mardi 1 janvier 2008

Bonne année 2008

Ce matin, je vais faire le tour de mes copains et ceux rencontrés à travers, à cause de l'Internet, soit la site photo Flickr soit à travers nos blogs.
Photo par Jenny. A day with Julie

Avec Jenny de l'Autralie, nous sommes promenés sur la Butte Montmartre, cette été, et dans le récit "un jour avec Julie", elle y montre quelques images qu'on vu autour de nous (et même une photographie pris de nous deux par une autre touriste.) Autralie, où la nouvelle année commence à cause de fuseau horaire avant les autres continents.

Mais à partir de là, j'ai sauté chez Annie, qui vient me souhaiter bonne année.

De Tahiti, chez Annie et Franck arrive cette image de son fils. Merveilleux photographe, Franck. Femme et âme extraordinaire, Annie! J'ai eu la chance de faire sa connaissance à travers mon blog sur la Roumanie. Son fils est en visite, venu de Douanais, je me réjouis avec elle d'avoir "ses deux hommes" près d'elle ce début de l'année.

Des îles et leur beautée, je suis tombé sur la site d'image de Patricia, une fidèle lectrice de mon blog, de l'agence Eureca, elle me fait "coucou, je te lis!" de temps en temps. Amusante le BD qu'elle nous montre! A force de serrer les mains, on arrive à se faire mal et se décider: l'année prochaine on écrira plutôt des cartes!

De chez elle, j'ai sauté directement dans l'état de Washington, où il ne serai l'année nouvelle que tantôt. Chez "jk" c'est la neige qui couvre la montagne près d'elle.
Des hauteurs de l'état de Washington, à l'est deUSA, j'ai sauté ce matin à Japon, visiter la site de
Lye Tuck-Po, qui nous montre pour la fin d'année des photos qu'elle avait pris à Cambodge. Ici, une image de la "rue principale" du village qu'elle avait visité. Je n'arrive pas à mettre ici son image, pour voir les vaches se promener dans la rue boueuse, il faudra aller visiter chez elle.

De chez elle, je saute à babasteve, habitant en Inde, mais il est momentanément à Thailand, voilà une de ses images que j'adore, d'une Tthaïlandaise âgée, comme moi. Il est déjà en route vers l'Afrique de West, d'où il va surement nous envoyer d'autres images;

Thailand
Mais je m'arrête pour le moment de traverser la monde à travers les images, qui m'ont pourtant tant appris, et ce n'est pas fini, pour sauter dans le Vercors, chez ma copine Gelzy dont je me permet de reproduire ici quelques fragments de ses vers de dernière fin d'année.
Prends un pas inconnu et va à la rencontre
Laisse partir la plume, ne tient que le reflet
Il y a tant de livres où ton amour abonde
Il y a tant de portes pour ouvrir les secrets

Quand tu arriveras là où la vie t’invite
N’oublie pas d’inviter le soleil au couchant
=====
Et à Julie, qu'offrirais-je à Julie
aux derniers jours d'l'année ?
oh je sais ! je sais bien !
De la neige en cristaux
de la neige en pepites
pour mettre dans ses yeux
l'éclat photographique
Ensuite, je suis allée cueillir des rires d'enfants, offertes aujourd'hui par Brigetoun, et puis admirer les cartes qui bougent chez Sophie et Manu, en me rappelant (et regardant de nouveau sa note de 25 juillet) des belles journées passées chez eux.


Je ne peux pas me plaindre, de ne pas avoir rencontré et connu et tenu contact avec tant des gens extraordinaires, l'année dernière, pourtant, oui, je souhaite pour cette année de rencontrer une vraie amie, près de chez moi, (et non seulement des gens extra pour quelques heures) ou qui sait, quelqu'un de spécial, comme ma tante à ses 73 ans. En l'observant, je me suis dit déjà à 41 ans "j'ai le temps, jusque 73!" Et bien, j'ai cette année soixante treize ans et je n'ai toujours pas perdu l'espérance.

