Mais... le ramadan et le hannouckah sont finis, il ne reste que Noël comme fête à venir, et bien sûr, bientôt la fin de l'année, ou le jour de l'an.
Dans ma jeunesse, c'était le grand "truc", le bal de l'année, le boum! quand nous pouvions être "entre nous" et pas en famille. Chacun apportait quelque chose et soi disant, il fallait manger et boir et danser et être heureux, quand les premières heures arrivaient, pour... continuer ainsi tout l'année!
Encore, fallait avoir des copains qui vous invite ou inviter des copains!
Je me souviens de deux "réveillons" comme nous l'appellions alors.
L'une, de mes 16 ans. Je voulais ABSOLUMENT la passer avec un garçon dont j'étais entiché depuis longtemps en secret. J'ai réussi à savoir où il passera le réveillon et je m'y suis pointé avec une torte fait par moi. "Puis-je venir, sans être invité?" Alina, m'a ouverte sa porte grande et sa coeur aussi et depuis, nous sommes restés les meilleurs amies. Le dit garçon était là avec quelqu'une d'autre et tous autre que nous en couple, ce qui nous a permis de bavarder sur la terasse chauffé jusque presque matin.
L'autre, c'était trente ans plus tard, j'avais dans les 46 ans et j'habitais près de Washington. C'est moi qui a invité, tous que je savais seuls. Nous avons eu très bon temps ensemble, j'avais au moins trente personnes à la maison! Nous avons dansé, mangé des plats de divers pays (apportés par chacun) et, pour une fois, plusieurs ont lutté pour moi, pour rester le plus tard et... m'aider à ranger soi disant.
Oui, c'était deux réveillons dont on s'en souvient longtemps!
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