samedi 30 septembre 2006

Fête de vendange


Demain on fête les vendanges à Sanois et dans une semaine à Argenteuil et ensuite, à Butte Montmartre.

Comme c'est une travail saisonier, autour de chez moi, c'est des employés des Mairies qui vendangent, cuillent, nettoyaient. Samedi dernière nous sommes tombés dessus, ils nous ont gentillement permis de les photographier.

Curieusement, la mairie les ont habillé en vêtements de nettoyeur de rue, mais peut être, quand ils ne sont pas au vendange, qui n'occuppe que quelques jours par an, c'est ce qu'ils font.

Certains ont été même fières que je veuille prendre une photo d'eux, comme celui ci-près. J'adore son expression et comme il se tient!

Récément, j'ai ressemblé tout un tas des images que j'ai fait depuis deux ans des gens travaillant en France, faisant divers métiers. Ou un diapo si vous avez le temps.

haut d'Orgemont-58ok

Il y avait davantage travaillant à les nettoyer à Sanois que de ceuillir, mais probablement, la ceuilette était déjà presque fini et ce n'était qu'un tout petit vigne, "Il n'y eu de vendange à Sanois depuis cent ans" m'a dit un habitant. C'est des traditions qu'on essaie de faire revivre.
Vigne de Sannois-22
Mais dans les villages de France et aussi d'autres pays, la tradition ne s'était jamais arrêté, ni celle de prendre comme main d'oeuvre des gens plus pauvres venus de loin.

J'ai tombé sur ma site flickr sur la photo d'une petite fille roumain, qui était venu de loin, d'une village plus pauvre, avec ses parents pour les journées de vendange et travaillait déjà avec eux. La photographe, Nicole, m'a permis de la publier ici.


Roumanie, vendange 2005 par Nicole

"Oui, la fille etait venue avec ses parents et ses 4 freres, de Moldavie, pour cueillir les rasins a Recas, en Banat. Ils etaient payes par kilo alors n'importe quel aide était important, " m'a écrit Nicole comme information sur l'image et la fillette.

vendredi 29 septembre 2006

Message recu ce matin

"Il y a dans Internet Explorer, la possibilité de régler l'affichage de l'encodage
donc, si tu suis les étapes suivantes, tu pourras voir ton site apparaître correctement :
Menu : Affichage
Codage : changer pour "Unicode (UTF-8)""

Et vous, pouvez vous aussi?

Souvenirs des beaux jours

"Je ne suis rien
Quand je le fixe
Que le brouillard
qui me confisque
Mais s'éclaircit

sous mon regard"

Ainsi commence poème chanson que Gelzy m'a envoyé, qu'elle m'avait chanté en janvier. Le brouillard que nous avons vu s'éclaircir ensemble la dernière matinée avant que je pars.

Non, c'était dans la deuxième page, mais cela correspond bien à cette vidéo et certaines de ces images. J'avais entendu Gelzy la chanter un soir de janvier tout en tapotant sur son piano et à l'aube le lendemain j'ai écrit moi aussi sur la thème "je n'étais rien" plusieurs versionsme à ma manière gauche.

Quelques images rassemblées dans un vidéo, images prises pendant nos promenades dans "France profonde" avec la pluie ou le brouillard mais surtout enveloppé par l'amitié chaleureuse. Des vieilles maisons et choses et gens sympatiques que vous m'avez fait connaitre dans cette nature merveilleuse et toujours changeant. Les jours avec mes amis me promenant autour de leurs village, avec balades et visites aussi, mais surtout beaucoup de joie. Quelques images rassemblés en souvenir de ces jours-là, à partir des beaucoup plus d'autres qui toutes m'ont restés dans le coeur. Merci Peire, merci Gelzy!


Dans la France profonde
Vidéo envoyée par julie70
Je ne suis rien commence ici:

Je ne suis rien
mais à personne
Je ne suis que
le vent d'automne
Quand il veut bien
me ratisser
Cela est le vrai début de chanson de Gelzy. Le vent, nous avons regardés ensemble agiter le haut des arbres début septembre, nous aussi. C'était inoubliable.

Je ne suis rien
mais quand je nage
Je deviens l'eau
qui me soulage
Et sa couleur
et sa beauté.
C'était l'hiver et pas le temps de nager, mais je me souvenais en l'écoutant de tant de fois dans ma jeuness quand je nagais entouré des saules pleureurs me sentant unie avec la nature.

Je ne suis rien
mais quand je chante
je suis la noire
je suis la blanche
et le refrain
et le couplet
Je ne sais pas chanter, même si je chantonais étant jeune, mais quand Gelzy commence à chanter elle devient la chanson et le vent et le refrain et s'illumine. Il faut la voir pour jamais l'oublier.
Je ne suis rien
Mais quand je t'aime
Je suis Amour
Quand bien même
Monsieur
vous ne pouvez m'aimer
Mais le Monsieur de Gelzy l'aime, c'est un amour profond et de long temps qui fait bien au coeur et à l'âme qui se dit alors "alors, alors, ça existe encore!" Et quand ils se mettent à chanter et jouer de l'orgue de barbarie, alors...
Je ne suis rien
que le poème
Et c'est déjà beau
s'il m'emmène
Plus loin que
je n'étais allée
Gelzy et Peire m'ont emmenée, plus loin, ailleurs, que je n'étais allée, m'ont montrée des leux, gens, choses, m'ont fait écouter des chansons et goûter des plats, et du vin du pays, et oui, je suis allée plus loin que je n'étais allée avant. J'ai compris davantage aussi de la charme des vieilles choses et vieilles maisons de l'alentour. Mon coeur est restée aussi un peu chez une de leurs voisine, une très vieille dame : j'en ai fait peut-être 50 photos d'elle, mais finalement, celle que j'aime le mieux et celle où elle regarde par la fenêtre chez son amie qu'on voulait voir ensemble.
Je ne suis rien
quand je le fixe
que le brouillard
qui me confisque
Mais s'éclaircit
sous mon regard

