Offrir attention

Je viens de lire, dans un ou plusieurs livres, que ce dont nous avons le plus besoin ces temps-là, serait l'attention.

Si c'était vrai, en tout cas c'est une des choses qu'on en a besoin, cela expliquera pourquoi de plus en plus des gens sont ravies quand je demande de faire un portrait d'eux.

Je leur donne de l'attention.

Regardez, le ravissement des ces deux vendeuse dans le petit marché de puces de Greenwich, hier.

Ensuite, j'ai pris un homme, pas loin de là. Il est devenu heureux, après que je lui ai parlé en peu, dit quelque chose sur ce que j'aimais sur lui "sourire?" d'un coup, bien sûr, j'en ai reçu une plus grande.

Les gens que j'ai pris "lisant" et ceux près de lui, m'ont par contre regardé avec méfiance: je n'ai demandé, je ne me suis même pas approchée.

Ensuite, j'ai pris un mannequin en tee shirt rouge et chapeau blanche. Mais l'homme, derrière la table, était prête: et moi? Il a pris le chapeau et regardé aussi sévèrement que son mannequin. Posant, presque menaçant.

C'est lui qui a posé d'abord des questions sur moi: il a aimé mes réponses. Je suis un mixture, ni tout a fait ceci, ne tout a fait cela. Et j'ai expliqué davantage. Ensuite, il m'a dit: moi, nous plus!

Vous voyez, les sourcils, c'est chinois, le moitié est Irlandais, et j'ai vécu a Londres. Mais j'étais aussi a Budapest, Buda et Pest, j'étais a la télévision, là, une fois. Non qu'il parlait autre chose que anglais: probablement, il était figurant? Mais quelle bonnes mimiques!

Quand je lui a dit, il a abandonné le regard sérieux, il souriait heureux, à partir de là que je l'ai apprécié. Il a même enlevé ensuite sa veste, je dirais pour me montrer ses muscles. Il y avait de quoi!

Hélas, je ne pouvais pas rester davantage, j'étais venu au puce avec un autre photographe qui s'impatientait a aller manger quelque chose sur le marché près de puces, mais je vais lui rapporter ses photos.

Je voudrais bien entendre, un peu de ses histoires.

Mais aussi, savoir plus des deux filles sympa! Que c'est fantastique, les relations humaines!

Au marché, en buvant un jus des fruits mixés, nous avons appris davantage sur l'autre, le jeune photographe d'origine américain et moi. Sur ma vie, sur sa famille, ses espoirs.

C'était des heures, minutes magiques, même si je suis revenue de nouveau épuisée. Est-ce parler, écouter qui me fatigue, ou est-ce c'était le marche vers le musée, ensuite?

Thames Path

On peut aller beaucoup des kilomètres au long de la rivière Tamise.

Hier, nous avons pris le train, Klara, son petit chien Pipa, et moi, jusque London Bridge station. Nous sommes venus vers l'est, au lieu d'aller vers le centre.

Au début, pleines des cafés, bourré du monde et d'animation.

Tant des Londoniens, se promenant avec leurs enfants ou leur amoureux, ou lisant sur l'herbe ou prenant leur déjeuner tardif dans un restaurant, que des touristes venant d'un peu partout.

J'ai pris la photographie des filles arrivés de l'Inde, admirant le petit chien, le caressant. La rivière, les bateaux qui passaient, le pont Tower Bridge de tous ses coutures.

Ensuite, nous sommes arrivés vers la périphérie, plus tranquille, des fabriques transformées en logement, quelques magasins "port" encore restés comme tel. Des maisons anciennes et d'autres nouvelles, refaites après que le port a été tout à fait détruit par des bombardements.

Des petits squares ici ou là, plus près de la rivière. Par ici, peu de monde. Trois hommes buvant de la bière. J'ai conversé avec eux, pris leur photos. Klara s'est éloignée, plus tard elle me dit: ils étaient ivres! Peut être oui, mais des ivrognes sympathiques, amicaux.

En voilà l'un d'eux, celle de la photo le mieux réussi d'eux.

Plus loin, un pair d'amoureux, près d'un banc avec un homme de fer. L'homme qui est là en tout temps et tout saison, soleil ou pluie, chaud ou froid le laisse indifférent.

Il regarde sa petite fille aussi de fer, jouant éternellement près de la rivière et un chat de fer perché sur le bord.

Je me suis assise a côté: Klara voulait me prendre en photo, là.

Pour quelques instantes, j'ai tenu le main de l'homme de fer. Souris! Mon sourire était un peu triste, soudain trop des choses se sont passés par ma tête. Peut-être, vous, mes chers lecteurs, me connaissant un peu déjà, vous pouvez deviner un peu tout ce qui s'était passé par ma tête dans cette instant.

