J'étais retournée à Cluj, ma ville d'enfance, la première fois depuis plusieurs dizaines d'années, la première matinée, je suis allée revoir la rue, et visité la maison, l'appartement même où j'avais habité jusque 14 ans.
Pour revenir vers la centre, il fallait traverser le pont sur le petit Samos, rivière qui coule toujours devant mon ancienne rue. Je me suis arrêtée à regarder l'eau couler, en me rappelant combien j'aimais voir les feuilles s'en aller dans les temps.
Trop loin pour les prendre en photo, j'en ai prise une image de la maison de deux étages où mes parents louaient l'appartement de la deuxième. C'est alors que soudain, j'ai aperçu ces deux pigeons. J'ai prise trois photos avec le maximum zoom. Plus tard, j'ai découpé celle-ci, pour qu'on les voit bécoter de plus près, mieux.
Jusque hier, j'avais tout à fait oublié celle-ci, dans laquelle les deux sont blottis l'un contre l'autre, pris pourtant seulement quelques minutes, seconds plus tard.
Pourtant, ce n'est que les bisous qui sont bien, se blottir l'un à l'autre est merveilleux aussi!
Bravo pour les photos
RépondreSupprimermerveilleuses ces photos, mais je crois que je préfère la première, bresqu'abstraite.
RépondreSupprimerJe souhaites que ce revenez y te sois doux
Elles sont magnifique vos photos de pigeon.
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