dimanche 23 octobre 2005

Les livres "d'aide à soi"

On parle souvent des livres de "Self help" de vulgarisation avec dédain, mais personnellement, ils m'ont plusieurs fois ont été d'un sérieux secours. Et, en même temps, bien sûr, on oublie que ce n'est pas une habitude moderne, mais déjà dans l'antiquité on le pratiquait!

Un des premiers livres dont je me suis inspiré dans ma vie était Aimer par Ovide. Il me donna des conseils que mes parents ont négligé ou avaient trop de pudeur me les dire. C'était pourtant un livre dans la biblioteque de maman. Quand elle observa que je le lis, elle me dit rapidement "fait gaffe que ton père ne le voit pas!"

Mais j'ai aussi pris conseil de livre américain "Comment se faire des amis" et non seulement moi, mais à une époque quand elle en avait besoin dans son travail aussi Alina, mon amie à qui j'en ai acheté un exemplaire.

Tout cela me revient, parce que dans mon journal de jeunesse, qui d'ailleurs va bientôt se terminer et je vais commencer la suite, journal d'émigration, je publie des conseils récopiés d'un vieu livre trouvé en décembre 1960 chez une amie. Les conseil, au moins certains d'entre eux, m'ont rendu le courage nécessaire pour affronter tant mon père que mon jeune mari.

Depuis lors, souvent je recours à l'aide, probablement au lieu des vieux personnes de famille m'entourant, pour m'en sortir. Voir comment les autres agissent dans certaines situation. Il y a quatre ou trois ans, j'ai trouvé (on trouve "par hasard" quand on a besoin) quelques livres sur la "Période de transition", mais aussi sur le divorce et séparation et comment certains y restent trop longtemps et d'autre s'en sortent.

Je trouve personnellement, qu'ils aident plus efficacement que des phsychoanalyses à n'en pas finir. Si je veux aller dans ma jeunesse, j'écris, je me relis. Mais les problèmes qui arrivent il faut que je les résous assez rapidement, pour aller en avant et profiter de pleine de la vie, du temps qui m'est alluée, qui me reste. Et cela, à n'importe quelle âge.

1 commentaire:

  1. Chère Julie,
    Tant que l'on arrive à verbaliser, sotir ses douleurs c'est essentiel... Les livres t'aident et tu as surtout le courage de faire face à ton passé d'en tirer les leçons.

    Bisous

    Christine

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