Mais au-delà de la triste sourire, le sourire dit aussi le défi, regard la partie pleine de la verre: la vie est belle, malgré tout!

Lisant

Les gens lisant, ici sur la place, absorbé dans son bouquin.

Moi, je lis de plus en plus dans mon lit, assise, avec pleines des coussins dans mon dos, ou sur mon sofa commode dans le salon.

Dans ma collection des gens qui lisent, il y a une jeune dame lisant dans la piscine, de l'eau chaud, peut-être même thermal, près de Budapest, Hongrie. Des gens lisant sur la porte ouverte d'un poids lourds, et bien sur, dans les parques, mais aussi lisant pendant qu'ils marchent dans la rue.

Des gens âgés, comme moi, mais aussi des enfants qui lisent les images déjà avant de comprendre les mots. Lire seule, des fois en lisant ensemble.

J'adore les livres et j'adore les images des gens qui lisent!

Je dois avoir au moins 300 déjà sur flickr, mais je n'ai pas encore mis toutes dans mon album "People Reading". Peut-être, je devrais aussi faire un choix plus réduit - personne ne va aller regarder une telle quantité!

Pour le moment, je vais me plonger dans ma livre "raconter des histoires" ou mettre mon nez dans les nouveaux livres que ma belle fille m'a emprunté ce matin.

La vie est passionnante après 75 ans! J'apprends tellement des choses nouvelles, je vois autrement des choses que je savais.

julie 75 par le photographe RogerD

Quand je me regarde dans le miroir, je vois une femme fatigué et pleine des rides.

Rien de spécial en cela!

Quand je me vois, de temps en temps, ainsi, je me dis "pas si vieille finalement!"

En fait, nous sommes tout cela a tour de rôle, et l'appareil autant que l'art de Roger étaient supérieurs pour m'offrir cette image-ci.

C'est la troisième jour à me dire: "aujourd'hui je sors, aujourd'hui je nage, aujourd'hui je vais prendre des photos!" et me voilà, lire, étudier, perdu dans le web, en regardant blogs, photos, vidéos, des récits et des programmes pour les jours à venir.

Pourtant, quelle belle journée dehors!

Je sors, ne soit que pour quelques minutes! Maintenant, toute suite!

24 08 09 le soir

Je ne suis pas sortie beaucoup ses jours-ci, et hier, je n'ai pas mis dehors même mon nez, mais il y a toujours quoi faire chez soi.

J'ai reçu quelques livres nouveaux, une partie pour repos, le reste pour étudier. "The story factor" par Annette Simmons, Raconter une histoire, elle dit, c'est mieux communiquer aussi dans le travail.

Avec pleines des bonnes exemples, elle explique comment une bonne histoire, souvent personnelle, une vraie histoire, même si dit avec des détails et dialogues ajoutées reste vraie, s'il contient notre vérité.

Enfin, pas "toute" la vérité et "rien que" la vérité. Mais l'essence de la vérité et dont nous y croyons.

Une histoire, raconte mieux que les faits, elle dit, parle pour nous.

Le livre est difficile à lire, trop dense. Il faut que je le prends a petit doses. Elle raconte surtout "pourquoi et quand et quelle genres de récits" parlant plus de travail pour le moment, mais ce livre complément très bien "The power of personal storytelling" qui lui, dit comment trouver nos histoires à raconter et comment l'apprendre.

Depuis une semaine, je sais ce que sera le "centre" de mon prochaine discours, dans un mois, mais chaque jour la façon le dire, l'introduire, la finir, les détails, changent.

La figure de mon père revient de plus en plus en ma mémoire et aussi tous les récit de sa vie qu'il m'a raconté dans mon enfance. Il était un magnifique raconteur!

Longtemps, je me suis imaginée que j'ai plus reçu de maman que de mon père, mais je me rends compte chaque jour de tout ce qu'il me reste de lui, à travers lui.

Ce n'est pas mon propos dans le discours, mais prouver l'importance de raconter des histoires personnelles dans un discours, mais en moi même, je parle de plus en plus de sa vie à lui, de ses histoires, et aussi combien ses histoires (sans lire pour cela aucun livre pour le prouver) l'ont aidé dans son travail, de premier jour à la fin.

Et oui, je vais raconter son premier entré le premier jour dans le premier pharmacie, quand il devait proposer les cosmétiques qu'on lui a confié. Ensuite, comment son histoire, (je ne vous le raconte encore ici) m'a aidé moi, trente année plus tard.

