Anniversaire dans le park

Quelle plaisir de pouvoir utiliser les parcs de Londres pour tout sorte des activités:!

Non seulement promener les chiens et les enfants, jouer du foot ou du tennis, passer avec une bicyclette ou trottinette, prendre un pic-nick ou s'amuser en l'utilisant pour faire une partie d'anniversaire.

Hier après-midi, avec sept enfants, des copains et copines de même école que mes petits enfants, parlant français ou anglais, c'était une merveille les observer, filmer, photographier.

J'ai même reçu, moi aussi, une médaille vers la fin comme "la meilleure photographeur", n'ayant pas participé a la course des sacs, les enfants ont trouvé quelque chose pour m'offrir à moi aussi une médaille.

C'était une joie de les observer, mais aussi de sentir que mes petits enfants ont trouvé des copains et copines, si sympa, à Londres! Entendre mon petit fils parler sans aucune problème en anglais, voir ma petite fille fêtée avec tant de chaleur par tous les autres.

Et ce n'est pas tout!

Je n'ai pu m'empêcher prendre aussi des photos des personnes intéressantes qui passaient par là, et à travers cela, me connecter!

Oui, la photographie me permet de me connecter, sans elle je n'aurais jamais eu le courage à parler avec cette dame me paraissant si intéressante, passant à côté de nous.

Et qu'es-je découverte? Elle parlait hongrois! Je vais la rencontrer encore! J'ai une espoir: me sentir moins solitaire à Londres. Qui sait, ce que cela va donner, mais j'ai la joie de l'envisager.

J'étais toujours une optimiste!

En cinq ans, soixante année de la vie

J'ai commencé, le 21 février 2005, la publication, jour par jour de mon journal intime dans le blog Retroblog,

voilà le début:

1e journal

Cinq ans, jour par jour, j'ai ajouté encore une note en plus.

Commencé à 10 ans, et terminé à 70 ans, soixante années de ma vie, avec ses tournantes et tourmentes, les hauts et les bas, des tristesses et des joies, s'y trouvent.

Ce matin, j'ai écrit la dernière note.

Le cercle est bouclé.

Le journal vient d'arriver à la date fin janvier 2005, date quand j'ai commencé d'écrire jour à jour dans ce blog-ci, mon premier blog sur le Web. A partir de là, on peut suivre ma vie, même si pas d'une façon si intime que dans le Retro blog.

Je ne vais pas continuer le Retro-blog, même si j'ai continué d'écrire dans mes journaux, pour moi même, comme auparavant, écrire parallèle avec les blogs publiés. Je trouve que c'est assez, je me suis assez ouverte tel quel.

Un jour; je vais réussir à transformer le blog dans un livre, ou plusieurs volumes, je dois encore corriger, recorriger, réfléchir. Je suis convaincu que pour le moment, c'est mieux ainsi, sur le web.

Je crois que découvrir le Retro blog, (dont le début est aussi publié en Journal de Jeunesse) sur le web, est suffisant. Tel quel pour le moment.

Comme document d'une époque, des lieux où j'ai vécu, de l'environnement, aussi des sentiments d'une enfant, d'une jeune fille, jeune femme. D'une femme mure, ou vieillissante.

Je dois remercier pour ceux qui m'ont suivis pendant cinq ans jour à jour, pour ceux qui sont arrivés de temps en temps pour m'encourager, et j'espère que d'autres le découvriront avec le temps, liront des parties, en trouveront quelque chose qui les fait réfléchir.

Les sentir moins seules ou comprendre quelque chose différemment. Qu'il soit un seul ou plusieurs ce n'est pas important, mon but principale était toucher et encourager.

Il y a de la vie après 70 ans, mais il y a de la vie aussi après des divers épreuves que nous rencontrons dans la vie. Plus on écrit honnêtement, plus on exprime ce qu'on sent profondément, mais ne le dit pas en général qu'à soi, plus on peut trouver des résonances dans d'autres.

A travers l'espace qui nous sépare, les années ou époques, nous sommes en fait dessous pas si différentes les uns des autres!

Savoir ce qu'on exprime

Je suis en train de préparer mon prochaine "discours" dont le thème est l'expression corporelle. Il comprend aussi les signes que les yeux, notre visage, les bras et comment on incline même dos ou tête, envoient vers les autres.

Le livre que je viens d'acheter et que j'ai commencé à lire hier, en parle en détail.

En apprenant, mes soucis, ma belle fille vient de m'envoyer quelques images qu'elle a prise dans leur jardin, pendant que je préparé la dernière et le répétais devant ma petite fille qui était au début sur le balançoire, puis assise pour écouter le dictaphone près de moi sur le banc.

Magnifiques cadeau!

Je ne me suis rendu compte que j'utilisais déjà tellement mes mains, mon corps entier!

Encore moins que j'avais des mouvements si ouvertes, hautes!

Comme dans ma jeunesse, je ne savais pas non plus que moi, la gentille et tranquille fillette pouvais tuer avec mon regard - et je l'utilisais sans m'en rendre compte, jusque le moment où une fille ne me l'a fait remarquer.

Quelle cadeau juste quand j'avais besoin!

En plus, elle m'a proposé de prendre des vidéo pendant que je prépare mon prochaine discours!

Ah oui, bien sûr, je devrais encore maigrir, cela est évidente, est cette robe que j'adore je peux juste la mettre, tellement me serre.

Mais qu'importe! L'importante est de découvrir, étonnée, de nouveau, que j'utilise déjà tellement mon corps, non seulement mon visage, pour exprimer ce que je dis.

