Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
vendredi 31 mars 2006
Fauteuil de mon enfance
Les fauteuils n'ont que de valeurs sentimentaux, mais c'est beaucoup!
Depuis hier soir, j'ai ajoute dessus, un grand tableau avec les photos des jeunes maries ayant construit la maison ou je suis, datant environ cent ans, avec la mere, donc arriere grand mere de mes enfants et deux de premiers bebes du couple.
Ainsi, ma famille et ceux de pere de mes enfants se trouvent reunis et pres l'une de l'autre.
une sortie jeudi matin
Promenez-vous avec moi, j'ai fait des photos hier matin au long des trois rues, partout que mon regard m'attira.
Je suis meme entre me faire couper mes cheuveux et tant la coiffeuse que sa cliente pour une fois ont ete enchantes a etre prises. Tout ma journee n'a pas ete une succes, mais tout ne peut reussir a chaque fois.
Mais cette cote de Bucarest m'enchante.
Jeudi matin a Bucarest, Roumanie
jeudi 30 mars 2006
Esperance
moi je dois esperer un peu d'ameliorations seulement mais dans son cas, je crois que meme sur cette image hative vous pouvez voir tout ce qu'il en esperait
On progresse
Il y a une annee, les poeles de faience servaient encore pour le chauffage, j'ai mise de chauffaux electrique sans me rendre compte combien cela consomme en juste trois jours! Il faudrait installer le gaz il parait que c'est encore la meilleure, si je peux je mettrai en branle puisque pour la mansarde il n'y a pas encore ni conduit ni autorisation.
Hier, vers la soiree, ma niece nous a donne, enfin, les trois fauteuils qui viennent encore de mon enfance et mes parents, qui sont restes chez ma belle soeur depuis que je suis partie en 1961, et dont je n'aimais pas la nouvelle tapisserie (et que mon fils avait reussi d'obtenir que sa tante lui lege). Avec la peinture rose forte des murs de la chambre que je n'ai pas aimee non plus, les fauteuils s'integrent fantastiquement!
Et je viens me faire une maniqure, ici ceci ne coute pas tant que ca, environ trois euros, depuis juin derniere mes ongles n'ont pas ete si bien. Dimanche je suis invitee a midi et puis on me pretera une voiture et cette apres midi corve de dentiste, a n'importe quel prix, je n'en rafolle pas.
Et non, je ne vais pas raconter chaque jour ce que je fairai, je promets trouver des choses plus amusantes.
Pour le moment je nage aussi dans les 'lei" changes de 10 000 en 1 (environ trente centimes) mais jusque la fin d'annee les deux sont en vigeur et circulent. Bon, c'est assez pour cette fois.
mercredi 29 mars 2006
Radu est le fils de mon amie Alina
C'est eux qui ont travailles, mais j'etais fatiguee moi aussi. Ce soir, on continue avec les installations. Bonne courage, Julie - je me dis.
Monter ou descendre derriere
Maison de loin
En bas, c'est beau, en haut, encore beaucoup a faire. Mais depuis trois jours, deja enormemant des progress.
La Maison
lundi 27 mars 2006
Ils ont luttés pour s'en sortir
Deux peres, le mien et celui de mon mari en 1960, une mois apres notre mariage.
Actuellement, je suis dans la maison de mon feu beau pere a Bucarest. Parti de rien, venant de village en ville a 9 ans, il a trvaille tout sa vie. Il a fait batir la maison pour toute sa famille vers 40 ans,
dur dur d'ecrire d'un cybercafe de Bucarest, j'ai aussi mis des images sur flickr, que je n'ai pas reussi non plus a apporter ici, encore.
dimanche 26 mars 2006
Pause
Avez-vous remarqué mes archives à côté? Elles sont classées mois par mois.
Si vous cliquez sur une mois, non seulement tout les notes de mois apparaissent, mais dans le marge apparaissent aussi tous les titres de ce mois-là.
J'étais assez fier d'avoir réussi à obtenir le table de matière automatique pour chaque mois. Cela peux vous guider vers un titre qui vous attire.
J'ai aussi une photogblog et une site avec maintenant environs 50 vidéos (que j'ai publié déjà la plupart dans mon blog) mais bien sûr rien en compraraison aux vidéos de Gelzy, au lettres d'Aben.
Par contre, probablement ma vie pourrait vous intéresser, j'ai commencé à publier mon journal écrit dès mes dix ans, en forme d'un "livre web" et continue aussi mon blog journal (où je suis arrivé déjà plus loin, bientôt vers mes cinquante ans).
Encore plus intéressant, mais plus dur comme lecture est le journal de Sidonie, ma grand-mère. Elle avait plus de talent d'écrire que moi, elle avait écrit de journal pendant qu'elle a été emporté dans le camp de concentration de Bergen Belsen, sur la route, là bas, et après. Elle l'a dédié à ses petits enfants, dont je fais partie. C'est poignant, c'est gaie, c'est elle telle qu'elle la ressentait sur le champs et tout suite après, sans fard et sans faire "beau et gentil".
C'est une lecture que je vous recommande comme les lettres d'Aben (Dédé) conscrit pendant la guerre d'Algérie, qui lui aussi écrivait comme il le vivait.
Des témoignages vrais.
Bonne lecture, en attendant le retour de mon blog, j'espère d'ailleurs très bientôt.
Avant partir, après la pluie
Pourquoi je suis si mélancolique, cette fois?
D'habitude j'adore partir, j'adore voyager et je regards avec plaisir à ce qui viendra et pas à ce que je laisse derrière moi.
samedi 25 mars 2006
Kolozsvar Cluj-Napoca
Kolozsvar Cluj-Napoca
Vidéo envoyée par julie70
Je ne sais pas si je pourais y aller cette fois à Cluj.
J'y suis née et j'ai vécu jusque 15 ans presque, puis passé presque toutes mes vacances scolaires. Je l'aimais énormément et je l'aime encore, retrouvé après plusieurs dizaines d'années d'absence, en juin dernier (quand j'ai fait les photos de ce vidéo)
Le récit commence en traversant les villages vers la ville. Dans ce vidéo-là, je n'ai pas mis les belles maison de centre. J'ai mis ceux de ma jeunesse. La rivière en face que je voyais de notre terasse de 2e étage, la maison où nous habitions et la fenêtre de ma chambre. La maison où j'achetai des bonbons (un à un) quand j'avais enfin assez d'argent.
