Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
vendredi 29 juin 2007
Les vacances s'approchent
Je n'ai pas encore tout à fait digéré mon voyage en Irlande, si riche en rencontre et paysages, mais j'aurais pas mal a raconter.
Avec le mois juillet, dans mon groupe 'afterclass', nous entrons dans un nouveau thème: La photographie de voyage.
La différence entre photos des vacances et photos de voyage? On peut en fait faire les deux.
En vacances, avec amis ou famille, et même seuls, nous faisons souvent des images les uns des autres, au bord de la mer, de la montagne ou devant un monument. C'est des souvenirs à chérir longtemps, souvent tout une vie. Ils sont des témoignages que nous y étions et comment nous étions à un moment donné.
Rien n'empêche à faire aussi des photos de voyage. Prendre une ambiance d'un place, des scènes de vie qui nous étonnes ou enchante ou attriste: comprendre plus en profondeur. Soit un lieu fort éloigné de nous, mais aussi seulement de dix kilomètre.
Il n'en faut pas faire davantage pour être dépaysé des fois. Je crois que tout dépend avec quels yeux nous regardons autour de nous.
Quelqu'un disait, dans un récit de voyage, que découvrir sur les autres, leur cultures, leur façon de vivre, nous rend plus riches et fait aussi découvrir des choses nouvelles sur soi.
La photographie que j'avais mise au début, est celui d'un café place des Fêtes, Paris 19e, un coin m'ayant attiré. Similaire, et en même temps si différent des cafés parisiens habituelles.
Ensuite, nous sommes entrés. Il n'y avait qu'un seul autre client caché dans un coin, au début j'avais même cru que nous étions les seuls.
Nous avons bu deux cafés, mais surtout, nous avons pris des photos de Nora qui travaillait dans cette café/pizzeria. Photos que je vais lui porter ou envoyer. Mais j'ai aussi pris des photos de Suzanne montrant à Nora la photo qu'elle avait pris d'elle, cette dernière davantage photo de vacances. Vacances de Suzanne à Paris.
Même si en même temps, il est aussi un document des comment les gens réagissent en se voyant sur l'écran des appareils et de l'atmosphère du lieu. La distinction entre deux sortes des photos n'est pas si facile à faire. C'est ce que nous allons essayer à découvrir tout le mois qui arrive.
Vers la fin, elle me demanda: "et vous, où habitez-vous?" Je lui dis. "Oh, c'est bien loin!" Depuis, Place des Fêtes me parait bien loin de ma petite ville et mon jardin. J'ai voyagé!
jeudi 28 juin 2007
Paris, 19e arrondissement
Je suis entrée dans la boutique de teinturerie pour prendre en photo des animaux chinois confectionné a la main de la vitrine, demander si je peux en faire des photo de l'intérieur.
En fait, je me suis rendu compte qu'ils ne m'intéressaient pas autre mesure. Beaucoup plus fascinant était de voir cette couturière à la machine travaillant.
- Comme dans ma jeunesse! m'exclamais-je.
- Oui, c'était des Singers, dit elle.
- Comment le savez-vous?
- C'était ce qu'on utilisait à l'époque. J'ai commencé à 13 ans.
- Mais ce n'était pas éléctrique à l'époque.
- Pas facile de les tourner à l'envers, nous avions tendance de les tourner à l'endroit à chaque fois, me dit-elle.
Au lieu d'une photographie d'un animal confectionné à la main, j'ai eu une contact humaine dont je me rappellerai longtemps. Des souvenirs resurgis de l'une et de l'autre.
Et ce n'était pas la seule ce jour-là! Non seulement les gens rencontrés m'ont laissé prendre leurs portrait, mais les plupart m'ont remerciés ensuite.
Ce monsieur élégant d'un certain âge, m'indiquant le chemin, posa pour plusieurs images 'vous avez 5 minutes avant que je dois aller à mon rendez vous chez le docteur', et le jeune homme travaillant au bar du "A la bière" me promit de venir lire mon blog et regarder mes images.
L'ouvrier cria à ses copains travaillant sur le toit de poser eux aussi, au moins de loin et cette femme avec une sourire charmante fit jouer a son chien ses tours pour les photos.
