Collages

J'aime jouer.

En fait, je crois que nous aimons jouer à n'importe quelle âge.

Bien sûr, "jouer" n'est pas la même pour tous.

Certains, aime jouer avec jeux tout faits ou des vidéos. Je préfère créer des trucs, changer, modifier.

Par exemple, crééer des collages à partir des photos que j'ai prise. Ce que j'ai fait ce matin. Ici quelques examples. La première était des images prises la semaine dernière à Bromley.

La suivante, est à partir d'images prises à Torquay, lors la conférence Toastmaster assistée il y a deux ou trois semaines.

Je crois, qu'une collage donne "une impression" différent. J'ai essayée de rendre une partie de ce que je me souvenais, de ce que j'ai "vue".

Des tulipes presque noirs mouillées sous la pluie. Des collegues de Londres écoutant des conférences. Les drapeau Grand Bretagne et Irelande. Des maisons multicolors la première matin de promenade avant le petit dejeuner. Une passage mystérieuse, le petit hotel où j'ai habitée, Des collegues mangeant le dernière matin, si différents les uns des autres. Le contraste entre ancien église du coin et les cabines téléphoniques rouge (que personne n'utilise plus ces jours-ci). Un palmier a côté d'une maison blanche pour ce rappeller que Torquay est près de la mer, un "vieux collegue" affichant pour qui voter, une maison refletant les maison voisins avec l'ombre du matin et à la fin, de nouveau, une tulipe pleine des gouttes de pluie.

Selon les images mises mais aussi leur ordre, tout devient différent. Collage - bonne jeu!

Je ne crois pas que tout cela sert à quelque chose d'autre que 'jouer" mais pourquoi pas jouer? Créer est aussi en partie un jeu.

Enfin, bien réussi

Hier soir, j'ai bien réussi mon projet, mon récit sur les trois femmes nues, marchant l'une après l'autre dans le camp de concentration d'Auschwitz.

J'ai reçu 'la meilleure discours' entre six. Mais en plus, des bons conseils des petits améliorations. En réalité, il n'y a pas 'petit' puisque tout peut aider a améliorer beaucoup.

Un pas en plus. J'ai réussi aussi a émouvoir et montrer de nouveau qu'un récit vaut davantage que des 'discours'

A continuer.

En tout cas, hier m'a donne rendu de nouveau du courage.

Selective couleurs et mémoires

Je viens de trouver un app me permettant a colorer sélectivement des surfaces. Respectivement en réalité, décolorer tous sauf certains parties masquées de l'image.

Originale, tous les poivrons étaient toutes rouges, et seulement leurs queue vert faisaient la différence. Ici, j'ai choisie a laisser seulement trois a leurs couleurs originale.

Ainsi, ils 'parlent' différemment.

Je viens d'écouter un psychologue qui a grandi - jusque ses 12 ans - en France, puis en Israël, et enseigne a Princenton maintenant. Prix Nobel 'par hasard' presque, il dit. A cause de ses collaborations avec des économes intéressées par ses travaux et questions posées.

Daniel Kahnenian. Née la même année que moi. Très charismatique aussi. Intéressant.

La première discours écoutée de lui, dans Ted.org, était sur la bonheur - ou contentement dans la vie - et la grande différence entre comment nous le vivons, moment par moment, et comment nous nous en souvenons. Il appelle cela 'la soi vivant l'expérience' et l'autre 'soi se souvenant'.

Notre 'histoire' rappelle de nos expérience - il dit - et très différent de la façon que nous l'avons vécus instant par instant.

Nous nous rappelons plus tard des instants intenses, très forts et de la fin. Nous ne nous rappelons pas du durée non plus.

Cela donne d'explications pourquoi les fins d'un récit ou discours - encore plus d'une relation d'ailleurs - sont si importants. Et aussi quelques instants forts.

J'étais et je suis encore plus forte a commencer par une phrase qui choc, faisant l'attention arriver des le début, que trouver des phrases ou paragraphes fort pour le fin. Je vais devoir travailler dessus davantage.

Ce soir, je vais recommencer mon récit des 'trois femmes nues' et je vais commencer par une phrase choc: j'avais 11 ans quand j'ai perdue mon innocence.

Bien sur, plupart croient aussitôt qu'il s'agissent de l'innocence sexuelle (qui ne m'est arrivée que a 25 ans, oui, tard). En fait, en écoutant les récits de ceux revenant des camps de concentration que j'ai perdu l'innocence de l'enfance.

