Goucestershire, où je n'aurais pas tombé probablement jamais, avec ses colines et vallées, si une copine de blog ne m'aurait pas invité chez elle, a non seulement des maisons avec une construction très à l'ancienne, mais aussi des murets séparant entourant les jardins.
Mes hôtes veulent reconstruire les leurs, ils sont allées faire de travail volontaire pour un weekend pour reconstruire des parties des murs et en même temps apprendre d'un spécialiste comment on le fait, j'ai eu donc le droit à explications détaillés, comment il faut le faire pour que cela dure des siècles non seulement quelques années.
Ne pas ajouter du ciment, qui va laisser plus tard un trou quand les pierres s'effacent. Faire en fait deux rangés, et mettre à l'intérieur quelques pierres pour les réunir, ainsi de suite.
Bâtir pour durer. Quelle fantastique leçon! Juste une de celles appris le weekend dernière.
Il y a différent façons de la faire, mais ici les fleurs ont attiré plus mon attention que les morceaux de pierre. Combinant ici, ce qui dure et ce qui est passager.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
mardi 31 mars 2009
lundi 30 mars 2009
A 85 ans, elle travail avec sourire
Dans un petite boutique pleine des laines à tricoter, quelques autres choses aussi, mais toujours là, continuant à les offrir dans la campagne anglais.
J'ai passé seulement quelques minutes, peut être une heure à Stroud, Gloucestershire, mais nous sommes entrées en deux boutiques semblables, la première "moderne" la deuxième à l'ancienne.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le marché, petite marché merveilleuse et les vendeurs aussi. Et puis, il y avait aussi tellement des choses à acheter! Ceramique que j'adore, du bon fromage, cidre et poissons, et si je n'ai pas regretté à tout prendre avec moi, c'était à cause de ces images, qui resteront.
Et tous les impressions!
Je suis revenue remplie d'elles. Enrichie, et une fois un peu reposée, pleine de nouvelle élans et idées aussi. J'ai eu une merveilleuse temps, une acceuil très chaleureuse.
Bien sûr, j'ai décidé de continuer à me promener dans la compagne anglais!
J'ai passé seulement quelques minutes, peut être une heure à Stroud, Gloucestershire, mais nous sommes entrées en deux boutiques semblables, la première "moderne" la deuxième à l'ancienne.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le marché, petite marché merveilleuse et les vendeurs aussi. Et puis, il y avait aussi tellement des choses à acheter! Ceramique que j'adore, du bon fromage, cidre et poissons, et si je n'ai pas regretté à tout prendre avec moi, c'était à cause de ces images, qui resteront.
Et tous les impressions!
Je suis revenue remplie d'elles. Enrichie, et une fois un peu reposée, pleine de nouvelle élans et idées aussi. J'ai eu une merveilleuse temps, une acceuil très chaleureuse.
Bien sûr, j'ai décidé de continuer à me promener dans la compagne anglais!
dimanche 29 mars 2009
Images de vendredi
La compagne anglaise, à 50 miles peut être de la côte ouest, mais encore tout à fait "l'intérieur" près d'où j'étais, devenue enfin vallonnée.
Une theière en "robe de chambre" pour tenir encore plus chaud le thé dans une minuscule boutique de village avec coin livres et quelques tables, mais aussi une magnifique vue sur la vallée.
Une theière en "robe de chambre" pour tenir encore plus chaud le thé dans une minuscule boutique de village avec coin livres et quelques tables, mais aussi une magnifique vue sur la vallée.
samedi 28 mars 2009
Juste quelques mots rapides
Partie hier matin, je suis revenue cette après-midi.
Merveilleuse voyage!
En une heure et demi en train (et autant pour arriver jusque la station), on arrive de Londres à presque la côte Ouest! Dans le pays des moutons, montagneux, merveilleux, j'ai trouvé deux êtres, un couple jeune amoureux, marié depuis moins d'une année à la compagne;
Nous nous sommes promenés, ils m'ont expliqué pleine des choses, et nous avons énormément parlés, c'était vraiment super!
En revenant, j'ai eu la surprise de trouver ce petit mouton dans mon sac, et encore plus étonnée: fabriqué non pas en Angleterre mais en France!
Je suis tellement remplie des impressions diverse, que je ne vais pas pourvoir les raconter ce soir: il est 11 heures déjà, mais demain, je vous le promets!
Les maisons et murs des environs, sont la plupart comme cela.
Merveilleuse voyage!
En une heure et demi en train (et autant pour arriver jusque la station), on arrive de Londres à presque la côte Ouest! Dans le pays des moutons, montagneux, merveilleux, j'ai trouvé deux êtres, un couple jeune amoureux, marié depuis moins d'une année à la compagne;
Nous nous sommes promenés, ils m'ont expliqué pleine des choses, et nous avons énormément parlés, c'était vraiment super!
En revenant, j'ai eu la surprise de trouver ce petit mouton dans mon sac, et encore plus étonnée: fabriqué non pas en Angleterre mais en France!
Je suis tellement remplie des impressions diverse, que je ne vais pas pourvoir les raconter ce soir: il est 11 heures déjà, mais demain, je vous le promets!
Les maisons et murs des environs, sont la plupart comme cela.
vendredi 27 mars 2009
A bientôt
Je suis allée a la gare Paddington pour m'acheter des billets de train: je pars vendredi matin (bientôt) à la compagne, dans une village, invitée par une jeune femme écrivain, photographe, étudiante - j'y reviendrai samedi soir.
Très fatiguée, sans raison apparente, peut être parce qu'il pleut depuis deux jours et il fait nettement plus froid de nouveau.
Le printemps n'a pas duré longtemps.
Le printemps reviendra.
Dans le métro, un musicien clown, a la gare des jeunes sympa qui on posé ensemble avec joie. Au plus tard dimanche, je serais présente de nouveau. J'avais pleines des idées, mais la fatique me fait fermer plus tôt la note d'aujourd'hui.
A côté, mes dernières images parlent à ma place, je crois.
Pour le moment, ma préféré de hier est cela:
Très fatiguée, sans raison apparente, peut être parce qu'il pleut depuis deux jours et il fait nettement plus froid de nouveau.
Le printemps n'a pas duré longtemps.
Le printemps reviendra.
Dans le métro, un musicien clown, a la gare des jeunes sympa qui on posé ensemble avec joie. Au plus tard dimanche, je serais présente de nouveau. J'avais pleines des idées, mais la fatique me fait fermer plus tôt la note d'aujourd'hui.
A côté, mes dernières images parlent à ma place, je crois.
Pour le moment, ma préféré de hier est cela:
jeudi 26 mars 2009
Jour des mères
Dimanche en Angleterre était la journée des mères et mon fils (ensemble avec ma petite fille) sont passés m'apporter un bouquet.
Voilà la première jour, différentes fleurs ensemble, 5 en fait, mais la rose ne s'était jamais ouverte, elle s'est fanée malgré mes soins. Par contre, avec les jours, la première lilly s'est ouverte, et bientôt il sera le temps du deuxième.
Comme je viens d'apprendre l'importance de mettre de l'espace entre différents objets dans la photo, arbres ou vaches dans le paysage par exemple, j'ai tâché à faire la même dans un macro d'une seule fleur, et effectivement, c'est plus intéressante ainsi.
J'ai aussi pris une image avec les gens éloignées les uns des autres à laquelle je n'aurais pas pensé avant.
Qui aurait pensé que la même methode de séparation peut s'appliquer à des choses si différentes!
Voilà la première jour, différentes fleurs ensemble, 5 en fait, mais la rose ne s'était jamais ouverte, elle s'est fanée malgré mes soins. Par contre, avec les jours, la première lilly s'est ouverte, et bientôt il sera le temps du deuxième.
Comme je viens d'apprendre l'importance de mettre de l'espace entre différents objets dans la photo, arbres ou vaches dans le paysage par exemple, j'ai tâché à faire la même dans un macro d'une seule fleur, et effectivement, c'est plus intéressante ainsi.
