mercredi 29 mai 2013

Selective couleurs et mémoires

Selective colors by Julie70
Je viens de trouver un app me permettant a colorer sélectivement des surfaces. Respectivement en réalité, décolorer tous sauf certains parties masquées de l'image.

Originale, tous les poivrons étaient toutes rouges, et seulement leurs queue vert faisaient la différence. Ici, j'ai choisie a laisser seulement trois a leurs couleurs originale.

Ainsi, ils 'parlent' différemment.

Je viens d'écouter un psychologue qui a grandi - jusque ses 12 ans - en France, puis en Israël, et enseigne a Princenton maintenant. Prix Nobel 'par hasard' presque, il dit. A cause de ses collaborations avec des économes intéressées par ses travaux et questions posées.

Daniel Kahnenian. Née la même année que moi. Très charismatique aussi. Intéressant.

La première discours écoutée de lui, dans Ted.org, était sur la bonheur - ou contentement dans la vie - et la grande différence entre comment nous le vivons, moment par moment, et comment nous nous en souvenons. Il appelle cela 'la soi vivant l'expérience' et l'autre 'soi se souvenant'.

Notre 'histoire' rappelle de nos expérience - il dit - et très différent de la façon que nous l'avons vécus instant par instant.

Nous nous rappelons plus tard des instants intenses, très forts et de la fin. Nous ne nous rappelons pas du durée non plus.

Cela donne d'explications pourquoi les fins d'un récit ou discours - encore plus d'une relation d'ailleurs - sont si importants. Et aussi quelques instants forts.

J'étais et je suis encore plus forte a commencer par une phrase qui choc, faisant l'attention arriver des le début, que trouver des phrases ou paragraphes fort pour le fin. Je vais devoir travailler dessus davantage.

Ce soir, je vais recommencer mon récit des 'trois femmes nues' et je vais commencer par une phrase choc: j'avais 11 ans quand j'ai perdue mon innocence.

Bien sur, plupart croient aussitôt qu'il s'agissent de l'innocence sexuelle (qui ne m'est arrivée que a 25 ans, oui, tard). En fait, en écoutant les récits de ceux revenant des camps de concentration que j'ai perdu l'innocence de l'enfance.

Probablement, je vais terminer, parlant de nouveau de l'enfant innocent ayant soudain comprise l'importance de vivre encore un jour, encore une année. On ne vit plus sa vie de la même façon a partir de la.

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