Puis, les gens de marché, venant des villages voisinants qui ne vendent pas "en gros" mais vendent ce qu'ils ont produit. Probablement, avec le temps cela changera et le supermarché est à côté, mais pour le moment, ils mettent devant eux juste un petit tas. Où est-ce aussi un moyen de mieux vendre? C'est possible.
J'allais vers le lycée, dès 11 ans, en traversant la rue longeant le marché, donc c'était aussi un souvenir fort. La seule chose que je n'aimais pas était le printemps, avant pâques, les têtes ensangloté des moutons entiers pendant des boucheries. Il n'y sont plus. A la place, on a mis une marché des fleurs. Plus loin les légumes et séparément les fromages.
La meilleure souvenir est la rivière "petit Samos" qui longe encore l'autre côté de la rue de la maison. Les accacias sont remplacés par des saules, l'odeur n'est plus là le printemps, mais la rivière coule toujours de la même façon en ayant vu des choses qui s'y sont passés à son bord.
vendredi 24 mars 2006
Petru, un inconnu
avec qui j'avais bavardé une heure dans la parc de ma jeunesse, à Cluj-Napoca. Je ne sais pas si j'irai cette fois-ci, Bucarest où j'atteris n'est pas la porte à côté et mon amie Alina va être opérée a la fin du mois.
Je sais que le cataracte n'est pas grave, mais quand même. Si je pourais, j'irai par contre avec elle plus tard à Mangalia, faire des bains de boue, il parait que c'est bon aussi pour mon genoux. Il faut seulement un peu de marche pour qu'il se manifeste trop depuis septembre.
Je n'arrive pas encore à croire que je partirai en seulement quelques heures, et tout ce qui m'attend à faire là-bas. Je n'aime pas Bucarest comme j'aime Cluj, où j'étais jusqu'à 15 ans), mais peut être il y a des gens sympa là aussi, au moins pour bavarder une heure.
En tout cas, bien sûr, il y aura Alina et aussi une cousine de maman, et d'autres aussi. Avec Alina, on peut parler en s'interompant, en discutant avec vehemence, tout en sachant que cela ne fait rien, finalement on s'aime et on s'apprécie tel qu'on est.
Autre chose que l'ordinateur et mes appareils photos et leurs accessoires, je ne sais pas encore ce que je prendrai avec moi. Peut-être quelques photos papier, pour montrer. Mais que j'aime le plus? En général, les dernières. Mais il y a quelques unes qui durent et que je regarde sans m'ennuyer depuis des mois. Je vais vous mettre deux entre elles, ici, de ces photos dont je ne m'en suis encore ennuyée.
Des cerises de jardin date d'il y a deux ans, j'espère que cette année je serais là pour en ceuillir. Cette photo raconte une histoire, une histoire et société et des familles formées ou cassées, heureuses ou pouries - pour moi.
J'aime toujours regarder les formes dans cette photo, prise alors que j'attendais David qui était entré chez orthophoniste. La perception... nous fait, me fait compléter la fauteuil manquant d'un boût et en ajoute même la deuxième (qui était bien là, d'ailleurs, même si on ne le voit qu'avec les yeux de l'esprit, dans cette photo ci.)
jeudi 23 mars 2006
Tour Eiffel attend le printemps
De la fenêtre de la voiture que mon fils conduisait, je voyais pourtant assez bien le Tour, mieux que l'appareil. Lui, voyait surtout ses trois arbres sinistres.
Et nous sommes allés pour la deuxième fois pour rien. Mardi, ce n'était pas ouverte, le consulat, mercredi il nous ont dit, une fois que nous avons attendu notre tour venir qu'il ne font pas de legalisation des documents, comme écrit dans leur site, que pour les citoyens roumains. Aujourd'hui, nous irons à un notaire d'environs pour qu'il legalise la signature qu'il me faut pour la procuration à m'occuper de l'appartement de là bas.
C'était humide et moisi, plein des détritus et d'un odeur impossible il paraît, celui qui l'a laissé dans cet état m'affirme ce matin qu'il laisse le sofa pour que je puisse y dormir, et que c'est sec dorénavant. J'espère.
Pas trop, peut être pour cela que cette photo me convient et exprime un peu comment je m'en sens. J'ai peur de ce que je vais y trouver.
Que c'est loin des jours quand mes beau parents avaient quatres enfants et tout la maison leur appartenait et ils en prenaient bien soin!
D'abord, un enfant est parti à la guerre, puis la fille s'était mariée, puis les communistes les ont mis dehors tous de la maison et ont mis d'autres locataires. Pendant plusieurs dizaines des années, ils n'ont pas eu acces à leur propre maison.
Quand enfin ils ont eu le droit d'y aller, mon beau père et belle mère étaient déjà très vieux, ils ont habité en bas et nous sommes allés leur présenter leurs deux petits enfants français, dont ils étaient très fiers.
Au dessus, habitait ma belle soeur qui s'en ai occuppé bien de mes enfants les été quand je les envoyais là, et c'est après elle que ma petite fille s'appelle Gabrielle.
Tout en haut, au troisième sous les toits, là où je vais maintenant, habitait, acceuilli par les autres, un étudiant venu de village, membre plus lointain de la famille. C'est cette appartement que mon fils a hérité en viager et que je vais tâcher, pour ne pas laisser tout le passé s'en aller mettre un peu au point et conserver en famille.
Mais les trois arbres me disent pour le moment autre chose et un peu d'épouvente est entré ce matin dans mon coeur. Tristesse aussi, pour la famille. Mes beau-parents morts depuis longtemps, mais il ne reste plus aucun de leurs quatres enfants en vie non plus. C'est maintenant aux nouvelles générations de voir s'ils peuvent en sauvegarder quelque chose.
Mon fils, s'est décidé qu'il le veut. Il y est passé des jours depuis son 6 mois, quand nous sommes allés le montrer la première fois! Il est né en PIcardie et il est français, mais parle aussi bien anglais et roumain et j'admire son respect des traditions restant en lui.
mercredi 22 mars 2006
Pour fêter le printemps
Ce que j'ai vu, comme je l'ai vu (même si après je l'ai modifier pour qu'il montre ce que j'ai vu et pas ce que l'appareil a pris).