J'ai aussi pris une image avec les gens éloignées les uns des autres à laquelle je n'aurais pas pensé avant.
Qui aurait pensé que la même methode de séparation peut s'appliquer à des choses si différentes!
mercredi 25 mars 2009
Bientôt en Retroblog
pas encore aujourd'hui, il paraîtra plus tard, en quelques jours,
mais je viens de recopier de mon journal d'entrées autour de 30 septembre, juste avant et après, c'était la date de mon première promenade "documentaire" à Paris, dans le 18e arrondissement, choisi par notre prof Terry (dont je parle au débuts de ce blog) et, par hasard, mon ancien quartier.
Aussitôt, j'ai ressenti quelque chose de très spéciale, en interagissant avec les gens, entrant dans les boutiques, demandant le droit à les prendre en travaillant. Cette passion, ce plaisir, ne m'a jamais quitté, mais je n'étais pas aussi consciente que depuis je l'ai lu noir sur blanc écrite le 3 octobre 2004.
En fait, quand j'ai aperçu l'homme au barbe pointu, travaillant dans la vitrine de sa boutique de reliure, j'ai d'abord demandé de dehors, si je peux... et c'était lui qui m'a appelé à entrer. Ensuite, il m'a laissé prendre autant des images que je voulais. En fait, la meilleure j'ai pris quand je suis revenue avec les photos de la première fois lui offrir, et lui et de sa femme aussi, travaillant, juste avant que je repars.
Que des belles souvenirs!
Quelqu'un disait qu'un paysage lui procure soudain un clic et une plaisir spéciale, c'est ainsi pour moi avec les gens. Je le ressens dans tout mon corps, l'envie de les photographier, de prendre avec moi cette interaction ou cette visage, ou ces vêtements, ces gestes ou chapeaux.
Je peux, et souvent donne des raisons, mais cela arrive longtemps avant la raison consciente.
Quand je réagis trop lentement, ou hésite à demander, je reste avec des regrets. Quelque chose de perdu, une occasion loupée. Des fois des couples ou des gens dont je suis sûre de refus et demande quand même disent "avec plaisir": bonne leçon pour moi pour la prochaine fois.
J'aime ces gens, ou j'aime quelque chose en eux, et même sans aucune parole cela doit se sentir, de l'un à l'autre. C'est cette approbation de l'autre, l'acceptation et admiration qui est ce que j'offre moi aux gens photographiés, je crois que c'est à cause de cela que de plus en plus me disent "merci" à la fin. Pas pour la photographie, mais pour le sentiment avec lequel ils repartent, restent après notre interaction.
Et moi aussi, des fois je ressente une telle compréhension de leur regard!
mais je viens de recopier de mon journal d'entrées autour de 30 septembre, juste avant et après, c'était la date de mon première promenade "documentaire" à Paris, dans le 18e arrondissement, choisi par notre prof Terry (dont je parle au débuts de ce blog) et, par hasard, mon ancien quartier.
Aussitôt, j'ai ressenti quelque chose de très spéciale, en interagissant avec les gens, entrant dans les boutiques, demandant le droit à les prendre en travaillant. Cette passion, ce plaisir, ne m'a jamais quitté, mais je n'étais pas aussi consciente que depuis je l'ai lu noir sur blanc écrite le 3 octobre 2004.
En fait, quand j'ai aperçu l'homme au barbe pointu, travaillant dans la vitrine de sa boutique de reliure, j'ai d'abord demandé de dehors, si je peux... et c'était lui qui m'a appelé à entrer. Ensuite, il m'a laissé prendre autant des images que je voulais. En fait, la meilleure j'ai pris quand je suis revenue avec les photos de la première fois lui offrir, et lui et de sa femme aussi, travaillant, juste avant que je repars.
Que des belles souvenirs!
Quelqu'un disait qu'un paysage lui procure soudain un clic et une plaisir spéciale, c'est ainsi pour moi avec les gens. Je le ressens dans tout mon corps, l'envie de les photographier, de prendre avec moi cette interaction ou cette visage, ou ces vêtements, ces gestes ou chapeaux.
Je peux, et souvent donne des raisons, mais cela arrive longtemps avant la raison consciente.
Quand je réagis trop lentement, ou hésite à demander, je reste avec des regrets. Quelque chose de perdu, une occasion loupée. Des fois des couples ou des gens dont je suis sûre de refus et demande quand même disent "avec plaisir": bonne leçon pour moi pour la prochaine fois.
J'aime ces gens, ou j'aime quelque chose en eux, et même sans aucune parole cela doit se sentir, de l'un à l'autre. C'est cette approbation de l'autre, l'acceptation et admiration qui est ce que j'offre moi aux gens photographiés, je crois que c'est à cause de cela que de plus en plus me disent "merci" à la fin. Pas pour la photographie, mais pour le sentiment avec lequel ils repartent, restent après notre interaction.
Et moi aussi, des fois je ressente une telle compréhension de leur regard!
mardi 24 mars 2009
Expo derrière expo
Sortie de l'expo de panorama, en me dirigeant vers le Tate Moderne et le pont surtout que je voulais prendre en photo de ce côté sud de la Tamise, je tombe sur une immeuble délabrée, ou au moins en mauvais état, très pittoresque. Il y avait une expo moderne "Interactive" à l'intérieur.
J'étais enchantée, par le mauvais état des murs et portes, puisqu'en soi ils me donnaient aussi des images intéressantes.
Voilà un exemple, juste le cage de l'escalier avec une porte et une chaise, tel que je les ai trouvé au première étage.
Désolation.
Un peu comme l'homme dont la tête crie devant l'immeuble. Ce n'est qu'en revenant à la maison que je me suis rendu compte: c'était la dernière journée d'expo. Mais peut être, une autre fois on fera autre chose dans cette immeuble, belle par sa tristesse et négligence au moins apparente.
En me rapprochant de l'entrée, j'ai hésité, prendre seulement ce tête? Non, je l'ai finalement prise avec la porte (moderne) ouverte: ouverte comme la bouche.
J'étais fasciné davantage que par ce que j'ai trouvé à l'expo de Art Moderne à Tate, mais bien sûr je n'ai pas tout regardé là bas. Souvent nous avons tous envie de hurler comme le fait l'homme, tête dans ce statue moderne, n'est pas?
Aujourd'hui, j'aurais la tâche de "évaluer" dire ce qui était bon (et un peut comment on peut améliorer) dans les paroles courtes, dites sur le moment, de certains d'autres "ToastMasters" de Greenwich. Cela aurait été plus facile de provoquer les paroles que de dire ce que j'en pense du résultat.
Enfin, pas tout ce que je pense.
Dans ces cas, il faut surtout donner courage aux autres de s'exprimer, tout en essayant à dire, avec beaucoup de tact comment ils peuvent s'améliorer. Le tact n'était jamais ma force. J'espère que je réussirai à ne pas décourager personne et à trouver du bon dans les paroles de chacun, ce soir.
D'ici là des choses à faire, que je remet d'un jour à l'autre, des fois peut être c'est important de ce donner du temps?
J'étais enchantée, par le mauvais état des murs et portes, puisqu'en soi ils me donnaient aussi des images intéressantes.
Voilà un exemple, juste le cage de l'escalier avec une porte et une chaise, tel que je les ai trouvé au première étage.
Un peu comme l'homme dont la tête crie devant l'immeuble. Ce n'est qu'en revenant à la maison que je me suis rendu compte: c'était la dernière journée d'expo. Mais peut être, une autre fois on fera autre chose dans cette immeuble, belle par sa tristesse et négligence au moins apparente.
En me rapprochant de l'entrée, j'ai hésité, prendre seulement ce tête? Non, je l'ai finalement prise avec la porte (moderne) ouverte: ouverte comme la bouche.