Je ne suis rien
mais quand je l'ose
Je suis le point noir
sur le rose
des vilains contes
du pouvoir

Je ne suis rien
que l'instant-même
où reine sous
mon diadème
j'ordonnance
les chandeleurs

Et si je suis
Dame de Pique
Ce deviendra
poème épique
si vous devenez
Roi de Coeur

Au feu de mon désir
extrème
Je ne suis rien d'autre
si j'aime
Que le monde
et ses spendeurs


Et c'est déjà beau
s'il m'emmeène
Plus loin que je
n'était allée
Plus loin que
je n'étais allée.
Je crois, que nous le faisons les uns avec les autres aussi, et à travers vos écrits souvent vous m'emmenez plus loin que je n'étais allée et nous devenons quelque chose. Nous ne sommes plus "rien" a partir de cela. Nous devenons plus qu'un point noir, nous devenons individus. Mon poème, que j'avais écrit après avoir écouté et lu Gelzy chanter cela, commencait avec "Je n'étais rien" mais je suis devenue depuis.

Un tout petit peu plus, même si je n'ai pas de Roi de Coeur, je ressens très profondément ces vers. Merci Gelzy M. de me l'avoir envoyé et confié pour que j'en fasse quelque chose. Cela m'a inspiré aussi à créer hier soir cette vidéo. Merci, Gelzy, mercy Peire, je vous dois encore une bouffée de l'air frais dans ma vie.

Tôt le matin


Brume matinale

Reflexions à sa place préférée

Gelzy admire le feuillent du haut des arbres que la brise fait danser.

jeudi 28 septembre 2006

Pour les fêtes

J'ai craqué et acheté l'autre jour dans trois boutiques vendant pour Ramadan, les unes après les autres tout ceci.

Heureusement, j'ai fini seulement la brioche pour le moment et gouté juste le reste.

Le lokoom, carré du milieu, je le conaissais depuis l'enfance, c'était à l'époque très bonne marché et venait avec des goûts exquis, ce qui n'était pas le cas avec celle acheté cette fois-ci.
La brioche m'a decu un peu puisque plus belle que beau mais j'ai pris trois petits dejeuner avec elle.

Mon souvenir le plus fort est avec celui qui n'est pas sucré ni un gateau, ronde jaune et grand et ressemble un peu à un crêpe. C'est cuit dans la graisse et salé en principe, gonflé un peu avec levure, et un pâte ressemblant à la pain.

Pour Ramadan-5
Pendant la guerre, dans la cave, sous les menace des obus, pendant plusieurs semaines, ma mère en faisait chaque jour. J'adorais! Elle avait du mal à utiliser la levure mis à côté de jour d'avant, elle avait mal de faire cuir avec de saindou de moins en moins abondant, dans une cuisine improvisé dans un des pièce de la cave. Mais pour moi, cela reste une très bonne souvenir et je sens encore le goût que cela avait et ma bouche salive.

Bien sûr, tout fraiche et chaude et autre chose qu'acheté et préparé d'avance, mais près du bus où j'avais descendu ils les préparent chaque jour même sur commande devant toi.

Une fois j'irai, j'en prendrai encore une. Mais le reste, non, aussi belles qu'elles soient, ce ne plus pour moi.

mercredi 27 septembre 2006

Encore une



Est-ce une photo ou une peinture? N'est-ce pas qu'elle ressemble à cette deuxième?

Nouveau blog

Je suis enchantée! On vera ce que je ferai avec mes accents, mais j'ai cree ce matin un blog sur la Roumanie, apres avoir entendu hier qu'il fera part a partir de 1 janvier de l'Union Europeene.

Ce n'est pas des infos officiels, bien sur, mais de mes experiences la, alors, mais surtout les quelques dernieres annees. Ah oui, j'hésite encore mettre des accents.

C'est créé avec le Beta Blogger et contient des categories, comme certains d'autres blogs payants, typepad par exemple, et il est recréé à chaque fois qu'on veut le lire. A voir et à suivre ce que cela va donner.

Recopié de Word

Autre test avec écrits et caractères. Ceci est recopié de Word.

Je commence a comprendre!

Le logiciel Blogger est en gestation et douleurs de naissance, changer, s'ameliorer.

Sur le chemin de la naissance d'un bebe nouveau, certains choses sont differents. Je dois apprendre faire avec, utiliser ce qui est bon, changer ce que n'est pas. Mais je ne suis pas la seule! Alors, pourquoi les problemes arrivent a moi?

Mais je viens de creer un blog sur le Blogger Beta, sur la Roumanie, vue par moi, et il n'y a aucun probleme des polices et caracteres accentuees, seulement ici je suis obligee pour le moment d'ecrire comme il n'existaient pas.

