J'apprécie beaucoup le terme "les muscles de l'écriture".
Une sorte de zygomatiques cérébraux quand l'écriture est drôle, une crispation des machoires quand se trame le drame.
L'écriture, pour celui dont c'est un besoin, se cultive comme un jardin. Sillon après sillon, j'y trace un chemin qui m'amène quelque part et me dit qui je suis.
S'il m'arrive d'y guetter un regard, c'est que je suis curieux de savoir ce que pour l'autre aussi je suis.
par André venant de son blog rendre visite a mon entré sur "comment on s'y met dans l'écriture" (entré appellé début).
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