Pavot, pas de pivoine!

In my garden 4 june-3 par Julie70.

J'aime bien les deux. Les pivoines je les connaissaient depuis longtemps comme fleurs de ma jeunesse, mais je n'ai pas encore regardé de près des pavots.

Comme elles ont paru dans mon jardin, sans que je me souviens comment, ces fleurs me fascinent. Elles ont une vie très courte, avec ouverture et fermeture au cas de pluie ou vent, les insectent qui viennent rapidement s'en regaler, les pétales qui commencent à tomber, puis reste seulement le centre, aussi fascinant d'ailleurs en le regardant de près.

Ensuite, une autre s'ouvre. Des fois, deux à la fois.

Demain, jour des élections. Comme je ne serais pas en France dans une semaine, j'ai donné de délégation qu'on vote à ma place le 17 si besoin est chez nous.

Je ne savais pas que c'était si facile.

Il a fallu que j'ai bien sur les coordonnés de celle à qui je veux confier ma vote, que je mets a la poste de police mes coordonnés et les siens (Pas de ratures!) et voilà. Tout a été reglé en quelques minutes.

Lundi et mardi, répétitions de ma petite-fille pour son spectacle de ballet de fin d'année, mercredi Suzanne arrive de New York. Depuis 29 ans elle n'a plus été en France, en Europe. Depuis la naissance de sa fille, qui maintenant elle aussi a un petit bébé.

Ensemble, nous irons d'abord en Irlande, en revenant, découvrir Paris.

Elle est jeune, dix ans plus jeune que moi! et elle travaille encore: enseigne l'écriture dans une université populaire de New York. Nous nous sommes connus sur Flickr et rencontrés à Washington pour une photo balade dans la gare (il faisait trop chaud ce jour-là pour sortir).

Je suis encore solitaire juste quatre jours, puis ma vie va entrer dans un tourbillon. Je l'attends, je le crains. L'avenir dira.

Il y a de bon et moins bon dans tout, mais on ne peut pas avoir l'un sans l'autre, n'est-ce pas?


Ai-je perdu la tête à cause des tous les bouquins lus?

Non, c'est le Macintosh qui permet de réaliser tout ceci, est en commençant, je ne savais pas ce qu'en sortira. Pas si mal, finalement! Bien sûr, on aime jouer à tout âge.