Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
jeudi 31 mai 2007
Quelle histoire!
Nous avions suivie depuis longtemps les déboires des unes des autres à travers le Web. Quelle joie de la voir enfin heureuse et avec un mari français tellement sympa. En plus, n'habitant loin dorénavant.
Après la rencontre habituelle au café Nord Sud, nous sommes montés sur la Butte.
Pendant qu'ils jetaient un coup d'oeil sur les peintres, je suis restée en voiture. Il a commencé à pleuvoir.
Voilà une histoire avec des images prises hier.
Avec ce récit s'achève le mois de "Tell a story" (dis-moi une histoire) du groupe afterclass et demain commence la class sur la Nature Morte, son étude en tous ses aspects. Ai-je appris quelque chose cette dernière mois?
Jeune, à Montmartre, même seule c'est merveilleux.
La Butte ensemble, en amoureux: pourquoi pas dans la pluie?
On s'entête, on la revisite même vieille, marchant avec difficulté.
Et même avec la pluie forte et la route de plus en plus glissante.
Un jour, trop tôt, tout aura fin: il faut en profiter à tout âge.
mercredi 30 mai 2007
Faubourg Saint Antoine
La station de métro se trouve à la frontière entre le 11e et 12e arrondissements de Paris, dont les passages je voulais découvrir. Le passage de la Main d'Or ne m'a pas emballée, mais j'ai tombé avant sur un autre petit passage avec une portugaise querelleuse, qui est devenu sympa a force de parler avec elle. Et finalement, même posé pour moi.
En sortant de la Main D'or j'ai rencontré deux gars sympa qui ont vite pris cette pose et se sont laissés prendre volontiers et avec des grandes sourires, ensuite je suis entrée dans une boutique intéressant vendant des franges des rideaux sophistiqués.
Que ne peut-on trouver Faubourg Saint Antoine!
En passant l'autre côté du boulevard, je suis tombé sur le marché coloré, sympa et en sortant, des petits boutiques amusants.
Comme cette boutique vend des accessoires "pour la fête des mères" pour le moment.
J'ai bien utilisé mon temps, en faisant une centaine des photos. Je suis le plus contente finalement des deux hommes rencontrés au début, et ces autres sortant probablement des discussions de travail, allant à déjeuner, en passant devant ma voiture sur le Champs Elysée.
Il y a de mouvement, de la vraie vie en elle. Ce n'est que le reste des images sont mauvaises, mais j'aime bien les gens.
Est-on jamais contente? Finalement, j'aime autant la solitude que rencontrer des autres. Chacun ayant son propre charme, différent. Je ne résisterai pas avoir tout le temps seulement l'un d'eux.
mardi 29 mai 2007
Cinq livres
Voilà ce que je suis en train de lire ou juste terminé.
1. Le livre que j'ai fini (en réalité relu de nouveau) c'est One summer de Nora Roberts, une des ass de romances. Il s'agit de deux photographes très différents parcourant ensemble USA une été en trois mois pour faire des photos du pays en été. Non seulement l'interaction entre elle, photographe de mode mais en réalité s'interessant des gens de près, leur parlant (comme moi un peu) et le photographe de guerre qui voit les ensembles et la dureté de la vie, mais en parcourant ce roman, j'ai eu l'impression d'avoir vécu avec eux et vu des gens divers qu'ils ont rencontré sur leur route.
Et bien sûr, eu devant moi, comme elle décrit si bien, les photos prises et la façon qu'ils ont procédé, l'un et l'autre. Fascinant aussi de voir la différence énorme qu'ils ont appercu dans les même lieu.
2. J'ai reçu un Word 2007 à tester, il m'a paru affreux. Finalement, je me suis acheté un livre de Micro Application pour me retrouver. Je fais chapître par chapître, découvrant des merveilles dans le logiciel, et lentement, très lentement, me dire que finalement c'est super.
C'est tellement dur par contre de se deshabituer des habitudes prises pendant si longtemps! Au lieu des menus d'un coup apparaît, si on attend assez et si on est assez près tout un petit image avec des choses qu'on peut en faire, par exemple. Miraculeux! Comment on a pu vivre sans et se raccrocher aux anciens menus que je cherchais désespérement au début...