J'étais fasciné davantage que par ce que j'ai trouvé à l'expo de Art Moderne à Tate, mais bien sûr je n'ai pas tout regardé là bas. Souvent nous avons tous envie de hurler comme le fait l'homme, tête dans ce statue moderne, n'est pas?
Aujourd'hui, j'aurais la tâche de "évaluer" dire ce qui était bon (et un peut comment on peut améliorer) dans les paroles courtes, dites sur le moment, de certains d'autres "ToastMasters" de Greenwich. Cela aurait été plus facile de provoquer les paroles que de dire ce que j'en pense du résultat.
Enfin, pas tout ce que je pense.
Dans ces cas, il faut surtout donner courage aux autres de s'exprimer, tout en essayant à dire, avec beaucoup de tact comment ils peuvent s'améliorer. Le tact n'était jamais ma force. J'espère que je réussirai à ne pas décourager personne et à trouver du bon dans les paroles de chacun, ce soir.
D'ici là des choses à faire, que je remet d'un jour à l'autre, des fois peut être c'est important de ce donner du temps?
lundi 23 mars 2009
Notting Hill samedi, Tate dimanche
Avez- vous vu le film Notting Hill Gate? Il a changé la façon que ce quartier, négligé avant et élégante ces jours, est devenu. Mais des couples heureux, en attent de bébé à venir, on peut en trouver encore!
Quand j'ai pris cette image, le film qui se termine presque ainsi, n'était pas dans ma tête, mais qui sait, peut être l'inconscient travail aussi.
J'étais surtout impressionné par la très courte jupe de sa robe, le bonheur avec lequel elle tenait la main sur sa ventre pour ne pas perdre un seul des coup des pieds du futur bébé, mais aussi l'amour de son mari: souvent il mettait la main même sur sa cuisse pour montrer son amour, sa tendresse, puis de nouveau sur le ventre comme dans cette image ci-dessus.
Après cette rencontre, et aussi avec deux jeunes photographes avec lesquels j'étais au même table pour déjeuner, l'après-midi, une très intéressante conférence par un photographe et très bonne conférencier, Charlie Waite sur photographie des paysages, sa spécialité.
Il a parlé d'abord pendant 45 minutes qui semblaient courtes de la relation entre nous et notre sujet, l'approche, beaucoup plus important que les détails techniques et second du clic. Ensuite, il nous a montré des images et commenté des difficultés et ce qu'il aime ou pas sur elles.
Hier, je suis allée visiter son exposition aux Tours OXO, près de Tate Modern musée pour acheter son livre "Comment produite (pas prendre) des images de paysage". Puis, visité un autre exposition, dans un immeuble délabré derrière, fantastique atmosphère, et a la fin un peu du Tate moderne, tout à côté.
J'ai aussi prise quelques paysages urbaines, inspiré par tout ce qu'il nous a expliqué, et avec nettement plus attention au nuages et synchronies des lumières, couleurs et formes. Bien sûr, les portraits restent "ma chose" et j'étais gâtée hier centre Londres, mais les nuages au dessus de St Paul et la Tamise ont aussi, peut être la première fois, entré en relation avec moi.
Qu'il serait bon de pouvoir rêver à tout cela, au lieu de faire tout ce que j'ai à faire et arranger ces jours-ci!
Quand j'ai pris cette image, le film qui se termine presque ainsi, n'était pas dans ma tête, mais qui sait, peut être l'inconscient travail aussi.
J'étais surtout impressionné par la très courte jupe de sa robe, le bonheur avec lequel elle tenait la main sur sa ventre pour ne pas perdre un seul des coup des pieds du futur bébé, mais aussi l'amour de son mari: souvent il mettait la main même sur sa cuisse pour montrer son amour, sa tendresse, puis de nouveau sur le ventre comme dans cette image ci-dessus.
Après cette rencontre, et aussi avec deux jeunes photographes avec lesquels j'étais au même table pour déjeuner, l'après-midi, une très intéressante conférence par un photographe et très bonne conférencier, Charlie Waite sur photographie des paysages, sa spécialité.
Il a parlé d'abord pendant 45 minutes qui semblaient courtes de la relation entre nous et notre sujet, l'approche, beaucoup plus important que les détails techniques et second du clic. Ensuite, il nous a montré des images et commenté des difficultés et ce qu'il aime ou pas sur elles.
Hier, je suis allée visiter son exposition aux Tours OXO, près de Tate Modern musée pour acheter son livre "Comment produite (pas prendre) des images de paysage". Puis, visité un autre exposition, dans un immeuble délabré derrière, fantastique atmosphère, et a la fin un peu du Tate moderne, tout à côté.
J'ai aussi prise quelques paysages urbaines, inspiré par tout ce qu'il nous a expliqué, et avec nettement plus attention au nuages et synchronies des lumières, couleurs et formes. Bien sûr, les portraits restent "ma chose" et j'étais gâtée hier centre Londres, mais les nuages au dessus de St Paul et la Tamise ont aussi, peut être la première fois, entré en relation avec moi.
Qu'il serait bon de pouvoir rêver à tout cela, au lieu de faire tout ce que j'ai à faire et arranger ces jours-ci!
dimanche 22 mars 2009
Notting Hill Gate, 2009
Bien sûr, c'est un quartier divers, mais depuis le film avec le même nom, cela a changé pas mal. Voilà un diaporama du matin et midi autour de lieu de ma conférence photo.
samedi 21 mars 2009
Tigre de Notting Hill
en cage et en pierre
mais s'il se décide de s'en sortir? Pas peur, pas peur, pas peur!
===========
J'ai assisté aujourd'hui, toute la journée à une conférence passionnante des photographes, nous étions plus de cent, chacun avec son caméra d'écouter trois sujets différents de 11h à 17h, puis toujours à Notting Hill nous sommes allées au pub pour continuer la discussion.
Il me faudra pas mal des heures pour m'occuper des plus de 150 images que j'ai prise, la plupart avant les réunions et d'autres à la pause de midi, quelques unes le soir à mon retour vers le métro.
Imaginer, une femme enceinte, les dernières mois, avec une jupe courte et un mari aimant, au restaurant. Elle tenais la main sur le ventre pour sentir son bébé futur bouger, et lui, soit sur les cuisses de son épouse, soit aussi sur le ventre rebondi à guetter avec amour, déjà l'arrivée prochaine: c'était très beau à voir! Ils m'ont laissé prendre deux images ou trois, ils m'ont même remercié! Pour moi, malgré les conférences passionnantes, c'était le point le plus haute de la journée.
mais s'il se décide de s'en sortir? Pas peur, pas peur, pas peur!
===========
J'ai assisté aujourd'hui, toute la journée à une conférence passionnante des photographes, nous étions plus de cent, chacun avec son caméra d'écouter trois sujets différents de 11h à 17h, puis toujours à Notting Hill nous sommes allées au pub pour continuer la discussion.
Il me faudra pas mal des heures pour m'occuper des plus de 150 images que j'ai prise, la plupart avant les réunions et d'autres à la pause de midi, quelques unes le soir à mon retour vers le métro.
Imaginer, une femme enceinte, les dernières mois, avec une jupe courte et un mari aimant, au restaurant. Elle tenais la main sur le ventre pour sentir son bébé futur bouger, et lui, soit sur les cuisses de son épouse, soit aussi sur le ventre rebondi à guetter avec amour, déjà l'arrivée prochaine: c'était très beau à voir! Ils m'ont laissé prendre deux images ou trois, ils m'ont même remercié! Pour moi, malgré les conférences passionnantes, c'était le point le plus haute de la journée.
Quelle bonheur ce matin!
Aben est revenu!
Aben a recommencé à écrire. Pour le moments, des recettes de cuisine, dont je suis sûre que vous allez vous régaler.
Pour ceux qui ne le connaîtrait pas, il est aussi l'auteur de volume des lettres d'Algérie, écrits comme conscrit à sa mère, livre appelé Cher Parents. Si entre vous quelqu'un ne l'aurait pas lu, précipitez-vous lui acheter, vous n'allez pas le regrettez.