Tombant


J'ai souvent peur de tomber, sans avoir personne pour m'aider d'ailleurs me relever.

Mais vous allez m'aider a corriger le probleme avec les accents.

Je n'ose plus en mettre ici!

photo 2005, Cluj, Transylvanie


Hier, j'étais à Paris, que c'est ennuyeux un virus se pretendant être Antispyware et ne voulant pas disparaitre ni laisser travailler. Nous avons reussi seulement à moitié à resoudre, l'ordinateur marche plus vite qu'avant. (J'ai peur ajouter des accents...)


In Paris again-4
A midi, je suis sortie manger au restaurant et ensuite pris quelques images autour de moi de divers angles.

In Paris again-5

Mais de nouveau, je sens qu'avec cet homme dans l'image, la photo devient plus réelle, plus parlante.

Les lettres bizarres.

Je croyais que c'est seulement moi qui les voit ainsi et seulement en Internet explorer. Je voudrais savoir si en écrivant avec Outlook Express, comme maintenant, les caractères accentués sont bizarres encore chez vous.
Je écrirai rien en attendant votre réponse.Encore mauvais!

C'est moi, je les corrige, en choisissant dans Internet Explorer ou Firefox en Affichage, Encodage des caractères "Unicode", et en "Detection automatique" Universelle, mais ils devaient s'afficher bien partout bien.

Est-ce tous mes blogs sont ainsi ou seulement celle-ci dans laquelle j'écris souvent à partir du site flickr?

Aidez-moi, en répondant à corriger le problème, s'il vous plait.

======
Je l'a copié maintenant mon text en Bloc-notes et enregistré en UTF8 ici sont encore accentués sont bizarres encore chez vous. Je écrirai rien en attendant votre réponse.

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Ici engresitré en AINSI et je ne sais plus que faire.
=====

C"est vraiment BIZZARE. Meme chez moi, de temps en temps apparait mal, autrefois tout apparait bien.

Qui peut m'aider?

mardi 26 septembre 2006

Bas et hauts en quelques heures


De là pendant des heures, heureusement je suis arrivée là.



Voilà comment.

Hier, c'était une journée combinée des horreurs et plaisirs.

D'abord, une rapide voyage avec mon fils vers l'aéroport Charles de Gaulle, une agréable discussion avec lui me parlant un peu de son travail et moi du mien sur le web.

"Fais corriger d'abord ce que tu écris" il a raison.

Le retour, des détours.

Je fonçais au début vers Marne la Vallée, sans savoir ce que j'y cherche et comment s'en aller de là, me retrouver de nouveau à l'autoroute A1.

Au lieu de vingt minutes presque trois heures passés en bouchons ou détours sans explications.

Je vous laisse imaginer.



C'était quand même supportable: j'avais mon appareil photo avec moi et j'en ai profitté à faire quelques unes qui décrivent plus ou moins ce que j'avais ressenti.

Pendant que nous attendions, ou avancions pas à pas, les motos passaient avec une vitesse effarant et à faire peur entre les voitures.

J'avais même peur de mettre mon bras dehors, tellement ils venaient près de nous, se faufillant ou fonçant entre nous.



Sur cette image il parait que l'autoroute est fluide, mais nous arrivions de haut droit, ou tout était en attent et avec d'énormes camions entre ou à côté de nous. Plusieurs accidents autour de Paris et j'en ai eu le droit à tous. Je suis arrivée malgré tout cela à temps à mon rendez-vous.

Ensuite une magnifique promenade avec Coyote, maintenant en France et même, la même ville que moi, à la hauteurs de la ville. Une plateau d'où on peut voir tout autour très très loin par beau temps! Le matin le ciel était plein des nuages sombres et mencants, mais plus tard le beau temps c'est installé autour du Paris.

Prés de restaurant Le moulin d'Orgemont, un bout de bois, la vue, les chiens promenant leur propriétaires, des enfants hurlant près de leur maitre d'école, sinon, nous étions toutes seules avec le magnifique paysage.


Cette image raconte tout, ou presque, n'est-ce pas, de notre photo ballade.

Nous avons même réussi à grimper au Coteau, une autre colline voisine. A partir du haut, c'est déjà Sannois et nous avons vu le vendange du vigne de la ville se préparant pour la fête de dimanche.




Un autre moulin et des gens sympa nous permettant d'y entrer et prendre quelques images. Regarder surtout. On regarde et emporte avec soi toujours davantage que le camera peut prendre. Heureusement. Et le camera permet un contact et quelques mots aussi avec les gens. Hurrah!

lundi 25 septembre 2006

Haut d'Orgemont


Tout en haut du quartier Orgemont d'Argenteuil il y a un plateau d'où on peut voir tout autour très loin, même le tour Eiffel. Nous y sommes allées avec Coyote.

Voir loin, c'est intéressant, mais j'ai préféré ce monument (probablement recréation des très ancinnes) et l'arbre derrière. Coyote a lu pour quelques secondes le temps que je prenne une photo d'elle sur le banc de pierre.

A la maison, j'ai retravaillé l'image en le débarassant de l'herbe qui entourait et des buissons au loin. Je trouve qu'ainsi elle dit davantage ce que j'ai vu, moi.