En me promenant hier dans le 19e arrondissement, j'ai de nouveau fait des rencontres étonnants et inattendus, comme Nora habitant du quartier me disant "mais vous habitez bien loin!" ou la femme sortant de son appartement nous parlant de son bébé. "C'est une chienne, pas chien!" Elle la pris ensuite au bras et Suzanne la caressa.
Je n'ai pas parlé longtemps avec tous, mais j'ai eu leur sourire, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur:
Le contact réussi, était-ce grâce à mon chapeau? Hier je suis sortie avec mon chapeau noir.
mercredi 27 juin 2007
Les Irlandais
Comme l'explique si bien la romancière Penny Perrick, dans son livre La fille du Connemara, que j'ai rencontré là-bas, mais c'est encore une autre histoire pour une autre jour, il y a beaucoup d'irlandais au cheuveux noirs, descendants des espagnols qui l'ont envahi à un moment donné et dont certains sont restés.
En fait, il y a du tout.
Récémment, il y a beaucoup des polonais venus travailler, vivre à Limerick par exemple, et des portugais pour travailler ailleurs, j'en ai rencontré bien sûr aussi des touristes. Dans mes portraits, dont je ferais une collection, il y aura presque autant des Irlandais "vrais" que ceux qui habitent ou s'y promène seulement.
Le premier "irlandais" rencontré à l'aéroport était un adolescent français (d'origine irlandais???) s'y rendant. Magnifiques yeux bleus, cheveux rousses, j'étais deçu quand il me parla en français, me disant qu'il y alla juste pour un mois.
Dans un pub, j'ai rencontré l'Irlandais typique avec barbe rousse et lui aussi me dit qu'il venait seulement de l'Amérique, mais qu'il doit avoir au moins un ancêtre Irlandais. Il parait que les Irlandais sont partis vivre un peu partout.
Avant partir, je me disais "je serais heureuse si quelques uns des gens là-bas me permettent à prendre leur portrait" et j'étais gâtée de ce point de vue.
Le reste, qu'ils sont ou non réussis, ne dépendait que de moi, mais un nombre beaucoup plus grand était disposé à être photographié, mais aussi de discuter.
.
J'ai tellement vécu et appris en quelques jours!
Non seulement sur l'Irlande et les Irlandais, mais sur la vie en générale et même sur moi même. Finalement, je crois que c'est le cadeau apporté par les voyages quand on fait un peu plus que du tourisme.
mardi 26 juin 2007
Tulla, Clare?
D'ailleurs, même à Limerick, ville "où il n'y a rien a voir" d'après le guide, nous avons commencé à nous connecter et retrouver un peu de l'atmosphère "réelle" et, autant que possible (et que le guide que Susan aimait suivre), nous sommes restés loin des sites les plus prisées.
Heureusement, en plus de mon contact sur la site Flickr, que j'ai trouvé en cherchant "Clare, Ireland", Susan elle aussi a demandé l'avis des gens rencontrés qui nous ont donné des bonnes tuyaux. Clare est une région au sud ouest de Irlande.
Sinon, comment savoir où aller dans une pays inconnue?
Après avoir pérégriné ici ou là, et oui, je décrirai petit à petit ce que nous y avons vécu à différents endroits, rencontres avec des paysages, maisons colorées, mais surtout des gens divers tout prêts à discuter avec moi ou avec elle, finalement, j'ai décidé qu'une journée nous le passerons à Est de Ennis.
- Rien à voir, dit Susan. Ce n'est pas mentionné dans mon guide. Au alors, on dit seulement que c'est les gens aimant le canotage qui y vont. Mais seulement au X, Y, pas dans les autres villages.
- Je voudrais passer par Tulla, je dis.
- Qu'est-ce qu'il y a là, pourquoi?
- Ensuite, nous pouvons allons visiter un château du guide, il y a plusieurs. Tu choisirai lequel.
- Mais pourquoi Tulla?
Il fallait faire un petit détour d'environ 15 à 20 kilomètres pour y aller, en fait seulement sortir de la route principale: elle se situe trois kilomètres hors d'une petit route en fait.
Finalement, j'ai raconté un peu de mon roman que j'aime tant, et elle n'a rien répondu. Elle ne lit pas des roman "comme ça" je crois et aller quelque part à cause des rêves n'était pas dans son temperement studieuse.
Nous sommes allées à Tulla et nous nous sommes arrêtées.