Il était très simpa, très expressif, plein des divers expressions, dont j'ai pris plusieurs hier.
Il m'a même offert mon café! Dans cette portrait, il ne paraît pas aussi sympa qu'il était en réalité. Il avait un visage très mobile, et ne restait pas longtemps sans bouger et changer d'expression.
Vous le voyez ci-dessous, dans un autre moment.
Tant lui que le patron du café "je suis toujours là et c'est toujours moi!" était très sympa. Jusque je n'ai pas pris regardé à la maison toutes les images prises, je ne me suis rendu compte combien photogénique le patron était. (Son photo est publié le 20 mars).
Je me suis sentie à l'aise entre eux et les autres hommes de ce bar. En écrivant ceci que je m'en suis apperçue, qu'il n'y avait - à cette heure au moins - que des hommes. Et bien sûr, surtout, mais pas seulement des hommes ne travaillant pas. Mais le jardinier des blocs voisins, deux gardiens de paix déguisés je crois en travailleurs d'eau sont entrés aussi. Le café se trouve près de police de quartier et de maison quartier de la mairie.
C'est un peu sombre, mais très acceuillant, comme presque tous les café bars français.
mardi 21 mars 2006
Quelle art, quelle profondeur et vérité!
LA LOUE PRINTEMPS
Vidéo envoyée par gelzy
Ce matin, j'étais tellement bouleversée en ouvrant son blog et en écoutant sa voix! Je vous dirais, précipitez-vous, mais déjà, écoutez ici. Ensuite, chaque matin, allez chez elle, on ne sais pas quand mais de plus en plus souvent, vous la trouverez en chantant, en racontant des histoires, en récitant ses poémes ou chansons.
Elle en a créé tant et continue, maintenant en combinant avec des photos exprimant de ce qu'elle parle, de ce qu'elle chante.
Quelle art et dédication depuis des années! Quelle chance pour nous maintenant qu'on peut y acceder!
Puis, en allant vers le blog de Jeune Divorcée, elle nous rappelle que le Planing Familial a 50 ans. Pour moi, il y eu une certaine vie avant l'avoir découverte, et une autre, après 1970 quand je l'ai découverte et eu enfin la Choix de mon propre corps et futur. A eux et à Simon Veil (et Guiscard tout au début de sa présidence) on doit les lois permettant enfin de parler de contraception, non seulement avoir droit à l'avortement.
Saviez-vous, que même parler de comment faire pour ne pas tomber enceinte, était puni par la lois, auparavant? C'est a cela, entre autres, que servit le Planning Familial: à l'intérieur d'une Association, on avait le droit de Parler! Demander, avoir des réponses et de l'aide.
Avant, j'ai failli mourir, en fausse couche à Lyon, on avait peur de tout et nous étions diabolisées, toutes les femmes ayant des problèmes. Oui, on doit beaucoup à Planing familial et aussi à ceux qui ont luttés pour les droits des femmes. Droits jamais accquise pour toujours, hélas. Il ne faut pas oublier!
Hier soir, j'ai parcouru le blog d'Aben, le nouveau blog que Dédé a créé pour publier les lettres d'un jeune conscrit appellé et envoyé finalement en Algérie pour quelques mois. Ses lettres écrits à sa maman 'chers parents' presque jour à jour pour plus de deux ans, me bouleversent et me dont une joie au coeur analogue aux chants de Gelzy. Différement, c'est de l'art, c'est de la vie, une tranche de vie qui nous parvient de profondeurs de coeur de quelqu'un. Passez de temps, lisez-les, vous n'allez pas le regretter!
Je serais absent la semaine prochaine, probablement - mais allez voir Gelzy, allez voir Aben et tous les autres sur mon lien. Découvrez-les, vous serez enchantés!
lundi 20 mars 2006
Les cinq photos choisies
Porte de ma voisine, vient s'ouvrir
Ma voisine ouvre sa fenêtre, "je viens me réveiller!" elle dit, mais quand j'ai dit (et c'est vrai) qu'elle est très bien coiffée, elle s'était rassurée pour la photo.
Porte de Boulengerie, fermé lundi matin
Le boulangerie n'est pas encore ouverte à Val Notre Dame, mais le coin c'est un bon point de rencontre, la vie se déroulle, d'après qu'on peut voir dessus.
Je disais que la théme, aujourd'hui est "porte d'entrée", j'en ai pris pas mal, peut être celle ci est ma préférée. Ce n'est pas bien sûr la plus belle des portes de mon quartier, mais... elle m'a paru misterieuse (jusque quelqu'un entre rapidement - une autre photo).
Porte presque dérobée, entre deux boutiques
Mais le propriétaire et serveur du café du coin travaillait depuis longtemps déjà et tant lui que les clients matinals (plutôt boire que le café que j'ai demandé) se sont prêté avec gentillesse à ma séance des photos, et j'en ai fait pas mal. Finalement, un des clients, heureux que je l'ai prise, m'a offert le café.
Je n'ai pu résister...
J'ai oublié de dejeuner, alors je vais acheter du baguette épi, (spécial printemps?) et je n'ai pas résisté, faire quelques photos, tout comme l'année dernière.
Mais cette photo, j'aime bien, mieux que les bagettes de l'année dernière publiés ci-dessous.
Et vous?
Venu du printemps
Ce matin, je dois faire des images avec un sujet suggeré, pour le même groupe: les portes d'entrées. Et bientôt, sur la site du groupe, nous verons des portes du monde entier, à partir de Australie et Japon, où le jour a commencé depuis longtemps, traversant l'Europe, allant vers les Etats Unis plus tard.
C'est fascinant de sentir le globe terrestre, l'heure, les divers coutumes et environments!
En plus, vers la fin de la journée, chacun (qui veut) dira quelques mots comment il a passé sa journée, ajoutant ainsi un peu de texte à ses images, comportant (quand on n'oublie pas) le mot clé "dilomar06"
Je viens de regarder toutes les photos qui sont déjà avec ce tag, (mot clé) et j'ai trouvé celle-ci venant d'une étudiante en Australie qui n'est pas très loin du sujet de mes bagettes de mon boulenger du coin il y a une année. La première porte arrive de Curiouskiwi de New Zeeland et l'image qui suit d'Australie.
