Ces enfants paraissent bien être "derrière les bareaux" mais en fait, elles sont libres et vivent dans un pays libre. Pas du tout comme j'ai vécu dans ma jeunesse, dans un pays communiste, où "tout était à tous", mais on prenait la terre aux propriétaires terriens, mais aussi les terre aux paysans en les obligeant à travailler ensemble, la fabrique au propriétaires, et aussi les boutiques aux boulengers et épiciers, les logements à ceux qui ont travaillé tout leur vie pour en acheter un et aussi les appartements à ceux qui vivaient dans un lieu qu'un autre enviait. Les livres qu'on ne voulait pas qu'on puisse lire, les passaports qu'on ne puisse pas sortir. Et, même, les études après six ans d'avoir bossé et sacrifié votre temps libre, si vous avez osé déplaire à quelqu'un! On ne vous jetait dehors seulement de votre travail de chercheur, on vous interdissait aussi de travailler comme maneuvre à la chaine: puisque vous étiez devenu, sans vous rendre compte, "ennemi du peuple"! Encore vous étiez heureux d'avoir échappée avec la vie et la raison entière, tous que j'avais connu n'étaient pas aussi chanceuses comme moi.
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