J'ai lu, qu'on ne dois pas "sauter en arrière" dans un récit qu'on dit, mais pourtant, j'avais tellement envie de commencer par moi et comment je me suis soudain rappelé de son histoire quand j'avais le plus besoin!

Ces jours-ci, a la maison, j'ai regardé et photographié les nuages, mais cette image de ma lampe me plait davantage. Un peu mystérieux, la réflexion, non?

Ramadan est arrivé de nouveau

Avec Ramadan est arrivé aussi l'utilisation d'une des mes images (pâtisserie d'Argenteuil) prise il y a trois ans, publié dans un magazine français-polonais, publiant des recettes.

En fait, je suis toujours ravie quand quelqu'un découvre une de mes images et l'utilise sur le Web, tout en n'oubliant pas d'envoyer ses lecteurs vers ma site Flickr, d'où la photographie était trouvée.

J'avais acheté en fait ses sucreries et même consommé a la maison, petit à petit, hélas les 95 kgs ne sont venus, il y a trois ans pour rien. Cette fois aussi, je dois faire gaffe, mais je fais quand même nettement plus d'attention.

Bien sûr, ce qui mange ses gâteries, comme les soirs de Ramadan, ne mangent rien d'autre toute la journée!

Autour de moi, il n'y a pas des traces de Ramadan, mais je sais qu'à la fin du mois de Ramadan, il y aura un grand festival sur Traffalgar Square.

J'ai d'un coup, une semaine entière tranquille devant moi. Ma voiture marche bien de nouveau. J'ai envie l'essayer sur la route. Peut-être un petit excursion à Oxford? Il serait pourtant plus sage d'y aller en train! Mais la sagesse et moi n'ont pas toujours étaient les meilleurs copains.

J'aime les aventures, les imprévus!

Surtout, quand ils tournent bien. Aller sans trop savoir vers où. Découvrir. Comme un enfant.

Une photo de moi dans une gallery du Londres

Ha, ha, pas de la gloire. Mais dorénavant, je pourrais le dire, si jamais je le voudrais: j'ai exposée à Londres!

Entre 15 personnes, venant voir samedi dans la Gallérie les photographies, un ou deux se sont même penchés à regarder la mienne, qui était au niveau bon pour les enfants. Bien sûr, il s'agissait d'un gosse à PARIS. Au dessus, une photo de Notre Dame, que je n'ai pas aimé spécialement, mais juste un peu plus loin, un magnifique portrait d'un noir.

J'étais plus déçu encore qu'ils n'ont pas mis ni nos titres ni nos noms, ou la place prise, rien autour des images. "Il est dans le livre!" - livre qu'on ne pouvais pas acheter sur place seulement allant sur le Web. Il y avait un exemplaire pour regarder.

Voilà les quelques images prises samedi a la Gallérie.


Comparez les 15 visiteurs, dont deux ou trois se sont penchés pour regarder ma photo, unique, avec les 1500 par jour qui regardent au Flickr mes images a travers l'internet : Viva le Web! Viva la communication "direct".

Je viens aussi découvrir aujourd'hui, une site qui publie mes "meilleures" images et mes dernières (avec retard) images. C'est appelé Djibnet. Je ne sais pas combien des gens viennent regarder là, mais Google vient juste me signaler de son existence. Tant mieux, une place de plus où mes images sont visibles.

Finalement, ce que j'apprécie, c'est pouvoir montrer, communiquer. Ensuite, chacun a ses préférés, aime ou ne l'intéresse pas. Les réunions que nous avons chaque mois, a la Gallérie, entre les "London Independent photographers" sont très intéressantes, même si l'expo n'apporte pas grande chose.

Une leçon, peut-être, quoi ne pas faire (ou faire) la prochaine fois.

Soho London

Soho, district des théatres mais aussi quartier chauds de Londres. En allant de Carnaby, rue des modes à travers les rues étroites qui m'attiraient vers la gare Charing Cross, j'ai tombé pour la première fois sur des rues "à la Pigalle de Paris."

Pleine de matériel à photographier!

Mais la route vers cette rue et après, était aussi très intéressante, j'ai rencontré pleines des gens sympa, pompiers, filles buvant de thé a la menthe ou garçons de la bierre, prêt à se laisser photographier.

Comme d'habitude, j'ai prise aussi des instantanées, pour l'atmosphère, sans déranger les passants.

Vers la fin, je suis arrivé devant un théâtre avec pas mal des touristes. Comme j'étais perdue, j'ai demandé mon chemin et finalement, avec 3 pounds, je suis retournée a la gare, pas loin d'ailleurs, tiré par un bicyclette!

Carnaby, rue des modistes

Carnaby street, dans la pluie et soleil.