Probablement, je vais terminer, parlant de nouveau de l'enfant innocent ayant soudain comprise l'importance de vivre encore un jour, encore une année. On ne vit plus sa vie de la même façon a partir de la.

Petit Dej Mardi

J'étais gâtée par mes deux petits enfants une semaine entière, pendant que leurs parents étaient partis en France.

J'ai rapportée avec moi, des cadeaux.

La fleurs rouge, de ma belle fille, viennent de France. Les biscottes de mon fils aussi. Le gâteaux au chocolat préparée par ma petite fille avant mon départ, le belle cailloux offert par mon petit fils.

Une semaine, plus des vacances pour moi que de travail. Ce ne sont plus des 'petits' enfants, même si pour moi, ils resterons a jamais 'mes petits enfants'. C'était une grande plaisir d'être avec eux!

Plaisir que je dois répéter plus souvenue.

En fait, ils avaient surtout besoin de savoir que je suis la, ils sont déjà si indépendants!

Ce matin, petit dej, avec un biscotte Carrefour, différent et plus facile a croquer que les biscottes plus chers achetés ici, une tranche de gâteau au chocolat et cafe.

C'est bien d'être 'ailleurs' et cela change la perspective, mais c'est aussi bien de revenir de chez soi.

Plus des excursions en perspective pour l'année qui arrive a partir de Juillet. Pour l'approche de ma 80e année, je vais aller devants des nouvelles aventures, pour les accueillir comme la 70eme.

Yes = Oui!

Un des livres favoris de ma petite fille "L'homme disant : oui" a tout et tous.

Au début, il disait "non" et se cachait chez lui, aussitôt après son travail et d'un coup il décide de dire oui.

Dis "oui" plus souvent, on lui conseil, mais il comprends ou le prends pour dire "oui" a tout ce qu'on lui demande.

Cela le mène a pleines des aventures intéressants, à des bétises aussi et finalement a la fin, il se rend compte que sa vie a changé tout à fait. Que c'est bien de dire oui, mais pas à n'importe quoi.

D'abord, nous avons vu un film loufouque avec le même titre, assez different, très différent du livre. Maintenant, je suis en train de lire le livre.

Je suis arrivée dans une place où l'on accoste pour lui demander d'adopter une grand - mère, non seulement de donner des sous, mais aussi s'occupper d'une.

Pas si dément comme il parait dans le livre, même si étant arrêté plusieurs fois, il dit oui et adopte plusieurs. Je n'ai pas lu encore plus loin, je ne sais pas donc si vraiment, il va s'en occuper des ou une grandmère.

On vera.

J'espère, que mes petits enfants vont m'adopter davantage dorénavant.

Fête des mères

Le jour des mères n'est pas en même temps, suivant les pays.

Qu'importe!

Tous les jours, il devrait être jour des mères. Jour les pères. Jour des grandparents, aussi.

Oui, en général, c'est plus facile d'être grand mère, on a plus des joies que les responsabilités. En tout cas, je suis comblée avec mes deux petits enfants, l'une préparant un gateau tarte à thon, l'autre me préparant du café et tous les deux apportant a la maison les choses qu'on avait acheté hier.

J'espère que ce dimanche nous allons pouvoir aller nous promener, faire des nouvelles belles souvenirs ensemble. Aller au marché par exemple, ensemble.

Et bonne fêtes des mères à toutes les mères, grandmères (qui êtes aussi mères)

Inverse

Voir une fleur violet dans l'herbe verte, ou son inverse, comme ici: verte entourée de violet.

Inversant les couleurs des fois donne des résultats fascinants.

Aussi voir le monde des point de vus des autres. Regarder les films que les petits enfants préfèrent. Manger ce qu'ils aiment. Se rendre compte mieux de leurs intérêts et goûts.

Pas tout a fait inversa de la mienne, comme dans le cas des couleurs.

Hier, j'ai vu d'abord un film sur la jeune Victoria devenue reine, avant l'arrivé de mon petit fils, puis un autre choisie par lui: superman. Très très amusante!

Mais un peu se moquant aussi des vieille femmes. C'est la vie! En tout cas, ce film se moquait de tout. Gentillement...on a pas mal rit des trucs impossibles mais amusants.

Ce n'est pas mal de voir des fois l'inverse du décor.

Resoudre les problémes?