A travers les feuilles


C'est l'arbre devant ma fenêtre, mais ce n'est pas encore si rouge encore, il faudrait attendre une mois probablement. Si j'ai de la chance et un jour, du soleil. C'était pris l'année dernière mi octobre.

Je voudrais voir un peu à travers les feuilles et savoir ce qui m'attend dans les jours, les semaines, d'ici là.

Au moins, pour octobre j'ai trouvé un excellent professeur pour la theme de Temps qu'il fait, un retraité de Floride, ancien professeur de informatique pour adultes aussi, avec une femme malade d'alzeimheimer. Il a dit "je ne peux pas" au début, je dois m'occupper de ma femme. Mais avoir une autre préoccupation va lui faire bien, et déjà il bouillone des idées.

C'est un excellent pédagogue aussi et m'a donné déjà de bonnes conseils. A travers ses leçons, nous allons nous glisser doucement de temps vers la chambre noir digital du Photoshop Elements et apprendre comment montrer ce que nous désirons, même quand le caméra ne coopére pas avec nous.

Et on dit que le web et impersonelle et on ne sait pas qui est à l'autre bout, et qu'il empêche la communication!

Et aujourd'hui, en plus, Fabrice à accepté aussi à tenir un cours de photo sur les enfants! Je rencontre une autre, ce matin, entre mes liens jour à jour. Hurrah. Hurrah. Hurrah.

dimanche 24 septembre 2006

J'admire


J'admire toujours des gens sachant faire ce que je ne sais pas. Comme ces femmes dessinant l'arbre, chacun à sa manière. Et j'ai admiré aussi combien des façons il y a de rendre la même chose.

D'où j'étais, je ne voyais que le tronc de l'arbre - mais nous regardons ce qui nous intéresse et ne voyons le reste. L'appareil photo a vu aussi des voitures garés pas loin et les maisons au dela du cour. Elles ne voyaient que l'arbre et ses branches.

Jusqu'à ce que quelqu'un ne me le fait observer, je ne me suis pas rendu compte qu'elle dessinait avec main gauche, étant gaucher contrarié, j'utilise l'un ou l'autre des mains et n'ai pas trop la direction claire ni la différence. J'écris avec droit mais coupe avec gauche.

Et voilà deux petites. Seulement la "plus grande" dessinait, elle était la seule très jeune entre adultes. J'ai aimé pas mal ce qu'elle faisait, l'arbre des jeunes en général, et à elle aussi, représentait l'essence de l'arbre. La notion de l'arbre. Arbre et ses branches.

Samedi Agora-03 detail

Dès octobre, nous allons commencer dans mon groupe une theme sur le Temps, pluie, brouillard, etc Comment on réprésent le temps qu'il fait? Ce n'est pas aussi évident non plus que je croyais à première d'abord. Bonne dimanche. Demain, peut être, sur la pluie.

Comment l'imaginez vous le montrer non dans une vidéo mais une seule photo?

samedi 23 septembre 2006

Samedi Agora


Nous avons pris ma petite fille pour danser, dans le cour il y avait un cours de peinture, petits et grands, dessinant l'arbre devant leurs yeux.

J'ai pris plusieurs photos qui m'enchantent, pendant que les petits étaient à leur premier répétition pour le spectacle de Noêl dans la salle et ma petite affollée puisqu'elle ne réussissait à suivre. La plupart des autres savait déjà les danses de l'année dernière.

Mais cette petite fille dessinant, a fait même mieux que certains des adults - d'après moi. Elle a montré (j'ai d'autres images d'elle et l'arbre aussi) "l'essence de l'arbre" avec les branches, sans les feuilles ou ombres.

Et cette image réprésente l'essence de ce que j'ai vu.

Nouvelle année juive


Depuis hier soir, c'est la nouvelle année juive et je souhaite une bonne année pour tous qui l'ont fêté - souvent avec des morceaux de pommes trempés avec miel.

Je ne connais pas les traditions pour la fêter, il y a d'autres plats spécifiques qu'on mange à cette occasion. Peut-être certains entre vous peuvent nous les rappeller.

En tout cas, je vous souhaite une bonne année!

Je crois, que tout comme les Paques, il ne tombe pas toujours au même date du calendrier utilisé maintenant, donc je ne pourrais pas dire de mon petit fils qu'il est né juste le dernier jour d'une année juive (il n'en est pas d'ailleurs), comme je peux dire de plus grand qu'il est né le lendemain de noël.

Et je crois que bientôt on fêtera la nouvelle année chinois. Savez-vous quand?

Merci à stu_spivack de flickr de qui j'ai emprunté cette image.

En réalité, je lui dois beaucoup

Mon premier mari était fâché quand j'écrivais (bien sûr, d'habitude en hongrois qu'il ne comprenait pas) dans mon journal, et pendant les années quand j'étais mariée avec lui, je n'ai pas mis que très peu dans mon journal. Et même, j'ai perdu deux entre eux en les confiant à une tante qui ensuite ne me les a pas rendu.

J'ai recommencé à écrire tout suite après avoir décidé de m'en séparer, déjà pour me donner courage et m'encourager et j'ai continué mon journal pendant les années.

Séparé en 1975 de Sandou, j'ai recommencé à écrire de plus en plus. J'ai rencontré François, mon deuxième mari, en 1988. Maintenant, il est heureusement (dit-il) remarié avec quelqu'un d'autre, mais pendant les années que nous étions ensemble, il avait au contraire encouragé que j'écrive.