Tout fois, maintenant, il faudra essayer le faire en y étant plus consciente.

A un moment donné, je ressentais que mon mari ne crois pas ce que je lui dis et le ressent même, il ne m'a cru quand je lui avais dit, alors, j'ai pris ce qu'il disait: rien de spécial n'est ressortie. Pourtant je le savais, je l'avais vu! Ce n'est que maintenant que je me rends compte, lisant ce livre, qu'en réalité, ce que je savais venait de son corps et visage, qui disaient autre chose, davantage que les mots prononcés, neutres!

Le fais de préparer des discours Toastmaster, m'expliquent les choses dans ma vie, m'ouvrent des nouvelles horizons, me font approfondir aussi et mieux comprendre mon passé, non seulement m'aidant pour l'avenir.

Badge, Insigne

Il y a tellement des façons à s'amuser sur le Web!

L'une est de prendre une image, soit de notre disque ou d'un site où l'on l'a mise (bien sûr, dans mon cas c'est flickr) et demander au site BigHugeLabs (aussi flickrtoys) à vous mettre un fond noir ou en faire un badge, comme ci-joint.

Bien sûr, en mettant tous les mots qu'on désire.

Si je porterai quelque chose ressemblant sur moi, je ne devrais plus rien dire, n'est-pas?

A quoi servira demander, quand le geste du photo et le texte, ici en anglais parle à ma place. En plus, me présente, dit mon nom.

Le fait est qu'en commençant à jouer sur le web, on oublie, s'oublie, le temps s'envole. Il y aurait tant d'autres choses à faire pourtant!

Hier, j'ai lu le roman pleines des aventures, ce matin, j'ai commencé à lire le très bon livre sur l'expression corporelle qui parle des fois plus que nos mots.

Je trouve intéressant l'observation d'Andrée que mon vidéo donne une impression différente de mes notes de blog! Peut être, parce que nous avons tant des facettes différentes.

On ne devrait pas

Après tant des fois, que j'ai déjà parlé en publique, je ne devrais pas encore en avoir peur, mais j'ai eu tellement que cela est passé à mon ventre.

Peur au ventre! je croyais qu'on le disait seulement, mais j'ai constaté que ce n'était pas ainsi - puisque ce matin, le discours de sept minutes derrière moi, d'un coup, je me suis réveillée avec tout le mal des dernières jours oubliés.

La photo est comme je me sens ce matin, fière, non de ce que j'ai accomplie, mais de l'avoir derrière moi. Pourtant, je ne l'ai pas prise ce matin mais il y a quelques jours, en mettant la première fois une robe d'été dont j'adore la couleur et utilisant la lumière de matin passant par la fenêtre.

J'ai oublié des paragraphes importantes de mon discours, et ainsi pour certaines le raison n'était pas apparente, d'autres m'ont dit que c'était la meilleure des trois et naturelle. D'autres encore ont aimé mes répétition "comme une coeur grec!" ou les mots et phrases courte que j'ai utilisé.

Enfin, c'est derrière moi.

Je n'ai plus mal au ventre. J'espère, qu'avec le temps, je parlerai de plus en plus détendue, d'ailleurs une fois commencé cela paraissait ainsi, et j'ai réussi à avoir une très bonne contact avec l'audience.

Après moi, Mat a dit dans son discours: "le plus important est de élargir à chaque fois nos cadres, faire un peu mieux que la dernière fois, nous mêmes" - j'ai aimé ses propos.

Autant que j'adore préparer. Y réfléchir. L'écrire. Le dire sur dictaphone. L'écouter. Le répéter. Le corriger. Redire. Répéter. Le dire devant d'autres. Autant que je suis "ouf, fini!" heureuse que c'est derrière moi!

La prochaine est encore loin, je peux me relaxer un peu.

Enfin, pour quelques jours, le 6 juin, je devrais parler de mes photos de voyages, et non sept minutes mais environ vingt! Mais aujourd'hui, je n'y penserai pas encore, je me dirais seulement "c'est bon de ne plus avoir du trac."

Pourtant, jusque maintenant, j'avais juré à moi même que moi, je n'ai jamais du trac et parle facilement et avec plaisir. Comment on peut se tromper!

Le plaisir est toujours là, mais des fois le trac me traque.

Pendant que je finissais d'écrire, des livres m'ont été livrés: ceci!

De quoi étudier! Quelle joie! Dehors, il pleut de nouveau, mais ma coeur est remplie de plaisir. Miam! En utilisant quelques suggestions d'un de ceux livres, je ferais sûrement la prochaine présentation plus détendue!

Temps d'été à Londres

Bon, c'était dimanche, et il pleut ce matin, mais même si pendant un temps court, nous avons eu l'été et chaleur arriver jusque chez nous.

Tout autour, les gens habillés déjà comme pour l'été.

A pieds, en bicyclettes, avec un ballon ou une corbeille de pic nick, ou même un bâton de golf pour s'exercer sur l'herbe, pleine des gens passaient, pendant que nous parlions assises tranquillement sur un banque, au bout de ma rue, devant la plaine. Prérie.

Je prépare activement mon discours de six minutes, le disant dans mon dictaphone encore et encore et regardant de moins en moins mes notes. Aussi le modifiant légèrement, ici ou là.

Le petit livre

La deuxième partie (à continuer)

Le petit livre de budapest P2
by julie70

Je n'ai pas encore fait quelque chose aussi bon que le petit livre dont je parle, mais j'espère toujours!

Suite, journal 1 janv. 2004

(Les parties que pourraient être intéressantes, pour ce blog.)

...Sinon, je suis plus riche de ses sourires, ses quelques paroles échangés, ses connivences trouvés souvent, beaucoup des fois.

