Quelques examples de vie de la rue, qui commence cette mois, exemples que j'ai donné pour le premier fil sur la "vie de tous les jours dans la rue". Vous pouvez les voir (les premières trois) dans le blog Traces de vie sur fond noir.
Ceci est une image de ma ville natale, Cluj en Roumanie, Transylvanie.
Les gens passent une fois que le feu à passé au vert, au centre ville. Toujours plus des gens à pieds, sur les trottoirs que par ici où beaucoup ce passe en bus ou voitures.
La vie de tous les jours à Paris et, je crois en autres endroits de la France. Mais en Paris il y a plus de monde.
Par contre, dans une petite ville, la vie de tous les jours dans la rue est très différent. Ici, c'était une matinée tranquille, probablement vers midi la rue s'annime là aussi davantage.
Et dans le village, une rue non asphalté mais c'est aussi une rue en Transylvanie (lors mon voyage il y a deux ans), il va faucher l'herbe de la grande rue traversant le village chaque jour.
Pour lui, c'est la vie de tous les jours.
J'ai regardé la diversité, la couleur des images des rues de Mexique (chez Anahita) du Brasil. Ou de Santa Monica où presque tous les rues sont près de la mer. Que c'est fantastique la diversité du monde!
En plus, il ne faut plus être grande voyageur pour la voir dorénavant. Chacun montrant ce qui est autour de soi (ou par où il est allé), on peut le montrer sur le net et partager avec les autres. Ce n'est plus que les grands photographes ou réportaires ou voyageurs qui ont le droit à la parole, et ce n'est pas censuré, mesuré, pesé par une comité de redaction d'un grand magazin. Cela parvient à nous directement.
Il nous apporte de plus en plus la vie de tous les jours d'un peu partout.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
vendredi 31 août 2007
jeudi 30 août 2007
Photo de rue
Il y a tellement des choses qu'on trouve sur la rue (ou dans les allées d'un parc), à partir d'un banc vous invitant de vous assoir, jusqu'au gens très divers que vous trouver.
La vie s'y déroule souvant, au moins une partie de vie, la plus publique.
Le mois prochain, à partir de demain donc, je conduis la theme "Photographie de Rue" dans mon groupe !afterclass! . A cette occasion, j'ai réfléchi les différentes façons qu'on peut présenter la rue.
La rue vide ou pleine, en été ou l'automne, en beau temps ou soleil, en couleur ou en noire et blanc, le jour ou la nuit.
Un banc vide ou des gens discutant ou même, dormant.
C'est cette dernière qui m'a intrigé le plus. D'où venait-il, qu'attendait-il? Je me suis fait pleines des histoires autour.
Une rue peut être representé par une seule fenêtre ouverte ou fermée)ou alors une étalage des fleurs ou quelqu'un les arrosant ou son portrait Un seul homme ou femme ou tout un groupe des gens, interagissant entre eux.
C'est un sujet très riche et très vaste, mais il faut choisir de quoi on va parler et ce qui peut nous aider d'apprendre le plus. Je dois la faire. La nature sur la rue, une pomme rouge posée sur une bordure ou un balai qui attend qu'on l'utilise, pour le moment je suis un peu confuse avec la table de matière.
En tout cas, j'ai déjà décidé qu'on va en même temps, reviser, reprendre tous les anciennes thèmes des lecons des 15 mois précedents.
Pour le moment, les grands titles des semaines va être:
Jour et nuit dans la rue
La rue été et hiver, en soleil ou pluie
Joi et tristesse, les drames dans la rue
La rue en couleur et en noir blanc
Il y a tellement à discuter, mais il a fallu l'organiser d'une façon ou l'autre. En plus certains sujets seront traités par les volontaires, qui ont eu aussi chacun leurs idées.
Barrybar, journaliste photographe en retrait (et hélas malade) va parler des photos prises à la dernière minute, et raconter des histoires autour des images.
Llyod, qui prépare des projets sur les photos de jour et nuit, prendra ce sujet qui lui convient parfaitement, il va dans son petite ville au même endroit à chaque fois et trouve une multitude des sujets à prendre, près d'un centre commercial, rue commerciale.
Nancy aime plutôt la nature, elle va nous parler aussi de nature morte trouvé dans les rue, et moi, de la vie de tous les jours, plutôt dans le style de ce que je fais.
