Hier, c'était une chaleur de l'été, et je suis sortie avec ma petite camera... autour de mon immeuble.
Je suis revenue, ravie et avec 99 images.
J'en ai mise une trentaines déjà sur l'internet, et, probablement, je vais lentement ajouter aussi les autres.
Cette fleur et ses couleurs, sont les plus près de mon coeur.
Ma grande mère en avait dans son jardin du haut de colline, où nous passions un mois d'été, dès que j'étais née et jusque j'avais 8 ans.
Je me rappelle de toutes les fleurs!
Pas de leur noms, mais leurs formes et couleurs.
J'ai mise à Argenteuil, dans le petit jardin devant la maison, quelques unes entre elles, celle-ci entre autres.
Argenteuil me manque aussi, les lilas et les fleurs de cerisiers probablement en fleurs ce matin.
En finissant la dernière biscotte que mes chers voisins m'ont envoyé la dernière fois, ce matin, je me suis transporter là dans mon imagination. Je suis très bien et heureuse ici, mais...
Ce n'est pas loin, Londres Paris, pourtant... je devrais vraiment trouver quelque part le temps d'y faire un saut! Visiter aussi mes amis blogeurs et lecteurs!
Je ne sais pas pourquoi, mais ce matin j'ai la nostalgie, et l'envie de m'en aller... quelque part. Retourner. Rencontrer. Me retrouver?
Quelle jolie fleur!
RépondreSupprimerTout comme cette note ma chère Julie!
Bonne journée!
Ici aussi Julie nous avons un temps d'été et les fleurs s'en donnent à coeur joie et nous invitent à prendre le large!. J'ai vu la barque qui porte ton nom : c'est le moment d'y monter pour un tour en France!
RépondreSupprimerTa dernière fleur est une giroflée aux pétales de velours lumineux..
merci, Micheline et l'autre Julie!
RépondreSupprimerCes fleurs sont très jolies, et je comprends votre nostalgie.
RépondreSupprimerces fleurs ressemblent à des papillons, comme eux tu voudrais t'envoler ! ici, nous avons beaucoup de papillons, de toutes les couleurs, parfois surprenantes, et mon fils quand il les voit me dit : où va le papillon ? je lui réponds, il cherche l'amour car il n'en a que pour quelques heures à vivre, c'est son destin ; nous aussi nous sommes peut-être naturellement en recherche de ce qui est notre destin...
RépondreSupprimer(combien de temps restes-tu encore à Londres chère Julie ?)