Making pide" par Helen Morgan, Australie, Melbourn.
dimanche 19 mars 2006
Diaporama London avec Sony bridge
Diaporama London avec Sony bridge
Vidéo envoyée par julie70
C'est les meilleures images de la première journée faites avec une de mes deux appareilles, permettant de zoomer au besoin.
En passant en coup de vent
Voilà aussi une diaporama meilleur et plus complet (arrive! bientôt)
London une petite vidéo
Diapo London petit
Vidéo envoyée par julie70
Mon voyage de Londres, quelques photos et vidéos de la première journée. Trois minutes en tout, mais je crois qu'elle va un peu trop vite.
Rassemblées avec Photoshop Elements, trituré par Premiere Elements, puis mis en Avi par Quicktime et en Flash par Dailymotion. Je crois que c'était un peu trop, au moins pour les images avec le son.
Arrivée avec l'Eurostar, j'ai traversé à pieds le pont sur la Thamise, puis regardée la vie se dérouler à Traffalgar square vers onze heures le matin. Plus des piegeons que des touristes, des enfants et des manifestants et policiers dans un coin, tranquilles.
La première tableau sur laquelle j'ai tombé au National Galérie, était Boulevard Clichy sous le neige par une impréssioniste américaine: j'y avais habité pas loin, mais je ne l'ai jamais vu sous le neige!
Ensuite, un tour de ville sur le bus touristique, puis arrêt à Coven Garden à cause d'Eliza de My Fair Lady. Finalement, je crois que les images sont mieux en grand et nature, mais ici je vous donne un petit apperçu de ce que j'avais vécu la première journée.
J'ai déjà 50 vidéos sur Dailymotion, plus ou moins intéressants. Avec plus de 8000 photos sur flickr, je suis plus avancée en photographie qu'en vidéo, mais j'apprends, tant à faire des diapos que de tourner des mini séquences.
Vous pouvez aussi regarder tout simplement, comme moi, le bateau mouche des touristes passer sous le pont. Ou alors, écouter un instant le saxophonist slovac dans le métro de Paris, même avoir l'impression de sentir mes doigts caresser. Mais les plus populaire de mes vidéos, sont Mémorylane, très courte, montrant la maison de mon enfance avec la rivière devant, pas très bonne et trop courte, mais aussi Pigale, pourtant devenue saccadée après les transformations subies. Je dois encore apprendre pas mal, mais je m'y mettrai, je promets.
Pour le moment, je suis enchanté que ce blog parait marcher de nouveau! 'A peine j'ai écrit ceci que pouf, il a réfusé d'enregister le reste. J'ai dit trop vite: "tout va bien!"
samedi 18 mars 2006
Earl's Court Metro station
Un spectacle habituelle, il a juste commencé à jouer en attendant le train (métro) arriver.
J'ai envoyé cela de Flickr, juste pour voir si cela marche ou non, sans vraie espoire: et c'est passé! Hurrah!
Mais j'ai un peu marrrrrrrrre qu'à un moment donné il ne marche plus de nouveau!
En tout cas, je viens de décider de tacher de publier aussi les mêmes entrées pour quelque jours à mon blog de dépanage:
http:julie70b.blogspot.com/ créé lors que mon blog a disparu la dernière fois. Maintenant il parait et disparait, selon humeur.
Londres, regarder, voir, comprendre
Je ne me souvenais pas par contre de la patine merveilleux de ses immeubles, ni de la gentillesse de ses habitants, leur patience et indulgence avec les autres.
Je ne me souvenais pas, au contraire, des metros qui arrivent rapidement les uns après les autres, des bus circulant partout et non pleins, des hôtels et bistrots pas chers, non plus.
La première fois quand j'étais là, le metros prit demi heure (et pas deux minutes) à arriver, le bus était bondé. Pas cette fois ci.
Et les prix. On peut faire Londres à petit buget, quoi qu'on dise.
D'abord, 30 euros pour aller (d'acc, c'était sur le champs et pour retraité, mais il y a plein des offres spéciales et le TGV Eurostar était long et pas rempli du tout). Puis, les hôtels, on vous dit qu'ils sont chers, 100 euros ou 60 au minimum. J'ai trouvé à la station de train un à 27 pound (2/3 pound euros aprox) la nuit, mais à la station Earl Court, près d'où c'était, il y a une contoir et j'ai vu écrit "hotels à partir de 19 pounds" aussi.
Ensuite, j'ai dépensé 18 pounds pour le touriste bus, mais je ne regrette pas à cause de la première impression et aussi parce que j'étais fatiguée et malgré tout réalisé des bonne photos, mais le lendemain, à la station de métro le receveur me dit que si je prends un billet après 9h30, je peux avec 4 et demi pounds circuler toute la journée sur tous les métros et tous les bus à l'intérieur du grand Londres. J'en ai acheté un et pris plusieurs fois le métro et des bus divers: quelle amusement!
Les métros marchent rapidement, mais il y a pas mal des corridors, tout comme à Paris. Mais on voit plus "le monde de tous les jours!" Les bus arrivent rapidement et vont dans tous les directions.
J'ai payé la première journée à midi 4.5 pound pour une soupe de purée de pois avec lard et pain de campagne, mais c'était délicieux et ailleurs, j'ai pu avoir tout un repas pour autant. En revenant, à la gare de Nord, on m'a demandé autant juste pour une café et un petit pican pie.
J'ai regardé autour, d'abord les touristes et les enfants venant des écoles dans la musée (heureusement un jour pas plein) et toujours gratuit, puis les manifestants tranquillement et le policier surveillant avec bienveillance et sévérité en même temps, les pigeons picorant.
J'ai vu! du lait délivré devant une porte toute rouillé dans le cartier chinois, et un jeune garçon se faisant filmer par son copain pour son blog sur le pont vers le Musée, pont piétonier et très belle, j'ai entendu chanter ave marie gratuitement par une jeune femme à Covent Garden, j'ai vu la diversitée de cette merveilleuse ville.