J'écrivais en français déjà et il le lisait, mais en plus il admirait ma capacité d'écrire (en même temps avec un certain jalousie et critique sur la façon de m'exprimer en français). Il promettait toujours de me corriger, mais nous ne sommes jamais passées au delà des premières cinquantes pages avec la correction.

Heureusement, j'avais entre temps trouvé des copains pour s'entreaider, moi avec leur ordinateur, eux avec mon grammaire.

En plus, François jouait souvent de piano ou de l'orgue électronique, merveilleusement, et entre temps je me mettais à écrire. J'ai beaucoup dans mon journal dans les années près de lui. Et pas seulement dans mon journal.

Je l'accompaignais à l'église pour qu'il joue de l'orgue et souvent, j'allais dans un petit café et écrivais de nouveau, écrivais sur ce qui me venait. Des années qui ne se sont pas envolées, qui sont ainsi "attrappées" sur noir blanc et que j'ai commencé à publier dans mon blog journal.

J'ai vécu des riches années ainsi près de lui, pas seulement en discussions ou voyages, découvertes de moi et lui et des différences entre cultures et education, mais aussi en écriture.

L'écriture qui a toujours compté tant pour moi.

vendredi 22 septembre 2006

Nos diverses facettes


Nous avons fêtés ensemble hier ses six ans. Bonne anniversaire!

Ses derniers temps il a grandi si vite! Et juste avant, il s'est appliqué pour écrire en coursive,faire ses devoirs. "Je suis, madame, la date".

Suis, n'est pas si évident comme parait! Ah, madame doit avoir un E à la fin? Je sais je sais, mais, où est la gomme? Le bout de choux grandit.

Sa soeur (hier une petite ange avec sa copine et à la gym aussi) a mal pris qu'aujourd'hui ce n'était pas elle qu'on fêtait, pourtant hier c'est elle qui a demandé d'aller choisir un cadeau à son frère avec sa maman.

Au début, elle est courue vers moi à mon arrivé, m'embrassant fort et avec des yeux brillants. Puis, avec son petit tablier de cuisine, elle a aidé sa maman pendant que nous faisions les devoirs avec son frère.

Mais tout a commencé à ce gâter quand le temps d'allumer le gâteau d'anniversaire est arrivé.

L'ange est entrée en fureur.

- Non, c'est moi qui mets les bougies! Les rouges c'est moi qui décide. Non, nous allons les mettre loin tout autour! Non, on va les alligner. Non, je sais mieux.

- Mais c'est l'anniversaire à lui, ajourd'hui, laisse-le mettre à sa guise.

- Non. Je sais mieux.

Malgré explications, puis punitions, elle continuait à argumenter et bouder sur tout.

"Non, ne découpe pas avec des petits morceaux, mets-en des plus grads. Non, je ne veux pas l'assiette orange, je veux la blanche". De plus en plus énervée et furieuse.

Entre temps, le petit fêté a soufflé les bougies, nous avons chanté bonne anniversaire et il s'est mis tranquillement à manger sa part de gâteau sur l'assiette blanche et moi, sur la belle orange.

Gateau morceau

Enfin, enfin, le temps d'offrir les cadeaux était arrivé. Aussitôt, tout énervement oublié, ils se sont mis à regarder, à jouer, à s'entendre à merveille.

Nous avons tellement des personalités et facettes en nous!

Je ne dois pas oublier non plus que même quand je me retire et ne dis plus rien, quelquefois mes yeux fusillent. Je ne suis pas une ange non plus, moi. Il ne faut pas marcher sur mes pieds, puisque alors... je sais mieux, tout comme la petite mademoiselle.
Sauf que je ne me voix pas de dehors.

Sinon, je suis tout sympa, tout chaleureuse, tout...

jeudi 21 septembre 2006

Utiliser ce qui est donné


Utiliser ce qui est donné, en tirer le plus possible, dans la vie comme pour les photo.

Dans la brume du matin, le brouillard épaisse, la pluie qui ne s'arrête pas, le vent qui brouille les contours, on peut en faire finalement des images encore plus intéressantes que dans le beau temps quand "tout va bien".

Dès le mois octobre, pendant trois semaines, c'est de cela que nous allons discuter dans mon groupe flickr AFTERCLASS. A cette occasion, j'ai fait aussi un petit vidéo de la pluie. Bien sûr, on y voit tout suite la plue tomber, on l'entend aussi! Et le vent, je l'avais déjà montré dans ce blog, vous vous en souvenez? Mais le défi sera comment donner le sens de la pluie et des goûttes qui n'arrêtent pas de tomber dans une image fixe.

Je n'y suis arrivée encore. Mais je n'arrête pas à essayer.

Voilà quelques exemples de mauvais temps de mon dossier.
A rainy day's bridge

pluie et vent en même temps (c'était le 1 janvier cette année)

1 janv-001
Je le montre à travers les parapluies ouvertes et l'eau reste à l'imagination de ceux qui regardent. Mais... on dit qu'on doit laisser les lecteurs (regareurs) participer aussi, n'est pas?

mercredi 20 septembre 2006

Après le coin


Nous ne savons jamais vraiment ce qui arrivera après le coin.

