jeudi 27 août 2009

24 08 09 le soir


Je ne suis pas sortie beaucoup ses jours-ci, et hier, je n'ai pas mis dehors même mon nez, mais il y a toujours quoi faire chez soi.

J'ai reçu quelques livres nouveaux, une partie pour repos, le reste pour étudier. "The story factor" par Annette Simmons, Raconter une histoire, elle dit, c'est mieux communiquer aussi dans le travail.

Avec pleines des bonnes exemples, elle explique comment une bonne histoire, souvent personnelle, une vraie histoire, même si dit avec des détails et dialogues ajoutées reste vraie, s'il contient notre vérité.

Enfin, pas "toute" la vérité et "rien que" la vérité. Mais l'essence de la vérité et dont nous y croyons.

Une histoire, raconte mieux que les faits, elle dit, parle pour nous.

Le livre est difficile à lire, trop dense. Il faut que je le prends a petit doses. Elle raconte surtout "pourquoi et quand et quelle genres de récits" parlant plus de travail pour le moment, mais ce livre complément très bien "The power of personal storytelling" qui lui, dit comment trouver nos histoires à raconter et comment l'apprendre.

Depuis une semaine, je sais ce que sera le "centre" de mon prochaine discours, dans un mois, mais chaque jour la façon le dire, l'introduire, la finir, les détails, changent.

La figure de mon père revient de plus en plus en ma mémoire et aussi tous les récit de sa vie qu'il m'a raconté dans mon enfance. Il était un magnifique raconteur!

Longtemps, je me suis imaginée que j'ai plus reçu de maman que de mon père, mais je me rends compte chaque jour de tout ce qu'il me reste de lui, à travers lui.

Ce n'est pas mon propos dans le discours, mais prouver l'importance de raconter des histoires personnelles dans un discours, mais en moi même, je parle de plus en plus de sa vie à lui, de ses histoires, et aussi combien ses histoires (sans lire pour cela aucun livre pour le prouver) l'ont aidé dans son travail, de premier jour à la fin.

Et oui, je vais raconter son premier entré le premier jour dans le premier pharmacie, quand il devait proposer les cosmétiques qu'on lui a confié. Ensuite, comment son histoire, (je ne vous le raconte encore ici) m'a aidé moi, trente année plus tard.

J'ai lu, qu'on ne dois pas "sauter en arrière" dans un récit qu'on dit, mais pourtant, j'avais tellement envie de commencer par moi et comment je me suis soudain rappelé de son histoire quand j'avais le plus besoin!

Ces jours-ci, a la maison, j'ai regardé et photographié les nuages, mais cette image de ma lampe me plait davantage. Un peu mystérieux, la réflexion, non?

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