Garé la voiture dans la rue centrale (il n'y a pas beaucoup des rues d'ailleurs, c'est entouré des terres). Elle est allée acheter quelque chose et moi, j'ai découverte avec délice le pub (fermé) nommé Murphy, nom utilisé dans le roman que j'avais lu.
Je suis ensuite entré dans l'unique boutique que j'ai vu ouverte, et demandé si je peux aller au toilettes, puisque aucun pub (il n'y a pas des cafés mais surtout des pubs en Irlande) n'était pas ouverte dimanche matin là.
Une jeune fille très sympathique m'a aussitôt conduit dans les derrières de la boutique. Deux énormes frigidaires ou congélateurs, de marchandise, des corridors, nous avons passé à l'autre côté du décor. Elle m'a attendu: je n'aurais pas pu retrouver le chemin, mais elle m'aura laissé là sinon revenir seule.
J'ai acheté finalement un CD avec ballades de la région, mais personne ne me poussait à acheter quoi que soit.
Et maintenant?
Entre temps, Susan avait découverte un pub "non ouverte, mais..." Ensemble, nous nous complétons finalement en Irlande, et ajoutons à la découverte l'une à celle de l'autre.
- C'est interdit d'ouvrir avant 12 heures le pub, mais les gens ont envie d'y aller et c'est un lieu sympa, me dit-elle toute excitée.
- Allons-y alors, nous aussi, je dis.
Il faut traverser un petit épicerie, où on trouve un peu de tout, journaux ou huile ou petits gâteaux, pour arriver dans la salle mal éclairé du dos. C'est là que l'action se passe.
Quelques gens locaux, autour de comptoir.
Susan commande son Guinnes. Enchantée: "c'est le meilleur guines que j'ai bu depuis mon arrivée!" Elle commande finalement une deuxième.
- Plus petite verre cette fois? je demande, sans raison d'ailleurs. C'est moi qui conduis et elle supporte très bien la boisson. Je ne demande pas a boire, mais si je peux faire quelques photos.
Ce n'est pas les images qui ont rompu la glace, mais peut être le fait que j'ai fit assoir Susan parmi les hommes pour la photographie, ainsi elle a mieux pu parler à l'un puis l'autre entre eux. Elle les comprenais mieux que moi.
Mais moi aussi, j'ai commencé à parler avec l'un qui se rappelait de Puskas, le fameux et doué footballeur hongrois. En essayant réproduire un peu de notre discussion, soudain, je me rends compte que nous avons parlés de pas mal des choses.
Il se sentait vieux à cinqante ans vivant seul éloigné des tous (même pas dans le village) et admirait que j'écrivais encore un blog après 70 ans. Il m'a parlé Irlande fleuri depuis 15 ans, "et maintenant, nous sommes sur le pente de retour, me dit-il. Ce qui arrivera aussi aux pays de l'est, comme la Hongrie à un moment donné. Il faut seulement que la pente soit douce."
Puis il me donna son email, pour que je lui envoie les photos prise. Me parla qu'il regretta à ne pas s'être mis plus tôt à l'informatique.
La tenancière de l'épicerie pub me donna aussi celle de sa fille. Elle me raconta fière que sa fille était demandé un peu partout après avoir fini ses études. "Mais elle prend quelques mois avant plonger dans son travail, ensuite, elle n'aura plus de temps. Elle ne s'est pas décidé encore quelle proposition elle prendra."
Et celui qui sert maintenant, est mon fils, il n'a que 22 ans, il aime les chevaux. Il participe au compétitions, il élève des poney pour les autres.
Oui, nous avons manqué la foire des cheuvaux d'un jour "c'était tout autour".
Un autre ajoute:
- Mais ici rien n'est affiché, on sait.
Comme on sait où aller boir un coup à n'importe quelle heure. Quand être là juste à temps que les musiciens, ou un musicien dans son coeur, comme dans mon livre, arrive avec son instrument et se met à chanter. "Mais ce n'est pas prévu d'avance, en général".
Chacune de nous discute avec quelqu'un d'autre, nous n'avons presque plus envie de partir. Plongées dans le "vraie Irlande rural", l'une de nous apprend que certains pubs voient de mauvais oeuil dorénavant quand on y entre les bottes salis de travail, l'autre apprend sur le développement de l'industrie ordinateurs en Irlande.
- Après qu'ils ont fait des routes, maintenant, ça recommence de stagner.
- Des routes?