Que m'apportera la saison qui a commencé? j'en sais rien du tout.

En tout cas, des joies avec les enfants, cela a commencé hier, en prenant deux petites fillettes de l'école (une blanche et une noir) et faisant photos de ces très bonne copines et allant les regarder à la gymnage sauter à la corde et faire des efforts sérieux pour apprendre, pour mieux faire.

J'ai passé plus d'une heure avec leur photo, mais finalement, j'ai décidé de vous l'offrir celle-ci, toujours fait grâce à Gelzy, pendant mon séjour à Bas Dauphinée. Il y en aura d'ailleurs beaucoup.

C'est fou, combien de richesse mes quelques jours chez elle m'ont apporté.

Amitié, quellle belle chose, combien elle rend plus riche!

N'importe quoi le futur m'apportera, certaines choses restent en moi et m'enrichissent, me rendent plus forte. J'ai des souvenirs, même si pleines des autres choses se sont évaporées de mes doigs, disparus sous mes pieds.

J'ai changé l'image, trop probablement, mais j'ai laissé dedans "l'essence" de ce que ces deux copines voulaient me montrer.
Quand on devient plus grand, on montre son amitié en emmenant dès l'aube sa copine vers ses coins préférés, quand le brume ne s'est pas encore levé.

The mist clears upMorning mist and reflexion on water

Voila encore quelques images d'une passée très récente.Gelzy showing me her favorite place

mardi 19 septembre 2006

Au bon moment


Don habite l'ile Manitoulin à Canada. Il est sorti très tôt le matin pour "attrapper" les goûttes de l'eau qui restent encore sur la toile d'arraigné et qui donnent cette brillance et clairté à l'image.

Quelques minutes plus tard, voir secondes, les rayons de soleil ont sèché la toile et la photo n'est plus possible ainsi. J'ai trouvé l'image et la description sur ma site flickr, après avoir admiré l'oeuvre de la nature et de l'arraigné et le photographe.

Profiter de l'instant qui nous est offert, du moment qui ne revient pas. Mais aussi être là, tout prèt à bon moment en bon place. Et encore, essayer encore et encore jusque un jour cela nous arrive.

J'ai à quoi réfléchir et apprendre de tout ceci. Puis aussi, apprendre plus de patience, plus de courage. En regardant cette bout de toile, je commence à en avoir davantage.

lundi 18 septembre 2006

Jour du patrimoine à Argenteuil


Hier j'avais décidé d'aller à Paris pour le jour du patrimoine et visiter quelques chose ouverte au public une fois par an seulement.

Mais le sort n'a pas voulu y concourir.

Le matin, à peine fini ma note de blog, je recois un coup de fil d'aller prendre le petit déjeuner avec mes enfants et petit enfants.

A peine j'ai eu le temps de prendre mon appareil photo, m'habiller en hâte et aller à la boulengerie de l'ancienne rue piétonnière (dont ici une des images) et j'étais chez eux.

Ma petite fille chérie sortie de leur appartement, courrait vers moi les bras tendues "mamiiiieeeee!"

Quelle joie!

J'avais pris avec moi aussi les cadeau apportés d'Ecosse, deux poupées et deux casquettes. Finalement, les casquettes ont eu le plus de succés et mon petit-fils à même offert à sa mère de échanger son Ecossais jouant de cornemousse avec la casquette recu de la distillerie de Wisky.

L'autre casquette jouait de musique ecossais et les enfants se sont mise à danser. Nous avons discuté très bien sur la terasse ensuite avec leurs parents tout en goûtant chacun un croissant. Il était presque midi, quand je me suis mise en route (je croyais encore, vers Paris).

Papottage devant la boulengerie, je voulais prendre la baguette, mais j'ai pris davantage
Jour de patrimoine à Argenteuil 9

J'ai tâché de faire une ou deux photos de la cathedrale tout près, c'est aussi une patrimoine, n'est-pas et contient une relique sur laquelle une de nos voyageurs nous a raconté d'une façon fascinant dans le bus. J'avais oublié à mettre le mémore nécessaire. J'avais juste assez de mémoire interne de l'appareil pour faire quelques photos, montrant un peu la vie des deux vieilles rues de centre. C'est la vraie patrimoine, en réalité.

Emboutellage dans l'ancienne rue piéton à cause d'un camion qui livre pendant que je prenais ceux papotant devant la boulengerie.
Jour de patrimoine à Argenteuil 8
Les grands immeubles sont déjà sur la rue principale, pas dans la petite ancienne rue.

Revenant à la maison, j'étais presque aussitôt appellée par ma belle fille.

Comme Gabrielle a pris du goût à la natation aux Etats Unis cette été. Gabrielle nage dorénavant mieux que tous ses camarades de classe. Je vais l'accompagner aux cours collectifs tout le saison, et aux cours de dance, et David au cours de judo.

D'un coup, je me suis rendu aussi compte combien enfantine j'étais le jour avant, et même encore le matin. Qu'importe si on m'invite ou non à des réunions, qu'importe si on me remercie ou non de ce que je fais. Je suis utile.

Les gosses m'aiment et m'apprécient, eux.

Je me suis couchée hier soir très heureuse en me rouspétant de ma bétise de la veille. Il faut savoir ce qui est important et ce qui ne l'est pas!

Et jouir de la vie, comme elle vient.

