Je voulais vous parler aujourd'hui de mon promenade que j'avais fait hier, ennivrée que je n'ai plus mal à mon genoux gauche et décidé d'aller, d'abord à pieds jusque centre ville, puis en bus vers Saint Denis. Je fairai ce récit plus tard, ou une autre jours, vous pouvez trouver les images dans un set sur ma site flickr. Assez de dire que de nouveau, après des photos merveilleux et quelques minutes de bonheur, je suis revenue à peine tellement j'avais mal.
De nouveau retombé de mon nuage sur lequel je flottais auparavant. Vous pouvez voir aujourd'hui, quelques unes des photos fait mais aussi l'état dans laquelle je me trouvais après à côté.
En allant ce matin faire une visite matinale à cette site, dans mon groupe "Strangers no more" parlant de ces étrangers qui nous deviennent famillier, je découvre un mozaic avec des images des gens très différents. Des élèves d'un collegue. Et ensuite, un portrait qui me mène vers les photos par Carlos. Dans un banlieu très défavorisé de San Francisco, prises dans la classe de Nathalie qu'il vient de visiter de dont il nous parle (voir l'image qui m'a frappé d'un coup dans son site, juste avant ce note) et il donne le lien vers sa site flickr de Nathalie.
J'y trouve des images passionants, une adresse blog, de Nathalie (de Suisse arrivant en août seulement à San Francisco) et écrivant en français, et je suis prise malgré qu'elle écrit si compact sans pauses ou paragraphes. J'ai lu d'un coup tout ce qu'elle a écrit, en français.
"Aujourd’hui, Carlos, le photographe que j’ai rencontré à travers Flickr est venu de Monterey pour rencontrer ma classe"C'est une suisse français allant enseigner près de San Francisco, des gens démunis, dans un collègue. Déjà Carlos m'a frappé par son image de "Jonny". Et puis Nathalie aussi met non seulement des images mais en parle. Jonny, sans logement, avec des vêtements puant terriblement comme les décrit Nathalie, et qui après seulement quelques jours a réussi non seulement d'écrire des poèmes formidables mais il a réussi aussi à les introduire dans l'ordinateur et les imprimer.
Mais je ne dirai davantage, allez voir les images, lire les recits.
On peut aller de Suisse à l'autre bout de monde pour enseigner aux gens démunis qui ont la volonté eux, elles, de faire de progrès, d'apprendre. Johnny est peut être sans logis, mais se lève à cinq heure pour commencer sa journée et à huit pile se trouve déjà au collège pour apprendre. Et il n'est pas jeune non plus. On peut avoir la volonté d'en sortir à n'importe quelle âge.
Il y a des choses terribles qui se passent, tant chez nous, en France, qu'aux états unis. Mais il y a des gens dévoués pour aider partout dans le monde et il y a des gens déterminés, prêt à s'en sortir à n'importe quelle âge. De horrible et de merveilleux partout.
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