Il écrivais aussi de la poésie qui me touchait à chaque fois, et ce qui se passait dans son village où il a passé tout sa vie, hors la guerre qui l'avait pris loin.
C'est une grande plaisir d'avoir eu hier un commentaire par lui, me signalant sa présence, de nouveau parmi nous. J'espère qu'il ne sera pas fâché que je mets ici un de ses dernières poèmes, que j'ai relu ce matin dans son BLOG.
J'espère qu'il retrouvera de plus en plus, dorénavant, d'écrire et d'être présente parmi nous, de loin de sa village de Champagne, il sera toujours présent.
Aben a recommencé à écrire. Pour le moments, des recettes de cuisine, dont je suis sûre que vous allez vous régaler.
Pour ceux qui ne le connaîtrait pas, il est aussi l'auteur de volume des lettres d'Algérie, écrits comme conscrit à sa mère, livre appelé Cher Parents. Si entre vous quelqu'un ne l'aurait pas lu, précipitez-vous lui acheter, vous n'allez pas le regrettez.
Il écrivais aussi de la poésie qui me touchait à chaque fois, et ce qui se passait dans son village où il a passé tout sa vie, hors la guerre qui l'avait pris loin.
C'est une grande plaisir d'avoir eu hier un commentaire par lui, me signalant sa présence, de nouveau parmi nous. J'espère qu'il ne sera pas fâché que je mets ici un de ses dernières poèmes, que j'ai relu ce matin dans son BLOG.
J'aime (j'ai aimé) écrire...
J'aime (J'ai aimé ) écrire
Comme d'autres dessiner
Pas toujours pour dire
Comme d'autres pour montrer
J'aime (J'ai aimé) écrire
Pour le geste
Pour le méli-mélo des mots
Le tempo
J'aime (J'ai aimé ) écrire
Comme d'autre composer
J'aime (J'ai aimé) écrire
Raturer surcharger et gommer
Changer un mot
Modifier une césure
Peaufiner
Changer le nombre de pieds
Pour un autre mieux fait
J'aime (J'ai aimé) écrire
Sans trop pointer les "I"
L'écrit qui se suffit
Sans ostentation de ponctuation
L'écrit qui laisse
A qui veut l'interprèter
Le choix de ses intonations
La décision de ses respirations
Selon son sentiment
Selon l'humeur du temps
J'aime (J'ai aimé) l'écrit qui offre de rêver
J'espère qu'il retrouvera de plus en plus, dorénavant, d'écrire et d'être présente parmi nous, de loin de sa village de Champagne, il sera toujours présent.
vendredi 20 mars 2009
Je ne peux pas
Je ne peux déposer une fleur au tombe où les cendres de ma mère est caché, reposant au même lieu que mon père.
Je ne sais même pas où ma marâtre a été enterrée. Je viens juste d'apprendre qu'elle n'est plus depuis plusieurs mois.
"Six ou sept" m'a-t-on dit.
Peut-on ne pas se souvenir? Non! Je ne comprends pas bien pourquoi cela doit rester vague, en quoi son secret est important.
Les Lys sont des fleurs de Pâques en Angleterre (et symbole royales en France), j'en ai "attrapé" (avec mon camera)une pendant que j'attendais la sortie des petits enfants. Nous allons partir, nous aussi, chacun à notre tour, mais les nouvelles générations continueront après nous.
Les bonnes nouvelles ne durent jamais assez! Je devrais être plus en haut qu'en bas au moins pour quelques jours!
Je ne sais même pas où ma marâtre a été enterrée. Je viens juste d'apprendre qu'elle n'est plus depuis plusieurs mois.
"Six ou sept" m'a-t-on dit.
Peut-on ne pas se souvenir? Non! Je ne comprends pas bien pourquoi cela doit rester vague, en quoi son secret est important.
Les Lys sont des fleurs de Pâques en Angleterre (et symbole royales en France), j'en ai "attrapé" (avec mon camera)une pendant que j'attendais la sortie des petits enfants. Nous allons partir, nous aussi, chacun à notre tour, mais les nouvelles générations continueront après nous.
Les bonnes nouvelles ne durent jamais assez! Je devrais être plus en haut qu'en bas au moins pour quelques jours!
jeudi 19 mars 2009
Nous Deux en Kiosque
Je viens de recevoir Nous Deux, en Kiosque cette semaine en France et, probablement, autres pays francophones. En page 24/25 un magnifique reportage, fruit de travail de CHOUKROUN Cédric, avec le titre:
Ils ont changé leur vie après 50 ans.
Il a réussi à trouver des gens, hommes et femmes ou couples dont la vie a changé profondément, (plus même que la mienne) après les 50.
J'ai parlé surtout de ce qui a changé dans ma vie après 70 ans, mais en allant vers arrière, que des choses nouvelles pour moi après mes 48 ans!
Je vais devoir les lister, les décrire, en parler, mais ce matin j'ai envie de raconter mon histoire avec le magazine Nous Deux.
J'avais 33 ans et mon mari idéale et gentil que j'avais choisie avec soin après mes 26 ans, était, soudain devenu violent.
Pas longtemps après que j'avais découverte son infidélité, il ne supportait pas probablement me voir tellement abattue.
Je ne comprenais pas comment il a pu changer autant! Je l'avais connu après qu'il n'était plus rugbyman, et ses lunettes fortes lui donnaient un air si doux! J'avais été convaincu avoir un mari qui m'aimera tout sa vie, "pas comme ma mère en a eu". Je me suis mariée contre les conseils de mon père.
J'avais déjà une fille et j'attendais mon deuxième enfant et un travail ne me permettant pas toute seule les élever. J'avais honte de dire quoi que soit à mon père, lui avouer que c'était lui qui avait raison.
Que faire? Comment en sortir? C'était le point le plus bas de mon existence. J'avais vraiment peur de ses éclats qui continuaient même avec une femme enceinte.
Mes rêves disparus, ma confiance avec, j'avais peur de ce qui arrivera la prochaine minute. "Tu l'as provoqué! C'est ta faute!"
Qu'était devenu du mari qui m'avait, à tort comme je lui avait dit depuis le début, mis sur un piédestal?
C'est alors, qu'un article "vie réelle" de Nous Deux, m'a fait sentir que je ne suis pas la seule au monde ayant passé des mauvais moments semblables, que d'autres ont passé par là.
C'était le premier lueur dans ma nuit.
J'étais donc heureuse de pouvoir donné un interview à Cédric pour ce journal. En fait, ma vie a changé plusieurs fois après 50 ans! Dans ce papier-ci de Nous Deux, je parle surtout de tout ce qu'il a changé vers mes 70 - 75 ans. Pour le reste j'ai eu tellement des vies différentes que aujourd'hui je ne regrette plus: j'ai vécu.
Je vais décrire une autre fois toutes les bouleversements, de 50 à 70 ans! Oui, il y a des vies nouvelles après 50 ans! Et j'espère, même après 75.
Ils ont changé leur vie après 50 ans.
Il a réussi à trouver des gens, hommes et femmes ou couples dont la vie a changé profondément, (plus même que la mienne) après les 50.
J'ai parlé surtout de ce qui a changé dans ma vie après 70 ans, mais en allant vers arrière, que des choses nouvelles pour moi après mes 48 ans!
Je vais devoir les lister, les décrire, en parler, mais ce matin j'ai envie de raconter mon histoire avec le magazine Nous Deux.
J'avais 33 ans et mon mari idéale et gentil que j'avais choisie avec soin après mes 26 ans, était, soudain devenu violent.
Pas longtemps après que j'avais découverte son infidélité, il ne supportait pas probablement me voir tellement abattue.
Je ne comprenais pas comment il a pu changer autant! Je l'avais connu après qu'il n'était plus rugbyman, et ses lunettes fortes lui donnaient un air si doux! J'avais été convaincu avoir un mari qui m'aimera tout sa vie, "pas comme ma mère en a eu". Je me suis mariée contre les conseils de mon père.