Comme d'habitude, ce matin je voulais publier une note dans mon blog, ici.

Comme souvent, je commence à mettre les dernières photographies prises sur ma site "flickr" - depuis 9 ans je l'utilise sans problèmes.

Hélas, mes images sont envoyées sur la site mais ensuite, comme d'habitude ne marche plus: ne n'arrive plus d'envoyer aucune des images nul part. Aussitôt que je click sur une image, cela crache.

Si "comme d'habitude" ne marche plus, je dois agir autrement.

Comment?

J'ai tâche de trouver mes images sur l'ordinateur. Cela ne marche pas non plus simplement. Je dois donc d'abord, choisir Iphoto et "exporter" mes images a utiliser, je me suis arrêtée a quatre entre elles, sur le "desktop" que je puisse les choisir, et espérons, maintenant, les inclure dans cette note.

Cela marche. Mais pas "comme d'habitude". Je la cherche par la date, je les trouve entre "pas de date". L'important, que je les ai trouvé, n'est pas?

Hier, je suis allée au "marché" de Bromley, ce n'est pas loin mais ce n'est qu'un tout petit marché. Finalement, je suis rentrée de nouveau dans le supermarché: j'y ai trouvé le pamplemousse ma petit fille voulait que j'achéte. Et un nouveau costume de bain. Au départ, soleil. Quand je voulais sortir, il pleuvait à vers. Assise sur un banc, j'ai prise quelques images, j'ai mangé un fruit et la pluie s'est arrêtée.

Et voilà trois images de plus en plus 'zoom' prise en fait du même point, vers la fin de marché.

un zoom pour mieux voir la maison a la fin du petit marché

et plus grande zoom vers la belle maison

Je pourrais dire, que j'ai résolue la problème de publier dans le blog. En direct, si on peut dire "direct" quand je dois passer par "extraire" et ensuite "inclure" et puis déterminer la grandeur d'image. Cela bien sûr, n'a pas résolu mes problèmes avec flickr. Probablement, dans une semaine ou deux, ils vont améliorer l'interface et il sera de nouveau utilisable.

Entre temps, ils auront perdus des clients mécontents de leur nouveau changements. Et encore, si les changements marcheraient comme supposées! Il ne vont pas me perdre si rapidement, 9 ans d'utilisation ne peut disparaitre dans quelques jours.

Mais il ne sera jamais plus "comme l'habitude".

Le corbeille est presque vide

Ce matin, il n'en reste qu'une banane.

La petite pomme, je pensais pouvoir la manger, mais m'a fait mal et n'a pas marché. Une des bananes, nous l'avons partagées avec ma petite fille, la deuxieme reste encore, les orange je les avaient mangé hier et avant hier, pour petit dej.

Aujourd'hui, j'irai au marché.

Intéressante à découvrir des nouvelles places. Mais ces dernières journées, je suis restée assez "en place" ne sortant pas beaucoup, pas assez.
Me sentant tout à fait "en vacances" chez ma famille, pourtant pas si loin de chez moi, toute à fait heureuse à "rien faire". J'ai pas mal lu.

Je n'ai pas fait qu'une seule fois, une heure vers mon logement et une heure de retour (avec deux bus) pour aller à mon dentiste qui n'est pas loin et meme alors je ne suis pas retournée 'chez moi'.

La place où mon dent arraché était est encore fragile, mais je réussi à l'éviter quand je mange.

Il n'y a rien m'enmpechant de sortir. Rien autre que ma propre paresse.

Je dois me rappeller d'avoir eu les même sentiments quand j'avais 22 ans, je préférais rester chez moi, lire. Et, une fois sortie, j'étais si contante de n'avoir pas restée ce jour-là enfermée dans mon antre! J'en ai même écrit dans mon journal intime: pour que je m'en rappelle d'autres fois et sors plus souvent.

Le frein de sortir, ne date donc de mes vieux jours.

Une cabane

une cabane observée soudaine presque par hazard - que des choses peut nous dire

un ballon de football caché presque dans l'herbe

quelques fleurs sauvages

que de beauté on peut trouver partout

seulement, si on s'arrête regarder, si on la regarde de tous les coins

j'avais prise plusieurs images de la même

ici une autre, parle d'autre chose - ou est-ce dit la meme mais différement?


J'ai passé seule ma journée mais le soir, mes petits enfants étaient là, que de joie d'etre avec l'un ou l'autre!