Je me suis souvenue aussi des pas mal des choses relatives à Londres, mais pas ici, pas maintenant.
J'ai surtout commpris comme une seule expérience peut vous laisser des préjugés, hélas. Pleins de mes préjugés se sont envolés en ces 30 heures passés à Londres. J'ai compris aussi mieux, même si rapidement, les anglais et leurs "laisser vivre les autres".
En attendant qu'il fasse 9 et 30 pour mon billet (c'était 5 minutes avant), à la caisse de la station métro Early Gray, il n'y avait que deux caissiers. Pendant plus de dix minutes l'un était occuppé avec une jeune femme paraissant chinoise et parlant mal l'anglais voulant obtenir un billet à un prix spécial. Pendant tout ce temps, on ne lui a pas dit rien avec impatience et on lui a expliqué de nouveau et encore ce qui est possible. Devant l'autre caisse (j'y étais heureusement vers le début) entre temps une énorme queue c'était formée. Les caissiers et les gens on souris avec indulgence.
Je me suis dit, ce qu'aurait arrivé en France?
En tout cas, à chaque fois que j'ai demandé quelque chose, on a eu énormément patience avec moi aussi. Et malgré tout les "règles", on m'a laissée finalement entrer dans le métro, deux minutes avant neuves heures trente avec mon billet pour la journée!
J'espère pouvoir retourner à Londres et découvrir, regarder, voir, me souvenir et comprendre davantage de la vie là-bas.
J'espère, qu'aujourd'hui...
Vos blogs à vous m'ont manquées déjà à Londres d'où je ne pouvais pas vraiment les lire, et en plus, ma note quotidienne m'es devenue une habitude important. En plus, j'ai quoi qu'on dirait, une trait de responsabilitée développé et je ne voulais pas decevoir mes lecteurs qui s'attendent, tout comme à un feuilleton, me lire jour à jour.
Me lire régulièrement, j'espère que vous apporte quelque chose d'agréable dans votre vies, il a apporté surement dans la mienne. Agréable et utile, c'est une discipline que je n'avais pas jusqu'à il y a une année et ma note quotidienne m'a apporté des nouvelles choses.
Bien, vous avez raison, "choses" et "apporté" encore et encore, mais c'est tellement vrai!
J'ai écrit et continue d'écrire de journal intime depuis 62 ans maintenant, mais je l'écris pour moi surtout et pas régulièrement. J'écris quand l'envie me vient. (Mais maintenant je le publie jour à jour et comme je ne suis arrivée dans une année qu'à 45 ans, il y a encore pour une temps!) Mais ce blog est différent, même si au début était plus pour moi et experimenter, maintenant je suis consciente qu'il y a presque 170 entre vous (pas beaucoup et énorme en même temps) revenant pluie ou beau temps, (et même hier au pire journée 70 entre vous ont persisté et je vous dit un grand merci).
C'est une responsabilité et une énorme plaisir en même temps et même si d'habitude le sujet arrive sans problèmes, d'autres matins (vous avez bien observé tout comme François que je m'y mets tôt) je commence à comprendre ceux qui écrivaient des feuilletons ou des articles quotidiens et se demandaient "et ajourdh'hui, de quoi vais-je parler?"
Hier, j'avais tellement à dire sur mon voyage et sur Londres!
Je m'y mettrai, petit à petit. J'espére, cette note va se publier sans problèmes, j'espère qu'on pourra le commenter rapidement, pas comme hier, j'espére. J'attends que l'orage se passe, non pas avec patience qui n'est pas entre mes qualités (si la persistance y est), et déjà, je sais, que j'aurais appris quelque chose du mésaventure de hier et de ce blog étant sur le serveur qui a fait les siens. J'ai appris que attendre que le "mieux" arrive après le m. c'est long et ce n'est pas facile quand on y est, quand tout parait gris d'un coup et on n'a plus envie de rien faire.
J'oublie trop vite, pourtant j'ai eu des périodes de ma vie, après un coup nettement plus sérieux qui parraissait gris et long et dur et sans fin. Mais une fois ressortie et vue le mieux que cela m'apportait, j'ai tendance à oublier comment c'est dur à attendre.
En vérité, comme je ne suis pas très patiente, comme je l'ai dit déjà, je n'attends pas. Comme un poisson au sec, je frotille, je bouge, j'essays de m'en sortir, retrouver l'eau, sauter ailleurs, m'agite - avec ou sans beaucoup du succes. Quelque fois, ce que je fais fait avancer les choses plus rapidement, autre fois c'est les autres ou "le sort" s'il existe qui intervient pour me sortir du mauvais pas et me montrer par où aller, que faire.
Et vous, qu'en faites-vous? Que pensez-vous, comment doit-on faire quand on se sent d'un coup au fond du gouffre ou glissant vers bas? Cela arrive dans toute vie, la question n'est pas là, mais comment faire pour s'en sortir plus rapidement?
Faire autre chose, pour préoccuper l'esprit par exemple est une bonne tactique, mais ne marche pas bien à chaque fois. Hier, je ne me suis même pas habillée! Et c'est seulement le soir que je me suis ramassée assez pour faire, sinon une leçon entière de mon livre Photoshop au moins une partie. J'ai appris, j'ai compris une technique nouvelle, en rouspétant et avec difficulté.
Vais-je pouvoir vous envoyer ceci sans problémes? En tout cas, je viens le recopier, au cas où...
vendredi 17 mars 2006
Et cela, va marcher ou pas encore?
Impressions de Londres
Je ne sais pas si vous pouvez voir ce message, j'arrive la publier mais pas le voir! Et vous? Après dix heures, il paraît que mon blog est revenu! hurrah!
Les premières images de Londres
Les premières images de Londres, entre mes préférées.
Je suis revenue assez tôt finalement, hier il faisait froid et non seulement le brouillard empêchait à faire des bonnes photos et bien voir, mais il pleuvetait légèrement. En plus, après quelques petite promenades, à Picadilly Circus, Soho et Chinatown, près de Embarcadère, je me suis sentie fatiguée et lasse d'un coup.
Elles étaient exactement où je les avais laissé, même la place n'était pas occupé!