16 commentaires:

  1. Bonne Année Julie. Que tes espoirs se réalisent et que tu continues à avoir l'envie de voyager, rencontrer et partager .

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  2. bonne année! que tes voeux se réalisent! mon voisin, c'est à 83 ans qu'il a rencontré sa copine! et voilà 2 ans squ'ils vivent ensemble! l'espoir existe toujours!

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  3. quel beau voyage en ce premier jour de l'année!Tu ne te refuses rien...et merci pour tous cces beaux portraits,ils sont magnifiques,ils deviennent tous beaux,ces gens quand tu les regardes...tu commences vraiment bien l'année,merci!

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  4. je ne voulais pas passer le 1er de l'an sans ta compagnie. bonheur de te retrouver toujours aussi vive et avide ! avons parlé de Roumanie avec Pierre Duc ce midi, projet d'un échange de chorales. très grosse bise inaugurale !

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  5. et une fois encore je t'ai suivi avec une prédilection pour la vieille dame
    bonne année à toi

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  6. bonne année à toi jeune julie ;-)
    Bérangère

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  7. Bonne année Julie, que tes voeux se réalisent et surtout une bonne santé. Je continue à visiter ton blog et suis toujours aussi admirative

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  8. Certainement une bonne année avec tout l'optimisme que tu nous offres comme un cadeau. Je te souhaite sincèrement joies amour et paix. Ariaga.

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  9. Pendant que je mettais un commentaire chez toi tu en mettais un chez moi, si ce n'est pas un phénomène de synchronicité !

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  10. Coucou Julie !
    Nous avons bien pensé à toi, pendant ces jours de fêtes.
    Avec nos amis, en regardant ton album et ton calendrier ;-)

    Que cette année t'apporte encore plein de merveilleuses rencontres, et des amis de coeur.

    Et nous espérons bien te revoir !!!

    Tous nos voeux de bonheur, de joie, de santé surtout ,-)

    Gros bisous de nous cinq ;-)

    Sophos

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  11. Boldog új évet kívánok Julie!

    à l'occasion d'une recherche personnelle relative à la composition dans les blogs, j'avais cru me souvenir que vous étiez parvenu à écrire vos articles dans le sens comme dans un livre... j'ai donc retrouvé vos pages grâce au post que j'avais là: http://www.hongrieforum.com/viewtopic.php?p=17227&highlight=#17227
    et tout en observant l'agencement de vos pages, j'en ai lu certaines et médité sur ce passé si vivant et douloureux que vous rendez. Il ressort de cette visite, que vous avez eu bien du courage pour réaliser toutes ces pages, cependant, malgré tous vos efforts, la présentation reste confuse et aller d'une page à l'autre, pas évidente, même si un peu de patience et d'attention, on peut y parvenir.
    Je vous fais la suggestion d'envisager une re-composition sous format livre avec par exemple http://www.manuscrit.com/infos/service.asp (dont j'avais fouillé le site il y a quelque temps et m'avait paru pas mal et semble-t-il gratuit. Il y a d'autres éditeurs de ce genre, mais généralement il y a quelque chose à payer à un moment ou un autre. J'ai connu un écrivain qui avait fait usage de ce site pour publier un de ses ouvrages pour lequel il n'avait trouvé d'éditeur; obtenir le livre fut facile et fiable. Donc pour vous, cela pourrait être bien aussi, et votre témoignage (et ceux de vos parents que vous avez révélé en français) mérite d'être valorisé et connu.

    à part cela, c'est assez étonnant de vous lire, de découvrir votre dynamisme actuel et bien évidemment, je vous souhaite de poursuivre ainsi jusqu'au dernier souffle.

    Cependant je n'ai pas observé parmi vos références littéraires préférés (mais peut-être n'ai-je pas bien vu), d'auteurs hongrois passés ou présents! C'est peut-être là votre secret dont vous pensez comme bon nombre de Hongrois, que cela ne peut pas intéresser d'autres personnes que des compatriotes! C'est dommage et c'est faux, car de l'écriture passée, on apprend beaucoup. Et justement permettez-moi de conclure avec Arany János (1817-1882), un poème dont je retiens tout particulièrement une strophe:

    Az életet már megjártam;
    Mit szivembe vágyva zártam,
    Azt nem hozta,
    Attól makacsul megfoszta.

    J’ai déjà parcouru la vie;
    Ce que j’ai scellé dans mon coeur en le désirant,
    Elle ne me l’offrit,
    Elle m’en priva obstinément.

    Voici le poème entier, qui date du 06-07-1877, appartenant au recueil Öszikék (Colchique); en hongrois d'abord (en espérant que la double accentuation hongroise ne sera pas perdue ici), suivie de ma traduction en fr (qui constitue mon cadeau à votre égard -- je ne suis pas Hongrois, mais j'apprends le hongrois pour lire dans l'original les belles pages de votre poésie et comprendre mieux la culture de votre pays)

    EPILOGUS

    Az életet már megjártam.
    Többnyire csak gyalog jártam,
    Gyalog bizon'...
    Legfölebb ha omnibuszon.

    Láttam sok kevély fogatot,
    Fényes tengelyt, cifra bakot:
    S egy a lelkem!
    Soha meg se' irigyeltem.

    Nem törõdtem bennülõvel,
    Hetyke úrral, cifra nõvel:
    Hogy' áll orra
    Az út szélin baktatóra.

    Ha egy úri lócsiszárral
    Találkoztam s bevert sárral:
    Nem pöröltem, -
    Félreálltam, letöröltem.

    Hiszen az útfélen itt-ott,
    Egy kis virág nekem nyitott:
    Azt leszedve,
    Megvolt szívem minden kedve.

    Az életet, ím, megjártam;
    Nem azt adott, amit vártam:
    Néha többet,
    Kérve, kellve, kevesebbet.

    Ada címet, bár nem kértem,
    S több a hír-név, mint az érdem:
    Nagyravágyva,
    Bételt volna keblem vágya.

    Kik hiúnak és kevélynek -
    Tudom, boldognak is vélnek:
    S boldogságot
    Irígy nélkül még ki látott?

    Bárha engem titkos métely
    Fölemészt: az örök kétely;
    S pályám bére
    Égetõ, mint Nessus vére.

    Mily temérdek munka várt még!...
    Mily kevés, amit beválték
    Félbe-szerbe
    S hány reményem hagyott cserbe'!...

    Az életet már megjártam;
    Mit szivembe vágyva zártam,
    Azt nem hozta,
    Attól makacsul megfoszta.

    Egy kis független nyugalmat,
    Melyben a dal megfoganhat,
    Kértem kérve:
    S õ halasztá évrül-évre.

    Csöndes fészket zöld lomb árnyán,
    Hova múzsám el-elvárnám,
    Mely sajátom;
    Benne én és kis családom.

    Munkás, vidám öregséget,
    Hol, mit kezdtem, abban véget...
    Ennyi volt csak;
    S hogy megint ültessek, oltsak.

    Most, ha adná is már, késõ:
    Egy nyugalom vár, a végsõ:
    Mert hogy' szálljon,
    Bár kalitja már kinyitva,
    Rab madár is, szegett szárnyon?

    ÉPILOGUE

    J’ai déjà parcouru la vie.
    Le plus souvent rien qu’à pied,
    À pied eh bien...
    Au mieux en omnibus.

    Je vis maints fiers attelages,
    Riches essieux, sièges pompeux de coche:
    Et ma foi!
    Jamais je n’en fus jaloux.

    Je ne me souciai des occupants,
    Messieurs pimpants, dames panachées:
    Faire de leur nez [1]
    Le marcheur au bord du chemin.

    Si j’ai croisé un maquignon
    De seigneur et de boue me couvrit
    Je n’ai point râlé, -
    Je me suis écarté, me suis essuyé.

    Puisque ici et là sur l’accotement,
    Une petite fleur pour moi s’ouvrit:
    En la cueillant,
    Mon coeur accomplit son envie.

