Le printemps commence à pointer son nez, l'hiver s'éloigne au moins à Londres, mais l'automne n'est pas tout à fait fini.
Il restent encore des feuilles d'automne, entiers, comme vous les voyez, à mi chemin ici de trottoir et l'herbe, pas loin de l'entrée d'un immeuble.
J'ai pris cette image qui me parle, me dit pleine des choses.
Je voulais aussi parler de ces sociétés "de Bienfaisance" qui utilisent vos images sans tenir compte des droits que vous avez "pour le bien de la cause". Ce matin, j'ai besoin de "dire".
Je donne le droit à tous, qui ne le vendent pas à les utiliser, mais à condition de l'attribuer à l'auteur et mettre un lien, si c'est sur le Web vers l'image ou ma site d'images.
Comme cette image, montrant le printemps pointant le nez.
D'abord, la Sarah en question, m'avait répondu que l'attribution était en bas du page.
J'y suis allée, elle n'y était pas. Par contre, sous l'image, dans une paragraphe, il y avait un lien vers une autre organisation. Donc, il savaient comment mettre des liens!
Comme je demandais le lendemain, qu'on respecte mes droits tels écrit dans le Copyright de Creative Commons utilisé sur la site, l'option choisi par moi pour toutes les images (utilisation permis pour organisations ou personnes pour les buts non commerciaux avec Attribution (mon nom) et lien vers mes images ou l'image en question, finalement, elle m'écrit ce matin: "on a supprimé l'image".
Bien sûr, il s'agit d'une page publiée il y a quelques jours et ce n'a plus grande importance.
Sauf pour moi: je n'aime pas les gens arrogantes, se croyant au-dessus des lois, au dessus des permissions, se justifiant de leur importance ou du fait qu'ils travaillent pour "la bien de l'humanité", bien des "masses, des autres."
Prendre des images que nous mettons, avec gentillesse à disposition heurte déjà ceux qui vivaient de la vente des images "stock" sur des sujet spécifiques.
L'autre jour, une agence artistique voulait utiliser mon image prise près de la parlement à Paris, pour faire un diaporama montré par Sony partout dans le monde! Au moins, ils étaient conscients qu'ils ne peuvent le vendre, sans me payer quelque chose. Même eux, pourtant je suis sûre qu'ils étaient bien payés pour la faire, discutaient sur le prix, "puisque nous prenons deux ou trois" - si je m'en souviens bien, ensuite, ils ont dû trouver quelqu'un qui ne demandait pas, comme moi, l'attribution.
Oui, vous pouvez blogguer mes images, vous pouvez imprimer pour vous, est-ce que c'est un demande pas raisonnable qu'on mentionne d'où l'image arrive et de me demander, éventuellement, la permission - surtout pour que j'ai le plaisir de savoir qu'elle vous a plu?
L'image qu'on a utilisé, dont on a abusé sur une site "non profit organisation" est une maison croulant, un gitan devant, en Roumanie. Ils ont aussi des châteaux, des magnifiques nouvelles demeures, mais cette maison me paraissait pittoresque. Et le propriétaire, ne travaillait pas, ni fait la moindre effort pour le retaper un peu. On a utilisé déjà cette image pour dire tant des choses différentes! L'interpréter à chaque fois, hors contexte en plus!
Non, décidément, je n'aime pas les abus! Ni la suffisance. J'espère que Sarah (du PreventionWeb product of the United Nations, a humanitarian, non-profit organization). a effectivement éliminé ma photo de la site en question, mais je ne prendrais pas le temps aller la vérifier. Qui sait, peut être, elle va mieux réfléchir à abuser la prochaine fois, mais je ne suis pas tout à fait convaincu.
Souvent, quand on croit "bien faire" ou "pour la bien des autres" ou le bien de "l'humanité", des travailleurs ou des sociétaires, des... etc. on se croit tout permis. Hélas, je l'ai vécu trop souvent.
Je résiste encore, un peu, comme cette feuille d'automne entière, juste un petit trou dans sa texture. Autant que possible, je ne me laisse pas encore marcher dessus.
Je vous admire beaucoup, madame!!!!
RépondreSupprimerje le fais depuis un temps, en silence...
Je voudrais etrÊ comme vous a votre age!!!
Millión de baiseurs!
(Pardonez-moi mon français "infecte"...je l'etudiais , et mal, il faut beaucop d'aneés)
je me suis souvent laissé marcher dessus mais par lâcheté, et la constance, quand elle s'accompagne de générosité comme chez toi, l'exigence de correction dans les rapports sont le dernier rempart sur lequel nous devons tenir bon, face au délitement cruel du monde.
RépondreSupprimerPour nous et surtout pour les autres.
Ceci dit ici les premières asperges, les pommes de terre de fin d'hiver et plein de feuilles mortes dans ma cour.
Nous ne sommes pas si loin
tu as raison,julie,il faut se faire respecter
RépondreSupprimerEst-ce que vous avez photographié cela? ou êtes-vous toujours en mauvaise forme?
RépondreSupprimerj'adore découvrir des copains ou copines me lisant depuis un temps, et, enfin se manifester: merci!
RépondreSupprimerça va mieux! merci