Après l'expo Kertesz, avec Roger et Susan, nous sommes passés près de Carnaby street. Ils sont partis faire des courses et moi, je me suis engouffrée avec ma petite Sony dans la rue.

Suivez-moi.

Avec un clic, vous pouvez le rendre plus petit ou encore plus large.

Quelque fois cela parait très longue

Quand tout s'écroule dans notre vie, et hélas ceci arrive a tout le monde, jeune et vielle, riche et pauvre, intelligente ou moins, hommes et femmes et, hélas des fois même des très jeunes, on peut se dire:

"Cela servira a quelque chose! Du merveilleux, nouveau, en sortira."

On peut le dire, et même comme moi la croire de plus en plus, mais ce n'est pas facile. Le mieux parait très éloigné.

Non, il ne m'est rien arrivé maintenant, c'est l'image que voilà qui me l'a suggéré et la préparation de mon prochaine discours, pour dans un mois.

Puis-je persuader ceux qui viendront m'écouter que quand on les a mis "a disposition", congédié, on pas passé à l'école souhaité ou eu l'amour qu'ils espéraient, cela "c'est pour leur bien dans la vie". Que pour sûre, la vie leur réserve quelque chose de meilleure?

Quand je regarde dérrière sur ma vie, c'est vrai.

Les oiseaux qui chantent ne sont pas aussi loin qu'on a l'impression, les lendemains seront mieux. Mais la route jusque là est longue, ne vient pas d'un coup et quand on est devant un coin, c'est impossible de voir ce qu'il nous attend de l'autre côté.

Quelquefois, c'est des marches qu'on doit grimper, une montagne où il fait froid, de la solitude, de la persistance nécessaire pour persévérer et continuer. Surtout quand on ne voit même pas le bout!

J'ai des exemples de ma vie à donner.

Quand on m'a interdit d'aller suivre des études Universitaires.

J'ai appris à apprendre seule, à la maison - pour toute la vie.

Quand presque arrivé tout en travaillant finir mes études ingénieur, on m'a déclaré ennemi d'état (l'État étant représenté par Elena Ceusescu, son mari alors n'était 'que' chef de Securitate) et on m'a empêché à finir mes études, continuer n'importe lesquelles études dans une école et même interdit de travailler même en manœuvre pour deux années.

A cause de cela je suis partie finalement de la Roumanie Communiste - j'ai vécu de mes 28 ans dans des pays libres et démocratiques. La différence dans ma vie, je ne peux même pas le décrire, tellement c'était énorme!

Quand je n'ai pas pu rester vivre en Amérique, comme je le désirais à un moment donné de tout ma cœur - je suis revenue en France et j'ai trouvé une travail (après qu'on m'a dit que je suis trop vieille et pas française et je ne trouverais plus dans la recherche) - la plus passionnante de ma vie: micro informatique.

Je ne vais pas continuer, mais il y eu aussi d'autre occasions quand cela n'a pas tourné comme j'espérais. Ma coeur semblait se casser en deux, la vie pesait sur mon épaule. La période de transition était à chaque fois trop longue.

Mais j'ai toujours trouvé une vie meilleure, une que je ne pouvais même me l'imaginer avant que la tragédie frappe et interrompe la marche "normale" de ma vie.

Comment exprimer ceci en sept minutes et donner courage a tous qui sont en bas de pente juste maintenant?

Un regard amical

Encore une visage sympatique de la plage. Qu'il soit dans la rue, sur la plage ou pendant qu'on donne un discours, un regard amical donne courage et réchauffe le coeur.

Ouf, j'ai parlé hier soir.

Sauf le président, qui était sceptique sur le moyen utilisé pour démonstration vidéo, lui ne croyant pas en utilisation des ordinateurs et projecteurs, et un autre qui était de son avis, les autres 16 présents ont pas mal aimé ma présentation.

Bien sûr, il aurait pu aller mieux, je dois apprendre à lier davantage ce que je montre sur l'écran avec mon discours, et sept minutes n'est pas beaucoup pour faire tout. Peut-être, la prochaine fois, j'utiliserai le projecteur pour montrer une seule image saisissante.

C'était sur l'importance de la Pause dans un discours.

On peut commencer par une pause, en regardant les gens et leur souriant. Suspense. On dit que Napoléon faisait attendre les troupes et plus il les regardait sans commencer, plus sa petit stature paraissait s'agrandir. Son accent corse diminuer.

On prend la commande.

Il y a aussi des pauses pour donner plus d'importance à ce qu'on vient de dire ou ce qu'on dira ensuite, entre parties des phrases ou paragraphes ou même mots. Je viens en écouter quelques grandes discours, c'est très effective.

