dimanche 21 septembre 2008

Samedi, au centre de Londres

D'où venaient ces honorable vétérans, avec médailles plein la poitrine et s'aidant l'un l'autre à marcher?

Je l'ai aperçu l'autre trottoir, sur le Regent street.

Londres vous offre une tel variété!

Hier, je me suis lancée vers la centre, en bus me conduisant à travers les banlieue île jusque près de British Museum, directement. Déjà, quelles différences en paysages! Mais de la verdure et des parcs il y en a partout. J'avais l'intention à visiter une des édifices ouverte lors la London Openhouse, je croyais que c'était comme une journée de la Patrimoine en France. J'avais dans mon sac la liste entière et avec notations spéciales ceux que je voulais voir.

Mais, bon, les plans peuvent se transformer.

J'e viens de terminer un livre charmant, tout en lettres écrit, 86 Charing Cross Road. Suivie d'une autre, qui se passe quelque trente ans plus tard avec les mêmes personnages, ou presque, dans laquelle la héroïne arrive enfin, la première fois, de New York à Londres.

Elle adorait aller s'asseoir au parc du Roussel Square, près duquel était son hôtel. Justement, mon bus m'a laissé là. Maintenant, il y a pleines de bancs publiques, il ne faut plus payer pour une chaise si on veux s'y reposer. Une samedi, le petit parc était moins paisible, mais intéressante.

Comme j'étais déjà là, comment ai-je pu ne pas entrer, pour la première (mais pas dernière) fois, au British Museum? Ce musée, il parait, contient le plus grand collection sur la civilisation mondiale.

Je me suis promenée un peu dans quelques salles de rez-de-chaussé, j'ai aimé l'atmosphère, mais encore plus les expressions très différents des statues. J'ai eu ainsi une leçon des expressions et, en même temps, le souvenir de Stéphanie, mon amie sculpteur. J'avais l'impression qu'elle m'accompagnait dans la contemplation des très vieilles statues.

J'ai même posé devant un, mais pas en souriant comme ceux avant moi, en faisant la même grimace de mécontentement avec la bouche que l'énorme statue, lui, lisse bien sûr. Voilà le haut de la statue.
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Sortie de musée, je me suis dit "et maintenant"? J'avais envie d'aller voir la maison dont parlait le livre, la rue des anticaires de Londres, Charing Cross Road.

Je demande au gardien de musée dehors, très sympa, il avait vu le film qu'on en a fait. "Mais c'est assez loin à pieds, il me dit." Après avoir prise son portrait, dont je suis assez contente, je m'y suis lancé quand même. Ce n'était pas si loin finalement.

Sauf que, sur le chemin, j'ai tombé sur Soho, le quartier bohéme et d'amusements, dormant bien sûr ce midi de samedi, probablement tout à fait différent la nuit. Mais Soho est tout près de Oxford Street, une des principaux avenues de la ville, et de l'autre côté, je suis tombé sur Chinatown, une rue chinois. Restaurants chinois, touristes chinois, vendeurs chinois, promeneurs chinois - un docteur masseur et acupuncteur chinois. Il a posé pour moi, heureux, me donnant même sa carte pour que je lui envoie par email.



Encore un peu de marche, et finalement, je tombe sur Charing Cross Road, plus des boutiques des instruments de musique ces temps-ci que des bouquinistes, mais les plus grands chaînes libraires y sont représentés. Certains, pour attirer plus des clients, affichent même qu'ils sont aussi "café" pas seulement librairie.
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Le 86 n'est qu'un restaurant maintenant, mais quelques maisons avant et après j'ai trouvé quelques petites libraires intéressants. Une contenait pleines des livres photo, l'autre enfin, était l'antique avec odeur authentique, enfin, un selon mes rêves!

Un jeune couple, je dirais des propriétaires, très heureux m'y accueillir et apprécier, même si je n'acheta rien sur le champs.


En sortant, je suis tombée sur une manifestation, le couple d'ailleurs avait aussi sortie, se demandant, ils manifestent pour ou contre quoi? "La vie et contre les armes de tout sort". Ces dernières temps, plusieurs jeunes ont été tués ou attaqués au couteaux.



Aie! A cause de manif, des rues de centre ont été fermés au circulation, le bus que je devais prendre pour allée à Westminster, visiter un des maisons du parlement, ne venait plus. En passant par le Picadilly Circus, après avoir pris de photo des nageuses tout en haut du ciel et des touristes posant avec les magnifiques statues de chevaux, je me suis décidé de prendre le métro.



Mais bien sûr, pour d'autres, c'est juste un place pour se reposer et manger de hamburger.



Las, l'escabeau descendant été en panne, les marches longues, tout en bas, au lieu de changer de métro, je suis allée au bout et pris, en traversant une place le bus directe me prenant à ma rue. Qu'importe, qu'il y avait embouteillage, j'étais au moins au deuxième étage du bus sans bouger pour une heure ou plus.

Sans avoir vu aucun des maisons spécialement ouverte pour le OpenHouse London, j'ai quand même vu pas mal des choses et gens centre ville, épuisée, je suis revenue bien contente de mes aventures. Et oui, aussi de mes images qui vont me servir à m'en souvenir et dans lesquelles, en les regardant sur le grand écran de ordinateur, j'ai découverte même des choses que là bas je n'avais pas vu. Diaporama en grand: ICI.

2 commentaires:

  1. Il faut que je retrouve le titre du roman (et de son auteur !) qui se passe à Hampstead , autour du parc et du cimetière . Lire ce livre français et se promener sur les lieux comme je l'ai fait , c'est magique .
    Bonne journée .

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  2. Tu ne sembles pas avoir connu ls lignes de métro fermées ou "delayed" ou ... Tu as bien de la chance! Dès que je vais à Londres, , c'est la cata... Oui les autobus ont beaucup de charmee, même - et surtout s'ils n'avancent guère... quand on est touriste!

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