Il y a toujours des étages supérieurs de connaissance. Une fois que nous avons atteint une étage, on se voit soudain les marches de la suivante.
J'aimais toujours les récits, dès mon enfance. Je me les racontais et racontais aux autres, je les dessinais et écrivais. Ce n'est que a partir de mon arrivée a Londres que je les raconte en public. Il y a tellement des accents différents par ici, que la mienne est plus facilement acceptée qu'en France : il parait moins 'étrange'.
Voilà deux livres pour aller 'plus loin', celui de Doug Lipman parle des rapports entre l'audience, l'histoire et le raconteur. De l'importance d'offrir le récit a l'audience lors le spectacle et aussi de mesurer des détails sous le filtre de ce qui est la chose la plus importante pour cette occasion et ce récit. Laisser le reste dehors.
Pour un même récit, cela peut varier avec l'occasion et ceci rendra aussi plus flexible et plus authentique la rendu du récit.
La deuxième livre, reçu seulement ce dernier mois va très profondément dans la 'psy' humaine en analysant en détail les 'pourquoi'. Pourquoi nous dépendrons tellement des histoires, pourquoi nous voulons suspense, pourquoi des bon fins, ainsi de la suite.
Que de responsabilité !
C'est bien au moins de savoir et comprendre, même si ce n'est facile de tout prendre en compte. On progresse par degrés et j'ai encore pas mal devant moi.
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