3. Photographie, L'art de composition par Bert Krager me permet, regarder autrement les formes, lignes, points se dessinant sur l'horizon. Ses exercices dont je fais de temps en temps certains, m'habituent à voir autrement.
4. Peinture, Photographie, Film écrits sur la photographie de Làszlo Moholy-Nagy, un hongrois ayant vécu a Bauhous, Paris puis après 1937 a Chicago, les a écrit avant la deuxième guerre mondiale. C'est génial! Il a prévu tellement des choses qui ne sont arrivé que récement! En plus, son but: joindre l'art et la vie, les pratiques artistiques et la vie quotidienne, me va tout à fait.
Je le lis lentement, il y a des choses profondes à réfléchir et c'est pas très bien traduit de l'anglais. (Mais les a-t-il écrit en anglais ou en allemand ou en hongrois en original?)
5. La subversion par Roger Mucchielli, écrit en 1976, est un livre bouleversant que j'ai recu de Violette pendant les élections présidentielles. Je me suis dit "pourquoi je lirais cela?" puis je me suis perdu dedans, souligné beaucoup de ce qu'il dit.
Depuis, je voit encore davantage comment peu des gens peuvent manipuler d'autres pour aveugler ensuite et leurer des masses des gens pleines des bonnes intentions.Il analyse les moyens, donne des exemples concrets. Je le préssentait déjà, me le lire, tout cela me fait peur de combien nous sommes (des fois même moi, oui) influencables.
Et les subversifs, bien sûr, agissent dans l'ombre, sans jamais dévoiler leur vrais motifs, même aux agents qu'ils utilisent et qu'ils éliminent ou mets à côté un fois leur but atteint.
Je m'y suis plongée avec ravissement et heureuse de l'avoir reçu, mais épouvantée, ne n'ai pas encore fini le lire. Il me faudra du courage pour continuer. D'abord, parce que la vérité n'est jamais facile de affronter, puis il faut de temps pour réfléchir sur le sujet et peser ce qu'il dit.
Et voilà les différents cinq livre autour de moi ce matin. Mais au lieu de reprendre un dans le main, je me suis perdu pour les premières trois heures dans le web, images, histoires, gens rencontrés. Ce matin une russe habitant depuis un an à Alger. Bientôt un bloggeur viendra chez moi. Je lirai une autre fois.
PS. vous pouvez voir en grand format et sur fond noir, trois versions du bouquet des fleurs sauvages apporté par Viollete en même temps que le petit livre, sur mon photoblog.
lundi 28 mai 2007
Répétitions
J'ai dû faire plusieurs essais, imiter André Kertész et sa photo fameuse de fourchette sur une assiette, (il n'avait pas mis de l'entrée dans l'assiette et rien d'autre autour)
prendre ce qui était sur ma table sous plusieurs angles,
et ensuite ce que je voyais autour de moi, en douce
avant de m'en appercevoir de ces répétitions efficaces
Pas mal, n'est pas?
Faire d'abord des "gammes" (diapo a changer en Fast rapide), comme jadis je faisais en l'écriture, pour qu'ensuite cela entre dans l'instinct et qu'on puisse les faire un jour sans réfléchir. Alors, quelque chose intéressant en sorte.
Quand on a la persistance et la chance.
dimanche 27 mai 2007
A trop s'approcher...
En apprenant sur l'art de faire des portraits, on vous dit "ne jamais s''approcher trop, surtout du nez! Il va devenir énorme!" J'ai fait cette image avec les yeux grand ouverts, pour étudier l'effet, (que provoque-il en vous?) et j'ai oublié tant le chocolat autour de ma bouche mais surtout, à ne pas l'approcher trop de mon nez. Il en sortie une image drôle et déformée, et étrangement aussi allongée.
Ce n'est pas moi, pourtant...
La camera nous joue des fois des étranges tours!
Elle permet aussi des fois s'approcher, mieux voir. Des gens et des fleurs aussi. Faire des analogies.