Il ne révèle pas ma question. Probablement, les routes de l'Irlande étaient encore pire avant. Elles ne sont pas fameuse pourtant. étroites, les plus parts, haut et bas, bosselés, horrible quand il pleut un peu plus (et il pleut en Irlande).
Nous étions chanceuse, il n'a pas plu beaucoup pendant notre séjour, pas comme d'habitude. "J'aime la pluie!" me dit un homme de mon âge en chemise manches courtes ne s'abritant même pas de la pluie. D'autres, utilisaient des parapluies colorés ou juste un veste. Seulement les touristes en bicyclettes étaient parés du haut en bas, et ils avaient raison d'y être d'ailleurs.
Vers la fin, avant de quitter, la dame nous avait sortie trois cartes postales.
- Celui-ci, c'est mon fils, quand il avait huit ans, dessus. Près du patron du bar d'alors. (Et d'un pint de bierre, devant le vieux). Magnifique photographie en sépia, comme venue d'un autre temps. "Il est fameux, c'était même exposé" m'ajoute elle, et se met à raconter sur les gens de lieu et l'origine des noms. "Son nom était Found, c'était un enfant trouvé par un prêtre devant l'église. On dit que..."
Pour peu, nous aurions manqué notre avion. Nous avons passées toutes les deux des merveilleuses moments à Tulla.
- Alors, cela valait la peine de s'y arrêter, de faire le detour y venir?
- C'était le meilleur Guinness de tout Irlande! me répondit-elle.
En fait, c'était surtout le contact humaine que c'était établie dans ce pub sombre, et pas encore officiellement ouvert. Une fin de voyage remarquable.
Et demain, je raconterai le début. Le premier pub, où nous avons été. De pub en pub, la vie sociale se déroule, le rencontres se font. Ah, Irlande!
Et non, ce n'était pas cet autre pub, pourtant si joliment décoré et alléchant. Heureusement pour nous, celui-ci était fermé quand nous arrivâmes a Tulla.
Heureusement pour nous, et ces rencontres, ces autres pub, comme celle du haut, si joliment et fraichement décoré, était fermé à notre arriver au village des sept pubs sur une seule rue principale et c'est cette autre, qui était "closed"
mais acceuillant. Autant pour les habitués que pour nous.
Eh oui, cela vaut la peine de découvrir Irlande et ses habitants, mais aussi de s'éloigner des chantiers battus.
lundi 25 juin 2007
Ireland, Burren
Fleurs sauvages, des species différents dans une paysage rocheux; roches et roches, mais égayés par les plantes qui poussent des fois juste au milieu, profitant du moindre terre. De l'eau aussi, mais bien sûr, cela ne manque pas dans ce pays, même en juin.
Nous avons eu du beau temps, mais aussi du ciel couvert et des pluies, heureusement, cette semaine il n'a pas duré longtemps et n'a pas été forte qu'une seule fois.
Le soleil revenu, j'ai compris pourquoi le vert est la couleur Irlandais. Quelle beauté ces herbes d'une verte éclatantes s'étandant à perte de vue!
dimanche 24 juin 2007
Adieu Irlande
Gens, tellement ouverts et sympatiques, au premier abord au moins, tel que je l'ai percu pendant ces derniers jours, parout.
Ici, le proprietaire et cuisinier chef du "meilleur restaurant de Fish and Chips" de tout Galloway, "tout Irlande" ajouta-il.
En tout cas, le meilleur que j'ai fregvante.
Et en plus, si sympa!
Je dois m'en aller, S. et le petit dejeuner m'apellent. A demain.
samedi 23 juin 2007
Susan ien Irlande
En fait, l'image parle sans paroles.
Malgre la quantite des choses a voir, par ici, Susan est fanatique de son Macintosh et de l'Internet: j'ai l'impression qu'elle ne pourait vivre sans.
J'aime bien faire des photos, meme si pas en tel nombre comme elle, mais autre que mettre une note ici, de temps en temps, je peut tres bien vivre quelques jours sans lien Web. En plus, je sais que vous m'attendriez et reviendraiz, meme si une semaine entier je n'aurais ;mise rien.
Il y a de la vie sans Internet, sans photographie meme, pour moi.
Cela dis, je serais bien heureuse aussi, retourner lundi avers mon portable. Toutfois, je ne regrette pas de ne pas avoir emporte le mien avec moi.
