Même quand, il y a quarante, puis trente-neuf ans, j'avais mon horizon obscurci, mes espoires de mariage heureuse et époux doux démantis, j'avais mon travail, mes nouvelles études de l'Alliance Français, mais surtout la joie que mes enfants me donnaient.
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Au travail, les sept laborantine à qui j'apprenais à travailler, les nouvelles méthodes de travail que j'introduissais et à la maison mes deux enfants qui en grandissant m'offraient de la joie nouvelle chaque jour.
Je n'aurais pas pu écrire de ces instants si douleureux (enfin, années), si je n'avais pas la chance de me plonger dans la joie, chez Gelzy. Voir l'image qu'elle (ou lui) a pris de moi: la plus belle je crois jamais prise depuis très très fort longtemps.
Et je peux écrire plus facilement de ce qui m'était arrivé il y a quarente ans, et les quelques années trop longues d'une certaine point de vue qui suivirent, parce que j'ai passé une semaine magnifique et pleine de chaleur à la montagne.
RépondreSupprimerJ'ai un calendrier au dessus de mon poste de travail à la maison qui cite Albert Camus et qui me fais penser à ton post d'aujourd'hui, je te le livre car tu en fais déjà bon usage :
RépondreSupprimer"Au plus fort de l'hiver, j'ai finalement compris qu'il existait en moi un invicible printemps."
C'et toujours un bonheur de passer chez toi.
RépondreSupprimerJe t'embrassse
moi je vous adore...quel plaisir de vous lire...
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