Lundi et mardi, j'ai écrit des notes sur ma sortie de dimanche, mais j'avais froid. Chez moi, il n'y a qu'un chauffaux au gaz pour les deux pièces et l'entré, mais ca ne serait pas si mal si la circulation de l'air ne serait pas si mauvaise. Je suis allée le matin vers cinq heures dans le salon devant mon ordinateur et j'ai commencé à bloguer et flicker. Vers sept, mes pieds et jambes gelés, je me suis remis au lit en tremblant de froid.
Je ne savais plus que faire pour me rechauffer.
Si, je le savais: il aurait fallu faire une bain chaude et j'ai bien de l'eau chaud mainenant, depuis que Coyotte est venu m'apporter un bon plombier, mais dans la salle de bain il fait encore plus froid: je n'ai pas eu le courage.
Finalement, j'ai dû me décider à sortir: je n'avais pas de pain. Bien, ce n'est pas seulement le pain qui me manquait, mais je n'avais pas non plus des biscuit, ni des biscotte, ni de pain congélé. Ni de lait, ni de viande, ni de fromage, ni... Mais c'est le pain de matin qui m'a décidé.
Je me suis habillée très chaud, deux pantalons de survet l'un sur l'autre et mon plus gros pull, deux chausettes. Heureusement personne ne me regardait hier matin! J'ai fait finalement mes courses à l'Attac et je me suis achetée, exceptionnellement un croissant; à la place de pain du matin. J'étais déjà là, à l'ouverture des boutiques.
Une fois sortie, je me suis rendu compte que ce n'était pas si dûr!
Il fallait seulement se décider. (Et le soir, je n'y pensais plus à la difficulté de sortir quand j'ai dû aller faire la mamie photographe au gymnase pour la remise des diplomes pour mes petits enfants!)
C'est le premier pas qui compte!
L'automne 2004, comme je vous es déjà écrite, c'était ma classe photo qui me sortait chaque semaine régulièrement vers Paris, à partir de ma lointaine banlieu, en train ou en bus.
J'ai fait alors un clip courte des images prises le 7 octobre, il ne dure qu'une minute.
En réalité, c'est le programme Sony Slide qui l'a réalisé à ma place, mais avec les images que je lui proposais. En fait pas tout à fait... ce programme prend les images qu'il veut (à partir de ceux qu'on lui indique), c'est pour cela que je ne l'utilise pas davantage.
Il ne fait qu'à sa tête! Mais, des fois, pas si mal que ça...
Aller de mon banlieu vers "mon" ancien Paris 18e, faire des photos, puis utiliser Sony Slide pour faire ce clip: c'était une joie. Comme maintenant c'est une joie de la partager.
Clip Paris18e
Vidéo envoyée par julie70
je te comprends. Je deteste etre froid dans le matin. un bain vous aide pendant qu'on est dans l'eau, MAIS en sortant de l'eau.. si l'air a froid, on est completement gelé.
RépondreSupprimerJulie, je répète ce que je pense:tes photos sont formidables, tes clips supers et tout ce que tu sais faire en informatique.
RépondreSupprimermais que tu ne t'arranges pas pour avoir chaud chez toi en hiver, c'est ton affaire et ton choix.
Alors arrête d'étaler ta misère et ton courage pour faire pleurer Margot dans les chaumières, c'est indigne de toi .
Même si on peut comprendre que ce que tu as subi dans le passé t'a marquée à jamais.
Tous les jours, je pense à toi.
j'aime bien ta vidéo de ce jour, mais je dois avouer que je préfère celles que tu fais sans Sony Slide, je les trouve plus douces et pas du tout agressives à l'oeil comme celle là (enfin je trouve et c'est mon humble avis !)
RépondreSupprimerMoi j'aime bien votre blog tout simplement, je le découvre en ce 1er février, il est très riche en texte et en photos, même en vidéos. Il me faudra revenir pour tout lire, en particulier vos journaux.
RépondreSupprimerLa photo qui illustre cette page est magnifique. Pleine de poésie ces feuilles recouvertes de givre.