Oui, peut-être, mes portraits de très près sont des fois flous, pas très nettes, mais je les ai prises aussi le plus souvent en "situation", de plus loin. De près, j'aurais dû les prendre avec trépied, ma main s'appuyant sur quelque chose, ne pas trembler. Mais j'étais émue trop par eux, leur sourire, leur humanité, le rapprochement soudain ou compréhension momentanée, le regard. Ce regard disparaissant trop vite pour ne pas me dépêcher le prendre aussitôt, trop fugace pour sortir mon trépied, même quand je l'avais sur mon dos.

Le quémandeur a caché par la suite son visage sous le manteau, l'accordéoniste a continué jouer espérant l'argent des autres, les musiciens de Vaslui sont vite repartie de la place Charles pour ne pas être attrapés, le vendeur de tissus devait s'occuper des clients qui arrivaient. Mais l'espace de quelques instants, je me suis sentie plus près d'eux, que hélas, des autres femmes de ma classe photo me tournant le dos et parlant entre elles. Surtout, en décembre chez Terry. Là, je me suis sentie étrangères, elles étaient et sont devenues des inconnues.

Mais ainsi va la vie, avec ses hautes et ses bas. Michel et son épouse m'ont invité à déjeuner chez eux aujourd'hui. Ma belle-fille est revenue hier soir avec les gosses et j'ai passé quelques heures à rassembles les premières photos de l'année dernière. Jusque maintenant, 150 de dix mille et poussière, mais ce n'est pas fini. J'ai mise quelques unes sur le Web, trois de bruillard et pommes et la tarte et d'autres de Paris en pluie ou illuminée.

J'ai regardé ceux, fantastiques d'Antique, me faisant sentir presque là, prises avec un Canon de 5 mégas. Budapest, ses ponts, le parlement illuminé, la nuit. En cherchant "essaie photo" j'ai trouvé une site intéressante. En voyait ce que les autres réalisent, j'apprendrai, je serai stimulée davantage pour raconter aux autres ce qui se passe autour de moi.

D'autres possibilités de Partage.

J'étais à quelques jour de l'ouverture de ce blog

Quelques mots en "direct" - tournée par Sana

J'ai réussi enfin d'avoir sur mon ordinateur, la première partie de mon interview pris en février chez moi par Sana Sbouai, et merci, Lily pour me l'avoir transformé dans un format que je peux, moi aussi, regerder enfin!

Bientôt, j'aurais le reste aussi. En attendant peut être il ne vous dérange pas trop de me voir et entendre "en direct".

JULIE rush - clip-2009-02-17 01;29;32
mis sur Dailymotion par julie70

C'est tel quel, sans corrections ou modifications. Merci, Sana, Lili, vous avez fait un job magnifique!

Préparations

Je suis en train de préparer pleines des choses à la fois.

Enfin, j'ai écrit et commencé à apprendre mon discours de mardi. Il s'appelle "Yes. Thank you." Oui, Merci. Je vais parler de ma passion pour portraits, comment cela se passe, et ce qui aide les gens inconnus à me dire "Oui" et des fois même "Merci".

Avec le temps, je vais aussi la traduire en français et le mettre ici.

Je prépare aussi une réunion d'une journée, pendant laquelle je parlerai probablement non pas six minutes, comme au Toastmasters, mais presque une demie heure! Il faut déjà choisir les dix à trente images de "tourisme urbaine" que je vais montrer, de quoi je vais ensuite raconter.

L'un va aider l'autre bien sûr.

Mon calendrier se remplit, jusque fin juin pleines des rencontres très diverses. Une promenade au long de la Tamise, une lecture d'un photographe parlant de son livre.

La décision: laquelle des photos mettre en expo? Je dois choisir une seule. Jusqu'ici c'était la dame au chapeau violet, d'un coup, je ne l'aime plus du tout et j'adore l'image que j'ai mis ici, au début.

Qu'en pensez-vous?

1 janvier 2005; ils ne sont plus inconnus!

Cette note viennent de mon journal intime, quelques jours avant de commencer ce blog, je décris les gens rencontrés, et avec qui j'ai communiqué, pendant 2004, à cause de photographie.

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J'aime bien mieux "2005" que 2004, pourtant ce n'était pas une mauvaise année, mais depuis 1944, j'ai quelque chose contre les "4". Oui, j'ai survécu Magdi de 60 ans déjà!

Non, l'appareil photo n'est pas un moyen de m'éloigner du monde pour moi, mais de m'y approcher. Et je ne peux dire vraiment que j'ai fait le portrait ou pose en situation de nombreux inconnus, parce que la plupart ne me sont plus "inconnus": le leur ai parlé, ils ou elles m'ont parlé, nous nous sommes, au moins en peu, rapprochés, connus.

J'ai échangé ne sois que un stylo et une carte postale avec le vieux arabe ridé de Tunisie qui m'a sourit après l'échange. Je sais d'où venait et habite le plongeur surfeur âgé de North Carolina: c'est un espagnol établie en Canada. La dame du café m'a raconté de son voyage à venir en Afrique, la dame aux beret rouge de ses chiens, et rendez-vous régulier à quatre heure d'après-midi devant le café place Charles.

Oui, j'ai fait aussi l'image de quelques passants ou gens surpris en bus ou métro sans qu'ils sachent, mais j'ai aussi parlé avec d'autres que je n'ai pas prise en photo. Plus facilement, qu'avant.