Flickr "home" changes

Depuis 2005 j'utilise la site "flickr" pour y mettre mes images, pour discuter et les montrer dans une groupe et surtout, les ajouter ici.

Au début, en 2005, c'était la seule façon de mettre une image dans ce blog.

Depuis 2005, ils ont changé l'interface souvent, mais jamais tant que ceci!

En plus, ayant sortie trop rapidement, pleines des choses ne marchent plus ou marche mal ou crachent.

J'étais toujours un "adapteur rapide" était toute prête a acceuillir ce qui est nouveau, mais cette fois...

il y a quelques trucs pas mal, des idées pas bête non plus, mais j'ai au plus des ennuis que de loie avec.

Par exemple la façon plus élégante de présenter mes albums (set) ici, les premières (en fait ceux que j'avais mise tout en haut du tas).

En plus, ils demandent deux fois plus d'argent pour l'année! On verra. Je venais de payer pour deux ans... juste début mai, j'ai l'impression que les "vieilles" abonnement ne sont pas affectés, sinon, ils imittent trop "facebook" en pas mal des choses.

Domage.

J'en suis tombée amoureuse

Cette image me parle. Me dit tellement des choses diverses!

Une magnifique dimanche passée avec les deux petit enfants.

Pas si petits que cela. Le garçon, devenu plus haute que sa mère, bientôt 13 ans. La fille, très bonne ménagère, passée 14, nous a préparée déjeuner et dîner, et ce matin, même mise la vaisselle a se laver! Je suis bien entourée. Hier, elle m'a montrée une film amusante, m'a prêtée le livre qu'on a vaguement utilisée comme base. Nous avons jouées aux cartes tous les trois, et elle m'a pris dans une boutique dans laquelle, bonne marchée, j'ai trouvée une chemise de nuit, la mienne s'étant déchirée, trop.

Je me suis rendue compte que j'avais besoin de croire qu'ils ont besoin de moi, un peu c'était vraie, pour sortir de moi même, des préoccupations sur moi, mes maux, mes problèmes.

Un meilleure vacances je n'aurais pas pu imaginer.

Vendredi, Samedi

Vendredi, une histoire racontée : comme-ci, comme-ça. Une autre fois, ça ira mieux.

Mais j'ai le vidéo et je peux apprendre aussi de l'expérience. Je sais aussi ce que je dois raconter si on m'invite jamais encore une fois.

Il m'a donnée d'inspiration pour une récit tout a fait différent et nettement plus amusante. Tragique-comique.

Samedi, en famille, ma petite fille 14 ans déjà!

Nous avons assister a une démocratie de gym le matin, mangées dans un resto italienne le soir. Regarder ensuite ensemble Eurovision.

Je me suis rappelle de premier regardée: poupée de cire, écrit par Charles Geinsbourgh. Que de l'eau a coulée depuis!

J'ai cachée mes cheveux un jour

Je ne trouvais pas le fil d'entrée dans mon récit de demain, même si le centre était la (les trois femmes nues dans la ligne).

Ce matin, soudain est arrivée et une fois le début est la, le reste suit.

Chaque matin, aussitôt levée de son lit, Irène la cachait sous une écharpe. Honteuse. Elle était 20 moi 12, après la fin de la deuxième guerre mondiale. Fiancée de jeune frère de papa, elle est habitée dans ma chambre pour dix jours. Aussitôt que l'oncle a entendu qu'elle était revenue de Auschwitz, il est allée et apportée chez nous, le temps de préparer les papiers pour mariage.

Pourquoi tu cache tes cheveux ?

J'ai honte, ils sont trop courtes!

Tu as des magnifiques cheveux noirs boucles et brillantes! Laisse les a l'air. Tu es magnifique avec, je lui disais jour après jour.

Maman adorait brosser mes cheveux, longues presqu'en jusque mes cuisses. Chaque matin 100 fois. Cela sera la fierté de ton mari me disait-elle. Ta plus grande beauté.

Irène était belle, peau somptueusement bronzée même avec son visage émincée. Après trois jours, elle m'a cru et laissait ses cheveux libres. En même temps, elle a commencée a me raconter sa dernière année passée aux camps de déportation d'auschwitz. Elle me racontait pleine des détails de leurs vie la-bas dont je me souviens si bien.

Mais un récit est restée en moi, comme si j'étais la. Elle me la racontait encore et encore, avec honte: se sentant coupable.