Que fait-on pendant la pause,

On regarde l'audience, on souris, on est sérieux, on respire profondément ou boit un peu d'eau, ainsi de suite - mais pas mal des auditeurs m'ont dit hier "la prochaine fois, j'utiliserai la technique de PAUSE, c'est vrai, qu'on se dépêche souvent trop quand on parle.

Diaporama du matin a la mer

Au bord de la mer

Hier, partie de huit heures de la maison, dix heures en voiture, je suis rentrée vers onze heures de soir.

Une longue, belle journée en famille, au bord de mer.

Une heure et demi de distance de Londres, Brighton et Hove, en descendant vers le sud.

Même si je me suis rendu compte que je ne supporte pas bien le soleil, mais je le savais déjà, et que mes pieds et muscles ne sont pas bien préparés pour des cailloux humides, la journée était extra!

Famille. Soleil. Photographie. Découvertes.

Ce soir, mon discours sur l'importance de la PAUSE, quand on parle. On verra ce que je donne, mais finalement, je suis préparé. Je me suis réveillée même ce matin en le disant.

Ce matin a l'aube

Sur le chemin vers la cuisine, avant six heure, j'aperçois le ciel rougissant dehors. Vite, je cherche, trouve et prends mon camera et prends quelques images des nuages roses.

Pas si mal, mais rien de spécial en fait.

Je teste en prenant moins avec le zoom, en le mettant l'exposition un peu plus foncé pour que le "rouge" soit aussi profond comme mes yeux l'ont perçu et pas comme le camera l'estime. Un peu mieux.

D'un coup, mes yeux tombe vers bas.

Le hasard, mais pas tout à fait. J'avais le camera dans le mains et l'intérêt pour la photographie.

Voilà, une photo que j'aime. Ce matin, dès le réveil, j'ai fait quelque chose me rendant contente de moi même. C'est si important, la confiance en soi!

En fait, je ne suis pas si sure de moi, je ne sais pas laquelle des deux images sont meilleures.

Elles paraissent la même, mais en fait elles sont prises des angles différents, au bord de la fenêtre, regardant vers le bas.

C'est aussi une grande plaisir de voir que mon amie Klara a qui j'avais confié mon pot au fleurs a eu si bon soins, en trois semaines, que les géraniums commencent à refleurir!

Un vieux monsieur et une jeune dame

Deux propriétaires des chiens minuscules bavardaient hier dans le parc de Greenwhich: un vieux monsieur avec son barbe blanche et une jeune dame de 86 ans.

Le vieux monsieur n'avait pas encore 60 ans!

On ne vieilli pas avec l'âge, mais comment on voit le monde. Il avait des vieux vues sur le monde "je suis technophobe!" disait-il fièrement. "Quand j'étais jeune, je développais seule mes photos, mais j'ai perdu l'envie..." J'ai eu l'impression en discutant avec lui, qu'il a perdu envie de tas des choses et trop tôt dans sa vie.

Par contre, la jeune dame de 86 ans, ma copine Klara avec qui je me promenais dans le parc (pour aérer son chien) reste jeune: non seulement elle se promène une heure ou davantage jour à jour, soleil ou pluie, mais pendant l'année Universitaire, elle va trois fois par semaine au Collège. D'un côté pour des cours de Joga, d'autre, pour apprendre "Mise en Page" ou cette année "Utilisation plus avancé de Word, dernière version."

Elle reste jeune, nettement plus jeune à 86 ans que le vieux monsieur de 56 ans!

Arrivant à Londres - stations de train

Il y a pleines des stations a Londres.

• Il y a 40 ans, on arrivait de Paris à Victoria Station.
• Plus tard a Waterloo "forget Waterloo!"
• L'Eurostar arrive à St.Pankras/King Cross maintenant
• Le London Bridge station le plus populaire peut être pour échanger
• Le Liverpool station
• Paddington va vers le nord et Ouest surtout
• Charing Cross arrive au milieu de Londres

Il doit y avoir d'autres, que je n'ai pas encore testé!

Pleine de vie autour des stations et dedans: depuis un temps il est interdit d'interdire de prendre des photos même dans les stations!

Quelques images des divers stations, ici présentés avec "picnik" pour tester.

Bravo! J'ai l'impression que le programme Picnik donne de très bonne résolution aux images (ou plutôt les conserve)

Tout est bien qui finit bien

Bien sûr, j'ai fait deux heures de Croydon a la maison, mais bien sûr, c'était la faute de ma tendance à se dépêcher. J'ai pris à Croydon Est le premier train vers Londres centre, allant a Victoria station au lieu de London Bridge.