J'avais déjà une fille et j'attendais mon deuxième enfant et un travail ne me permettant pas toute seule les élever. J'avais honte de dire quoi que soit à mon père, lui avouer que c'était lui qui avait raison.
Que faire? Comment en sortir? C'était le point le plus bas de mon existence. J'avais vraiment peur de ses éclats qui continuaient même avec une femme enceinte.
Mes rêves disparus, ma confiance avec, j'avais peur de ce qui arrivera la prochaine minute. "Tu l'as provoqué! C'est ta faute!"
Qu'était devenu du mari qui m'avait, à tort comme je lui avait dit depuis le début, mis sur un piédestal?
C'est alors, qu'un article "vie réelle" de Nous Deux, m'a fait sentir que je ne suis pas la seule au monde ayant passé des mauvais moments semblables, que d'autres ont passé par là.
C'était le premier lueur dans ma nuit.
J'étais donc heureuse de pouvoir donné un interview à Cédric pour ce journal. En fait, ma vie a changé plusieurs fois après 50 ans! Dans ce papier-ci de Nous Deux, je parle surtout de tout ce qu'il a changé vers mes 70 - 75 ans. Pour le reste j'ai eu tellement des vies différentes que aujourd'hui je ne regrette plus: j'ai vécu.
Je vais décrire une autre fois toutes les bouleversements, de 50 à 70 ans! Oui, il y a des vies nouvelles après 50 ans! Et j'espère, même après 75.
mercredi 18 mars 2009
Le paradox des choix
Le livre, par Barry Schwartz, "the Paradox of choice" m'a aidé autant que celui de Julie Cameron sur la "Voie d'artiste".
Non, je ne suis pas artiste, je le déclare encore, mais tout cela n'est qu'un mot.
Je suis écrivain, même si je n'ai pas publié sur papier que deux livres, je suis écrivain parce que j'écris depuis soixante ans.
Je suis photographe, dont témoignent mes trente mille images publiés sur ma site flickr, et l'intêret que certaines entre elles ont suscités, mais surtout le plaisir que j'ai à prendre d'autres. Quelques fleurs de printemps ou feuilles d'automne, aussi, même si les portraits des gens sont pour moi encore plus passionnantes.
Je suis créative, autant en ayant créé une entreprise, imaginé des nouvelles produits aussi, enseignant quand c'est possible, et j'adore raconter des histoires en m'inspirant de tout ce que j'ai vécu.
"Que vous viviez dans des temps intéressants" est parait-il un chose que les Chinois souhaite à leur pire ennemis, mais c'est pour un créative un paradis - pouvant s'inspirer de l'enfer vécu sur le chemin.
Pour ceux entre vous qui vivez en France, Nous Deux est présente pour une semaine, parlant des personne dont la vie a changé après 50 ans et, entre autres, de mon blog. Que des vies j'ai eu depuis que j'ai dépassé le cinquante! J'ai changé depuis ma vie plusieurs fois. "Et je ne regrette rien".
Dernières décisions et révélations: certaines choses finissent même ici, déjà, je vais de moins moins au "meetup groupes" et j'irai davantage aux ToastMasters, parler en direct, écouter les autres parler en public.
Les deux livres que je mentionne au début, m'ont incité à réfléchir, la première à "ce que j'aime vraiment faire" et l'autre le droit de choisir ce qui me fait vraiment plaisir, mais aussi combiner diverses activités.
Déjà en changeant du métier à 50 ans, quand je suis revenue des Etats Unis a Paris, de recherche en Chimie Biologique à Vente des produits pour micro ordinateurs et création d'une entreprise, je me suis rendu compte qu'en fait, ces deux métiers apparemment si divers nécessitent la même fondation. Aimer la recherche, étudier des nouvelles choses, se permettre jouer et l'utiliser pour avancer.
En fait, l'écriture, photographie, parler en publique, viennent aussi de mon plaisir de communiquer, la même besoin interne profonde pour les trois.
Et voilà, trois personnes rencontrés hier, m'ayant laissé à prendre leur portraits, je dirais même ravis que j'ai demandé.
L'un est un postier, les deux autres vendeurs des poisson au supermarché.
En fait, des gens divers et très intéressants avec qui j'ai eu par ce biais le plaisir d'échanger quelques mots.
Dans le tumulte de la journée agité de hier, prendre ces portraits m'a réconforté, encore plus que les tulipes que j'ai trouvé au bord de la route en revenant.
Non, je ne suis pas artiste, je le déclare encore, mais tout cela n'est qu'un mot.
Je suis écrivain, même si je n'ai pas publié sur papier que deux livres, je suis écrivain parce que j'écris depuis soixante ans.
Je suis photographe, dont témoignent mes trente mille images publiés sur ma site flickr, et l'intêret que certaines entre elles ont suscités, mais surtout le plaisir que j'ai à prendre d'autres. Quelques fleurs de printemps ou feuilles d'automne, aussi, même si les portraits des gens sont pour moi encore plus passionnantes.
Je suis créative, autant en ayant créé une entreprise, imaginé des nouvelles produits aussi, enseignant quand c'est possible, et j'adore raconter des histoires en m'inspirant de tout ce que j'ai vécu.
"Que vous viviez dans des temps intéressants" est parait-il un chose que les Chinois souhaite à leur pire ennemis, mais c'est pour un créative un paradis - pouvant s'inspirer de l'enfer vécu sur le chemin.
Pour ceux entre vous qui vivez en France, Nous Deux est présente pour une semaine, parlant des personne dont la vie a changé après 50 ans et, entre autres, de mon blog. Que des vies j'ai eu depuis que j'ai dépassé le cinquante! J'ai changé depuis ma vie plusieurs fois. "Et je ne regrette rien".
Dernières décisions et révélations: certaines choses finissent même ici, déjà, je vais de moins moins au "meetup groupes" et j'irai davantage aux ToastMasters, parler en direct, écouter les autres parler en public.
Les deux livres que je mentionne au début, m'ont incité à réfléchir, la première à "ce que j'aime vraiment faire" et l'autre le droit de choisir ce qui me fait vraiment plaisir, mais aussi combiner diverses activités.
Déjà en changeant du métier à 50 ans, quand je suis revenue des Etats Unis a Paris, de recherche en Chimie Biologique à Vente des produits pour micro ordinateurs et création d'une entreprise, je me suis rendu compte qu'en fait, ces deux métiers apparemment si divers nécessitent la même fondation. Aimer la recherche, étudier des nouvelles choses, se permettre jouer et l'utiliser pour avancer.
En fait, l'écriture, photographie, parler en publique, viennent aussi de mon plaisir de communiquer, la même besoin interne profonde pour les trois.
Et voilà, trois personnes rencontrés hier, m'ayant laissé à prendre leur portraits, je dirais même ravis que j'ai demandé.
L'un est un postier, les deux autres vendeurs des poisson au supermarché.
En fait, des gens divers et très intéressants avec qui j'ai eu par ce biais le plaisir d'échanger quelques mots.
Dans le tumulte de la journée agité de hier, prendre ces portraits m'a réconforté, encore plus que les tulipes que j'ai trouvé au bord de la route en revenant.
mardi 17 mars 2009
Tant à dire ce matin!
Envahie par des sensations, je ne sais plus que dire, avec quoi commencer.
J'avais voulu parler des odeurs de printemps qui m'ont soudain envahis hier à ma sortie, plus que "voir" on pouvait sentir le printemps! Sur le chemin vers l'école de mes petits enfants, le printemps m'a accompagné!
Près de l'école, une marre, petit lac, des canards, signes et pigeons, arrivent et partent, vers le ciel ou la pleine autour, le "heath" comme on l'appelle ici. Sauvage et en même temps soigné, une énorme espace verte entre deux "villages" ou villes. Comme c'est en haut, dimanche c'est le paradis des cerf-volant. Le reste de temps, des corbeaux et d'autres oiseau, plus ou moins sauvages. Ils trouvent le plus souvent quoi manger par ici.