La cathedrale du centre ville. contient une relique qu'on sort tous les cinquante ans. Une très vieille tunique avec une très longue et belle histoire qu'on nous a raconté à notre retour de l'Ecosse, dans le bus.

Jour de patrimoine à Argenteuil 12

Une autre côté. Mais la plus belle je trouve qu'elle est de dos (pas aujourd'hui, puisque la mémore m'a dit: je suis remplie, vas à la maison!)
Jour de patrimoine à Argenteuil 11

Mais les petites rues et maisons du centre, c'est aussi de la patrimoine, il ne faut pas l'oublier! Il faut les conserver, au centre ville, quelques unes de ces vielles rues et petite maisonées et la vie des boulengeries autour duquelle on se ressemble souvent pour parler d'une chose ou l'autre.Jour de patrimoine à Argenteuil 3

dimanche 17 septembre 2006

On peut glisser


On peut glisser sur une peau de banane parait-il et se casser le nez, je crois que c'est ce qui m'est arrivé - heureusement seulement au figuré, mais cela fait mal toujours.

Je sais qu'on ne peut pas rester toujours en haut, il faut aussi des bas dans la vie, c'est ainsi, mais quand cela arrive, ce n'est pas commode.

J'étais aux anges avec ma participation plus active dans la vie de ma ville, et des gens connus et de l'activité très intense que j'ai fait pendant le carnaval.

Hier, pendant trois heures j'ai aidé quelqu'un a démarrer un blog associative (il est très rapide, a pas mal de materiel déjà tout fait et cela a déjà de geule et il le continuera très bien). A la fin, il m'a dit que vendredi il y avait une réunion pour fêter ceux qui ont participé et aidé pour le Carnaval de la Ville.

Il ne comprenait pas pourquoi je n'était pas invité.

Moi non plus.

J'ai très mal dormi et rêvé pleine des bétises et évenements désagréables du coup. Mais les bas ne durent pas non plus trop longtemps, je me dis, je me dis, je me dis.

samedi 16 septembre 2006

Une séance photo


Pendant que j'étais chez Gelzy, sa soeur est venu en visite.

Enfermée, le visage sombre, elle a néamoins consenti que je prenne quelques images d'elle pendant que sa soeur finit la préparation de déjeuner.

A un moment donné, elle m'a souri.

J'ai pris son sourir et je lui ai montré aussitôt sur l'appareil. A partir de ce moment, et quand elle a vu de ses propres yeux ses belles yeux sur l'écran, la glace c'était rompu, elle s'est détendu. J'ai continué a prendre des images.

Quelles expressions divers nos états d'âme offrent. Combien différents nous pouvons être, selon ce que nous ressentons! Tous.

Mais à l'intérieur une visage devient plus dur, j'ai l'experience avec mes autoportraits, cela resort davantage nos rides et tout que l'âge et le temps a mis sur nos visages. La lumière du jour nous fait plus naturelles, plus besoin de flash trop fort. Et quelquefois, la lumière douce agit aussi sur l'esprit. J'avais fait l'experience sur moi-même déjà.

Dehors, les soeur ont d'abord regardé l'appareil, ensuite, à ma demande, l'un l'autre. Enfin, détendus, parlant entre elles. Et vers la fin, elle est tournée vers moi. Voilà, l'image chaleureuse que je voulais lui offrir!

closeupMais toute l'aventure d'une prise d'image jusqu'à l'image "finale" est fascinant et je vous l'offre, si vous le désirez.

Nous avons tant des visages!

Et de temps en temps, une toute jeune femme belle en ressort, rayonante, comme dans cette image en gros plan que j'ai fait d'elle.

Bien sûr, il suffit que nous nous sentons mal dans notre peu et aussitôt notre visage le montre - longtemps avant notre bouche.

Une visage, sans que nous nous rendions compte, est tellement parlant!

vendredi 15 septembre 2006

la grande tournée

D'habitude, jour par jour, je fais la petite tournée de mes blog-potes, mais pour fêter ce début de saison, je suis allée lire tous les blogs dont le lien figure sur la partie gauche de mon blog, sans exception.

Enfin, trois entre eux n'existent plus, sinon...

Voilà quelques nouvelles rassemblées.

Aben est revenu avec des superbe photos et surtout, une que j'adore, de lui même.

Etolane a un pneumonie de nouveau. Après trois mois de répit, cela l'a repris. Heureusement, elle n'a plus attendu que cela devient pire pour aller consulter.

Marie raconte comment une journée commencé par angoisse finit bien. Pendant que les gosses de Marie vont à l'école au Montréal, ceux de Bérangère à Jerusalem, mais c'est les aventures des gosses et mères les deux.

Entre temps, Coyotte de Quebec arrive à Paris (est arrivée déjà, je crois)

Jaques donne des définitions de la poésie entre autre "Poésie : ce champ de
tournesols, d'un côté de la route, et de l'autre, en lisière de bois, tout seul, un peu
m'as-tu-vu, ce tournesol qui a traversé, las de ses congénères
." j'aime, a lot!

J'ai assisté à un concert de salle Playel et un retour en arrière dans le temps, avec un "modest amateur", j'ai participé à un vendange avec Tanette.