La première semaine, sera probablement:
1. Vie de tous les jours dans les rues (julie)
2. Jour et nuit, Llyod (briggate)
3. Dis une histoire- Barrybar (Photo pris en vitesse)
4. Banc vides ou avec gens - Nancy
Domage, que le groupe français fait à l'instar de afterclass qui en anglais n'a pas "pris": il n'y avait pas assez qui voulait participer activement, même si cent personnes se sont inscrits. En afterclass, c'est vrai, nous avons maitnenant 2000 inscrits, mais au moins il y a toujours quelques dizaines participant activement, les autres probablement le lisant seulement.
Un peu comme dans les blogs. Mais ici, c'est moins nécessaire quoique c'est très stimulant d'avoir des commentaires, dans une classe, s'il n'y a pas d'exemples à discuter, des gens qui participent, ça va pas du tout. L'interactivité est très important.
Dans la vie ausssi, à la place de discurir, discuter.
La vie s'y déroule souvant, au moins une partie de vie, la plus publique.
Le mois prochain, à partir de demain donc, je conduis la theme "Photographie de Rue" dans mon groupe !afterclass! . A cette occasion, j'ai réfléchi les différentes façons qu'on peut présenter la rue.
La rue vide ou pleine, en été ou l'automne, en beau temps ou soleil, en couleur ou en noire et blanc, le jour ou la nuit.
Un banc vide ou des gens discutant ou même, dormant.
C'est cette dernière qui m'a intrigé le plus. D'où venait-il, qu'attendait-il? Je me suis fait pleines des histoires autour.
Une rue peut être representé par une seule fenêtre ouverte ou fermée)ou alors une étalage des fleurs ou quelqu'un les arrosant ou son portrait Un seul homme ou femme ou tout un groupe des gens, interagissant entre eux.
C'est un sujet très riche et très vaste, mais il faut choisir de quoi on va parler et ce qui peut nous aider d'apprendre le plus. Je dois la faire. La nature sur la rue, une pomme rouge posée sur une bordure ou un balai qui attend qu'on l'utilise, pour le moment je suis un peu confuse avec la table de matière.
En tout cas, j'ai déjà décidé qu'on va en même temps, reviser, reprendre tous les anciennes thèmes des lecons des 15 mois précedents.
Pour le moment, les grands titles des semaines va être:
Jour et nuit dans la rue
La rue été et hiver, en soleil ou pluie
Joi et tristesse, les drames dans la rue
La rue en couleur et en noir blanc
Il y a tellement à discuter, mais il a fallu l'organiser d'une façon ou l'autre. En plus certains sujets seront traités par les volontaires, qui ont eu aussi chacun leurs idées.
Barrybar, journaliste photographe en retrait (et hélas malade) va parler des photos prises à la dernière minute, et raconter des histoires autour des images.
Llyod, qui prépare des projets sur les photos de jour et nuit, prendra ce sujet qui lui convient parfaitement, il va dans son petite ville au même endroit à chaque fois et trouve une multitude des sujets à prendre, près d'un centre commercial, rue commerciale.
Nancy aime plutôt la nature, elle va nous parler aussi de nature morte trouvé dans les rue, et moi, de la vie de tous les jours, plutôt dans le style de ce que je fais.
La première semaine, sera probablement:
1. Vie de tous les jours dans les rues (julie)
2. Jour et nuit, Llyod (briggate)
3. Dis une histoire- Barrybar (Photo pris en vitesse)
4. Banc vides ou avec gens - Nancy
Domage, que le groupe français fait à l'instar de afterclass qui en anglais n'a pas "pris": il n'y avait pas assez qui voulait participer activement, même si cent personnes se sont inscrits. En afterclass, c'est vrai, nous avons maitnenant 2000 inscrits, mais au moins il y a toujours quelques dizaines participant activement, les autres probablement le lisant seulement.
Un peu comme dans les blogs. Mais ici, c'est moins nécessaire quoique c'est très stimulant d'avoir des commentaires, dans une classe, s'il n'y a pas d'exemples à discuter, des gens qui participent, ça va pas du tout. L'interactivité est très important.
Dans la vie ausssi, à la place de discurir, discuter.
mercredi 29 août 2007
La pleine lune
Ce matin la pleine lune m'a réveillé: trop de lumière entrait par la fenêtre. Je me suis levée finalement et pris un petit déjeuner léger, café et deux minuscules morceaux du pain.
Et si je sortais?
J'ai mise ma tunique maghrébine sur moi et je suis sortie dans le jardin avec mon nouveau appareil photo.
En réglage de nuit, que j'avais mise juste avant sortir dehors. Le lune, pleine près de cheminé.Mais ensuite, j'ai essayé le reglage ISO maximum, alors, le camera m'a montré même davantage que mes yeux voyaient: les nuages se profilant dans le ciel.
Ce n'ai pas la lune qui s'était déplacé aussi rapidement, c'était moi. Bien sûr, si j'avais mise la caméra sur trépieds, j'aurais eu une meilleure résolution, mais même ainsi, je me suis dit que ce n'était pas si mal et depuis trois heures, (il est déjà sept du matin) je suis assez contente de mon nouveau caméra et je ne regrette plus l'ancienne tombée à l'eau.
J'ai pu avec ce réglage prendre même les livres à travers le rideau, de l'extérieur et puis le lit,
tout froissé qui m'attendait.
Hier, je ne suis pas sortie plus loin que devant la maison, en prenant une fleur sous le soleil, puis revenue dedans la poire juste avant de la manger.
On ne doit pas aller à Paris et se mélanger des gens pour s'amuser, on peut des fois rester à la maison, des heures, des jours et des jours - et regarder autour de soi. Que ce soit le jour ou au milieu de la nuit, quand je n'arrive pas à dormir, il y a de matière à photographier.
J'adore, quand même les contacts humaines.
Et si je sortais?
J'ai mise ma tunique maghrébine sur moi et je suis sortie dans le jardin avec mon nouveau appareil photo.
En réglage de nuit, que j'avais mise juste avant sortir dehors. Le lune, pleine près de cheminé.Mais ensuite, j'ai essayé le reglage ISO maximum, alors, le camera m'a montré même davantage que mes yeux voyaient: les nuages se profilant dans le ciel.
Ce n'ai pas la lune qui s'était déplacé aussi rapidement, c'était moi. Bien sûr, si j'avais mise la caméra sur trépieds, j'aurais eu une meilleure résolution, mais même ainsi, je me suis dit que ce n'était pas si mal et depuis trois heures, (il est déjà sept du matin) je suis assez contente de mon nouveau caméra et je ne regrette plus l'ancienne tombée à l'eau.
J'ai pu avec ce réglage prendre même les livres à travers le rideau, de l'extérieur et puis le lit,
tout froissé qui m'attendait.
Hier, je ne suis pas sortie plus loin que devant la maison, en prenant une fleur sous le soleil, puis revenue dedans la poire juste avant de la manger.
On ne doit pas aller à Paris et se mélanger des gens pour s'amuser, on peut des fois rester à la maison, des heures, des jours et des jours - et regarder autour de soi. Que ce soit le jour ou au milieu de la nuit, quand je n'arrive pas à dormir, il y a de matière à photographier.
J'adore, quand même les contacts humaines.
mardi 28 août 2007
Jeu de lumières
Finalement, une jeu de lumière, un bout d'un racine d'un arbre entouré de l'herbe peut me parler autant qu'un homme endormi sur un banque, avec une valise près de sa tête.
Je me suis demandé qui il était (surement pas un clochard à le voir), d'où il venait et qui il venait voir, avait-il un rendez-vous, qu'attendait-il avant de ce fatiguer et de s'endormir dans le parc sous le soleil.
Q'en pensez-vous?
Ce n'était pas près de l'entrée, mais quand même sur le grand allée et pas sur une des allées plus cachés. Je pourrais inventer tout un roman qui commence par cette image. Non, pas qui fini ainsi, comme je n'aime pas les histoires tristes, j'aime bien croire qu'il est là juste en attendant quelqu'un qui arrivera.
Je me suis demandé qui il était (surement pas un clochard à le voir), d'où il venait et qui il venait voir, avait-il un rendez-vous, qu'attendait-il avant de ce fatiguer et de s'endormir dans le parc sous le soleil.
Q'en pensez-vous?