Terry disait que je m'approche beaucoup. Trop? J'ai besoin de cette aproche. Humainement, sinon pour la photographie. Je n'appelle pas "inconnus" ces musiciens quémendeurs, arrivés à Paris de Vaslui, ni Nénette me proposant me faire "un petut chaud" sur Pigale, ni ceux devant le marché Saint Pierre avec qui j'ai échangé des mots ou des sourires. Un café. Une thé.

Un petit échange aussi au café arabe près de Clignancourt, une cuisse qu'il a mit près de la mienne en me surprenant, me faisant sentir plus jeune plutôt que révoltée, le fumeur de m. sympa m'a aussi raconté le nombre de ses enfants, tant avec sa femme qu'avec l'autre avec qui il vit en France, mais aussi le nombre des années qu'il s'y trouve et le pays d'où il vient.

Le jeune au barbichon amusant et visage enfantin chaud, m'ai montré comment il travail et m'a parlé de son métier de relieur, m'a présenté ensuite son épouse. Le vieux au chapeau noir et cravate rouge de la riche femme qu'il a quitté et le tappissier de son père arrivant en France quand lui avait trois ans, il était aussi tapissier, tout comme Marc qui continue cette métier depuis quatre générations déjà.

J'ai eu une échange de sourire, connivence et d'humanité, même avec ceux avec qui je n'ai pas échangé des confidences. Que j'ai parlé de moi même ou non, quelque courant est passé entre moi et le quémendeur de Pigale, la gérante de café de la Poste, le buveur de bière de place Charles Bernard. Le patron de café du marché "noir" près de Chateau Rouge m'a même donné une photographie qu'il avait fait, lui aussi, de nous pendant que nous discutions chez lui, après que je lui ai offerte l'image agrandi de lui et son serveur.

Je sais que le maître nageur de Chavy Chase s'était fait opérer et c'était à cause de cela que momentanément ne se rasait plus, il me l'a raconté après que j'ai prise son portrait avec son barbe de quelques jours, ensuite nous nous faisions de loin un signe amical de main les matins à sept quand j'allais nager.

Oui, eux, beaucoup d'autres encore, ne me sont plus tout à fait "inconnus": je sais des choses d'eux, et eux, de moi.

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(ensuite, j'ai parlé d'autres choses arrivés en 2004)

Argenteuil révisitée

Fin avril, début mai j'étais de nouveau pour quelques jours à Argenteuil, près de Paris. En revisitant les rues, j'ai observé des choses un peu différement comme avant.

Voilà des images prises ces jours-là.

Bric par bric

Tout peut être rendu différent, plus intéressant même - ici c'est une exemple d'un mur pas loin de l'Université Goldsmith.

Tout peut mener à quelque chose intéressante, nouvelle. Une apprentissage, une découverte. (Comme ici, tout suite, apprenant que découvert masculin veut dire autre chose que découverte féminine.)

Le mur de bric ancien prend vie grâce à un graffiti.

J'apprends sur la langue anglaise à travers le devoir de mon prochaine discours, mardi. Le but: faire attention aux mots. Utiliser des phrases courtes plus faciles à comprendre. Des répétitions, règle de trois, par exemple.

Je me suis dit, pas facile!

Hier, je regard des conseils données sur Web, "comment parler quand l'anglais n'est pas votre première langue".

- Les anglais aiment, sont habitués à parler avec mots très courts, phrases courtes.

Ce matin, je lis un roman d'amour avec mon petit déjeuner et je découvre qu'il utilise pleines des mots d'un seul syllabe. Je commence à comprendre. En français, plus c'est compliqué, plus cela parait sophistiqué et français. En anglais, au contraire, la brévité les caractérise.

Heureusement, je n'ai pas encore composé mon discours, même si j'y pense jour et nuit. Ce matin, je pourrais enfin m'y attaquer: je viens de mieux comprendre ma tâche.

Les meilleures intentions

Je me réveille avant six heures et me mets à mon ordinateur: écrire une note dans mon blog.

Mais avant commencer, il faudrait mettre les dernières images! 36 prise hier matin, après-midi et soir. Regarder et décider lesquelles mettre sur ma site photo, laquelle faut-il, vaut-il changer un peu, quelques dix images arrivent ainsi, lentement, sur Flickr.

Ces fleurs, tout en haut, j'adore ce qui en ressortie des petites fleurs trouvés au bord de la route, en allant vers le bus le matin. Vers midi, en revenant, deux oiseaux presque bleus picorent près de moi, peut-être c'est eux que je devrais mettre en haut de la pile?

Je ne sais plus. Aussitôt que je les regards la première fois sur l'écran, ils sont toutes mes favorites.

Enfin, presque. J'ai jeté quand même trois ou quatre ce matin.

Mais j'ai une message! Lire rapidement mes message alors. Une vidéo qu'on m'a envoyé me mène a la page YouTube où je vois d'un coup une proposition du logiciel pour convertir des formats vidéo diverses. Peut-être c'est ce qu'il me faudra pour lire les vidéo prises par Sana et aussi par le petit appareil de mon fils!

Tout prend du temps.

Jusque j'ai mise ces logiciels sur mon bureau, un pour convertir, autre pour "jouer" et le troisième pour transformer dans un format lisible sur le web, trois heures sont passées et je n'ai même pas commencé à écrire de ce que j'avais intention.

Hier, le club de parler en public, Lewisham Toast Masters, a été officiellement déclaré et, ayant plus de 25 membres, "incorporé". J'étais nommé Vice President en charge de Membres. Nous sommes sept avec divers rôles dans le comité.

Comment ai-je craqué et pris cette responsabilité? Ce matin je me suis réveillé avec cette question. Pleines des plans aussi, mais surtout me sentant "attrapée" : j'avais l'intention de quitter Lewisham et participer plutôt à deux autres clubs TM.