Je ne sens pas le besoin non plus de boir de bierre, meme si je dois avouer avoir goute le Guiness (pas bierre, disent les Irnandais) et le Smuilick (ou un nom ressembant), cette derniere pas mal du tout, en tout petit portions cependant.
Demain, RyanAir et retour, arrive vers le soir.
une porte ne menant nulle part
Oui, vieille photo, datant de quelque jours, je n'ai pas eu de connection depuis un temps, mais je suis contante de parcourir Irlande variee.
Lundi, je serai de retour et ferai mon compte rendu detaille as partir de ce jour la.
mercredi 20 juin 2007
Trois femmes de l'est
Irlande, pays d'ou enormemant sont partie en differents endroits donne maintenant la possibilite a ceux recement arrives dans la Communite Europeen de venir vivre, visiter ou travailler chez eux.
Nous avons surtout rencontres beaucoup des polonais, un peu partout, mais ici dans le B&B de cette nuit, il y a une femme parlant hongrois venue il y a une annee de Croatie.
- Pas besoin des papiers speciaux, nous sommes dans la Comunaute, me dit elle, "comme de bien entendu".
Allez ou on le veut! Pas tous peuvent comprendre l'importance et tout ce que cela represent pour moi, apres les presque 50 ans de enfermement dans les pays communistes!
La jeunesse d'aujourd'hui aura des chances tellement differentes que nous avions eu dans notre jeunesse, quand meme envisager aller dans un pays voisine etait impossible. J'etais si heureuse pour elles.
mardi 19 juin 2007
Internet cafe!
Le rain est arrive hier, mais pas trop forte, jusque soir, le soleil etait revenu.
Ce gars sympa de Limerick est venu tout excite nous raconter qu'il avait achete un billet de lotterie: Susan est allee en acheter un aussi aussitot. Tres fiers, ils ont poses avec.
Partout des gens tres sympa et tout prets a bavarder.
A Limerick il y a beaucoup des polonais venus travailler, mais aussi des tourists comme nous.
Sur la riviere Shanon, centre Limerick, ou le guide disait "rien a voir"...
En Ennis, nous nous sommes promenees au bord de la riviere et sur la rue principale d'ancienne centre ville. Ensuite, route vers l'ocean.
Le coucher de soleil sur l'ocean avec l'eau brillant sous soleil et s'agitant legere;ent sous le vent dans le baie, magnifique! Ces images, je dois encore les ajouter, pour le moment elles sont seulement sur la carte memoire, mais surtout dans mes souvenirs.
C'est finalement la plus importante.
lundi 18 juin 2007
Cordes
En Irlande, finalement!
Etrangement, les villes dont on disait "rien a voir" nous ont enchantees, comme Limerick par exemple, mais Enis dont j'attendais beacoup, nous a decu. Mais partout des maisons colorees, des gens sympa heureux de bavarder (qu'ils soient locaux ou tourists).
Beaucoup des visages s'illuminent quand je dis "j'arrive de Paris".
Samedi au pub sportif, trois paires des gens qui etaient la avec enfants nous ont invite, vers la fin de la soiree a diner et boire avec eux a notre retour a Limerick. Hier, des adolescence en tenu de plongeurs, osant nager dans la Shanon froide pres de la mer, nous ont parle longuement de leur voyages en France.
La semaine commence a peine, mais que d'aventures et impressions deja!
samedi 16 juin 2007
Je m'en vais aujourd'hui
C'était amusante de flâner avec Susan, côte à côte, toutes les deux le camera dans le main. Moi, avec une camera plus discrète, elle avec sa Leika. Nous avons trouvé nettement plus des gens voulant qu'on les prenne en photo que je trouve seule, au même place.
Entre les femmes voilées, les hommes des fois en burnus, il y avait aussi des marchands vendant leur tenu d'été (ou de maison?) d'une façon presque indécente. Amusante.
En revenant d'Irland, j'aurais une quantité d'image à imprimer et nous allons leur offrir une autre vendredi, dans deux semaines.
Pour la première fois, j'ai rencontrés des gitans roumains déguisés en magrébins. Une jeune fille presque voilée et un garçon avec fez sur sa tête en quémendant. Je les ai reconnu et demasqué, en parlant avec eux roumain. En revoyant leur portraits à la maison, je me suis dit "pauvres jeunes": est-ce que quelqu'un les oblige à faire ceci?
