Devrais-je mette ici quelques lignes ?
tu voudrais regarder,Peut-être et aussi celle qui m'a le plus profondément ébranlé:
mais tu ne vois
que ce qu’elle te montre
(la tyrannie)
"toi même est tyrannie" un peu plus loin,
mais le reste, aussi, je l'ai vécu presque tout qu'il écrit
1944-2004: Un phrase sur la tyrannie
Je voulais m'arrêter ici, mais j'ajoute ces quelques lignes, une heure après. J'avais écrit dans mon journal de jeunesse cette poème recopiée, juste avant que je m'embarque sur mon voyage, le premier seul, qui m'avait conduit presque au même lieux de Transylvanie que j'étais revoir en juin. Mais cette partie suivra bientôt là.
Ce que je voulais vraiment ajouter, était que je dormais dans le logement de cousin décédé de maman, hérité par les jeunes, j'ai fuillé avec leur encouragement entre ces anciennes livres toujours en boites de carton et retrouvé son dernier journal : un calendrier dans lequel il mettait ce qui le touchait le plus. Ce qu'il osait, aussi, probablement.
1984 : Cluj, Roumanie,
le 25 janvier, il note :
Police : machine à écrire, approbationOn n'avait pas le droit d'avoir une machine à écrire sans demander l'autorisation chaque année de nouveau et donner d'exemplaire imprimé par la machine à la police. Le même année il dit un peu plus tard : "aucun chance d'obtenir mon passeport". La tyrannie en action. Il n'a pas vécu le tombé de régime et les jeunes qui vivent dans le logement, ne se rappellent même pas, ne comprenne pas tout que cela a pu réprésenter pour lui, écrivain, étudiant la littérature et culture des autres pays.
je n'ai pas de fièvre mais mauvais nuit.
Merci, Jaques de me signaler que j'avais oublié de mettre le nom de l'auteur, partout. Il l'a écrit en 1950 déjà, mais c'est seulement après la révolution hongroise de 1956 que nous avons réussi à l'avoir et le passer, écrit à la main, de l'un à l'autre. C'est un très long poème, mais chaque mot compte, parle.
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