Près de la marre, un vieux monsieur jette des bouts de pain et les oiseaux accoururent. Par ordre: d'abord les cignes, puis les canards puis des oiseaux de plus en plus petits essaies d'attraper ce qui reste. Je prends quelques images pour mon groupe Afterclass, ce mois sur divers animaux.
Puis, la photo d'une chatte: mais il y a plus des écureuils par ici que des chats! Le soir, je regards le ciel devenir rouge de l'arrêt de bus, une demie heure d'attente cette fois, heureusement il fait doux.
J'arrive à temps à ma réunion, puisque j''attrape le train qui est sur le quai a mon arrivé. La dernière de la série pour Artist's way.
Ai-je appris quelque chose depuis septembre?
Je me suis donnée le droit à l'erreur, jouer en créant, ou avant pour remplir des nouvelles impressions mon "enfant créatif". Me permettre à faire des choses différents aussi. Ecrire, prendre des photos sous tous les angles et jouer avec, parler en public!
Je me suis rendu compte qu'on me comprends et mon anglais finalement n'est pas si mal que cela! Bon, faut dire "relative à moi". Un peu mieux qu'a mon arrivé à Londres, il y a quelques mois.
Autre nouvelle: dès ce matin, le numéro de Nous Deux qui parait, contient une photo et un interview sur moi aussi "ils ont changé leur vies après 50 ans". Dans mon cas, bien sûr, j'ai changé plusieurs fois depuis mes 50 ans, mais peut être de cela une autre fois.
Puis ce matin, je reçois une autre nouvelle: quelqu'un connu, d'une autre vie est morte... il y a huit mois. je m'attendais, cela m'a donné un choc quand même. La vie va en haut et en bas, et à un moment donné s'arrête.
Mais le choc encore plus grand était hier vers la soir. Il n'était pas encore sombre. Je sors. De l'autre trottoir une vieille dame se dirige vers moi, sans regarder si des voitures passent.
"Je dois habiter pas loin d'ici, et elle me dit une adresse que je ne connais pas, mais je ne suis plus sure comment retourner!"
J'ai arrêté la première voiture, une jeune dame connaissait la rue, la pris avec elle. La vieille dame montrait des maigres provisions qu'elle avait fait "l'église est là, donc je n'habite pas loin, mais je ne sais plus comment y aller." Elle était toute confuse.
Je me suis sentie si jeune soudain. J'espère que je n'arriverai jamais à cette stage, sortir seule et ne plus savoir comment rentrer. Aucune odeur de printemps n'aide plus quand on est perdu, tout près pourtant de chez soi.
C'est d'ailleurs une de mes rêves: je me perds et je ne trouve pas le chemin. Je ne l'ai plus rêvé depuis longtemps, mais je m'en souviens du cauchemar de m'être perdu de plus en plus.
Pour le moment, je peux dire encore, moi "il y a de la vie après 70 ans" - voir 75. Mais combien de temps encore?
J'avais voulu parler des odeurs de printemps qui m'ont soudain envahis hier à ma sortie, plus que "voir" on pouvait sentir le printemps! Sur le chemin vers l'école de mes petits enfants, le printemps m'a accompagné!
Près de l'école, une marre, petit lac, des canards, signes et pigeons, arrivent et partent, vers le ciel ou la pleine autour, le "heath" comme on l'appelle ici. Sauvage et en même temps soigné, une énorme espace verte entre deux "villages" ou villes. Comme c'est en haut, dimanche c'est le paradis des cerf-volant. Le reste de temps, des corbeaux et d'autres oiseau, plus ou moins sauvages. Ils trouvent le plus souvent quoi manger par ici.
Près de la marre, un vieux monsieur jette des bouts de pain et les oiseaux accoururent. Par ordre: d'abord les cignes, puis les canards puis des oiseaux de plus en plus petits essaies d'attraper ce qui reste. Je prends quelques images pour mon groupe Afterclass, ce mois sur divers animaux.
Puis, la photo d'une chatte: mais il y a plus des écureuils par ici que des chats! Le soir, je regards le ciel devenir rouge de l'arrêt de bus, une demie heure d'attente cette fois, heureusement il fait doux.
J'arrive à temps à ma réunion, puisque j''attrape le train qui est sur le quai a mon arrivé. La dernière de la série pour Artist's way.
Ai-je appris quelque chose depuis septembre?
Je me suis donnée le droit à l'erreur, jouer en créant, ou avant pour remplir des nouvelles impressions mon "enfant créatif". Me permettre à faire des choses différents aussi. Ecrire, prendre des photos sous tous les angles et jouer avec, parler en public!
Je me suis rendu compte qu'on me comprends et mon anglais finalement n'est pas si mal que cela! Bon, faut dire "relative à moi". Un peu mieux qu'a mon arrivé à Londres, il y a quelques mois.
Autre nouvelle: dès ce matin, le numéro de Nous Deux qui parait, contient une photo et un interview sur moi aussi "ils ont changé leur vies après 50 ans". Dans mon cas, bien sûr, j'ai changé plusieurs fois depuis mes 50 ans, mais peut être de cela une autre fois.
La dernière cyclamen d'hiver est tout ridée, comme moi.
Puis ce matin, je reçois une autre nouvelle: quelqu'un connu, d'une autre vie est morte... il y a huit mois. je m'attendais, cela m'a donné un choc quand même. La vie va en haut et en bas, et à un moment donné s'arrête.
Mais le choc encore plus grand était hier vers la soir. Il n'était pas encore sombre. Je sors. De l'autre trottoir une vieille dame se dirige vers moi, sans regarder si des voitures passent.
"Je dois habiter pas loin d'ici, et elle me dit une adresse que je ne connais pas, mais je ne suis plus sure comment retourner!"
J'ai arrêté la première voiture, une jeune dame connaissait la rue, la pris avec elle. La vieille dame montrait des maigres provisions qu'elle avait fait "l'église est là, donc je n'habite pas loin, mais je ne sais plus comment y aller." Elle était toute confuse.
Je me suis sentie si jeune soudain. J'espère que je n'arriverai jamais à cette stage, sortir seule et ne plus savoir comment rentrer. Aucune odeur de printemps n'aide plus quand on est perdu, tout près pourtant de chez soi.
C'est d'ailleurs une de mes rêves: je me perds et je ne trouve pas le chemin. Je ne l'ai plus rêvé depuis longtemps, mais je m'en souviens du cauchemar de m'être perdu de plus en plus.
Pour le moment, je peux dire encore, moi "il y a de la vie après 70 ans" - voir 75. Mais combien de temps encore?
lundi 16 mars 2009
Les irlandais - et les hongrois
C'était une fête un peu tristounette.
Non comme je me le suis imaginée. Et dire, que l'année dernière j'ai tellement regretté de devoir retourner avant la défilée!
Je suis sûre que l'assassinat de trois anglais en Ireland du Nord, dont un devait partir à Afghanistan deux jours plus tard, a dû en avoir une influence. Au moins sur le nombre des gens présents, mais aussi dans l'esprit des présents.
Pourtant, les bandes ont défilés (la plupart en jupe écossais) et joué, les gosses agité les drapeaux, et pas mal des gens mis des chapeau verts (qu'on pouvait acheter avec 5 livres sur place), certains très rigolos que vous pouvez aussi voir dans la diaporama inclus dans cette note.
Plus je regardais, plus je me rendais compte: les couleurs Irlandais sont les mêmes que ceux des hongrois: rouge blanche verte! Seulement, je crois en ordre inverse, avec le vert prédominante.
Je ne comprends pas beaucoup sur deux Irlandes, je n'ai pas été que dans celle de Sud Ouest, d'où je suis revenue avec des merveilleuses souvenirs.