Chère Micheline, je préférerais si tu ne pensais plus à moi et ne venais plus visiter mon blog et me laisseras dire ce que j'ai envie sur le moment.
RépondreSupprimerTu cherche il me paraît avec une loupe que dire de blessant et je commence en avoir assez. Je parlerai de mes petites misères quand j'ai envie tant que j'ai envie et ce n'est pas toi qui m'en empêchera! Tu ne peux plus me faire mal par tes paroles, je suis passée par la stade de deuil de l'amitié qui n'a jamais pris finalement entre nous, depuis presque une année maintenant. Dans mon blog "j'étale" tout que j'ai envie, sans que tu peux m'influencer.
"Faire pleurer Margot dans les chaumières" je ne comprends pas tout à fait, mais ce que j'ai écrit, de toute façon ce n'était pas pour qu'on "pleure sur moi" tout simplement une introduction à ce qu'il a suivie ce récit et faire savoir que je suis aussi susceptible aux petits misères que tout le monde et pas "superwoman" avec ses images et vidéos.
S'il te plais, oublie-moi.
D'abord, t'as raison, te laisse pas faire .. non mais...
RépondreSupprimer"Faire pleurer Magot dans les chaumières" est une expression bien française qui veut dire que l'on cherche à ce que les gens nous plaignent....
Laisse tomber...Micheline n'a qu'à pas te lire, si tu l'ennerve !!
Bon, c'est autre chose que je voulais te demander
Avec tes photos, tu as l'air de sillonner beaucoup Paris...
Alors, la dernière fois que j'y suis allée, j'ai trouvé rue du Bac l'échoppe d'un sculpteur sur bois (il y avait plein de sculptures dans sa vitrine)
Je voulais prendre des photos, mais comme je suis sotte, je n'ai pas osé....
Si tu pouvais seulement y penser si tu passes par là, et me donner son nom..... Humm, ça serait bien....
Je t'embrasse.. et reste comme tu es, j'aime bien venir chez toi !!
Bises
julie, il me serait facile de te renvoyer la balle:que tu ne peux m'empêcher de penser à toi , me dicter ce que je dois faire vis à vis de toi, pas plus que me défendre de lire ton blog à moins que tu ne trouves le moyen de m'en empêcher.
RépondreSupprimerje te rappelle que c'est toi qui qui m'as remise en cause publiquement il n'y a pas longtemps en m'accusant de t'avoir traitée avec dédain etc..alors qu'on avait fait silence depuis longtemps et que j'ai simplement usé de mon droit de réponse .En privé.
Tout ceci est bien mesquin et regrettable.
oh Julie crois-tu vraiment que je suis la méchante fée qui cherche à te blesser ou te dicter ta conduite tu sais bien que c'est faux.
Plusieurs fois tu t'es sentie agressée par des paroles qui ne t'étaient pas même destinées,tu m'as prêté des intentions imaginaires pour t'avoir appelée Judith en public par exemple, alors que je t'en avais demandé la permission et que j'en avais pris l'habitude, alors sur un mouvement d'humeur tu m'as proposé la première de cesser nos relations. Est-ce vrai?
Ce sont souventles petites choses qui passent inaperçues qui pèsent lourd( mon mari avait pris l'habitude d'appeler notre chienne Julie, je trouvais cela gênant quand tu venais à la maison) et par ailleurs je n'ai pas compris que Judith t'importunait puisque tu m'avais laissé le choix.
Je comprends que tu sois sur tes gardes vis à vis d'une langue que tu ne maîtrises pas même au bout de 40 ans passés en France car c'est sans doute le résultat d'un traumatisme venu du temps où il t'a fallu cacher jusqu'à ton nom. J'ai tout à fait accepté cela: souviens toi quand j'ai commencé à corriger tes textes, j'ai essayé de respecter ce que ton parler avait d'authentique dans ses tournures, respecté son charme tout en le rendant plus clair. Est-ce vrai?
