Elle était jeune, elle aussi une fois, ma tulipe, la seule qui m'était donné cette année-ci dans mon jardin presque sauvage.
La voilà, il y a quinze jours pas encore ouverte.
J'ai fait une cinqaintaine d'images pour suivre l'évolution, un peu comme j'avais écrit de nombreux journaux.
Vous pouvez les regarder assemblés dans un paquet (set) sur ma site flickr, comme vous pouvez lire aussi mes journaux sur des blogs.
Ensuite, ma tulipe s'est ouverte vers les autres: quelques jours plus tard, en plein maturité cette fois et prête à acceuillir ce qui arrive. Ces temps-là, sont aussi passés déjà, derrière elle.
J'ai dû finalement, après quinze jours, la prendre à l'intérieur, mais elle était toujours intéressante et avec des formes encore plus variées, de près j'ai pu prendre davantage des angles.
Faire des photos du haut et du bas, de dessus et non seulement latérallement ou du haut.
Ce matin, les pétale de tulipe sont tombés par terre, voilà la dernière pétale sur le sol (et en la prenant je ne me suis même pas rendu compte qu'un fil de mes cheuveux était tombé aussi, près d'elle.
Mon dernière adieu après les quinze jours.
Fini, ma unique tulipe de cette année, elle a duré 15 jours, comme... chacun de mes deux mariages ont durées aussi 15 ans. Trente ans, c'est déjà pas mal, surtout que j'avais déjà presque trente au première.
Chaque chose commence, puis se termine à un moment donné.
Chez les uns cela dure davantage, c'est les autres encore moins.
Mais ce matin, en allant acheter du pain, j'ai découverte un jardin des magnifiques iris d'une voisine, je les avais admirées de loin d"abord en passant, puis revenue j'ai pu les photographier.
D'abord de dehors. Puis, son mari m'a invité d'entrer: "votre admiration de ses fleurs fera la joie de ma femme!"
La voisine de la rue près de la mienne, m'a effectivement non seulement invitée dans son jardin mais m'a aussi présenté ses diverses fleurs une à une, et m'a même montré une tronc de chataigner qu'elle ramassé de la rue près de nous quand la ville les avait fait couper tous.
La voilà, la voisine sympa et une de ses iris de tout près : j'irai lui montrer les photos, très nombreuses que j'avais fait et que je dois encore regarder de plus près, aujord'hui, je suis un peu occupé, heureusement avec David.
Revenant à la maison avec mon petit fils David après notre promenade, je me rends compte que mes roses commencent à fleurir.
La première rose devant ma fenêtre commence à s'ouvrir, des nouvelles merveilles m'attendent, tant moi que mon jardin.
Il y a de l'espoir encore même dans mon jardin! Et cela même si le ciel est gris au-dessus de sa tête, et pas bleu claire comme David affirme qu'un ciel devrait l'être...
je ne sais pas lequel de vos talents j'admire le plus, la photo, le jardinage (moi les fleurs se meurrent), le don de l'amitié
RépondreSupprimerJe ne ferme pas mon blog Julie je continue tu me donnes du courage..
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Christine
Des fleurs, des gens, les voisins ...
RépondreSupprimerLa vie de tous les jours ... Votre façon d'être et de l'écrire.
Ce sont des moments très agréables passés en votre compagnie.
Chaque passage chez toi me donne du tonus Julie !
RépondreSupprimerpareil pour moi... Après une journée de travail dans le monde de l'enfance handicapée, et des problèmes posés par une personne âgée de la famille, dont l'âge accentue la méchanceté habituelle; la visite sur ce blog me remets en forme, et me donne de l'ESPOIR.
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