Les meilleurs intentions...

Créativité et LIP

Lip, ne veut pas dire "bouche" en anglais, dans ce cas il s'agit de London Independent Photographers groupe, dans laquelle je me suis inscrite et où je vais une fois par mois à la réunion de Greenwich.

Hier soir, nous avons eu une conférence donnée par quelqu'un qui savait fort bien animer, dialoguant avec nous sur "créativité". Nous incitant à faire davantage laissant l'instinct, prendre le pas. Expérimenter, laisser aller.

Communiquer avec le sujet et dialoguer davantage. De profond de nous vers le sujet et inverse.

Sur la route en allant, j'ai pris quelques images, en revenant le soir, d'autres, pas beaucoup, juste deux rues de bus à la gallérie où nous nous rencontrons.

Ce matin, je voulais en écrire, mais je me suis perdu dans le Picassa3 qui m'offrait à créer un vidéo. Aie! pas très concluant, mais prenant énormément du temps.

Tant pis, entre temps, j'ai préparé un plat de poulet légumes, encore en train à mijoter d'ailleurs. Bientôt, c'est midi par ici, bientôt, je pourrais en goutter. Bientôt, je sortirai, il fait enfin beau après des journées pluvieuses.

La réunion m'a donné courage à expérimenter encore plus, prendre des images, puis voir plus tard, ce que cela donne. J'aime bien ces reflexions dans le vitre de la voiture. A voir encore, pourquoi. Mais j'ai déjà commencé même avant la réunion à dialoguer avec mes sujets.

Comme par exemple avec eux, en passant. Pas longtemps, c'est vrai. Je suis toujours pressée, trop.

Que feriez-vous si?

Que feriez-vous si on vous disait "vous avez seulement six mois à vivre?" disait mon amie Stéphanie, quand, après avoir perdu mon dernière travail je ne savais plus en quelle direction aller. Que feriez-vous en sachant que les mois passeront et ne reviendront plus?

Sara. Amie de Lloyd. Après avoir survécu de dix ans un cancer de sein, on vient lui donner une nouvelle diagnose: cancer des os.

Bien sûr, elle se met à faire de l'ordre dans ses affaires mais aussi écrire dans son journal intime.

Mais ensuite, que fait-elle?

Se fait mettre du rouge foncé sur les doigs des pieds et des mains et va danser, danser, danser.

Avec des inconnus, connus, elle danse. Quelle exemple!

Dance dance dance, originally uploaded by Briggate.com.
Mon collègue, Lloyd, photographe enseignant de Leeds, vient d'en parler, de le montrer en images. Sara aussi photographe, adore danser, et vient d'y aller encore récemment.

Au début, je ne comprenais pas: que vient à faire des ongles carmin parmi des "documents" ou photographies documentaires? Voilà, en lisant, tout l'histoire, le mystère est devenu leçon de vie, même si c'est du fin de vie.

_as-P1060043c, originally uploaded by Briggate.com.
Profiter jusque on peut, faire ce qu'on aime, tant que possible.

Ce que je viens d'apprendre de Sara à travers Lloyd. Je n'oublierai pas de sitôt.

Toastmasters International

Je viens de trouver un blog en français, parlant des premières 10 discours à préparer, pour parler devant les autres ToastMasters et apprendre à mieux parler en public.

Le blog est Canadien, je ne sais pas si TM existe aussi en France. Je viens d'ajouter dans mon blog anglais, le discours avec lequel Duncan de Bristol a gagné. Entre les cent jeunes choisis, ils ont éliminé au fur-et-a-mesure et ils n'ont resté que trois à la fin. Son discours était sur un sujet donné difficile, mais il a réussi à le personnaliser et le dire sincèrement.

PROGRAMME DE BASE TM: 10 DISCOURS

1. Briser la glace - (Parler de soi)
"Et la glace ne s'était pas brisé" j'ai raconté de mon enfance et comment nous avons échappé sur la Danube gelé.

2. Être convaincant
"Mon nez" Devant un autre club, j'ai raconté l'histoire de mon nez, que finalement, j'ai conservé tel quel, histoire déjà raconté aussi dans ce blog.

3. Structurer son discours
Il y a de la vie après 70 ans? Pour le troisième club, encore une fois une épisode de ma vie, just avant mon 70e anniversaire. Celle que j'ai publié aussi dans ce blog, en français.

4. Travailler avec les mots
Le prochaine discours, que je suis en train de préparer va parler du parallèle entre "photographier des gens" et "parler en public". Je viens me rendre compte, en préparant mon prochaine speech, combien des similarités ils existent. Par exemple l'importance de langage corporel. Je vais aussi utiliser des répétitions, et d'autres figures de style. Des mots courts, des paragraphes courts (et quelques plus longues pour variété.)

Préparer à parler d'un sujet, aide à mieux le comprendre.

5. Faire parler son corps
6. Développer ses qualités vocales
7. Mettre ses habiletés en pratique
8. L’impact de son discours
9. Être persuasif
10. Stimuler son auditoire

Bien sur, dans le manuel, il y a deux pages expliquant les différentes tâches, en fait, à chaque fois j'essaye d'incorporer autant des conseils que possible.

Faire des pauses devant ou après les phrases importantes, regarder l'audience tour à tour, ni trop vite passer à l'autre ni rester trop vers un seul, avoir une voix qui bouge et porte, convaincre de ce que je dis et ma sincérité, etc.