C'était 5 mois après notre arrivée. Des le début, nous avons été séparées de mon père et mon jeune frère mais j'avais réussi que nous soyons ensemble: maman, ma sœur cadet et moi. J'avais aussi réussi d'améliorer un peu notre vie, en devenant coiffeur des femmes officiers qui en retour, me permettait de prendre des habits restées et des fois, même me donnant des pelures des patates.

Malgré tout, maman ne supportant pas ce qu'on nous donnait, devenait de plus en plus faible. Pendant plusieurs appels de matin interminables, nous avons du la soutenir.

Ce jours-la, nous avons du marcher nus une après l'autre. De loin j'appercus un beau officier. C'était Mengele, qui avec son cravache a peine bougée séparait les femme: a gauche et a droit. Dans ce temps, nous savions déjà : gauche était la chambre de gaz, puis brûlée - nous avons sentie l'odeur douçâtre écœurant que le vent apportait jusque nos baraques, plusieurs fois déjà.

J'ai mis ma sœur la première, puis maman entre nous. Après longue attente on arrive: ma sœur passe. Dans la bonne direction. Je respire. Maman arrive devant Mengele. Elle a un mouvement de recul. Aussitôt, il montre vers la gauche. J'ai paniquée. Julie, je n'ai pas osée rien faire ou dire. Je suis envoyée après ma sœur. Sans maman.

Je n'ai pas osée réagir ! Irène me répétait tout au long des journées passées avec moi.

Je n'avais que 12 ans mais je comprenais bien et lui expliquais qu'elle n'avait de quoi se sentir coupable. Elle ne pouvais rien faire. Aurait-elle essayée le seule résultat aurait été qu'elle meurt aussi.

Tu n'est pas coupable!

Plus facile a dire que le ressentir. Survivant ma cousine, Judith, qui n'a jamais eu dix ans, j'ai comptée moi aussi des année : et maintenant j'ai vécu 5 années plus qu'elle. Trente année de plus. Bientôt soixante dix de plus. Je me sentais coupable, non de ce que j'ai fait, mais ce que j'ai pensée une fois, furieux de ses parents.

J'avais soixante ans quand je me suis souvenue de tout ce que j'avais fait. Pris chaque matin de sa maison, allant main en main a l'école, assise dans le même banc, jouant ensemble jusque sa maman revenait.

Nous n'étions pas coupables!

Des fois, la vie nous sépare, nous oblige de sauver notre vie et continuer. Nous, tous, ne sommes pas coupable de survivre. Vivre ou rester dans l'emploi pendant qu'un autre et renvoyée. Alas, le sentiment reste profonde, pas rationnelle.

Je me suis coiffée ce matin en souriant dans le miroir et ne ne cachant pas mes cheveux argentées non bouclées sous une écharpe. Le cœur un peu triste, me rappelant des cheveux noirs bouclés de Irène que sa mère aimait tant a brosser, matin après matin.

Autour de la maison

Un arbre, resplendissant dans le soleil et le vent. Comme une peinture impressionniste.

Le dernier tulipe rouge sous un bosquet.

Lilas parfumés, encore plus après la pluie.

Ensuite, revenue a la maison, je peux jouer avec les images. Les rendre plus contrastés ou les encadrer des différents façons avec un autre 'app'.

Mes os heurtent depuis lundi, ma ventre ballonnée proteste. Je bois du thé surtout et reste au lit. Mais tellement des plaisirs, autre que dormir plus que d'habitude.

Voilà les lilas encadres.

Ils avaient un parfumé esquisse. Depuis Dimanche je n'arrête pas me le rappeler. En fait, il y a pleine des fleurs autour mais la plupart sans odeur. Et les lilas qu'on avait dans le cour, était coupée. Je ne sais pas pourquoi.
Mais ceux que je vous offre, doivent emporter leur parfum jusqu'à vous. De la rue voisine vers très très loin. J'espère.

In Memory Of Maria Scott 1860

Cette pierre tombale date de 1860 seulement, mais dans ce cour de vieille église orthodoxe, j'ai trouvée aussi datant de 1708.

Je crois que pratiquement tous étaient déplacées et pas mal mise comme un mur, côté a côte.

J'étais impressionnée combien ce cour, jardin cimetière est bien entretenue.

Je l'ai trouvée par hasard et curiosité la première matin, avant que la petit déjeuner de l'auberge soit prête.

Où mène ce petit chemin?

