Le 30 octobre, sans se rendre compte, vous "offensez" un royalité, plus que cela d'ailleurs dans un pays communiste, "démocratie populaire" où la femme du futur dophin peut se permettre n'importe quoi. Le 12 novembre, on vous décide d'aller lui demander "pardon" même si vous ne vous sentez pas coupable du tout. Vous attendez, plus d'une heure, caché derrière une grande affiche dans le corridor pour qu'elle passe par là et... c'était la dernière fois que je l'ai rencontré. D'après moi, une fois de trop. Mais, on m'avait dit, que si je veux continuer, terminer mes études, c'est obligatoire. Je dois le faire. Je l'ai fait.
J'ai obtenu mon papier de "stage" nécessaire avant passer mon examen de fin d'études. Je n'ai jamais fini ses études: mais je ne savais pas encore en novembre. On allait me le dire seulement trois jours avant la soutenance de mon diplome d'ingineur chimiste que je ne faisais plus partie de l'école polytechnique par correspondance que je faisais depuis six ans en donnant tous les examens réquis un après l'autre: je suis, sans la savoir, devenue "ennemi du peuple"! Peut-être, en attirant sur moi encore une fois le reflecteur de cette "dame" mais c'est possible que de tout façon les "dés était jetés".
J'attends avec impatience de passer cette période de ma vie et pouvoir plonger dans les quelques mois qui suivirent quand j'ai plongé, avec bonheur, la première fois, dans ma pérode de femme... mais il faut attendre, sur mon journal de jeunesse encore quelques mois, même si je n'ai pas écrit trop entre novembre et fin mars.
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