En même temps, je me suis acheté le livre "Comment parler en public et convaincre" de Dale Carnagie, qui a commencé à donner des cours sur ce sujet en 1912! "Avoir du courage, parler avec sincérité d'un sujet connu, être préparé et parler souvent en public" sont les premières conseils que j'ai lu hier. "Parler, parler, parler".

Bien sûr, plus on parle, plus on prend courage. Même si on le craint juste avant, une fois lancé on oublie et, pour moi, on est tout dans l'ivresse de la communication avec son audience. Bientôt, je devrais parler devant autre photographes, 15 à 20 minutes, utilisant mes photographies faites lors mes voyages, lors un séminaire intéressant tenu à l'Université de New Cross, Goldsmith. Nous seront plus de dix à parler chacun de nos expériences, et discuter "photographie et tourisme" et l'impact de ce qu'on apporte avec soi et ce qu'on rencontre.

Je vais écouter Carnagie, et chercher le plus possible des occasions diverses pour parler en public. Bien sûr, ne m'arrêtant pas ni d'écrire ni prendre des photographies, ils font partie du même besoin de se connecter avec l'autre.

Rencontres

Samedi, a Londres, ils réparent les lignes de métro (Tube, Underground) et hier trois lignes principales étaient fermées.

Au lieu d'une heure, allant autour, changeant des lignes, je suis arrivée demi heure plus tard à mon rendez-vous avec le groupe.

Je me disais "trop tard"! Mais Chris, que je connaissais depuis une année, de Flickr, de Bookcrossing et Artist's Way, maintenant organisateur du Meetup groupe Art et Villes, attendait encore.

A côté de lui, Kez, que vous voyez ici me souriant.

En la regardant, au première vue, je suis restée stupéfaite quand elle a affirmé "je suis une modèle, en plus de artiste", son visage paraissait insignifiant. Aussitôt que j'ai prise la première image, j'ai changé d'avis: elle est très photogénique et la caméra l'aime. En plus, elle a confiance et cela est rendu aussitôt par l'appareil.

J'ai aussi adoré sa petite jupette qui voletait dans le vent et la pluie que nous avons eu sur notre dos en allant du métro jusque l'expo que nous avons visité.

Je n'ai pas aimé l'artiste exposé mais à côté nous avons découverte un boutique rempli des trésors, bric et brac: une enchantement. Nos discussions, a midi dans un restaurant japonais, plus tard autour du café et muffin, aussi, très agréables. Je n'ai pas regretté le long voyages aller retour!

Presque chez moi, un jeune couple avec bébé me dépasse et nous commençons parler. Des charmants Irlandais habitent juste en face, dans le grand immeuble que je vois de ma chambre.

Ils m'ont invité boire un thé chez eux!

Finalement, il m'a proposé venir prendre leur photo "ils nous demandent trop d'argent dans la boutique!" et me préparer un diner un soir. Elle passera avec le bébé me voir un jour.

Dorénavant, l'immeuble gris ne me regard plus avec sévérité d'antan mais me sourit comme ils m'ont sourit, avec amitié.

Nuit au Musées

Hier soir, nous sommes allées pour la Nuit aux Musées à Trafalgar Square: en arrivant il pleuvait et la National Gallery fermait plus tôt que je croyais: à neuve heures.

C'était intéressante à voir ce qu'intéressait ma petite fille, qui vient avoir dix ans et ce qui attirait le regard de mon petit fils, mais nous avons arrivé juste avant la fermeture et n'avons pas vu beaucoup.

Le Portrait Gallery, juste après le coin, était par contre ouverte (au moins une partie) jusque dix heures, et nous avons chacun découverte des images qui nous ont enchantées, peut être restant le plus de temps vers la fin dans les deux pièces remplis de 300 peintures des différentes anonymes faites après un original français perdu.

Fabiola devenue "saint des infirmières" mais surtout des femmes abusées, a vécu vers le 550, quittant son mari abusif, se remariant par la suite. Découverte vers 1850, il y a plusieurs versions de son histoire, plus ou moins poivrée.

Un collectionneur a eu l'idée de rassembler tout les images d'elle, trouvés dans les marchés des puces: trois cent images presque les mêmes et pourtant, quand on regard, tous différentes les uns des autres. En profil, avec une écharpe rouge sur la tête et l'épaule, au début on croit se trouver dans une pièces où tous sont les mêmes, pour découvrir lentement, l'art des artisans divers.

Quelques images de hier soir, prises avec mon petit appareil.

10 ans déjà!

Il y a dix ans que ma petite fille est née: une longue chemin parcourue!

Heureusement, je ne lui a pas offert un journal intime pour écrire: l'autre grand-mère lui avait déjà envoyé un. J'avais en fait dix ans et demi déjà quand j'ai commencé écrire dans la mienne, le Noël.

Bientôt, j'aurais 75, d'accord, en deux mois, mais je n'ai pas l'impression que cela compte. Je me suis acheté en avance un bouton avec l'humour anglais: "J'ai 75 ans mais je me comporte comme si j'avais 21!"

En fait, pour moi, 21 n'ira pas du tout: je ne faisais rien d'autre que travailler et étudier à 21 ans! Il a fallu attendre encore deux ans, j'ai reçu le premier baiser sur ma bouche, puis d'autres plus chaleureux encore à 23 ans! Ce n'était 'que' à 25 ou arrivée presque à cette âge, un tiers de ce que j'ai maintenant, que je suis devenue femme.

Donc, si je voudrais vraiment me comporter 'jeune" il faudra dire "j'ai 75 mais je me comporte comme a 25."