Ébahie, de la tranquillité, fleurs et pierres datant de si longtemps. Et un banc, au milieux du gazon regardant vers l'arbre fleurie et le vieux église.

Des fleurs, plantées sous certains pierres.

A l'autre côté de l'église des croix, dans le souvenir de ceux tombées pendant la deuxième guerre et enterrés en France. Puis une plaque de ceux dont on ne sais plus rien.

Que de soin pour se rappeler et rendre ce coin tranquille sereine et belle.


Mais la ville et vivante, j'ai aussi prise des photos des gosses allant apprendre nager, des magnifiques tulipes, dans le soleil et sous la pluie.

Intéressantes femmes!

Oui, très intéressantes même, mais je suis sortie du rencontre très fatiguée.

Et ça encore, et cela maintenant, ainsi de suite, presque sans répit.

Je vais les revoir, avec grande plaisir, mais je suis très heureuse que la partie 'filmer' et fini. Je suis ensuite aller donner mon numéro de comédie, bien, j'ai ajoutée des parties nouvelles ici et la, mais l'audience a réagit différemment de hier. Pas mal du tout, mais ils ont rit d'avantages aux partis et moins aux autres.

Probablement y a cause qu'ils étaient nettement plus âgées que hier. Donc ce n'est que la 'grandeur' numéro des gens dans ce cas - c'était pleine de nouveau - qui compte, mais aussi leurs âge. Et plaine d'autres choses.

Finalement, je crois que revenue directement comme hier, je serais aussi contante, même si plus fatigee. Faire rire les autres, c'est une plaisir, et quand on me laisse 'libre rein sur le temps, aussi. Salle pleine du même.

Une soir sur autre c'est un peut trop pour moi.

Oui. L'âge compte.

Polymath Bienvenue

Pour organiser une conférence, que de travail. Elles et ils, ont tout fait pour nous aider et acceuillir.

A la maison maintenant.

Samedi, réveil à 6 heures, nos réunions ont commencé à 7 30 le matin et presque en continue (deux en tout) jusque une heure et demie. Ensuite, une heure et demi de voir qui va gagner entre ceux qui parlent tous très bien.

J'ai regretté tous qui ont paru Vendredi et pas Samedi, ils étaient aussi très bons.

Samedi a 4 je suis revenu par train a Londres, et ensuite en taxi directement au club de comédie pour paraitre dans le demi heure suivant sur la scene.

Je m'étonne encore, mais le fantastique audience m'a donnée beaucoup d'énergie, et ils ont beaucoup rit. Plus ils ont rigollés, plus j'avais énergie de continuer à les faire amuser.

Je suis revenue chez moi, dans la pluie avec ma valise mais en fait "aux anges".

Partie en voyage

De Londres en soleil et beau temps, je suis arrivee vers trois heures d'après-midi, en vent pluie et froid a côté de la mer en Devon, où la conférence aura lieu.

Tant pis!

Le propriaitaire de petit hôtel est venu nous prendre a la gare et nous nous sommes réfugies dans sa voiture.

Torquays est au bord de la mer.

J'ai aperçu la mer du train et hier soir, une réunion était tout près. Ce matin, pluie ou non, je vais aller a la découverte.

Les pétales tombées par terre des arbres fleuris, s'accumulaient près de ma rue. Moi, optimiste en chapeau de soleil, la garre de départ, un homme utilisant son iPad dans le train, mes premiers photos.

Plus avec les lieux ici, bientôt.

Une voiture sous l'arbre

Au lieu des fleurs, tulipes, et pigeons, je regards dehors de mon deuxième étage et au milieu de jardin je trouve - une grande voiture!

Je ne peux pas imaginer comment il y a rentré et comment il est permis qu'il y reste, ce matin encore là.

Je voulais hier mettre sur flickr et mon iphoto c'est imobilisé, je n'arrive plus à la fermer.

Je ne sais pas encore que faire.

Et voilà de la cérémonie de lecture de la reine au parlement. Elle est arrivée avec son mari et son fils et l'épouse ce celui-ci avec une longue traine et a lu ce que le gouvernement lui a donné a lire.

Non, décidément je n'aime pas ce gouvernement, mais la reine et son entourage était un excellent spectacle a regarder.

Pour la première fois depuis environ 20 ans, son fils Charles a aussi assisté. Quand va-t-elle décider qu'il est le temps qu'il regne lui aussi, comme la reine de Hollande?

