Ce matin, il n'en reste qu'une banane.
La petite pomme, je pensais pouvoir la manger, mais m'a fait mal et n'a pas marché. Une des bananes, nous l'avons partagées avec ma petite fille, la deuxieme reste encore, les orange je les avaient mangé hier et avant hier, pour petit dej.
Aujourd'hui, j'irai au marché.
Intéressante à découvrir des nouvelles places. Mais ces dernières journées, je suis restée assez "en place" ne sortant pas beaucoup, pas assez.
Me sentant tout à fait "en vacances" chez ma famille, pourtant pas si loin de chez moi, toute à fait heureuse à "rien faire". J'ai pas mal lu.
Je n'ai pas fait qu'une seule fois, une heure vers mon logement et une heure de retour (avec deux bus) pour aller à mon dentiste qui n'est pas loin et meme alors je ne suis pas retournée 'chez moi'.
La place où mon dent arraché était est encore fragile, mais je réussi à l'éviter quand je mange.
Il n'y a rien m'enmpechant de sortir. Rien autre que ma propre paresse.
Je dois me rappeller d'avoir eu les même sentiments quand j'avais 22 ans, je préférais rester chez moi, lire. Et, une fois sortie, j'étais si contante de n'avoir pas restée ce jour-là enfermée dans mon antre! J'en ai même écrit dans mon journal intime: pour que je m'en rappelle d'autres fois et sors plus souvent.
Le frein de sortir, ne date donc de mes vieux jours.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire