D'accord, peut être je vais passer (sûrement) la veille de la nouvelle année seule, comme je l'ai passé la veille de Noël. Mais le jour de Noël, ici, la preuve, j'étais en compagnie, comme vous voyez. Buvant un peu de Champagne, même.
La nouvelle année, je vais la passer en compagnie des dix milles artistes: il y a une parade au centre de Londres où j'espère aller.
En attendant, je regards un peu plus le télévision et je lis un peu plus. Je n'ai pas encore beaucoup travaillé. Mais hier, en descendant une station trop tôt de bus, passant à travers un vieux voie ferré et des rues inconnus, j'ai découverte un chemin pas très lointaine menant à une centre commerciale que je croyais très éloigné.
Me perdant, je ne suis pas arrivée où je pensais arriver, mais j'ai découverte d'autres voies menant ailleurs. Elisabeth Tailor disait dans un livre (dont on a fait un film vu au télé la semaine dernière): le destin vous jette quelque part, vous pousse dans un lieu, mais c'est à vous ensuite d'en faire quelque chose a partir de là.
La fin d'année est un bon temps à réfléchir, non seulement ce que nous avons fait pendant l'année écoulée, mais surtout ce que nous allons, chacun de nous faire à partir d'où nous sommes.
Quel dommage que nous habitions si loin l'une de l'autre Julie! Je serai venue avec ma fille boire le champagne avec toi. Trois bloggueuses ensemble!
RépondreSupprimerJe pense bien à toi.
Vous n'êtes pas tout a fait seule puisque l'on vient vous lire tous les jours.Vous êtes une personne à qui on s'attache.
RépondreSupprimerle destin nous jette quelque part,nous pousse dans un lieu et c'est à nous à faire quelque chose à partir de là,il me semble que c'est ce que tu dis et je trouve que c'est très juste,bonne fin d'année et bon départ pour la nouvelle,Julie.
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