Ce que je n'aime pas surtout est qu'à cause des dernières elections municipales en Pays des Galles (Wales) où les FN ont gagné des places, le gouvernement a décidé d'introduire des mesures extrêmes qui me rappellent des fascistes. Par exemple, les propriétaires et hopitaux de vérifier des papiers des gens supposés ne pas être "british" ou légalement en Grand Bretagne.

Oui, je sais, c'est arrivée même dans les rues de Paris...

J'ai nagée, je vais nager

Et voilà la preuve avec la photo de la piscine et les quelques nageurs, la plupart hier, nageuses, prise de la cabine où je me suis déshabillée.

Plus tard, après que j'ai nagée énergiquement mais pas trop longtemps, et pris un douche, tout en écoutant les autres retraitées aux cheveux argentées discuter de web et YouTube, l'une m'a demandée : c'est votre caméra? Oui.

Mon fils veut une preuve que j'y étais.

Voulez-vous une photo avec la piscine?

Merci.

Alas, la photo prise montre que mon costume de bains actuel est, sinon indécente, montrant trop de mes seins. Pas pour le public. Et aussi me décider que je doit m'en acheter une autre. Rapidement.

Hier, c'était une journée comme été. Je suis sortie habillée comme. Même pas une brise ! Ce matin il pleut. Il pleut. Il pleut.

Je devrais y aller quand même, puisque hier déjà j'ai eu moins mal a nager que les dernières fois. Petit a petit, refaire un peu mes muscles. La natation, brasse, et très bon pour bras et épaules aussi. Et je doit pas me laisser m'enquilozer mes muscles.

A près de 80 cela devient encore plus importante.

Sous l'ombre de l'arbre

En general, jour après jour, je regarde l'arbre en bas de ma fenêtre de mon deuxieme étage sans descendre, sans aller plus près.

Dimanche, je projetais aller centre Londres voir une festival multicolore: je n'ai pas eu courage d'y aller.

Alors, j'ai décidé au moins descendre avec mon caméra et visiter le jardin entre les trois immeubles, l'arbre et deux trois autres lieux plantée des fleurs par quelqu'un qui habite loin.

Je me suis régalée : nettement plus des fleurs que l'année dernière.

Les immeubles de deux ou trois étages, n'ont pas un jardinier s'en occupant, juste l'herbe coupée régulièrement. Ils évitent les lieux prise en charge par quelqu'un voulant jardiner. Et il parait, il y en a davantage.

A cette période, surtout des tulipes divers, mais pas seulement. Et quel variété même en tulipes! Rouge, jaune, même 'noir' ou multicolore, simple ou avec bordures en zigzag.

Tout cela entourée des autres fleurs dont la plupart.j'ignore les noms.

En passant de hongrois en roumain, puis français et en anglais, il n'y à plus eu personne a m'apprendre les noms des fleurs. Mais admirer, cela rest possible en tous les langues.

Si je prierais encore

J'ai trouvée ce poème, non, ma fille me l'envoi en fait, mais j'adore ce que cela exprime!
Je la dédie a vous, chers lecteurs connus et lecteurs encore anonymes.

PRIÈRE POUR MON ORDINATEUR

À chaque nuit que Dieu apporte, 

quand je me repose au lit, 

une petite prière trotte 

sans cesse dans mon esprit. 

Dieu... bénis ma mère, mon père 

et tous mes enfants aussi. 

Bénis mon épouse, leur mère... 

Et protège-les aussi. 

Mon Dieu, je veux demander 

sans vouloir te faire fâcher... 

Eh bien, tu sais, mon ordi... 

veux-tu le bénir aussi? 

Je sais qu'il n'est pas banal 

de bénir un bout de métal, 

mais laisse-moi t'expliquer... 

puisses-tu alors décider. 

Tu vois, cette petite boîte 

contient plus qu'il n'y paraît... 

C'est comme une grande foire 

Où mes amis m'attendraient. 

Il y en a, c'est certain 

auxquels j'ai serré la main, 

D'autres restent sans visage... 

dans mon esprit, une image. 

Tous les amis apprécient 

tous ces mots que l'on se dit, 

et c'est par l'ordinateur 

que l'on va où ils demeurent. 

Je les connais par la foi 

qui te fis connaître, Toi. 

Mais une des joies de la vie, 

C'est l'amitié qui grandit. 