La fleur ouverte, la fleur se laissant butiner,
s'il est touché trop par le vent, perd les pétales, mais s'il pleut, elle se ferme sur elle même.
Ne sommes nous aussi un peu ainsi?
samedi 26 mai 2007
Aniversaire du groupe Afterclass
Cette image par exemple n'aurait jamais été prise sans la classe "Voir la nature autrement" de Josef Stuefer, m'ayant appris de regarder plus près, de regarder sous divers angles.
Dans l'année, pas seulement environ 2000 membres dans le gruope, dont hélas (ou heureusement?) tous ne sont pas actives, mais aussi 12 classes et plus de douze enseignants, comme certains classes sont conduits pas un collective, chacun s'occupant de son fil et sous sujet.
Quelle bonheur d'avoir trouvé des copains fidèles et enthousiastes, des spécialistes dans divers domains nous aidant à comprendre, chacun d'eux à leur façon pendant un mois entier, d'autres aspects de la photographie!
Que de travail! Que des joies!
vendredi 25 mai 2007
Rencontre
J'espére que M. n'aura pas de difficulté à utiliser l'appareil photo acheté hier, mais je crains tellement que sa mémoire n''est plus ce qu'était avant. Je voulais vous parler ce matin (et je ne suis réveillée qu'à 5 et demi, d'un autre jour.
J'avais été invité par un blog-pote chez elle, manger vite puis se promener. Je suis arrivée sur place une heure d'avance.
Que faire? J'ai pris des photos des gens rencontrés. J'arrive presque pas à croire quand non seulement ils acceptent avec un sourire, ils me remercient même.
Enfin, l'heure s'approche, je vais à l'adresse indiqué et fait le code qu'on m'a dit au téléphone. Rien. Oh, ce n'est pas le bon numéro! Je cherche la bonne maison: pas des codes là, ni le nom indiqué. Et si j'essayais la maison à côté? Des codes, mais pas le bon. Paniquée, je vais de maison en maison sans succès.
On m'a indiqué un mauvais code?
Je vais à la boulangerie demander un annuaire téléphonique. "Nous n'en avons pas!" Vers la sortie, un homme sympa m'offre utiliser son téléphone portable, mais je n'ai pas le numéro: on ne me l'a pas donné. Pourquoi?
On ne veut vraiment pas me rencontrer?
Je commence à avoir des doutes. Pote ou non, je suis venue jusqu'ici, je me suis déplacée, moi. Je prends en photo les maisons et quelques boutiques pour prouver de ma bonne foie. Je suis venue au rendez vous, mais ce n'est pas où l'on m'avait indiqué!
Avant de partir, je demande aussi dans un restaurant, "non" mais ils me permettent à faire une photo d'eux. Un peu plus loin un pharmacie: ils devrait quand même avoir une annuaire.
Leur annuaire est de 2005, trop vieux. Mon blog pote n'y figure pas.
- Ils sont arrivés depuis moins d'années ici, je dis au pharmacien.
Il me regard, longement, est ensuite ouvre son ordinateur.
- Ce n'est pas le bon numéro!
- Je sais que ce n'est pas le bon, j'ai cherché autour aussi.
- Ce n'est pas le bon côté....
Finalement, il se décide et me dit le numéro.
Je n'ai pas manqué mon rendez-vous finalement.
Conscient ou inconscient, le numéro qu'on ma annoncé par téléphone n'était pas le bon, le déjeuner n'était pas cuit ou je n'étais pas vraiment attendue. Mais après quelques minutes, le gène disparu, elle me sourit avec une vraie chaleur. Tellement plus important qu'un déjeuner prêt ou un numéro juste!
Après quelques heures, restaurant, banc et promenade, mais surtout discussions, nous sommes parties l'un de l'autre décidées de nous rencontrer encore.
J'ai trouvé un vrai pote, une nouvelle copine!
jeudi 24 mai 2007
Ce matin j'étais en 17e
En même temps, je me suis acheté un enième livre sur la composition des photographies et un trépied que je n'avais pas. J'espère que l'un et l'autre améliorons mes photos.
