J'ai attendu que mon ami, qui avait besoin d'un dépanage sur son pc, vienne m'ouvrir. A côté de la maison où ils habitent, il y a un pizzeria.
Devant la pizzeria, j'ai apperçu ce jeune, probablement "magrébain" ultra sympa et bavardant avec beaucoup d'amitié avec les gens, en partie italiennes d'origine. Puis, sa petite amie, belle jeune fille est arrivé et ils se sont embrassé brièvement, ensuite continué a discuter.
Je trouve que ces photos montrent qu'il ne faut pas oublier: quoi que dit la presse ou montre le TV, il y a davantage des jeunes qui travaillent, aiment, sont sympas que d'autres.
Il ne faut jamais perdre de vue la vérité confondre quelques jeunes entrainés par caids avec tous les autres peu, qui ne croient en rien, ne veulent rien construire de nouveau, seulement détruire. Ils ne sont pas tant que ça, heureusement. Et de ceux, courageux qui cherchent de travail, trouvent au moins pour temps en temps, vont de l'avant, on parle trop peu!
Cette photo pris à la va vite, montre un peu en ce que je crois, je pris trop en hâte, après les avoir entendu parler pendant quelques minutes, puisque je sentais aussitôt, qu'il représente "l'entente, amitié, gens de Paris, de France", pleines de choses dans laquelle je crois. La première je l'ai pris plus lentement, puisqu'il avait observé l'appareil pointé vers lui et je lui ai demandé permission à prendre ses rollers ce qu'il a accordé avec beaucoup de grâce.
Je n'ai pas pu parler d'avantage, on m'a ouverte la porte pour ranger ma voiture, mais je suis partie le coeur moins lourd et avec espoir.
Il faut conserver cet espoir, Julie, mais aussi ne pas oublier que près de 10% de la population de la France ne peut te lire car ils sont analphabétes et que la majorité d'entre eux sont justement ceux qui sont au chômage. Sans compter qu'ils en souffrent dans leur chair. La prochaine fois que tu te proméneras, compte 9 personnes que tu croises et dit toi que la dixième a besoin de ton aide. Je suis désolé d'être aussi rabat joie en ce moment, mais c'est dur de ne pas arriver à les aider tous, devoir faire un choix et trouver des justifications à ses propres yeux, pourquoi lui et pas un autre, ca me paralyse un peu.
RépondreSupprimerC'est toujours le problème des généralisations, on met tout le monde dans le même sac sans aucune distinction; on crée donc ainsi une grosse injustice. J'habite dans une "zone à risque" et, à part une voiture hier soir, rien n'est encore parvenu à mes oreilles des affres de quelque rébellion que ce soit.
RépondreSupprimerEh oui, on parle de ceux qui bougent et pas du calme des autres. Ca entraîne une image qui leur fait du tort. A la communauté magrébine comme aux jeunes de banlieue HLM, quelque soient leurs origines...
RépondreSupprimerCourage pour ton genou. Ca fait souffrir et ça fatigue.
Je t'embrasse