Je ne sais plus si j'ai raconté ici ou dans mon blog anglais: j'ai découverte que "Judith Michael" n'est pas un romancier: c'est un couple des écrivains: Judith et Michael de prénom. Ils ont combiné leur noms pour faire un pseudonyme, et en plus, ils ont commencé écrire ensemble sous ce nom, des bestsellers! seulement depuis 15 ans. Elle avait déjà 60 ans, puisque née la même année que moi.
Après avoir lu le premier roman duquel j'ai déjà écrit, j'ai commandé deux autres par Amazon. Hier, j'ai terminé le deuxième.
Un certain sourire, rencontre entre un chinois de 56 ans et une américaine de 47, très importante pour les deux, même si à la fin ils ne restent pas ensemble, ne pouvant décider ni elle ni lui de quitter les lieux habituels, le pays où ils ont vécu tout leur vie.
Au moins, on aurait pu laisser planer la doute d'une rencontre prochaine...
Je n'étais pas très heureuse hier de la fin!
Ce matin, je me suis réveillé me disant: quelle chance j'ai! Je n'ai pas été jamais tout à fait d'un pays, d'un group, d'un religion. Un peu de tout, mais jamais tout à fait appartenant. J'ai souvent regretté, mais ce matin je me suis rendu compte que c'était justement cela qui m'a permis à chaque fois me sentir bien partout où la vie m'a propulsé!
Oui, finalement, tout a plusieurs facettes et raisons. Je n'ai pas eu de problèmes graves à me sentir chez moi, partout où la vie mouvementé m'a emmené, de force ou de gré.
Sûrement que ça a facilité votre adaptation un peu partout, moi je ne pourrais pas vivre loin de chez-moi, je m'ennuirais trop.
RépondreSupprimerpartout chez soi, c-à-d en soi, voilà une conquête qu'il n'est pas facile de s'accorder ... ce petit bonheur aigre-doux : ça y est, j'y suis ... presque !
RépondreSupprimer