Oubliant les débuts fiévreuse d'un liaison, le bonheur tranquil de mariage jeune, les jours a jours quand rien 'spéciale' n'arrivaient.
J'ai eu pas mal des jours bons lors les premiers années de mon premier mariage, que je dois aussi ajouter a la balance!
Je ne sais si jamais j'ai montrée ici cette image prise le premier mois de mariage par mon beau-frère.
Je prenais le bouquet, quand je l'ai soudain aperçu. Avec cette photo derrière, photo ressortie au Noël pour mon petit fils Alex, le même nom que Alex de cette photo, son grand père, qu'il n'a pas connu. En même temps, ce matin, pleine des mémoires sont sortie de quelque part.
Non, les moments ne se dissipent pas tout a fait, même si recouverts par cendres amères des dernières mois ou années.
C'est vrai, 10 ans plus tard, il m'a dit qu'il m'avait trompée la première fois moins d'un mois après notre mariage, mais moi, je ne le savais pas alors. Jouer a la femme mariée me faisait plaisir et aussi faire l'amour sans interdits. Je me croyais très bien aimée, même si 'tout' n'était comme je l'avais espérée et qu'il dormait par terre au lieu de notre lit.
'Tout' ne correspondait pas a mes rêves dès les premières jours mais j'étais une jeune femme bien heureuse de la vie en 1960.
Je prenais le bon et oubliais autant que possible le reste: d'avoir interdit du travailler et aussi finir mes études comme 'ennemi du peuple' par exemple, le mort de maman, une année avant, le futur et émigration incertain.
On peut être heureux quand certains choses vont très bien soudain, comme je l'étais ce jour de la photo.
Vous étiez bien joli. On ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve.
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