On ne devrait pas

Après tant des fois, que j'ai déjà parlé en publique, je ne devrais pas encore en avoir peur, mais j'ai eu tellement que cela est passé à mon ventre.

Peur au ventre! je croyais qu'on le disait seulement, mais j'ai constaté que ce n'était pas ainsi - puisque ce matin, le discours de sept minutes derrière moi, d'un coup, je me suis réveillée avec tout le mal des dernières jours oubliés.

La photo est comme je me sens ce matin, fière, non de ce que j'ai accomplie, mais de l'avoir derrière moi. Pourtant, je ne l'ai pas prise ce matin mais il y a quelques jours, en mettant la première fois une robe d'été dont j'adore la couleur et utilisant la lumière de matin passant par la fenêtre.

J'ai oublié des paragraphes importantes de mon discours, et ainsi pour certaines le raison n'était pas apparente, d'autres m'ont dit que c'était la meilleure des trois et naturelle. D'autres encore ont aimé mes répétition "comme une coeur grec!" ou les mots et phrases courte que j'ai utilisé.

Enfin, c'est derrière moi.

Je n'ai plus mal au ventre. J'espère, qu'avec le temps, je parlerai de plus en plus détendue, d'ailleurs une fois commencé cela paraissait ainsi, et j'ai réussi à avoir une très bonne contact avec l'audience.

Après moi, Mat a dit dans son discours: "le plus important est de élargir à chaque fois nos cadres, faire un peu mieux que la dernière fois, nous mêmes" - j'ai aimé ses propos.

Autant que j'adore préparer. Y réfléchir. L'écrire. Le dire sur dictaphone. L'écouter. Le répéter. Le corriger. Redire. Répéter. Le dire devant d'autres. Autant que je suis "ouf, fini!" heureuse que c'est derrière moi!

La prochaine est encore loin, je peux me relaxer un peu.

Enfin, pour quelques jours, le 6 juin, je devrais parler de mes photos de voyages, et non sept minutes mais environ vingt! Mais aujourd'hui, je n'y penserai pas encore, je me dirais seulement "c'est bon de ne plus avoir du trac."

Pourtant, jusque maintenant, j'avais juré à moi même que moi, je n'ai jamais du trac et parle facilement et avec plaisir. Comment on peut se tromper!

Le plaisir est toujours là, mais des fois le trac me traque.

Pendant que je finissais d'écrire, des livres m'ont été livrés: ceci!

De quoi étudier! Quelle joie! Dehors, il pleut de nouveau, mais ma coeur est remplie de plaisir. Miam! En utilisant quelques suggestions d'un de ceux livres, je ferais sûrement la prochaine présentation plus détendue!