Susan n'est pas arrivée encore, mais l'aventure est commencé, autant que pour moi, que pour elle.
Ce matin, Americal Airline a anoncé sur l'Internet que l'avion sera à temps, donc je suis partie à Roissy. Arrivé au croisé des Terminaux 1 et 2, il n'y avait plus d'écriture marquant quel avion arrive où.
Peut-être les long courriers, d'Amérique, arrive à la une, je me suis dit. Emboutaillage: cause de parquing fermé. "Allez au parking long durée!"
De là, j'ai pris CDGVal, un métro gratuit, s'arrêtant bien au Terminal 1, où j'apprends que le AA arrive au terminal 2: exactement au sens opposé. Précisément, 2A.
Mais le CDGVal ne va qu'à terminal 2G, un long chemin à pied, à travers escaliers, corridors, terminaux, tapis roulants qui ne roulent pas, tapis roulants qui roulent et où l'on vous fait savoir brutement "ce n'est pas pour reposer, bougez!", j'ai même pris une fois l'élévateur, mais ensuite il faut encore une fois remonter des marches pour sortir!
Enfin, arrivé à 2A, je regards le pannaux: Retard indéterminé. J'ai attendu, une demi heure pour apprendre: le retard est de huit heures! Revenue aux informations "on ne sais pas, allez aux American Airlines. Et pas aux enregistrements, ils ne savaient pas non plus, à l'achat des billets!
- L'avion vient juste de partir!
- Mais, il devait arriver avant 11 heures!
- Il arrivera vers 19 heures... peut être quelques minutes avant.
Recorridors. Heureusement, entre temps j'ai fait quelques photos pour me consoler, heureusement, je suis revenu en 20 minutes à peine chez moi admirant les fleurs de ma voisine.
Je peux me reposer un bon bout, Susan surement n'a pas pu, pour elle le voyage commence pire, avec une nuit passé où? "Ils se sont surement occupé d'eux, mais ils ont dû mettre les passagers dans un autre avion" me dit-on à American Airlines.
Un couple auxel je n'ai pas résisté.
Heureusement, que les déboires ne sont pas dûs au grêves dans les Airports de France dont j'ai entendu parler ce matin au radio de ma voiture. Juste un petit mal foncionnement, des parkings fermés, des machines des tiquets ne marchant pas. "On ne fait pas de grêve dans les grands airports!" m'affirme l'employé de AAirlines. Non? Je me souviens d'un jour quand on nous a fait descendre du taxi et porter nos bagages nous même avant l'airport, pourtant. Si cela n'arrive plus, tant mieux.
Bientôt, je retournerai à l'airport, maintenant je sais au moins, au parking du T2, j'espère qu'il ne sera ni fermé ni plein vers le soir. En tout cas, j'ai acheté la baguette fraiche et le brie dont Susan avait envie, le reste demain.
Je vous tiendrai au courant de nos autres aventures, au moins, quand tout ne vas pas sur les roulettes, on a quoi raconter!
Moi ce que j'en ai tiré de cette histoire, c'est qu'il ne fait pas bon de nos jours de voyager.
RépondreSupprimeroh, lancelot, cela vaut toujours de voyager, même quand on doit parcourir des longs corridors, même quand on arrive huit heures plus tard,
RépondreSupprimersi tout se passera sans aucun problèmes la route ne serait plus même intéressant probablement, et il y aurait moins à écrire...
tous les amours ne sont pas sans éceuille non plus, mais faut-il pour cela nous abstenir?