A 21 ans je venais de découvrir la 5e symphonie de Bethowen: comme s'il me parlait à travers la musique, me disant: courage! Résiste les chicaneries de ton chef, ne te laisse pas abattre par elle!

Bien sûr, à 25 ans je n'avais plus de chef: j'étais mise dehors comme "ennemi de peuple" du l'Institut de Recherche, de l'Université, interdit de travailler et étudier dans tous les établissements d'Etat (il n'y avait pas d'autres alors.) J'étudiais l'anglais et le français en privé, mais très appliquée, huit à dix heures par jour. Et je venais découvrir l'amour.

Je n'étais plus jeune fille à coiffer bientôt st. Cathrine, mais une jeune femme, et heureuse de l'être. Fière d'avoir quelque chose a ne pas raconter à mes parents. J'ai attendu quatre mois, puis, j'ai montré mon journal dans lequel je décrivais mon voyage avec "lui" l'été à maman. Mon père n'aurait jamais compris, admis, même à 25 ans que je pouvais, sans me marier... sa petite fille...

Je n'ai pas grandi dans les yeux de mon père, même après deux enfants, il a continuer à me dire que faire et, surtout, que pas faire. Ce n'est que après mon doctorat, passé après 40 ans, quand il a parlé avec mon chef a Washington qu'il a admis qu'il a un enfant adulte et responsable et capable à se débrouiller.

Alors, j'ai 75 ans seulement, maintenant. 'Très jeune!' me dit le vétéran de guerre français rencontré à York, j'ai 88! Et il était ainsi que son épouse en pleine forme! "Je jardine et me tiens toujours en forme de corps et d'esprit: ne pas s'arrêter, surtout." me dit-il.

Ainsi, vous comprenez mes paroles à l'anglais fêtant son anniversaire de 70 ans: "vous êtes trop jeune pour moi!" Ce n'est que mes os qui disent, souvent le contraire, peut être parce que depuis un temps je ne suis pas allée nager.

Rachel de York, reste si jeune, pourtant elle aussi bientôt aura 70, mais elle continue ses activités, sinon le cheval, la natation, le jardin, la maison, etc. etc.

Je ne travaille pas au jardin, alors, il faudra reprendre la natation pour que je puisse me sentir jeune même à 80 ans: alors, je changerai si possible, mon pseudo, au lieu de Julie70, je devrai mettre alors, (j'espère y arriver) julie80. Mais en attendant, je voudrais pouvoir me comporter comme... à quelle âge?

York et de la famille

Magnifique journées passées à York, en visitant et apprenant de la famille perdue jusque maintenant. Même si j'avais commencé à apprendre en regardant un arbre généalogique, les photos et vidéos montrés et les rencontres en personne, c'est tout autre chose!

En plus, j'ai eu la chance d'habiter chez une dame fantastique, courageuse, chaleureuse et guide des écrivains de voyage pendant sept ans. A travers elle, j'ai vu York, j'ai rencontré des membres de York de la famille de mon arrière grand-mère et des aviateurs français vétérans de guerre, vu une comédie Shakespearien fort bien jouée.

Elle m'a même emmené à un spécialiste de l'acupuncture. Ah oui, j'avais besoin: mon dos heurtait de plus en plus. Je n'ose pas encore y croire, mais ce matin je ne le sens pas encore: bonne augure.

Il n'y a pas des restes (sauf un seul bastion) de la clôture entourant ma ville de naissance pendant des siècles, mais en me promenant sur ceux entourant York, j'ai pu me l'imaginer.

encore un peu de vidéo

Ensuite, je serai de retour et ne bougerai plus (pour des jours au moins) jusqu'au vacances d'été, quand je partirai avec mon petit fils pour une fois.

Slide sur Marais - autrement

Images du Marais

En y allant directement, vous pouvez choisir à les voir plus grande taille, mais aussi plus rapide ou plus lente.

Ici, les images de Place Saint Paul et Marais, sans encore celles prises rue de Rosiers ou place de Vosges: je les mettrai séparément dans des albums plus tard.

Il y a de la vie - raconté en français (Ancienne)

De paroles à la petite boite "dictaphone" acheté à Fnac Saint Lazar et échangé grâce à Rozalia, heureusement, le dernier minute. De Dictaphone vers l'ordinateur: il faut connecter et tirer le fichier: c'est simple.

Ensuite, il fallait trouver comment le mettre sur le Web. Box, recommandé par l'aide de Blogger. Ensuite, trouver comment le lier au blog. Faire pâte blanche partout.

Six minutes: j'espère que cette fois cela marchera!

Que des choses a apprendre dans la vie!

Mais que c'est fantastique: apprendre, découvrir, utiliser. Continuer les découvertes à 75 ans comme dans l'enfance, 70 ans auparavant.

Il y a de la vie apres 70 ans.MP3

Ceci est la version français du discours (récit) que je tenu mercredi dernière au Toastmasters du Lewisham. Je viens le dire, sans l'avoir réécrite: je l'avais tellement des fois répété en anglais pour l'apprendre!

Si cela ne marche pas, tant pis, il marchera une autre fois...

Chantons au bord de la Seine

Mettre des sons, paroles seulement, j'ai essayé hier mais encore pleine à apprendre! Par contre ses vidéos (les autres deux sur flickr) courtes, marchent.

Marais avec Monique

J'ai rencontré Monique place Saint Paul samedi dernier: juste il y a une semaine! Que le temps passe!

Elle m'a montré des rues et restaurants de son cartier préféré de Paris, en m'accompagnant avec patience, attendant à chaque fois que quelque chose m'a attiré mes yeux de photographe. Mi'nvitant à goûter des plats nouvelles et d'autres connus, dans un petit charmant buffet.

