J'ai fini!

Fini de prendre mes petits papiers un à un et ranger ou jeter. Ouf. Pas fini, d'après ce que je vois, réparer mon fauteuil (unique) mais j'y arriverais un jour.

J'ai rétrouvé tas des choses intéressantes dont je pourrais parler ici un à un! Entre autres, que moi aussi j'aime goûter des mots (même si pas les mêmes que Gelzy) et j'en ai retrouvé certains dont je pourrais vous parler.

Aux sujet des 5 choses qui..." voilà déjà une souvenir encore. J'étais devant un tournant de ma vie quand mon amie Stéphanie me dit: "et si tu n'avais que six mois à vivre, que voudrais-tu faire encore?"

Ma réponse, après réflexions était: "m'assurer que tout va bien avec mes enfants, mais si c'est le cas, écrire!"

Quelques mois après paru "Postscript à votre service" que j'ai écrit ensemble avec quelqu'un sachant bien écrire en français, mais rien sur le sujet qui me passionnait.

Environ une année ensuite parut "Le livre de Hypercard" avec le même, qui était devenu pour l'année 1988 le bestseller informatique de l'année en France. Pourquoi?

Je suis convaincue, qu'autre bien sûr que l'editeur l'a très bien introduit partout (mais il ne croyait pas autant dans son vente puisqu'il a fallu qu'il tire trois fois d'autres et d'autres exemplaires) c'était basé sur le principe "donner de confiance". C'était mon but principale en écrivant les deux livres, bien au-delà de tous les autres. Nous avons fait plusieurs versions(même si ce dernier était réalisé dans le temps record de quatre mois et vendu à 10 000 exemplaires, beaucoup pour l'époque) et à chaque fois révisé avec ceci comme but. Il n'y avait pas "ne faites pas ça" par exemple dedans. Au pire, "si vous faites... alors" et ainsi de suite.

Hypercard, à l'époque, m'a prouvé à moi que je peux programmer des choses sur le Macintosh et je voulais que tous sentent ce pouvoir dans leur main et qu'ils seront capable de diriger eux même. PostScript, avant, mais moins facile pourtant quoique je l'ai fait abordable, donnait la possibilité d'imprimer ce qu'on voulait sans acheter des programmes couteux.

Aujourd'hui, les blogs remplacent, non ne remplacent pas, mais donne une sensation de pouvoir faire analogue.