    La vie, voilà, je l’ai parcourue;
    Elle ne m’accorda ce que j’attendais:
    Parfois plus,
    Moins, en désirant, en exigeant.

    Elle m’offrit un titre, sans que je le demande,
    Et plus la renommée, que le mérite:
    Ambitieux,
    Le désir de mon cœur serait comblé.

    Ceux qui me croient vaniteux et orgueilleux -
    Je le sais, heureux ils me jugent:
    Et le bonheur
    Sans jaloux qui l’a donc vu ?

    Bien qu’une douve secrète
    Me dévore: l’éternel doute;
    Le salaire de mon orbite
    Me brûle comme le sang de Nessos. [2]

    Nombre de labeurs m’attendirent!...
    Si peu, ce que j’ai accompli
    À moitié
    Et combien de mes espoirs m’ont trahi!...

    J’ai déjà parcouru la vie;
    Ce que j’ai scellé dans mon coeur en le désirant,
    Elle ne me l’offrit,
    Elle m’en priva obstinément.

    Un petit repos indépendant,
    Par où la chanson peut se réaliser,
    Je l’implorai suppliant:
    Elle l’ajourna d’années en années.

    Dans l’ombre du feuillage vert un nid paisible,
    Pour attendre la muse parfois,
    Mon propre nid;
    En lui ma petite famille et moi.

    Laborieuse, gaie vieillesse,
    Où ce que j’ai commencé, s’achève,...
    Je n’en ai demandé tant;
    Mais qu’à nouveau je plante, je greffe.

    Si maintenant elle me l’accordait, c’est trop tard:
    Un repos attend, le dernier:
    Comment peut voler,
    Bien qu’en ouvrant enfin sa cage,
    L’oiseau captif, aux ailes brisées ?

    [1] Adaptation ici de l’expression belge Faire de son nez = prendre un air prétentieux, sûr de soi, arrogant.

    [2] Héraclés (après multiples aventures toutes plus sanglantes les unes que les autres) doit s’exiler avec sa dernière femme Déjanire et son fils Hyllos, à la suite d’un crime involontaire. Pendant ce voyage, le centaure Nessos tente de violer Déjanire et le héros le blesse mortellement d’une flèche. Le centaure, avant de mourir, remet à la jeune épouse quelques gouttes e son sang empoisonné, l’assurant qu’il s’agit d’un philtre de fidélité conjugale. Or, quelque temps après, Déjanire souffrant de l’amour d’Héraclés pour sa captive Iole, imprègne de ce “philtre” une tunique et l’envoie à son mari. Héraclés l’ayant revêtue, se sent consumé de brûlure. Accompagné de son fils et de son ami Philoclète, il gravit le mont Oeta et se fait brûler sur un bûcher. (Source: Dictionnaire Petit Robert)

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  12. La strophe du poème "Epilogue" d'Arany, que je voulais citer tout particulièrement, n'est pas celle que j'ai mise, mais celle-ci:

    Az életet, ím, megjártam;
    Nem azt adott, amit vártam:
    Néha többet,
    Kérve, kellve, kevesebbet.

    La vie, voilà, je l’ai parcourue;
    Elle ne m’accorda ce que j’attendais:
    Parfois plus,
    Moins, en désirant, en exigeant.

    C'est là comme une maxime qui se vérifie constamment et avec laquelle vous vous accordez très certainement aussi.

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  13. Merci à tous!

    Pour répondre à Mich, non hongrois, qui s'est mise avec courage à apprendre cette langue ne ressemblant à aucune autre et même à lire Adi, Endrö, difficile à comprendre, même pour quelqu'un sachant bien la langue, tellement il écrivait une langage sophistiqué:

    merci

    je ne connaissais pas ce poème de lui, beaucoup d'émotion à le lire

    merci aussi pour l'adresse web, je vais essayer, voir, j'espère que bientôt, même blogger me permettra a mettre dans une façon facilement lisible les journaux, en attendant, peut être le Retro blog?

    je réfléchis, des dernières jours si ce ne serait pas intéressant à les publier en "original" puisque de plus en plus des hongrois sont sur web aussi, et au moins de 1944 à 1987 j'ai écrit surtout en hongrois.