Dieu, à travers tous tes rôles, 

prends une minute par jour 

pour bénir ce bout de tôle... 

qui contient autant d'amour.

Encore autoportraits?

Cela suffit!

Encore une portrait de soi?

A quoi sert, près de 80 ans d'en faire, d'en montrer autant?

Ici, une ombres et lumière près de la fenêtre, tout contante après natation. Mon dos, mes épaules ne se faisaient pas encore sentir.

Vers le soir, je souriais nettement moins.

Possible, que bientôt ou a un moment donnée je vais en avoir plaisir de nouveau - j'adorais nager naguère - mais pour le moment, j'en suis loin.

Des visages 'pas contente' je fais aussi souvent, et même des fois pour me préparer paraître en public. Se moquer de soi, fait rire.

Cela a fait rire ma petite fille, aussi.

Tant qu'on assume les différents facettes de soi, et on en rit, peut être ce n'est pas 'trop'?

Sauvé!

Depuis des semaines, mon portable ne marche plus.

Je ne l'utilise pas beaucoup, surtout pour répondre quand on m'appelle. C'est petit, leger, et agréable a toucher.

Téléphone et pas portable "intelligent".

En réalité, il est plus intélligent que moi. Sait recevoir et envoyer des SVM ou comment s'appellent ces text messages courtes?

Avec difficulté, maintenant je sais les lire. Ecrire, c'est une autre affaire.

En tout cas, un téléphone (même portable) pour moi est pour téléphoner. Ceci, ce petit le faisait très bien, pendant deux ou trois ans, jusqu'il s'était arrêté.

Hier, en sortant de la piscine, mon fils est venu avec moi au supermarché près de lui, et finalement, ils nous ont dit que je peux le remplacer pas cher. Je regrettée le toucher de ce petit bijoux.

A la maison, c'est ma famille, mon fils a joué avec les deux et miracle! Mon téléphone marche de nouveau.

Il partait que la partie appellé Sim a été mise à l'envers. Aucune boutique n'a regardé ou observé, préoccupés à nous vendre quelque chose.

Comme c'est surtout les premiers pas qui sont difficiles, ce matin je suis allée seule à la piscine près de chez moi et j'ai nagé 25 minutes.

Lentement. Pas facilement. Continuellement.

Je retournerai.

56 de Explore 2005/2006

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Dans la première année, de ma présence en flickr, 56 de mes photos 'remarquées'.

Peut être, parce que a cette époque, février 2005 a février 2006, quand j'ai demandée a produire cette mozaique, nous étions moins nombreux.

La dernière image de Explore, dont je sais, était la tomate rouge de marchée d'Argenteuil, en Mai, l'année dernière.

En tout cas, cela me montre, que chaque période de ma vie, surtout après 70, m'a apportée quelque chose, même si différente.

Bientôt, je finis ma cycle Toastmasters, je vais recevoir le titre 'toastmaster distinguée' DTM, puis je dois trouver d'autres buts. Hier, encore un homme pleine de tallent - merveilleux premier discours au club - m'a demandée de l'aider pour les prochaines. C'est toujours un grand plaisir d'aider les autres, les voir s'améliorer, passer ce que j'ai appris.

Je ne peux me nourrir des 'gloires' anciens, mais je me fais grand plaisir a voir ceux que j'aide briller. La professeur de chimie de l'université américaine a Washington a du avoir raison quand, en 1979 elle m'a dit: tu es une enseignant magnifique, tu pourrais enseigner n'importe quoi.

Que des choses,différents j'ai enseignée depuis!

Comme elle, donner courage aux autres, qu'elle plaisir.

French cancan sous la pluie

2006, je me sentais très seule.

Je sors en prenant ma caméra photo et rien d'autre.

Sur la route, les nuages s'accumulent.

Un petit peu de pluie ne m'effraie pas, je ne vais pas retourner prendre un parapluie.

J'approche le festival Argenteuil sur Seine.

Sur le parking municipal, près de la Seine musique. Je m'approche. Des jeunes filles dansent French cancan.

Comme la pluie tombe davantage, tous autour ouvrent leur parapluie.

Je demande une dame me laisser s'abriter sous la sienne pour prendre une photo. Trois en fait.

Les filles en costume bleu, continuent le cancan avec la pluie dégringolant sur leur épaules et le sol du stage de plus en plus mouillée.

Depuis des années cette photo, dans mon salon, me donne du courage, me parle. Me dit: ne te décourage pas, toi, non plus.