Trop fatiguée pour vous écrire davantage pour le moment. Demain, j'ai pleines des plans pour demain par contre. Au lieu de jouer avec les images, je me mettrai à écrire dès que je me réveil, c'est à dire autour de cinq.
Savez-vous c'est quoi cette fleur? Je l'ai trouvé hier dans mon jardin vers midi, mais quelques heures plus tard, les pétales étaient déjà tombés. Même s'il ne dure pas longtemps, le plaisir en vaut la peine.
mercredi 23 mai 2007
Ecrit il y a 9 ans
À vingt ans, j’attendais avec craint: qui m’offrira un ‘marcisor’, signe en Roumanie le premier mars de ‘je pense à toi’ tout comme les muguets de premier mai en France.
Plus tard, j’attendais des fleurs.
Il a fallu que j’atteigne mes 45 ans pour découvrir: je peux m’offrir des fleurs à moi-même!
Je viens de m’offrir mes fleurs préférées, des magnifiques tulipes rouge feu, ils resplendissent dans mon petit appartement. Je suis enfin devenue mature. Presque.
Comment enseigner quelqu’un à faire face avec ses difficultés?
Ce matin, j’ai conseillé à mon mari paniqué encore, de regarder la moitié pleine de la coupe et ce qu’il peut en faire et cesser de ressasser la moitié vide, tout qui ne peut plus être, maintenant, après son retrait. On aura ce qu'on veut seulement si on lutte l’avoir, mais ne s’offre plus sur un plateau, de soi.
J’attends que ça lui passe.
Je pourrais, moi aussi, faire une liste de ‘pas possible’ et de ‘je ne peux pas’ ou plus. Je refuse de m’arrêter sur mon chemin à les contempler en perdant mon temps. J’espère toujours qu’ils se résoudront d’une certaine façon, dans son temps.
Entre-temps, je fais ce que je peux.
J’apprends sans cesse et je transmets ce que je peux à qui je peux. J’améliore mes textes. Je travaille comme une abeille, une fourmi. Je ne suis pas géniale, mais persistante.
mardi 22 mai 2007
Que dire?
Il y a des jours quand je ne sais pas que dire, d'autre fois, j'ai au moins trois sujets en tête: il faut choisir. Les accumuler toutes, dans une seule note ou écrire plusieurs par jour (autrefois je le faisais) ne va pas. Ne va plus.
Il reste un sujet qui saute au-dessus des autres, peut-être à cause de ces deux photos que j'ai pris hier à la cimetière Père Lachaise. Combien j'ai hésité d'y aller. Non seulement j'aime pas spécialement les cimetières, mais la dernière fois que j'y étais avec quelqu'un voulant visiter le tombe d'un chanteur culte, je n'ai pas aimé le lieu non plus.
Cette fois, c'était très différent.
Nous sommes montées du dos, côté 20e arrondissement.
Des marches et des marches. Je les ai monté sans problèmes puisqu'ils m'attiraient. Tout en haut trois ouvriers s'affairaient après avoir mis en morceau un arbre qui n'a pas résisté à l'orage.
Ensuite, les tombes en souvenir des déportés que l'ouragan nazis a emporté. Bien sûr, en France on s'en souvient de ceux emportés d'ici, citoyens français ou étrangers travaillant en France qu'on avait jadis livré sans état d'âme parait-il. Il y eu beaucoup.
Mon amie Stéphanie et toute sa famille vivait a Paris depuis longtemps, il était tapissier, elle l'aidait. Ils n'avaient pas eu assez d'argent pour les frais que devenir citoyen français comportait alors. Un voisin est venu les avertir: "demain matin on vient vous emporter".
Le lendemain, ils n'étaient plus là, près de marché Maubeuge, ils sont partis, sans vraiment savoir où vont-ils trouver un coin pour ce cacher. Un prêtre protestant les a finalement accueilli, mais en demandant en contrepartie qu'ils travaillent pour lui, pour la résistance.
