs(50)
"C'est vous Julie70, n'est-ce pas?!" m'ont-ils dit, ravis qu'ils s'étaient après le 1 mai retrouvés sur mon blog!