Quelques portraits, des gens qui m'ont paru très british mais très différents les unes des autres, un peu des images sur la rue de mon hôtel, du quartier chinois.
L'ouvrier de contruction près de station Waterloo. Le policier devant le musée National, les deux ont accepté de se laisser photographier, celui du dessous était moins content, pourtant quand on manifeste devant le musée, on devient "figure public". En plus, il avait une visage intéressant, nettement plus que ses collegues (ils n'était pas nombreux, cinq ou six et ne dérangaient pas les autres touristes).
Et voilà, une entrée typique de Londres, dans les rues autour de l'hôtel (mais aussi d'autres endroits): entrée vers en haut, et entrée vers bas séparées.
Je suis trop fatiguée pour en mettre plus ou les commenter davantage. Cela viendra aussi.
jeudi 16 mars 2006
Comment c'est arrive?
Je me suis decide en m'habillant: si je peux, j'y vais aussi pour un jour ou deux. J'en avais assez a rester dans le lit, lire ou étudier entre quatres murs. J'ai pris les appareils photo, vérifie que les mémoirs d'appareils sont dedans et sept minutes plus tard, j'étais devant l'appartement de mon fils. Vers huit heures moins quart, il debarqait: "Merci, maman, à temps!"
Et la voiture? J'ai trouve une place devant l'hopital Lariboisiere et je me suis précipitée pour acheter un billet retraité (30 euros aller et presque autant pour le retour) et je suis arrive avant le départ de huit heures sept minutes. Sur le chemin vers mon wagon, j'aperçois mon fils et lui fait signe: une sacré surprise pour lui!
Vingt ans avant, je suis une fois partie presque aussi rapidement chez mon amie Anne habitant à Budapest, à sa invitation et à l'incitation de mon fils. Alors, une fois en vingt ans... ce n'est pas coutume.
J'ai trouvé un hotel pas cher (27 livres) pour Londres, moins que moitié qu'on disait le moins cher (d'acc, sans salle de bains privée, et alors?) et j'ai traverse le Thamise a pieds pour me rendre a Traffalgar Square, puis visiter le Musée National très riche (photos après mon retour)
J'ai pris le bus des visiteurs et vu du haut pas mal de Londres l'aprèys-midi, m'arrétant seulement à Covent Garden en souvenir du film My fair Lady et du Pigmalion de Bernard Show dont c'était fait, le debut de la piece de theâtre se passe là. Tant le film que la pièce sont tellement imprégnés dans ma memoire!
Le deuxième stop, Hyde Park Corner, plein des jonquilles mais peu des gens, ce début de printemps. Puis le bus visiteurs me dépose au métro Baker Street où j'ai bu une thé au lait merveilleuse. Seulement six stations de métros plus loin, Earl Court et mon hotel "lointaine", mais auparavant je suis entrée dans le MacDo (ou je suis ce matin encore) pour vous envoyer la note de jour. J'adore ce que la discipline d'envoyer une note par jour m'a apportée.
C'est la première fois que j'entreprends quelque chose, en pensant pas mal (mais pas seulement)à avoir quelque chose interessant à écrire dans ce blog. Oui, j'ai un présent et un futur, non seulement une passée, même si tout me parait lié.
Et les accents, il faudrait les deviner. Je les mettrai une fois à la maison, ainsi que les photos. (Et voilà les accents, les images commencent à venir dès demain.)
mardi 14 mars 2006
Une leçon d'hongrois
Comme vous voyez, sur l'image, c'est quelques mots hongrois, simples, trouvés devant un musée. Regarder, Voir, Se souvenir, Comprendre. J'ai aimé cette suite des mots parlants et applicables non seulement à un musée.
Une seule précision, l'accent se met, en hongrois, au début des mots.
En roumain, ils seront : Se uita, se vede, se aminti, intelege.
En anglais: Look, See, Remember, Undersand.
Comme je suis pres de la station Earl Court, dans un Macdo de Londre, ce n'est que normal de le mettre aussi en anglais, n'est-ce pas? Mais de ca et comment je suis arrive ici, demain.
Et dans d'autres langues, comment?
Toujours plus?
Chaque matin, au réveil, c'est devant moi, pas trop loin, sur le secrétaire, regardant toujours et encore vers le haut.
"En haut", que ne n'arrive toujours pas à bien prononcer même après 40 ans en France. Quand j'aidais à démarrer en informatique un vieux et sympatique curée, ancien de Fontembleau, il ne comprenait pas bien comment peut-on faire une chose sur son nouveau Macintosh, des différents manières.
N'étant pas satisfait qu'à sa demande "Lequel est la bonne voie?" je réponds "Il n'y a pas une seule bonne, chacun choisit pour soi!", il m'a mise à ma place en me disant: "on ne dit pas en Haut" mais "en o" ou quelque chose comme ça.
C'est mon mari, Sandou, qui m'avait acheté cet animal taillé en bois, dans un station essence sur le bord de l'autoroute de Yougoslavie, et il fait partie de ces "petits riens" qui pour moi disent beaucoup. Il me l'avait offert, puisque je l'avais aimé et regardé longtemps, mais ajoutant tout suite: "C'est comme toi! Il aspire toujours plus haut, veut davantage, comme toi qui n'arrêtes pas à étudier!"
J'avais pas encore 40 ans, et je préparais, tout en travaillant, ma diplôme que je n'avais pas réussi à avoir en Roumanie à 24 ans. Mon mari n'appréciait pas que je continue à étudier. "Tu es une éternelle étudiante!" me disait-il, mais pas d'une façon fière, au contraire, dédaigneusement.
Je suis une éternelle étudiante.
C'est vrai encore aujourd'hui. Je viens de m'acheter un livre "Photoshop Elements 4 Class in a Book" avec dix longues et difficiles leçons pour apprendre plus sur l'outil que j'ai déjà, mais ne sais pas encore utiliser à son vrai potentiel.
C'est dur. J'ai déjà appris pas mal, mais je n'arrive même pas faire une leçon entière par jour. Mais j'apprends. Je n'ai jamais appris facilement ni rapidement, et en même temps je n'ai jamais arrêté à étudier.