Alors, elle a transporté des armes tout en étant enceinte et tremblant de peur. 'Jamais je n'avais pas eu si peur: après un coin, j'ai tombé souvent sur deux officiers allemands' me raconta-t-elle. Peut-être, à cause de cette rencontre que mon fils, alors dans mon ventre, devint nerveux.
Stéphanie n'est plus, ma cousine non plus que je pleure depuis 62 ans. J'ai mis un petite caillou en souvenir de ceux qui ont été emporté et n'en sont pas revenus, que cela soit de la France ou Hongrie. Et la fleur me parait comme une flamme de souvenir à jamais oublier, que leur souvenirs reste en nous.
Je vais essayer un jour, raconter de ma cousine emporté alors qu'elle n'avait pas encore dix ans, que j'ai attendu et attendu et espérais si longtemps qu'elle au moins reviendrait. Plus que notre amitié, plus que les jours passés ensemble au banc d'école pendant trois ans, plus que les après-midis de jeux et querelles, dans moi est restée l'espoir déçu, que j'ai porté en moi de dix à quatorze ans.
Ensuite, je n'espérais plus. J'avais enfin compris qu'elle ne reviendrait pas. Ensuite, je me suis imaginée (et je l'ai décrit quelque part) comment c'était passé la route vers la chambre de gaz. Et même là. Je n'ai jamais vu aucun d'autre, seulement elle et sa mère lui tenant fortement la main. Reste sage et près de moi, a dû lui dire même là.
Je n'étais pas la seule à m'en souvenir. De Paris, mais même de l'Amérique, certaines sont venus devant les mémorials des divers camps de concentration pour déposer un cailloux et sont souvenus.
Non, je n'étais pas seule hier.
lundi 21 mai 2007
A Vaux le Vicompte, ensemble
Dans l'église, j'ai trouvé Andrew de New Orleans, maintenant à Baltimore. Dommage qu'un si beau jeune garçon préfère les hommes. Une sourire radieux, quand il m'a reconnu. Nous nous sommes déjà "fréquentés" sur la site Flickr.
Il adore la France et Paris: "je suis déjà venu vingt fois!" me dit-il, "et un jour, je vais m'établir au sud de la France".
Quelques minutes plus tard, nous avons rencontré David. Il vit dans une petite ville près de Chicago, nurse des gens perturbés mentalement et papa d'un garçon de dix ans. Une sourire chaud aussi. Tous le monde que j'ai rencontré, jusque maintenant, après les avoir fréquenté sur Web, connu à travers les blogs ou la site image, était des être intéressants et très agréables.
Je leurs a montré Vaux le Vicompte. Nous avons eu du mal a le trouver, comme il est perdu dans les champs, pourtant pas loin de Melun. Le château vaut la visite. J'étais trop fatiguée ensuite pour le jardin, une autre fois peut être.
Andrew a déjà était là, il y a dix ans, moi je l'avais visité il y a trente ans ou davantage. Ils ont ajouté la visite des étages et des sous sols depuis et pas mal des objets et chambres comme la chambre de bains d'autrefois.
Après deux heures de visite, affamés, nous avons pris le premier restaurant trouvé... un MacDo. Mal mangé, mais nous sommes partis sans avoir faim. Je me suis souvenu du fantastique hamburger mangé récemment dans un restaurant modeste, sans renom. Oh, le renom!
Et ce ne sont que les écuries, ici, en deux jours j'aurais mis toutes les images.
J'ai laissé Andrew près du Marais, il est infatigable découvrir Paris et ses environs et assoiffé de la France.
David, a préféré descendre près du Louvre.
Ils ont trouvé à travers le Web des chambres à louer par semaine, chacun dans une autre part de centre de Paris. Entendez Paris avec un grand P! Ils économisent toute une année pour se payer le voyage et quelques jours de séjour ici.
Et ce matin, je viens de recevoir un email d'un couple qui arrive à Paris de Boston à la fin de mois. Je n'étais jamais si demandé, si gâté en fait par les gens qui veux bien me rencontrer! Ils ont raison, fin mai, début juin sont de magnifique saison pour visiter Paris.