Tu regrettes de t'être trop confiée?
tu ne m'as confié que ce qui est sur tes blogs( parfois en pièces détachées).je t'ai aimée pour ce que tu étais et même un peu plus, pour ce que tu pouvais conquérir à la lumière de ton passé, étendre ta générosité à toutes les victimes des holocaustes qui se perpétuent encore à tavers le monde actuellement, toutes les injustices et boucheries humaines.
Utiliser ton intelligence à dépasser la petite fille que tu es parfois restée et qui, lorsqu'elle raconte qu'elle a les jambes glacées et pas même une petite biscote en se levant dans le froid du matin, torture le coeur de ceux qui l'aiment : tes enfants et petits enfants lisent ton blog, je le sais.
Crois-tu qu'ils n'éprouvent rien?
"sensible aux petites misères" ; le froid n'est pas une petite misère, c'est un scandale à notre époque et notre civilisation que des gens meurent encore de froid et je ne comprends pas que tu t'y exposes par imprévoyance.
Il faut parfois tourner 2 fois sa langue dans sa bouche avant de dire ce qui vous vient sur le moment pour ne pas heurter les autres,j'ai eu mal et un peu de colère en te lisant c'est pourquoi je n'ai pu retenir moi aussi des paroles trop spontanées. Je ne suis pas un modèle de vertu non plu, c'est pourquoi je pensais que nous pouvions nous aider sans arrière pensée.
Sans rancune Julie même si tu préfères que nous en restions là.
Avant d'agir, je voulais simplement de préciser que je ne me suis pas du tout faché de comment tu m'as appellé devant les autres, mais quand tu as dit "Sandou avait raison de traiter tel qu'il l'a fait, tu l'as mérité" devant plusieurs personnes, à cause que mes lettres vers lui t'ont paru trop directives.
RépondreSupprimerEt en plus, tu m'as dit : "je n'aime pas ta nature profond que je viens de découvrir" aussi devant d'autres.
En plus, il y a une année que je t'es appris et aidé à ouvrir ton premier blog, au lieu de me dire, même un petit merci (je ne l'attendais pas en tout cas) tu viens dire n'importe quoi sur mon blog parce que j'ai écrit avoir eu froid (j'ai toujours, souvent) et après avoir publié dans la tienne une photo de bureau dévasté à cause de l'eau qui coule. Oui, j'ai trouvé même une entrée chez moi datant de 4 février avec ta photo et "elle m'a bien acceuillie" et c'était vrai. Mais, s'il te plait, arrête à me dire de ce que je dois écrire et de ce que je ne dois pas. Et me reprocher qu'après quarente ans j'écris toujours pas correctement français. Je le sais. Tu n'as pas besoin de me le rappeller. Tu n'as pas besoin non plus le supprter et lire quelque chose qui ne te plais pas. Je ne te dis que faire, mais laisse-moi faire ce que je veux en paix. Au moins, pour commemorer l'ouverture de ton blog, et ton entrée dans une monde où tu n'aurais jamais entré probablement sans mon aide et conseils.
RépondreSupprimerMa pauvre Julie tu dis des choses absolument erronnées, tu fabules je n'ai jamais prononcé les paroles que tu m'attribues,et j'ai encore dit dernièrement sur mon blog merci à qui m'avait initiée,
RépondreSupprimerje ne te reproche pas de ne pas maîtiser la langue je dis que je comprends pourquoi ( des études psychologiques peuvent l'expliquer : n'en n'ait pas honte!)et que j'avais essayé de garder son authenticité et son charme à tes écrits. Non?,
toi non plus ne m'as jamais remerciée pour le travail de correction que j'ai fait pour toi ..ça allait de soi!
j'ai commencé à corriger pour toi pendant pas mal de temps avec intérêt et plaisir,tu m'as ensuite fait bénéficier de les connaissances informatiques.Ca allait de soi!
je ne dis pas non plus que ce que je lis ne me plait pas, ça me fait réfléchir et ça me navre souvent parce que tu ne me seras jamais indifférente.
Tout cela, ce sont des enfantillages et beaucoup de mauvaise foi indignes de nous.