J'ai presque oubliée combien des choses différentes je n'ai commencée avant d'arriver 'ici' au point je suis maintenant.
A 60 ans, quand j'ai restée 'chez moi' la première fois, c'était d'abord lire la première fois tous mes journaux, les uns après les autres. Replonger ainsi dans mon passée a travers mes divers ressentis de l'époque.
Puis les traduire. Se rendre compte enfin que cela ne suffit pas, il leur faut plus de 'contexte'. Commencer d'apprendre les divers techniques littéraires. Étudier et faire des 'gammes' exercices pour s'améliorer.
Je n'avais pas aucune idée que finalement j'irais vers 'dire' au lieu 'écrire'.
Ensuite, la photographie, en regardant des vieilles albums je découvre que j'ai commencée avant le digital et avant flickr. Ma prof était tout pour noir blanc, 'classique' elle disait. Avec le temps, j'ai mise de plus en plus de couleur, mais de nouveau en regardant certains images je suis émerveillée par le pouvoir de sans couleur, des nuances infinies de gris. De leur expression. Des photo, ici prise a mon arrivée a Londres, dont je ne me souvenais même plus. Ou la plante striée de mon jardin d'Argenteuil.
Après l'arrivée ici, a Londres, les six semaines de Artiste Wayne, la voie d'artiste, le livre de Julia Cameron m'a influencée davantage que je me suis rendue compte alors.
Le projet dans mon esprit alors, un livre avec photos et paroles, reste toujours non fait, mais j'ai glissée de la vers le discours public, récits racontées puis comédie.
C'est Cameron qui explique que la créativité ne doit pas, ne se limite pas a une seule domaine. En plus, tout s'est ajoutée l'un a l'autre.
Et maintenant?
Je ne sais plus. Je n'ai plus de 'désir brullant' pour réaliser quelque chose. J'espère que cela viendra et prendra forme jusque juillet ou l'automne.
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