La terre est rond et diverse et la site flickr comme les blogs que je lis, et je crois même les lecteurs qui lisent le mien, me le rappellent.
Tout n'est pas pareil, ni à travers les âges, ni à travers le globe. Depuis que je "fréquente" et vis souvent même à travers les blogs et des images, je m'en suis rendu compte davantage de la diversité.
Diversité de la nature, oui, mais aussi de la culture.
Diversité des ages aussi, mais surtout des habitudes.
Toutfois, les chagrins d'amour, la confiance en soi détruit, nous unissent à travers la monde, genre et génération. Et la nécessité de remonter la pente qui souvent parait très difficile.
Hier, j'ai montré Paris à Martine. Arrivée de Congo Brazenville près de Paris il y a plus de quatre ans, elle n'a encore vu Paris et ses merveilles.
Il pleuvait sans cesse, le temps n'était pas avec nous, mais en quatre heures, elle était émerveillé et moi aussi en voyant son visage et yeux.
J'ai finalement décidé à garer au parking de Notre Dame après avoir cherché en vain où laisser la voiture. Dedans, j'ai eu l'impression d'être dans une autre monde, une autre époque. Sauf les flash des nombreux appareils photo déclanchés de temps en temps.
J'ai réussi, sans flash d'attrapper cette none qui près de l'entrée demandait sans cesse et sans apparaiment se fatiguer de l'argent pour les soeurs de sa congrégation (si j'ai bien compris). Comme vous voyez, les touristes ne se sont pas empressés autour d'elle, pourtant, il y avait du monde.
Quelle différence d'atmosphère même ici, relatif à celle de vendredi midi sur le parvis de Défense (que j'ai publié alors)!
En sortant, à l'abri de pluie pour un moment, j'ai pris ce couple venant de loin arrêté devant la portail de Notre Dame "et maintenant?" ils se demandaient étudiant avec sérieux le plan de Paris. Au Japon d'où je crois qu'ils étaient, il doit aussi être déjà automne et je me demandais aussi comment ils voient les habitudes en France.
J'ai osé ensuite mouiller un peu mon appareille photo, en m'avancant un peu, parce que cette homme me fascinait. Sur le mur de la facade, mais non, il ne doit pas être un saint, il parait avoir été un des ouvriers qui, il y a plusieurs centaines des années ont travaillés à sculpter et mettre les statues.
A travers les âges et pas du globe, il me regardait encore comme il regarde depuis lors les gens qui passent ce portail ou s'y approchent.
j'adore vos photos ;-) j'aime aussi les faire !!!
RépondreSupprimervous avez l'art d'aller au dela des images, de "proposer" une interpretation qui entraine une reflexion, sur "juste" un instantané pris dans la vie.
Réfléchir, regarder plus loin que le simple premier regard, imaginer ce que cela peut être, ce que les gens peuvent bien penser ....
C'est aussi quelque chose d'enrichissant, qui permet d'avancer ...
Mais aussi qui permet de regarder autre chose que "soi-même". Et de part là même, de voir aussi qu'il y a malheureusement toujours pir ailleurs :-(
A nous d'en faire quelque chose qui nous positive ;-)
Trouver quelque chose de positif, chaque jour, même les plus sombre ... il suffit du regard d'un inconnu, d'un éclat de rire impromptu, d'un magnifique paysage, ou tout simplement d'un ciel plein de couleur .... partout, en regardant bien, on peut trouver quelque chose qui nous donne un petit rayon de soleil. Pour chaque jour ;-)
Bonne journée !
Sophos
oui Julie, nous sommes tous nés quelque part, si différents, si uniques et pourtant de chair et de sang, avec nos peines et nos joies, quel que soit notre âge, donc ressemblants aussi !
RépondreSupprimerSuperbes photos encore...
j'aime beaucoup votre texte et sa douce sachesse, les quais sous la pluie (superbe photo) mais la gargouille de la fin à mon humble avis risque d'avoir environ un siècke et demi
RépondreSupprimerje cononds semble-t-il sagesse et sachem, mais ce n'est pas antinomique
RépondreSupprimeret ça continue "je confonds"
RépondreSupprimersuperbes photos un vrai régal pour une parisgotte comme moi
RépondreSupprimerToujours aussi jolies tes photos Julie! ;)
RépondreSupprimerBises
Juste un mot pour te dire que j'aime les mots autant que les images. Et même les étourderies de Brigetoun que l'on dirait "paumée" chez toi ce jour-là...
RépondreSupprimerAh, quelle image superbe, celle avec les goutes de pluies et les bouquinistes fermes derriere la vitre...
RépondreSupprimer