Réparations a Victoria, pas du train direct vers chez moi.

De Victoria a London Bridge station de train, il y a eu d'abord 20 minutes d'attente, ensuite 20 minutes en train. Je crois que même a pied, j'aurais arrivé plus tôt. A la fin, bien sûr, encore attendre le train allant vers Blackheath où j'avais laissé ma voiture.

Hier, j'étais fatiguée toute la journée.

La visite, inattendue, de mes petits enfants m'a tout à fait revigorée!

En plus, imaginez-vous, mon petit fils de huit ans a réparé dans moins d'un minute le télé que je voulais jeter: il ne marchait plus depuis deux mois! Click: il marche maintenant. Au moins, tel qu'avant.

Ils m'ont aussi apporté des figues et des fleurs et laissé des dessins. Quelle joie!

Philip Khan-Panni a Craydon Toastmasters

Au début, cela paraissait qu'il va devoir tenir une conférence juste pour quelques uns entre nous, moins de dix, mais après qu'il a commencé la salle s'est rempli tout a fait.

Ici, avant la conférence "comment parler et atteindre l'audience", il vérifie le système vidéo - avec sa femme? Ou une autre Toastmaster?

Il a dit des choses très intéressantes, tout fois, je n'ai pas eu l'impression d'une personnalité ultra sympa, malgré qu'il est un excellent orateur, avec gestes, voix, idées, trucs, etc. En plus, il a raison.

Chacun de nous a quelque chose spécial, seulement nous l'avons. Trouvons-le, et nous avons un "sujet" a parler dont personne ne peut le faire, au moins pas comme nous.

Deuxième message fort, savoir en quoi notre audience peut en profiter, pourquoi le message principal a lui transmettre l'intéresse, le concerne.

Somme tout, lourd tâche, parler "bien" en public! Des années de réflexions et pratique en plus!

Je suis bien arrivé (avant la plupart d'ailleurs) mais en revenant, j'ai fait plus de deux heures et aujourd'hui je suis bien fatiguée.

Habillé dans son tatuage

Se promener dans le parc et l'exposition Tai dans son tatouage - ou se coucher sur l'herbe comme au bord de la mer - a Londres, pour moi, c'est un comportement "very Brittish".

Plus des extrêmes ici, peut-être qu'ailleurs.

Il faisait très chaud, bien sûr, mais si les femmes commenceraient à s'habiller de la même manière? Bon, il avait du pantalon ou short, je ne m'en souviens même pas.

Je ne comprends pas bien pourquoi quelqu'un met tellement des choses sur sa peau, surtout qu'il me disait que c'est "du vrai"!
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Le discours c'est bien passé et tous ont compris la force du Pause. M'ont dit, on sent aussi que tu as fait pas mal des recherches (c'était le but de ce discours). J'étais trop tendu et n'a pas fait attention assez a l'inflexion de ma voix.

J'ai aussi demandé quelqu'un à enregistré mon discours, mais ne sachant comment faire, a la place, il a effacé deux discours enregistrés de mon dictaphone. Par la suite, j'ai enregistré bien, la dame qui a parlé, très sympathiquement de mon discours. On peut donc enregistrer - bon, bien de savoir pour une autre fois. A sauvegarder avant de donner dans le main d'un autre!

Encore un a préparer pour la semaine prochaine, j'aurais quoi faire d'ici là!

Thailand près de chez moi

Je ne dois aller en Chine, Afrique, Brésil, Inde pour me dépayser, je peux découvrir a Londres pleines des cultures et rencontrer des gens, née là, a l'occasion des divers festivals.

Juste trois images, des cent, pris dimanche pour illustrer.

Porte festive.

Art et tradition.

Jeune vendeurs, visage d'ailleurs.

Paysage de Sandwich

Ma famille était au bord de la mer et je viens de recevoir l'invitation a regarder des magnifiques images me plongeant dans leur joies.

Les deux petits enfants sont devenus des vrais modèles, ils posent chacun sur d'eux mêmes. Les candides, prises en pleine mouvement, ajoutent au tableau ainsi que les paysages autour de Sandwich.

Tous me disent que bientôt, je devrais y aller aussi, mais m'enchantent en plus avec les images de plages de famille et admiration pour la photographe, Lili sur Flickr. (http://www.flickr.com/photos/annelise/)

Ce soir, je parlerai au Toastmasters: enfin j'ai trouvé comment. Maintenant, je dois l'apprendre aussi bien que possible!

A quelques pas de chez moi

Je dois faire moins de trois minutes pour arriver au bout de ma rue: le pré est là! Je n'ai jamais habité si près de la nature.

