dimanche 17 juillet 2005

Jardin, dimanche matin

Il n'était pas encore aussi chaud que maintenant, en plus, le soleil n'arrive vers moi que l'après-midi. Il fait presque soir, maintenant, j'ai fermé les fenêtres, je regards mes roses jaunes de l'intérieur, mais j'ai ceuillie aussi trois qui sont devant la fenêtre. Hier soir, elles sentaient encore merveilleusement, avec le temps, les roses coupées perdent leur parfum souave, hélas. Avec le soleil qui les illumine, elles me sourient, me procurent de la joie. J'essais toujours de trouver de la joie en quelque chose.

Cette photo-là, c'est de l'extérieur, avec un bout de fenêtre de ma chambre. Je venais de couper un peu le superflu. Il y a des branches, comme des hommes, qui envahissent tout. Ne savent pas laisser de place aux autres, leur prennent l'air, l'eau, le terrain, tout. Mon rosier n'arrivait plus à respirer, j'espère qu'il se sent mieux depuis.

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