L'année de bœuf a commencé il y a quelques jours, en fait, mais c'était aujourd'hui la fête centre Londres, entre Trafalgar Square, place Leichster (image ci-contre) et Chinatown.
Je suis allée assez tôt, pour voir la préparation de la parade promis, qui à cause de froid probablement, n'a pas eu lieu.
A Trafalgar Square on préparait des danses pour l'après-midi, je suis entrée finalement voir un expo à la Gallérie des Portraits: intéressante!
En sortant, j'ai remonté de nouveau vers le Chinatown, pas très oin en fait: là il y avait enfin du monde! Plusieurs rues pleines des lanternes ou ballons rouges et au-dessous pleine de monde se promenant. Achetant des bricoles chinois, de la nourriture chinois, mais surtout se photographiant l'un l'autre.
Vers une heure, il a commencé à neiger et je me suis réfugié dans un restaurant, bien sûr, pour manger à la chinois, poulet grillé au haricots noirs, du thé. Jusque je suis sortie, le soleil était revenu, momentanément, mais j'étais déjà assez fatiguée.
Je suis retournée vers deux heures avec trois cent images, dont quelques une prise dans le train ou métro, d'autre dans l'expo, le reste sur la rue. Comme d'habitude, j'ai du mal a choisir, j'ai n'ai mis pour le moment qu'une vingtaine d'images, je regarderai demain les autres avec plus d'attention.
Ce soir, tout est couverte par le neige par ici, j'aurais mal à circuler demain et c'est la première fois que je verrai la Tamise sous la neige, allant vers ma réunion habituelle de lundi soir.
Encore une fois, j'ai commencé à parler dans le train, commenté un papier parlant de Paris. "Non, il ne s'agit pas de la ville mais d'une chanteuse qui ne vaut pas la peine," me dit-il, Paris! j'aime, même si nous n'avons pas été assez longtemps.
Ensuite, son épouse me dit "je suis finnoise mais" Alors, je parle des langues, hongrois et finnois et de ma visite en Finlande, et finalement, elle me parle d'Agnès qu'elle a rencontré à l'Université du 3e âge: là où je voulais aller. Elle me dit où et quand je peux les retrouver!
La preuve, que cela vaut la peine de parler et se raconter aux étrangers dans le train, au lieu de s'enfuir dans son journal ou dans soi même tout simplement.
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