Ville, d'une côté de la rue, les bus et quelques boutiques (ville ou village?) et de l'autre côté le pré et ensuite le parc de Greenwich (celui de heure Zéro). En allant vers le parc hier, pour prendre quelques photos du festival Thaïlandais, j'ai pris quelques images que j'aime presque mieux que celles du festival. Sauf les portraits... je ne les ai pas encore mise sur le Web.

En revenant, j'ai même trouvé et mangé quelques mures sauvages dans les coins plus cachés du pré Heath, me régalant et toute ravie de les avoir découvertes en suivant un sentier moins utilisé.

Cela peut s'avérer intéressant à ne pas suivre toujours les grandes routes.

J'ai envie d'aller a la mer

Voir un marché d'Angleterre, les rochers et le sable, et peut-être même les maisons au bord ou découvrir un port des pêcheurs - il doit exister!

Toutefois, je ne crois que cela sera bientôt.

D'ici mardi, je dois écrire, apprendre mon discours sur le Recherche "Comment parler en Public" et Jeudi il y a une rencontre intéressante sur le même sujet. Vendredi? Mais la semaine prochaine, je parlerai aussi, mercredi.

De vendredi à mercredi, pas mal des journées!

Le problème est que je ne suis pas inspirée, depuis quelques jours je lutte avec le sujet. J'ai trop lu, trop regardé, comment mettre "tout" dans sept minutes? Quoi laisser dehors? Quelle angle prendre?

En fait, ce matin j'ai une idée nouvelle. Orienter le tout en disant que la recherche et les chercheurs sont des enfants qui s'amusent à découvrir ce qui les intéresse. Souvent presque a l'hasard.

J'y crois.

C'est aussi qu'un bon discours arrive, mais il faut lui laisser le temps à mûrir. Je vais tâcher le décrire au lieu le dire d'abord, qui sait...

ps. dans l'image, "live" bougeant encore! brrr

Portrait d'une lady moderne

Elle est venue juste avant mon départ de Londres, changer la housse sur le sofa du salon, la fille de l'agence de location.

Puis-je prendre un portrait? Bien sûr.

J'ai prise plusieurs, tout en racontant la vérité: je suis jalouse de la mode de cette été (et les été juste avant probablement) et c'est une des raisons pour laquelle je regrette d'avoir 75 ans et pas 25 ans maintenant.

J'avais à l'époque aussi quoi montrer, mais ce n'était pas du tout la mode, pour une lady surtout, bien élevée. Ma mère m'avais même interdit de m'acheter un soutien gorge "les femmes sérieuses ne montrent pas un seine pointu qu'on voit quand on en porte!" me disait-elle.

Je n'étais jamais particulièrement belle, ma peau très pleine des taches de rousseur aussi, mais mon corps n'était pas mal - sauf qu'on ne pouvais deviner cela qu'en costume de bain, près de l'eau.

Il ne me reste plus maintenant que de rêver et regretter - a quoi sert d'être une femme ou jeune fille de 25 ans trop sérieuse?

A ne pas parler de 21 ans ou 22 ans, je n'avais même pas reçu un baiser en ce temps-là. Même si je porte maintenant un bouton, disant "oublie 75 je me porte comme a 21" (je devrais dire 25), cela vient un peu tard. Bon, on ne peut quand même tout avoir a 75 ans, même si effectivement il y a encore de la vie, même après....

Chez moi

Revenir est toujours agréable, avec pleines des souvenirs d'ailleurs.

Cette fois, j'ai demandé ma fille m'offrir cette tasse sur lequel s'est écrit (en anglais, traduit ici) ces mots dont je me suis délectée à lire chez elle matin après matin en buvant mon café.

Je ne jetterai rien, je ne frapperai personne, je ne hurlerai pas, je ne ferai pas du scandale, je ne vais pas me jeter par terre, je suis l'enseignante, je suis l'enseignante.

Ah, comment on aurait pu l'exprimer mieux: des fois même celle qui enseigne aurait envie de se comporter comme une gosse!

Chaque matin, en buvant mon café je penserai dès maintenant a ma fille et son travail difficile a l'école avec 28 petits de six à sept ans.

Ils me manques déjà

Je regards cette image, une des dizaines que j'ai prise - dans celle-ci j'ai mis les visages tout a fait flou - sinon, c'était une plaisir de regarder les expressions féroces voir sérieux, mais déjà leur posture dit tout.

Ils ont surtout appris a jouer, s'attaquer et se défendre sans se faire mal l'un a l'autre.

Derrière moi maintenant la piscine ouverte - mais je devrais profiter du soleil et chaleur retrouvé ici encore pour quelques jours pour sure. Je me délecte toutefois de mon cher appartement retrouvé - c'est une plaisir et étonnement la trouver si bien rangé et net!