Quand enfin, j'ai eu mon diplome à 43 ans, je me suis dit "à partir de maintenant, je peux ne plus étudier que ce que j'aime!" Et, à mon rythme. Aujourd'hui, je répète, mais avec fierté: "Je suis une éternelle étudiante!"
C'est vrai aussi que j'aspire à "plus" toujours, mais ce plus est d'en connaitre davantage, de progresser relative à moi-même, et ne pas m'en soucier si je ne sais pas prononcer bien "en haut" que même un enfant de cinq ans le fait mieux que moi.
lundi 13 mars 2006
Rencontrés à Paris
Crée avec FlickrToys
1. Dame au beret rouge, 2. Vendeur tissus Paris 18e, 3. Vendeur de fruit rue Poteau, 4. Couple de Café de la Post, 5. Relieur, Rue Mont Cenis, 6. Transporteur près Hotel de Ville,
La première, la dame au bérêt rouge, je l'ai appercu le septembre 2004, quand j'ai commencé ma tournée des photos documentaires. Nous avions rendez-vous place Charles Bernard devant le café, après que chacun a fini ses prises. Et la voilà, avec deux chiens et entourée des copines. Elle m'a attiré comme un magnet. Ici, c'est l'image plus "portrait" d'elle, sans l'entourage. Une autre fois, je ferai un mozaic avec des gens vus avec ce qui les entourait.
7. Couturière près d'Abesses, 8. Cameraman m° Abesses, 9. Travailleuse, rue Duc, 10. Trompétiste arrivant de Roumanie, 11. Claudine et son chien, rue Pigalle, 12. Jeune photographe près de Canal St Martin,
Cette dernière photo, fait lors notre promenade avec Giulia au long du canal St Martin. Je jeune photographe au chapeau et foulard rouge parlait avec ses copains devant l'Art shop qui s'y trouve.
13. Près de papa, Canal St Martin, 14. 20e Paris au Restaurant, 15. SVP l'argent pour la musique, 16. Près d'école, rue Clignancourt, 17. Surveillant la circulation, rue Clignancourt, 18. Vendeur de poisson, Poteau 18e,
J'ai trouvé le vendeur des légumes de marché Poteau quand je suis retournée avec leur photos, très heureux du résultat, mais le vendeur de poisson était avait jour de congé ce dimanche là, j'ai dû laisser les photos à un de ses copains.
19. 20e propriétaire de café né en Algérie, 20. Un portraitist de Butte Montmartre, 21. Compte ses sous, marché Muffatlar, 6e, 22. Mister James de Hotel de Nord, 23. Confectionner des dentiers, rue Duc 18e, 24. Retour, marché Poteau vendeur fruits,
Le propriétaire de café de la première photo, était celui où Berlioz m'avait donné rendez-vous, ne sachant pas qu'un samedi midi il sera fermé. Néamoins, son collegue restaurateur lui a téléphoné et il a ouvert spécialement pour moi, attendant jusque mon rendez-vous arrive. En discutant d'abord, puis repris par son téléphon portable.
25. Musicien roumain jouant rue Poteau, 26. Servant place de Tertre, Provincal, 27. Le servant arrivé de russie, place de Tertre, 28. Le japonais servant place de Tertre, 29. Café place Saint Michel, serveur, 30. Montmartre et le peintre en plue,
A Paris vivent aussi quelques gens nés là, mais la plupart de "parisiens" arrivent de partout le province et monde. J'étais parisienne moi aussi pendant 23 ans! Tout comme le russe, slovac, italien, japonais, roumain, etc. rencontrés à Paris. Certains y vivent, d'autres n'y viennent que pour travailler.
31. Giulia à Paris 5e mai 2005, 32. Un peintre rencontré devat Café Louis Philippe, 33. Bouquiniste près de la Seine depuis 38 ans, 34. Musicien slovaque en metro 7, 35. Lisant à midi, café St Michel, 36. Rue Poteau le 1 janvier 2006
J'étais avec une famille rencontré à travers le web et images, après repas, quand la dame au foulard rouge et habillée pour la fête de 1 janvier est passée devant nous. Non, je n'ai pas demandé à elle, comme à la plupart des autres, si je peux prendre une photo. Tout dépend de circonstances.
Ces quelques portraits croqués sur le vif, prises rapidement après une première approche de plus loin d'habitude, sont seulement une echantillon de ce que j'ai prise entre la première et la dernière en quelques mois.
dimanche 12 mars 2006
Ce soir, j'étais gâtée
Avant de partir de chez eux, Gabrielle a courru m'offrir sur les marches une enveloppe surprise (je ne l'ai pas encore ouverte, bientôt), David a venu après moi jusqu'à l'ascenseur pour me donner un dernier bisous. Pour couronner le tout il me dit "un calin aussi!" et j'étais comblée.
Les denteliers: précipitez-vous!
Grande joie! Gelzy publie une nouvelle vidéo sur les denteliers et les broderies avec sa voix chaude et magnifique et des images et effets très réussis! J'espère, que ce n'est pas la préparation de cela qui lui a causé les douleurs d'estomac de nuit, dont, bien sûr, elle a réussi à faire une autre chante ou poème (mes genoux y sont aussi)!
Allez lire et écouter, cela vaut la peine de s'y précipiter!
Tanette et le petit dej au lit
Tanette nous raconte sa première et dernière petit déjeuner au lit: ils étaient jeunes mariés et le lait bouillant s'est renversé!
Mais maintenant, 37 ans plus tard, ils pourraient essayer encore une fois: ils bougent peut-être moins vite.
Tanette décrit dans sa dernière entrée de blog que sa fille a eu un accident de la route il y a trois mois et ils vont la voir par tout temps sur la route qui change sans cesse - et elle nous le décrit, cette route et changement dans son blog qu'elle vient de créer.
Rendons-lui visite, qu'elle sent encore moins seule! Puis, peut-être, quelqu'un sait mieux expliquer comme moi, comment on modifie les messages pour remettre ou obtenir les bons accents français.
samedi 11 mars 2006
Offrez un petit déjeuner au lit
Mais, depuis que je blog, de plus en plus il m'arrive à m'en préparé puis laisser réfroidir, pain grillé et café - en m'oubliant dans les blogs que je lis et les blogs que je prépare dès le réveille. Les images que je m'amuse à prendre et envoyer et les photos des autres qui me bouleversent souvent.
