A New York, voir la photo ci-join de -robertjoseph- pris hier, pleine de neige encore, à Londres les fleurs ayant sorti leur nez résistent encore, mais pour la nuit ils ont annoncé deux degrés et en Ecosse il neigera de nouveau.
Les beaux temps sont passés trop vite!
Je ne suis que depuis quelques mois en Angleterre, et déjà je parle tant du temps qu'il fait? Ce n'est pas parce que je n'ai rien d'autre à dire!
J'aspire un peu plus de chaleur, ces jours-ci, et non seulement dehors mais aussi aux contacts humaines. Tellement des choses à faire, tellement des gens à voir, mais je n'ai pas trouvé encore ce que je cherchais, une vraie cercle des copains, une seule ou un seul être qui s'intéresse vraiment à ce qui m'arrive ou ce que je ressens.
On ne peut pas commander la chaleur arriver, même le printemps qui n'arrive que lentement. Toute fois, on sait que cela arrivera. Le reste aussi peut arriver un jour.
Ce qui m'était arrivé à 70 ans, c'était l'exception, me disant aussi que j'ai besoin de davantage de vrai contact humaine. Depuis, j'attends. Comme bientôt, j'aurais 75, peut être que j'attends en veine, mais j'attends néanmoins. Je suis une éternelle optimiste.
Une vraie amie, pas loin de moi, un copain avec qui on s'entend, quelque chose va sortir sans que je force le sort, sans savoir d'avance. En attendant, je regards les autres se tenir le main, rire ensemble, la neige tomber sur New York, le soleil briller à Londres, ou comme ce matin, les gouttes de pluie sur mes fenêtres.
C'est vrai qu'on parle beaucoup de température, mais l'hiver est si long et si froid.
RépondreSupprimerIl paraît que le bonheur ne dépend que de soi, toi en éternelle optimiste, tu as déjà un bon atout entre les mains. Bonne soirée Julie.
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