En France, je n'arrivais pas les dernières temps (ou jamais?) a ne pas avoir trop partout.




Retournée hier a Lewisham Toastmaster's Club, en plus de Grammairien, on m'a demandé de parler sur un sujet donné a la dernière minute, mais une thème que j'ai adoré.

Oui, oui, on n'a pas besoin qu'on soit reconnu - mais pourtant, c'est agréable...

"Vers 1965 les femmes en France ont commencé à porter des monokinis, 'pourquoi ne pas être a la plage comme les hommes?' mais il parait que ces jours, personne n'y va plus ainsi. Pourquoi?

J'ai répondu longuement, en deux minutes et demi. Finalement, quelqu'un a résumé mon speech avec "Less is more" - Peu et Plus. Montrer un peu seulement est nettement plus intéressant, intriguant, que montrer tout. Ou presque tout.

En venant a la maison, je sais aussi qu'il y a une deuxième raison: il n'y a plus de besoin, pour la nouvelle génération des femmes a prouver qu'on est égales aux hommes comme on en avait il y a 40 ans! Finalement, c'est le plus important. Au moins, en France.

Etre féminine, est devenue de nouveau 'admissible' être soi sans imiter les hommes.

Ce soir, retour a Lewisham

Retour a Lewisham et mon role, dans la réunion des Toastmasters, qui apprenons a mieux parler et mieux écouter en Public.

Hier, nous avons déjà eu une réunion de la comité nouvelle, pleines de travail interessant en perspective.

En plus, préparer mon discours pour la semaine prochaine.

Plaisir de rencontrer mes collègues Toastmasters, j'espère que mq voiture démarrera sans problèmes. Pleines des choses a résoudre après trois semaines d'absence, ainsi que m'habituer de nouveau au clavier français de mon ordinateur.

Un peu fâchée avec une spammeuse qui envoie toujours le même message - que veut-elle? M'obliger a interdire les commentaires Anonymes? Cela interdira tous qui ne peuvent pas commenter autrement - je ne veux pas à cause d'une seule méchante individu, que d'autres, tous de bonnes intentions souffrent.

En plus, ce n'est jamais de commentaire sur ce que j'écris, juste un texte, toujours le même, pleine des injures politiques - rien a voir avec mon blog!

Entre tous les bonnes volontés dans le web, hélas, on ne nous laisse pas oublier qu'il y en a aussi des gens malignes, pleins des volonté de nuire ou spammer. La vie, hélas, et le Web aussi, n'est pas seulement un jardin pleine des roses.

Que faire des épines?

Arrivée, chez moi

On commence de plus en plus jeune a prendre des photos, maintenant! Cette jeune photographe, posant avec plaisir, me montrait ensuite fièrement ses photos!

Que des souvenirs ramassées dans trois semaines!

Une fois que j'aurais dormi quelques heures d'affiliés, je pourrais tirer les premières conclusion de cette été si bien commencé - en tout, en gros; sauf mon poids: trop de kilos en plus au retour.

Depart bientot

J'attends et bientot, demain matin, je serai de retour, pres des cabines telephoniques rouges!

A la prochaine.

Departs, aventures

Un des mes petits fils est parti près de la mer, pour une semaine, nous rentrons demain a la maison - a Londres.

Ce 'bioniaque' est le cadeau que mon petit fils a souhaite de moi a ses douze ans, et un lapin qu'il a fourre lui même de son père.

J'ai déjà l'appréhension du voyage - une fatigue d'avance.

Cela passera!

Je laisse ici ma famille avec un peu de cœur serre mais rassurée et des nouvelles aventures m'attendent une fois traversée l'océan en sens inverse.

J'adore les nouvelles aventures, mais je n'y vais pas sans un peu d'appréhension néanmoins.

Retour

J'avais envie de m'arrêter la, me souvenir de la journée quand, il y a cinq ans, je m'y suis arrêtée pour la prendre en photo.

Comment cela fait que je ne me souviens pas des noms des gens, mais apres des années passees je me souviens de chaque photo prise? En tout cas, je me souviens tres nette de cette photo-balade, seule, prés de la Porte sur la rivière de Washington DC.

Avec Rosemary cette fois, qui ne comprenais pas pourquoi je veux m'y arrêter, mais a attendu avec patience que je prenne quelques images qui me rappelaient des anciens temps.

'Il y a un peu de brouillard' a remarque seulement.
Il y avait aussi alors, il y a cinq ans.

Que des choses même, que des choses différentes!

Un jour, je pourrais tout décrire, peut-être.