Il y a des gens d'origine arabe qui demande de l'argent aussi, au marché d'Argenteuil, mais ils ou elles restent séparés du marché, à la marge, ne se mélangent pas aux gens qui sont en train de faire des achats. Une culture différente, que dont les gitans roumains n'ont pas dû se rendre compte.
Le soir, nous sommes allées nous promener près de la Seine, mais finalement, nous avons attéris au petit restaurant café Les Marroniers. "Boir un coup", elle a goûté le pastis français "le goût d'anis est fantastique", et moi, j'ai bu un express comme d'habitude.
L'atmoshére était fantastique. A un table, trois jouaient des cartes. A un autre, trois bavardaient en buvant. Quelques hommes seuls. Les serveuses et la patronne bavardant avec les uns et les autres. Et tous, nous ont laissé faire des photos.
Mon Samsoung (ou moi) étions au dessous de tout, et mes images ont sorties soit bougés soit granuleux, mais je me suis sentie très bien dans cette café restaurant Les Marroniers, à Carrière sur Seine.
Nous allons revenir.
Surtout après que Susan est perdu son portofeuil contenant son permis de conduire et sa carte de crédit!
Nous l'avons cherché en vaine à la maison et envisagé tous les hypothéses (les gitans, les pickpockets), elle voulait appeller la banque pour suspendre la carte. Heureusement, nous avons téléphonés (en réalité c'est Lili merci!) au restaurant. Non! pas ici! mais elles ont cherché quand même : c'était tombé sous le calorifère près d'où nous étions assises. Retour. Resourires.
Oui, nous allons revenir.
De coup, je ne me suis pas couché avant une heure de matin, et bientôt, nous partons.
Devant nous, les routes d'Irlandes mais aussi les pubs avec leur musique. Et les images que je rate, Susan va les réussir, et probablement l'inverse aussi.
C'est intéressant de voir quelque chose trois fois, différement.
D'abord ce que je vis et observe. Ensuite ce que je prends en photo. Puis ce que je vois à travers ses photos à elle des mêmes lieux. Les trois se complètent et s'ajoutent les unes aux autres.
vendredi 15 juin 2007
Surprise sur l'image prise
Cepandant, c'est l'endroit où je suis sortie de la voiture la plus longtemps, et pendant que Susan prenait les maisons, cette maison étrange couverte de la toile et d'autres, je suis resté près de la voiture, mal garée, et j'ai pris les photographies dont je suis heureuse.
Il ne s'agit pas de leur qualité.
En regardant une chose, la caméra a pris aussi d'autres.
C'est la leçon le plus important pour moi de hier. Et qu'importe que Susan a prix des images pour 5 gigas et moi seulement 200 mega, la leçon que j'en ai tiré est extraordinaire!
Par exemple sur cette première photo, j'avais pris le couple des touristes âgés et très sympa, probablement venus des états unis et ravis de leur voyage, se tenant la main, et par la suite même posant pour moi, mais aussi une affiche d'un film "bande sauvage". Tout à fait en contradiction avec le couple tranquil.
A un autre moment, voulant prendre les statues près de la fontaine sous le Palais Chaillot, j'ai pris, volontairement ou non l'affiche sur une fête qui va avoir lieux là bas aujourd'hui. Allez-y si vous pouvez.
J'ai rencontré des ouvriers cassant l'asfalt, près de ma maison étrange avenue George V, ils ont bien voulu poser pour moi, mais ensuite se sont aussitôt mis à travailler: je n'ai pas pu leur parler davantage.
Ayant appris une leçon sur "montrez aussi ce qui est autour" j'ai prise entre beaucoup d'autres, celle-ci: elle m'a pris par surprise à la maison!
Je voudrais bien pouvoir dire que je l'ai prise en connaissance de cause, puisqu'elle parle et dit des chose diverses, selon qui les regard probablement, mais je ne peux pas me vanter.
Je n'ai vu ni le contraste entre la voiture rouge et les deux hommes qui travaillaient sans relâche. Je n'ai même pas aperçu l'affiche électorale disant "votez le 17 juin, votre vote compte!" Je n'ai perçu que les gens et la toile sur cette maison près dequelle ils travaillaient.
Ce n'est que ce matin, en allant d'image en image en grand format (autant que mon écran) que je me suis rendu compte des divers interpretations de toutes mes images de hier!