Eva est revenu, recommencé à écrire dans son blog! même si de nouveau, je n'arrive pas à commenter chez elle

Avec Bea, un petit tour au Maroc, oh, ce n'est qu'une partie de mes aventures d'aujourd'hui. Je le vis intensément, avec chacun de vous, en regrettant des fois la distance qui nous séparte, mais en me sentant tout près sinon.

Au réveil ce matin


Au réveil ce matin, j'ai aussitôt pensé à vous, cher lecteurs et lectrices, connus et annonymes encore. Je me suis dit "il faut que je me lève et écrive ma note quotidienne, dès le matin.

Je voudrais qu'au moins certains entre vous se délecte et part vers sa journée avec un peu d'énergie en plus, grâce aux blogs lus dès le matin.

Je me suis promis de ne plus regarder les statistiques, et en général je m'y tiens à cette décision, effacant leur faire part. A quoi sert de savoir que d'environ 150, mon blog n'est plus lu que de 95 par exemple!

Mais aujourd'hui, j'ai craqué et lu et, ben oui, je m'en suis rejouis.

Vous êtes revenus des vacances, vous êtes revenus vers mon blog, vous êtes de nouveau plus de cent cinquante à lire ce que j'écris. Grande responsabilité!

Je n'ai même pas bien bu mon café de matin - sans sucre! ni mangé mon toast grillé (j'y avais mis finalement un peu de miel dessus) et déjà mon pc était ouverte, m'attendant à écrire.

Hélas, j'ai perdu du temps ce matin lire d'abord mon courier. Email mais aussi ceux qui me laissent une commentaire sur ma site image (ici les images d'Ecosse). Ensuite, je me suis perdu dans les images d'un jeune qui avait découverte et mis entre ses favoris une des mes anciennes images (d'avril): il publie des images variées et pleine de vie dont je me suis délectée.

Finalement, la vrai plasir n'est pas tant à être lu, que de pouvoir lire ce que vous écrivez, ce que vous publiez!

Bonne journée.

jeudi 14 septembre 2006

Ce qu'on se rappellera


Ce jeune joueur de cornemousse nous a acceuilli le soir de notre arrivé à la porte de l'Hotel de Ville en Ecosse. Ceux qui sont venus à une mariage à l'hotel le lendemain avaient en plus une veste noir. (et pas de l'instrument)

Entre autres, pour moi, ce sera "écosse".

J'ai été entourée là bas de 30 autres seniors, la plupart retraités. Ils vont se rappeller de moi en pensant aussitôt "Chemise de nuit".

C'était arrivé la troisième soir. Nous sommes restés longtemps à raconter l'un à l'autre des blagues grivoises (certains étaient mémorables) et rire. Ceux qui prenaient encore leur diner, ont même fermé les portes tellement fort nous riions.

Tard, vers dix heures et demi, je suis allée me coucher: j'ai cherché en vain ma chemise de nuit. Pas sur le lit, ni dans le tirroir près, ni dans la salle de bain ou l'armoire.

ma voisine de chambre à l'arrivée
Nous étions affollées, que nous a-t-on pris encore. Passeport? Oh, c'est là. De l'argent? c'était bien caché. Ma camarade de chambre (ici à l'arrivé à l'hôtel) a aussi regardé tous les tiroirs. Aucun trace de chemise de nuit.

Je téléphone à la réception, finalement. "On s'occupera". Rien.

Je descends à la réception "ma chemise de nuit manque". "C'était comment?" "Blanc avec des petit fleurs".

Enfin, blanc la chemise avait était avant que je la met à laver avec quelque chose qui avait déteint sur elle, mais c'était agréable à porter et pas transparent et assez chaud. Je vais la regretter, je me suis dit.

Rien. Finalement, vers minuit, je me décide de mettre un teeshirt et un short et me mettre au lit. On frappe deux minutes plus tard.

"Voilà, on l'a retrouvée, elle était au milieu d'un drap."

C'est quand même mieux de dormir dans sa chemise de nuit! mais aussi sentir que cela n'a pas "disparu" et ne pas penser que d'autre me manque peut être.

Le lendemain, à petit dej, nous racontons l'histoire de la chemise de nuit. Alors, cette chemise de nuit, est-ce les suedois qui vous l'ont retirrée? Alors, tu l'as trouvée? Ah, Julie et sa chemise de nuit!

Comme tout doit avoir aussi une côté agréable (ou devrait au moins), j'ai demandé qu'on me laisse utiliser l'Internet sans payer à cause de ce qui était arrivé. A ma surprise, au départ, ils ont effacé même les minutes utilisés avant.

Merci, la gentille fille menager de Business center et de l'hôtel. La nuit, c'était elle même d'ailleurs qui m'a apporté la chemise bien pliée. A minuit!

Personellement, ma chemise sera vite oubliée (et j'en ai acheté une belle et agréable la dernière jour à Edinbourg qui la remplacera vite entre mes préférées) mais le joueur de cornemousse et sa façon de s'habiller restera dans ma mémoire.

Joueur de cornemousse devant la mairie

Certains entre nous blaguaient "qui a-t-il dessous la jupe"? Moi, j'ai osé demander à quoi sert la poche devant.

Porté devant la jupe

C'est un sac, me montra une des chanteurs en l'ouvrant.

Mais je suis partie en me disant, qu'il est placé dans un endroit... et que se passe si soudain une fille passe qui attire fortement l'homme la portant?