jeudi 15 janvier 2009

Hier, à la chasse du brouillard

Peut-être, la première chose a laquelle on pense en entendant Paris est encore "Can-can" et la première pour Londres "brouillard".

Les deux, font partie du passé, maintenant.

On peut trouver des filles dansant du "French cancan" encore en France, même à Argenteuil j'en ai trouvé le 1 mai dans la pluie, mais c'est l'exception, pas la norme. La même façon, Londres, en changeant la façon de chauffer les maisons et fermant pas mal de ses usines anciennes s'est débarrassé du brouillard qui encore, après la deuxième guerre mondiale a tué des gens de temps en temps.

Depuis que j'habite ici, c'était peut être seulement la troisième journée de brouillard, et hier, ce n'était pas très épaisse non plus. Presque pas assez à mon goût!

Toute fois, je n'ai pas résisté. J'ai foncée avec mon petit appareil dehors, vers la pleine ensuite le parc de Greenwich, à la découverte et étude de comment mon appareil va attraper, prendre, déformer peut être ce que je vois, me le montrer différemment ou de la même façon.

Je me suis promenée et en même temps prise environ cent images. Entre elles, tout ne sont pas des arbres en brouillard, même si c'est le sujet principal.

Dans le parc, j'ai rencontré un petit chien habillé en pull, et sa maîtresse, puis une écureuil sur l'arbre en train de manger, tout à fait comme dans les livres des enfances.
Study of London fog in nature-75d
En revenant, le bruillard commençait à se dissiper lentement, heureusement que j'étais encore sortie à temps. Le soleil est revenu: et dire qu'avant on ne prenait des photos qu'en beau temps!

Chaque manifestation de la nature nous offre ses propres merveilles. Un copain photographe m'a dit dimanche qu'il préfère sortir dans la pluie, étant bien sûr aussi bien équipé pour que son appareil ne prend pas de l'eau.

Les autres premières vingt images peut être visionnés en grand format: ICI. J'ai décidé de ne pas le mettre dans le blog directement, surtout pour ceux qui ont le lien assez lente, mais aussi parce que ainsi, chacun peut choisir la taille désirée.

Je n'ai pas encore étudié toutes les images prises dans le brouillard et elle ne sont que 'nature' et pas entre les maisons, mais j'aurais quoi faire encore pendant des heures et heures avec les images prises. Réfléchir aussi. Aux avantages et désavantages de ne pas voir loin avant nous. Dans l'espace comme dans le temps.

3 commentaires:

  1. Un petit brouillard comme ça c'est pas pire, mais quand on ne voit plus rien j'ai l'impression d'étouffer.

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  2. Bonsoir, un salut fraternel de la Drôme, Pascal.

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  3. je crois qu'avec le regard que tu as maintenant tu peux tout transformer. Le brouillard en vision heureuse, la monotonie en exceptionnel ...

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