Entrant par tous les portes qui m'ont attirées, mais surtout me partant d'elle autant que j'ai parlé de moi.

Le temps est passé si vite!

Ils nous reste des photos qu'elle a pris de moi: je ne me suis jamais vue ainsi!

De tout près, elle a réussi à attraper le regard chaleureux que j'avais envers elle en parlant, et moi, j'ai réussi à attraper ses différentes expressions montrant la richesse en elle.

Triste, heureuse, contemplative ou pleine de vie, jamais son visage n'a pas arrêté à bouger!

En revoyant les images des environs à droit et à gauche de place Saint Paul, Rue de Rosiers et Place de Vosges, je m'y sens encore une fois. Entrant dans un cour ou une boutique des rubans ou de photographies, des cours ou tout simplement, regardant la vie autour de nous dans le parc au milieu de place de Vosges.

Nous n'avons pas arrêté à parler!

J'ai oublié mon dos, mes problèmes, les brûlures sur mes mains me gênant seulement de temps en temps, maintenant tout cela est loin, mes nos photos, parlant de ce que nous avons ressenti à se rencontrant - pour la première fois, j'espère pas la dernière - restent.

Après quelques jours de "repos" pour regarder mes photos et me souvenirs, demain je pars à York, ensuite, rien jusque j'arrive à mes 75 ans. Heureusement, soixante quinze me dérange pas: pourquoi le 70 me faisait tellement peur? Tout cela est loin!

1 mai au bord de la Seine

Pendant qu'ailleurs on manifestait les droits des ouvriers, à l'Argenteuil, on fêtait bonne enfant la Seine, le printemps, les temps anciennes.

En fait, même longtemps avant le "fête de travail" on avait des "fêtes de mai": mon grand-père en organisait aussi dans son jardin, invitant ses amis dans le grand jardin sur la colline.

Je ne m'en souviens pas, on me l'avait raconté.

On fêtait depuis longtemps et encore on fête à tous les âges!

Des bébés étaient aussi présents avec leurs grand mères souvent, et les adolescents avaient des jouets spéciales pas loin du bord de la Seine, mais chacun de nous voit ce qui l'intéresse davantage.

Moi, j'ai vu pleines des gens de plus de 55, voire 70, en costume d'époque ancienne, et de très bonne humeur. Une table pleine qui m'a sourit entre autres et ensuite, j'ai pris un à un ou couple par couple. Chacun avait mise tel soin à se déguiser!

On s'amuse à tous les âges!

Je n'ai pas fini à toute mettre encore, ni même les regarder, tellement la récolte était riche ce vendredi-là. Et bientôt, je pars a York: je devrais me dépêcher.

Raconter le 1 mai au bord de la Seine, raconter le Butte Montmartre avec Rozalia, raconter le Marais avec Monique. Sans parler trop de la misère que j'ai ressentie entre temps à cause de dermatologue visité et la fièvre qui a ensuivie: à quoi cela servira? J'étais heureuse, et les images en témoignent. Les misères passent, même si moins vite qu'on les désire.

J'oublierai la fièvre, la fatigue. Les promenades et tout ce que j'ai aperçu et l'amitié dont j'étais entourée resteront.

Butte Montmartre, lundi

La Butte Montmartre reste quand même ma place préférée à Paris, j'y avais habité pendant 23 ans! A chaque fois c'est la même, mais à chaque fois, c'est différent.

J'y ai retrouvé aussi Michou, toujours en bleu, il m'a dit "je pose mais seulement avec vous!" - ensuite, j'ai pris quand même, avec son accord une, rapidement. Son copain qui a pris nos photos est derrière.

La peintre a qui j'ai dit "quelle bonne idée de mettre les deux sur la même toile" était enchanté à poser, et les deux touristes modeles aussi. D'autres images ont été prise aussi sur le tas, sans demander. Le tout, donne, je crois un peu l'atmoshère du lieu.

Souvenirs d'Argenteuil

Négligé, le petit jardin de feu madame Filipetto, mais toujours photogénique.

J'ai eu plaisir de retrouver mon jardin et mes voisins par contre.

A l'arrivée, le jardin été recouverte des gouttes de pluie que j'ai réussi à prendre avec le nouveau Canon. Il faudrai que j'ai le temps de les regarder et choisir une ou deux - une autre fois.

Le plus grande plaisir étaient les voisins du maison où j'avais habité qui m'ont accueillis avec une grande et réelle chaleur. Je n'ai pas réussi à prendre tous dans des bonnes images, mais je vous montre trois de mes rencontres ce matin, chacun a signifié pas mal pour moi.

Monsieur Laurant, c'est acheté un chapeau à la Maurice Chevalier, et j'ai réussi à le prendre au pas de sa porte. Avec son épouse, ils continuent aller danser, presque chaque semaine! Une preuve qu'il y a de la vie après 70 ans!





Rozalia, est venu avec moi passé plusieurs heures Butte Montmartre. Une après-midi très chaleureuse!


En plus, vers la fin, j'étais épuisée, mais elle m'a persuadé aller à Fnac changer mon Dictaphone: pour le même prix, j'ai maintenant un me permettant à dire et écouter réécouter mes "speech" (dont une j'ai présenté hier soir)et même, les mettre sur le Web: bientôt, je parlerai même ici! Merci Rozalia!

En me baladant vers la Mairie Anexe Champilloux, et le 1 mai au bord de la Seine, j'ai rencontré d'autres gens très sympa, plusieurs même vus la première fois. Voilà quelques impressions d'Argenteuil printemps 2009 (les premières pour le moment)