En suitant les liens de mes commentaires, d'abord je tombe sur un note tendre de François (et fier de l'être), 'Liberté' sur une sortie avec son fils qui l'a pris avec lui au cinéma. Oui, c'est bon de rire et pleurer ensemble, oui, c'est dur de s'affranchir d'un enfant grandi. Et même s'il faut les laisser partir, on ne le fait jamais tout à fait. Mais avec le temps, beaucoup de temps, les relations changent un peu de nature.
Ensuite, quand j'ai presque fini de lire la note, je découvre un allusion à ce blog. Cela sert aussi à cela, les blogs, des échos entre nous. Merci François d'avoir partagé avec nous ces lignes nostalgiques et si véridiques, si profondes!
Puis, je regards qui est-ce cette autre Julie? Bien sûr, c'est Giulia, avec qui nous avons fait déja des photoballades par deux fois. Elle a des photos magnifiques toujours, mais cette fois-ci, cette détail de rue de province en ombre et au soleil, m'a enchantée plus que les autres. M'as fait rêver. Me dit encore et de nouveau qu'on peut trouver de beau et intéressant dans tellement des choses! Il suffit seulement de regarder. Et, bien sûr, pour le montrer aux autres, avoir l'art de Julie (l'autre).
J'ai fait ensuite un détour chez le Vrai Parisien, dont je ne sais pas toujours le prénom, qui dans une nouvelle entrée délicieuse et gourmande, me relate sur de délicieuse cervelas avec pomme de terre, miam, à Chatelroux, et ensuite, termine avec l'image des charlottes à poire,consomé déjà à Paris. Cette image de crème chantilly, ah! Hélas, je n'ai plus son âge et depuis belle lurette mon corps montre que j'aime trop manger. Mais cela n'empêche pas mon salive couler à la vue de tous ses plat délicieux tout en lisant avec délice le note de notre tallentueux Parisien, revenu donc hier de province.
Que des joie, aujourd'hui, et il n'est pas encore que cinq heures de matin!
Merci Julie, c'est un tournant de notre vie. Une tâche qui s'achéve et on se rend compte que l'on aimait porter ce fardeau après l'avoir déposé.
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