.Il y avait du monde, tant à Trafalgar Square que au long de trajet de la parade. Dans le parade des gosses très jeunes mais aussi des femmes et hommes marchant difficilement à cause de leurs âge. Fière de défiler. C'est surtout en comparant avec la foule de Diwali que je dirais "peu des gens" ou même ceux regardant la défilé de 1 janvier en pleine hiver.
Impressions de la défilé: pleines des choses intéressantes, comme vous pouvez le voir si vous voulez, pourtant...
J'aurais repartie avec ces pensées si je n'aurais pas aperçu, juste avant la défilée un homme âgé - de mon âge! en chapeau Irlandais amusante et foulard au même couleurs agitant sa main au bord de la trottoir et tout heureux d'être prise en photo, par moi.
Nous avons commencé à parler.
A un moment donné, il m'a dit:
"Mais je suis d'origine hongrois."
- Quoi? Pas d'Irlande?
- Non, je suis arrivé ici il y a 56 ans, en 1956 de Hongrie. Je suis marié. Avec une anglaise. Mon épouse est là.
Elle se reposait assise au bord un peu plus loin.Je lui ai souris de loin, à son épouse, puis nous avons commencé à parler hongrois. Moi, et l'homme habillé comme un Irlandais.
- J'habite à Londres, tout en sa périphérie, m'expliqua-t-il, mais ma fille habite en Irlande, j'ai aussi deux petits enfants Irlandais. En tout six! ajouta-t-il très fier.
Un peu à l'écart, au bord de la trottoir, nous avons commencé à parler en hongrois avec délice. Ni moi, ni lui, n'avions occasion de le pratiquer souvent.
Il me raconta des ses problèmes et opération à la main et me donna le programme des concerts gratuits d'après-midi au Théâtre Nationale "Il y a une fille hongrois là, allez la voir". Il se sépara avec regret de moi, mais j'avais envie de voir, et photographier, des "vraie Irlandais", en fait, la parade qui arriva déjà.
Je ne sais pas grande chose sur l'Irlande de Nord, mais dans la Irlande indépendante de Sud il y a pas mal des polonais (et probablement aussi des hongrois) et leur économie est florissante, l'afflux des nouveau venus les a aidé.
Suis-je allée hier au centre de Londres pour prendre des photos et voir la fête de Saint Patrick? Ou pour rencontrer un hongrois et à travers lui aller écouter des concerts gratuits près de la Tamise et là-bas, peut-être... ainsi va la vie.
Une chose dans laquelle on entre, conduit à une autre, imprévue!
Non comme je me le suis imaginée. Et dire, que l'année dernière j'ai tellement regretté de devoir retourner avant la défilée!
Je suis sûre que l'assassinat de trois anglais en Ireland du Nord, dont un devait partir à Afghanistan deux jours plus tard, a dû en avoir une influence. Au moins sur le nombre des gens présents, mais aussi dans l'esprit des présents.
Pourtant, les bandes ont défilés (la plupart en jupe écossais) et joué, les gosses agité les drapeaux, et pas mal des gens mis des chapeau verts (qu'on pouvait acheter avec 5 livres sur place), certains très rigolos que vous pouvez aussi voir dans la diaporama inclus dans cette note.
Plus je regardais, plus je me rendais compte: les couleurs Irlandais sont les mêmes que ceux des hongrois: rouge blanche verte! Seulement, je crois en ordre inverse, avec le vert prédominante.
Je ne comprends pas beaucoup sur deux Irlandes, je n'ai pas été que dans celle de Sud Ouest, d'où je suis revenue avec des merveilleuses souvenirs.
.Il y avait du monde, tant à Trafalgar Square que au long de trajet de la parade. Dans le parade des gosses très jeunes mais aussi des femmes et hommes marchant difficilement à cause de leurs âge. Fière de défiler. C'est surtout en comparant avec la foule de Diwali que je dirais "peu des gens" ou même ceux regardant la défilé de 1 janvier en pleine hiver.
Impressions de la défilé: pleines des choses intéressantes, comme vous pouvez le voir si vous voulez, pourtant...
J'aurais repartie avec ces pensées si je n'aurais pas aperçu, juste avant la défilée un homme âgé - de mon âge! en chapeau Irlandais amusante et foulard au même couleurs agitant sa main au bord de la trottoir et tout heureux d'être prise en photo, par moi.
Nous avons commencé à parler.
A un moment donné, il m'a dit:
"Mais je suis d'origine hongrois."
- Quoi? Pas d'Irlande?
- Non, je suis arrivé ici il y a 56 ans, en 1956 de Hongrie. Je suis marié. Avec une anglaise. Mon épouse est là.
Elle se reposait assise au bord un peu plus loin.Je lui ai souris de loin, à son épouse, puis nous avons commencé à parler hongrois. Moi, et l'homme habillé comme un Irlandais.
- J'habite à Londres, tout en sa périphérie, m'expliqua-t-il, mais ma fille habite en Irlande, j'ai aussi deux petits enfants Irlandais. En tout six! ajouta-t-il très fier.
Un peu à l'écart, au bord de la trottoir, nous avons commencé à parler en hongrois avec délice. Ni moi, ni lui, n'avions occasion de le pratiquer souvent.
Il me raconta des ses problèmes et opération à la main et me donna le programme des concerts gratuits d'après-midi au Théâtre Nationale "Il y a une fille hongrois là, allez la voir". Il se sépara avec regret de moi, mais j'avais envie de voir, et photographier, des "vraie Irlandais", en fait, la parade qui arriva déjà.
Je ne sais pas grande chose sur l'Irlande de Nord, mais dans la Irlande indépendante de Sud il y a pas mal des polonais (et probablement aussi des hongrois) et leur économie est florissante, l'afflux des nouveau venus les a aidé.
Suis-je allée hier au centre de Londres pour prendre des photos et voir la fête de Saint Patrick? Ou pour rencontrer un hongrois et à travers lui aller écouter des concerts gratuits près de la Tamise et là-bas, peut-être... ainsi va la vie.
Une chose dans laquelle on entre, conduit à une autre, imprévue!
dimanche 15 mars 2009
Parade St. Patrick
Aujourd'hui, on célèbre la fête des Irlandais et je vais au centre Londres.
Bien sûr, il aurait était mieux de ne pas avoir de nouveau des soldiers anglais tués au Nord Ireland, la paix est arrivée, mais pas tout à fait, hélas, il y a ceux qui n'arrivent pas arrêter des tuer!
La fête sera quand même verte, sur le Trafalgar Square, et je m'y dirige, après avoir prise rapidement quelques images des nouvelles fleurs de printemps autour de moi.
A ce soir.
Bien sûr, il aurait était mieux de ne pas avoir de nouveau des soldiers anglais tués au Nord Ireland, la paix est arrivée, mais pas tout à fait, hélas, il y a ceux qui n'arrivent pas arrêter des tuer!
La fête sera quand même verte, sur le Trafalgar Square, et je m'y dirige, après avoir prise rapidement quelques images des nouvelles fleurs de printemps autour de moi.
A ce soir.
samedi 14 mars 2009
Red nose day
Hier était la journée des Nez Rouges Comiques, en principe pour en même temps, avec humour, collecter de l'argent et l'envoyer (qui sait où) pour aider les enfants d'Afrique.
A Londres, aussi une jour pour humour et grimaces et déguisements;
Chaque jour, les enfants vont à l'école en uniformes, chaque école a son propre uniforme, sympathique ou plus déchouette, mais ce jour-ci, au moins dans l'école où j'étais invité à venir prendre des photos, chaque enfant pouvait venir habillé aussi fantaisiste qu"il ou elle (ou ses parents) le désirait.
En clown, une seule, en pyjama, certains, en robe d'une autre pays aussi. Tous, presque ayant un "nez rouge" à la main sinon sur le visage et presque tous posant avec joie. Un avait un chapeau mexicaine, l'autre un tee-shirt plein des trains, une petite fille avait tout son visage peint rouge et clown, un garçon avait le nez rouge dessiné sur le sien.