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  14. Encore une fois, mes amis blogeurs, je vous remercie d'avoir passé le 1e de l'année en ma compagnie, votre chaleureux mots comptent! Beaucoup.

    Et mich, dont je ne sais pas l'adresse pourra m'écrire quelques mots email, s'il ne veut pas laisser d'adresse web ici.

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  15. Jó napot kívanok, Julie!

    Je crois qu'il vous faut abandonner l'idée et la pratique de blog (qu'il soit blogger ou autre) si vous voulez avoir votre journal comme un livre. Cela fait un moment que je regarde comment sont faits les blog, et vraiment le principe est immuable, et tout à fait contraire à ce que vous désirez et ce que je désire aussi, à savoir ordonner les écrits comme dans un livre. Certains blogs offrent des possibilités meilleures que blogger, mais le principe de base est le même et c'est vraiment gênant!

    Et raison de plus pour abandonner ce système blog, si vous désirez mettre la version hongroise, avec des pages bilingues avec d'un côté la version française et de l'autre la version hongroise ainsi. Je ne sais pas si telle était votre idée, mais elle serait ainsi merveilleuse, autant pour le lecteur que pour vous-mêmes, car vous pourriez préciser dans l'une et l'autre langue, la différence dans ce que vous avez noté, et cela serait plus facile à coordonner et à faire.

    La solution c'est créer un site Julie-70 et la chose est possible assez facilement semble-t-il avec http://www.joomla.fr/
    + je crois, rechercher un hébergeur.

    D'après ce que je peux savoir jusqu'à présent, au niveau administration, vous ne seriez pas dépaysée vu votre expérience des blogs, puisque c'est à peu près la même chose, mais avec des fonctionnalités en plus et surtout une liberté d'organiser vos pages comme bon vous semble ou du moins beaucoup plus librement qu'à présent. Par exemple, vous pourriez avoir un ensemble de pages comportant des textes en bilingue, et des pages en une seule langue. Je ne connais pas encore dans le détail le système, mais je dois étudier ça très bientôt.
    Si je conclus à la validité du logiciel pour moi-même, je vous en parlerai et je pourrais alors soutenir l'idée que vous puissiez avoir votre propre site sur le même serveur que moi, si vous confirmez alors l'idée de réunir les mémoires de vos parents et les vôtres sur un même site, au lieu d'avoir "trente six" pages comme présentement. Car si je retiens la solution Joomla, je serai aussi en quête d'un serveur et j'ai une certaine idée où en trouver un (mon choix n'est pas encore déterminé, mais je devrais obtenir de bonnes pistes). Affaire à suivre, donc.

    Mais dans l'immédiat, il faut déjà voir la solution Joomla. De plus, il ne faut pas se précipiter, car un nouvelle version va bientôt voir le jour (la traduction fr est en cours).

    Bien que je sois un peu plus jeune que vous, je suis beaucoup moins vif en matière informatique. Alors je vous propose d'ors et déjà d'examiner la question, avec joomla pour nul:
    http://www.joomlafacile.com/Documentation.html
    Télécharger le premier fichier et lisez-le. Au début, il y a un peu de baratin, puis il y a l'exposé concernant l'installation et ensuite tout ce qui concerne l'administration. Vous verrez si ça vous plaît ou non. Si ça vous plaît, vous pourriez déjà essayer vous-même sur votre propre ordinateur!

    D'autre part, cherchant votre adresse e-mail, j'ai fouillé nombre de vos pages et j'ai vu combien vous êtes très diverses. J'ai trouvé aussi l'adresse, donc je vous écrirez un jour prochain. J'ai encore beaucoup à lire et à visiter cher vous. Nous reparlerons de tout cela en privé dans quelque temps -:))
    Viszontlátásra és szép napotok!

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