Mais demain matin, promis, juré, je prendrais mon petit dej au lit.
vendredi 10 mars 2006
Soleil après la grêle
Après un grêle soudain et courte, (j'ai vite ouverte la fenêtre pour prendre quelques photos) le soleil et revenu dans mon jardin et je me suis précipité, confiante à mettre sècher le linge, qu'enfin je me suis décidée à laver.
Et à peine, je suis sortie pour photographier mes premières fleurs remplies des goûtes de pluie et resplandissant sous le soleil, la pluie m'a attrappé avant que je puisse rentrer.
Mais pendant que j'écris ceci, le voilà revenu le beau temps. Déjà, il fait un temps d'avril. Puis, pendant que j'écrivais hier ces lignes pour les mettre ce matin, le pluie à commencé à tomber sur ma linge. Ah oui, c'est bien propre ce matin.
C'est ainsi aussi dans la vie. à peine nous avons une grande joie de du courage à agir... dans mon cas mettre les linges sales dans la machine à laver, nettoyer la veselle accumulée depuis trop longtemps, faire les courses et remplir mon frigidaire tout à fait vide (j'ai dégelé donc laissé les provisions tomber à presque zéro), écrire, faire... puis quelque chose arrive.
Si j'ai eu cette éclat d'énergie (je ne suis pas toujours ainsi) c'est que j'avais retrouvé quelques anciennes photos dont je suis encore fière, (dont une mise sur mon photoblog hier), prise il y a quelques années, avant mes appareils numériques, avant flickr et avant les blogs. Je me suis dit, "tu n'étais pas nul avant non plus!" et me suis sentie bien dans ma peau. Le résultat, ce voit sur mes assiettes propres et les tee-shirts qui commencent à sécher à l'intérieur.
C'est tellement important d'avoir confiance en soi, trouver des motifs pour être contente de ce qu'on avait fait (sans trop attendre des autres de nous le donner). Même si le soleil ne dure pas longtemps, en profiter et faire une reserve de chaleur, dehors, dedans.
Demain, je parlerai de Paris, une ville où c'est si doux à flâner.
La vérité sur mes rides
J'avais vingt ans et je ne sais pas pourquoi, mais j'ai commencé à m'inquêter de mes rides... futurs. En lisant une revue pour femmes, j'ai découvert des conseils à suivre que je vais partager ici avec vous.
1. Mettre chaque jour de crème et masser le front (c'est là que les premières rides sont sortis sur mon visage) et autour des yeux (plus doucement) circulairement, chaque jour quelques minutes.
Je le faisais, régulièrement, dès mon jeune âge avec la crème Nivea qu'on avait. Au moins, quand j'étais jeune et inssuciante.
2. Sourire beaucoup. Le sourire va vous mettre des rides "de sourire" sur votre visage. Quand on regarde trop souvent avec une masque "décus" les rides accentueront les expressions.
Je m'exercais, et je fais encore ceci souvent, à sourire plus, à sourire non seulement vers les autres plus, mais à sourire même à moi-même, même quand je ne sentais pas grande élan en moi pour sourire. D'où viennent aussi certains de mes autoportraits. Je continue à me dire: "Julie, souris!"
Non seulement pour les rides et creux à venir, plus agréables celles avec sourire, mais aussi pour me donner courage.
J'avoue même, qu'un jour, en me regardant dans le miroir, vers 50 ans, j'ai vu une expression horrible, disant "non, non!" et... j'ai décidé à rompre à tout pris avec celui qui était en train de transformer mon visage en quelque chose que je n'aimais pas.
Ensuite, de nouveau, j'ai pu sourire à la vie.
jeudi 9 mars 2006
Enquéte sur le parvis
Expliquant les avantages ensuite, d'acheter X ou Y.
Et non, je n'ai pas demandé si je peux la prendre: cette photo est une exemple qui n'aura rien donné si j'avais demandé, s'ils auraient su qu'ils sont en train d'être prises.
Le mouvement, devait être prise sur le vif et pas "arrangé", sinon, cette image aura jamais pu être prise.
Un peu plus loin, j'ai fait plusieurs images du parvis tranquille (c'était avant midi) et de cette fille absorbée dans sa lecture et écriture: et non, je ne l'ai pas dérangé non plus.
Par contre, j'ai demandé à deux autres, mais la photo n'a pas donné grande chose, ils ne savaient plus que faire, continuer la surveillance ou me sourire et c'était finalement, ni l'un ni l'autre.
C'est ensuite, plus tard, que je n'ai plus demandé...
En sortant de parc 4 de la Défense, il y a l'escalier magique avec les réfléxions. Cette image, contient une seule lampe "vrai", au centre, les deux autres à sa gauche et droite, sont vues dans les miroirs et tous les marches qu'on peut voir ici sont vu dans les miroirs aussi.
Ah, oui, on ne peut pas croire des fois, même aux images qu'on n'a pas du tout tranformée, notre perception est souvent perturbée.Fond blanc, fond noir
Et voilà le résultat, après des maintes transformations, encadrée pour qu'on voit bien que ce n'est pas une photo original mais une sorte de tableau.
Peut-être, certains entre vous se diront "c'était mieux avant" et ils n'auront pas tort non plus d'ailleurs.
Vieille tulipe sur fond blanc, puis une vieille femme ridée sur fond noir. on continue à experimenter, on tourne en ronde. Il est temps de tourner la page.
Et non, je n'ai pas besoin que vous me disiez que je suis jeune, à plus de 71 je sais mieux et cette nuit, mon genou me l'a rappellé encore. Ces dernières jours, je tournais trop autour de moi et de ma maison, mais aujourd'hui je vais sortir malgré la pluie qui tombe toujours et l'humidité qui m'a réveillé cette nuit.
Dans cette photo, je voulais montrer mes rides (à moi-même). Mais des accidents heureux existent quand on en prend toutes ses facettes, et dans cette photo j'ai eu une sourire assez coquine: elle montre aussi qu'à l'intérieur je ne suis pas aussi flétrie que mes belles, vieille tulipes.
Il y a de la vie après 70 ans Julie - malgré ton genou te réveillant la nuit. Sors!