D'abord, près de l'entrée, j'ai finalement trouvé un mur vers face à une grande fenêtre pour les enfants à poser. Puis, une fois que les petits sont partis ailleurs, j'ai monté à l'étage et pris des images des plus grands, jouant d'échec ou faisant leur devoir.
C'était une grande plaisir de prendre des photos ce jour-là!
Bien sûr, apprendre à jouer l'échec faisait aussi partie de leurs curriculum. C'était une école que j'ai eu plaisir à voir!
Les enfants très diverse, comme les profs aussi, une arrivé d'Asie, l'autre de Canada, puis, bien sûr ceux née pas loin, des gosses de tous les couleurs et origines.
Je ne peux pas montrer tous les 120 images prises, que j'adore, chacune pour une autre raison, mais je vais vous montrer quelques unes pour vous donner un impression. J'ai eu de bon temps avec elles hier, regardant une après l'autre hier après-midi, corrigeant les yeux rouges ou prenant des détails pour mieux approcher les personnalités. Et ce n'est pas tout fini encore!
Comme d'habitude, quand je suis sérieuse, une heure de photographie peut générer ensuite sept heures de travail. Au moins.
C'est probablement ainsi avec l'écriture, mais je ne sais pas si je prends autant de temps à retravailler. En tout cas les notes de blog sont écrit en direct, comme si je vous parlais, tel qu'il vient.
A Londres, aussi une jour pour humour et grimaces et déguisements;
Chaque jour, les enfants vont à l'école en uniformes, chaque école a son propre uniforme, sympathique ou plus déchouette, mais ce jour-ci, au moins dans l'école où j'étais invité à venir prendre des photos, chaque enfant pouvait venir habillé aussi fantaisiste qu"il ou elle (ou ses parents) le désirait.
En clown, une seule, en pyjama, certains, en robe d'une autre pays aussi. Tous, presque ayant un "nez rouge" à la main sinon sur le visage et presque tous posant avec joie. Un avait un chapeau mexicaine, l'autre un tee-shirt plein des trains, une petite fille avait tout son visage peint rouge et clown, un garçon avait le nez rouge dessiné sur le sien.
D'abord, près de l'entrée, j'ai finalement trouvé un mur vers face à une grande fenêtre pour les enfants à poser. Puis, une fois que les petits sont partis ailleurs, j'ai monté à l'étage et pris des images des plus grands, jouant d'échec ou faisant leur devoir.
C'était une grande plaisir de prendre des photos ce jour-là!
Bien sûr, apprendre à jouer l'échec faisait aussi partie de leurs curriculum. C'était une école que j'ai eu plaisir à voir!
Les enfants très diverse, comme les profs aussi, une arrivé d'Asie, l'autre de Canada, puis, bien sûr ceux née pas loin, des gosses de tous les couleurs et origines.
Je ne peux pas montrer tous les 120 images prises, que j'adore, chacune pour une autre raison, mais je vais vous montrer quelques unes pour vous donner un impression. J'ai eu de bon temps avec elles hier, regardant une après l'autre hier après-midi, corrigeant les yeux rouges ou prenant des détails pour mieux approcher les personnalités. Et ce n'est pas tout fini encore!
C'est probablement ainsi avec l'écriture, mais je ne sais pas si je prends autant de temps à retravailler. En tout cas les notes de blog sont écrit en direct, comme si je vous parlais, tel qu'il vient.
vendredi 13 mars 2009
Débuts
Il y a tellement des premières fois dans la vie, tellement des débuts, de commencements!
Le printemps point son nez, je réussi pencher tout en bas pour prendre les crocus de la place sur une autre angle. Tiens, les pieds de mon petit fils sont restés dedans: j'adore!
Hier soir, j'ai étais à Croydon (Londres sud) est donné mon premier discours devant les ToastMasters, appelé "Ice breaker" briser la glace.
J'ai commencé à BudaPest, Hongrie, à l'âge de dix ans: nous étions heureuse que la glace sur la Danube ne s'était pas brisé quand nous étions obligés le traverser à pieds. Combien des images surgissent d'un coup dans ma mémoire. Je devrais prendre le temps et les mettre sur papier, ou les raconter sur une cassette.
De là, retour en Roumanie, à 30 ans arrivé à France pour suivre mon mari adoré, et dix ans plus tard, traversé de l'Océan pour m'en distancer. Avec deux enfants et en avion. C'était moi qui était l'adulte cette fois-ci. Comme mon mari m'avait dit, à 40 ans, que personne ne voulait de moi, âgé, le corps marqué, je voulais me prouver que j'étais encore femme.
Je suis allée à ToastMasters trouver des hommes, j'ai sortie avec plus de confiance à parler. Je n'ai pas trouver l'homme cherché - là, mais j'ai gagné autre chose.
Le temps était passé trop vite, je n'ai pas pu finir et raconter le troisième volet, encore une fois trente ans plus tard, à 70 ans. Une autre fois. Pourtant, on m'avait fait signe "continuez", je ne sais pas obéir sur le moment et comprendre. Utiliser l'occasion, obéir à cellui qui conduit la réunion au lieu de regarder le montre qui dit "assez".
"Amusant, bonne associations et jeux de mots, confiante, nous a regardé un à un, bonnes expressions de visage et mouvement des mains, a fait vivre une partie de la vie" - mais la fin n'était pas assez forte. Bien sûr, je n'ai pas fini.
J'aurais pu , j'aurais du, je regrette.
J'avais besoin de plus de temps, mais mes talents de parler, disons plutôt mes techniques appris il y a 30 ans, reviennent au galop. Ecouter celui qui dirige, n'était jamais entre eux, je dois l'apprendre maintenant.
Il y a tant des débuts!
J'espère que bientôt, je pourrais ajouter celui-ci aussi.
Le printemps point son nez, je réussi pencher tout en bas pour prendre les crocus de la place sur une autre angle. Tiens, les pieds de mon petit fils sont restés dedans: j'adore!
Hier soir, j'ai étais à Croydon (Londres sud) est donné mon premier discours devant les ToastMasters, appelé "Ice breaker" briser la glace.
J'ai commencé à BudaPest, Hongrie, à l'âge de dix ans: nous étions heureuse que la glace sur la Danube ne s'était pas brisé quand nous étions obligés le traverser à pieds. Combien des images surgissent d'un coup dans ma mémoire. Je devrais prendre le temps et les mettre sur papier, ou les raconter sur une cassette.
De là, retour en Roumanie, à 30 ans arrivé à France pour suivre mon mari adoré, et dix ans plus tard, traversé de l'Océan pour m'en distancer. Avec deux enfants et en avion. C'était moi qui était l'adulte cette fois-ci. Comme mon mari m'avait dit, à 40 ans, que personne ne voulait de moi, âgé, le corps marqué, je voulais me prouver que j'étais encore femme.
Je suis allée à ToastMasters trouver des hommes, j'ai sortie avec plus de confiance à parler. Je n'ai pas trouver l'homme cherché - là, mais j'ai gagné autre chose.
Le temps était passé trop vite, je n'ai pas pu finir et raconter le troisième volet, encore une fois trente ans plus tard, à 70 ans. Une autre fois. Pourtant, on m'avait fait signe "continuez", je ne sais pas obéir sur le moment et comprendre. Utiliser l'occasion, obéir à cellui qui conduit la réunion au lieu de regarder le montre qui dit "assez".
"Amusant, bonne associations et jeux de mots, confiante, nous a regardé un à un, bonnes expressions de visage et mouvement des mains, a fait vivre une partie de la vie" - mais la fin n'était pas assez forte. Bien sûr, je n'ai pas fini.
J'aurais pu , j'aurais du, je regrette.
J'avais besoin de plus de temps, mais mes talents de parler, disons plutôt mes techniques appris il y a 30 ans, reviennent au galop. Ecouter celui qui dirige, n'était jamais entre eux, je dois l'apprendre maintenant.
Il y a tant des débuts!
J'espère que bientôt, je pourrais ajouter celui-ci aussi.
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