Ce n'était pas près de l'entrée, mais quand même sur le grand allée et pas sur une des allées plus cachés. Je pourrais inventer tout un roman qui commence par cette image. Non, pas qui fini ainsi, comme je n'aime pas les histoires tristes, j'aime bien croire qu'il est là juste en attendant quelqu'un qui arrivera.
Bain de soleil à Paris
Maintenant que les quais de Paris ne sont plus pour faire semblant d'être là pour faire de bain de soleil, les parisiens se débrouillent chacun à sa manière.
Probablement, certains sur leurs terrasses, d'autres, comme ici, à l'entrée du park Georges Brassens, comme ici.
Ils se sont rendu compte que je prends la photo, mais je ne leurs ai pas demandé la permission: je l'ai prise de très loin celle-ci, et puis, les mêmes étaient là déjà une heures avant, quand je suis arrivé à cet endroit du parc. Si elles auraient voulu se cacher, elles ne se seraient pas installées juste à l'entrée, mais comme j'avais vu d'autres avec une livre, caché au milieux des arbres dans une clairière.
Pour ceux entre vous qui voudraient les voir en plus grand, vous savez n'est-ce pas qu'il faut seulement cliquer sur une de mes images et en général celà vous mène sur la page où on peut demander "Size" et puis "original" quand on veut.
C'est en profitant du fait que mon appareil, acheté après le débacle avec l'eau et mon petit fils, permet de prendre des parties même des images où cela apparait originalement tout petit, par contre, il ne me permet pas d'agrandir comme je le voudrais pendant la prise, que j'ai pu extraire les deux dames montrant d'ailleurs des magnifiques jambes pour bronzer, juste à l'entrée du park.
Chacun profitait du parc à sa manière. Se promenant, faisant du gym, jouant, s'étalant ou se cachant au milieu de l'herbe et sous les arbres pour lire seule ou regardant une petite jet d'eau en couple. Ce n'est pas une immense park, mais il a des très belles endroits et pas mal des banks. Celle-ci, j'ai prise d'une banque où je me suis arrêté pour admirer cette arbre et la vie qui se déroulait à cette croisement.
Il y a plusieurs entrées au parc, près d'une autre entrée se trouve le Marché de livre d'occasion qui se tient chaque samedi et dimanche. Assez cher et exclusive, il n'y a énormément des clients, mais j'ai tombé comme j'ai disait hier sur cette livre: la couverture m'a attirée aussitôt.
Certaines des images sont choquants surtout après ce qui est arrivée à quelques adolescentes séquestrés en Belgique, mais voilà deux pages que j'avais photographiée, avant de décider de l'acheter.
J'ai aussi aimé beaucoup ses autoportraits, et le portrait de Balthus, âgé, en comparaison. D'autres peintures sont nuls à mon avis, mais comme avec Picasso, pas parce qu'il ne savait pas peindre: il voulait choquer, il voulait une "style a lui," imitant pas mal d'ailleurs les très anciens peintres dans le composition.
Faut des clients nombreux, plusieurs bouquinists lisait, livres ou journaux.
Le park était magnifique dans le soleil (et pas trop grand)
et à la sortie, très près finalement du tram que j'avais photographié avant dans la pluie, mais cette photo j'avais fait devant le cité Universitaire plusieurs portes avant Portes de Vanves.
Revenue chez moi, j'ai trouvé l'après-midi, mon petit jardin inondé du soleil, mais je suis entrée et joué avec les images jusque tard le soir. Toutfois, voilà de ma fenêtre.
J'arrête, pour pouvoir aller vous lire.
Probablement, certains sur leurs terrasses, d'autres, comme ici, à l'entrée du park Georges Brassens, comme ici.
Ils se sont rendu compte que je prends la photo, mais je ne leurs ai pas demandé la permission: je l'ai prise de très loin celle-ci, et puis, les mêmes étaient là déjà une heures avant, quand je suis arrivé à cet endroit du parc. Si elles auraient voulu se cacher, elles ne se seraient pas installées juste à l'entrée, mais comme j'avais vu d'autres avec une livre, caché au milieux des arbres dans une clairière.
Pour ceux entre vous qui voudraient les voir en plus grand, vous savez n'est-ce pas qu'il faut seulement cliquer sur une de mes images et en général celà vous mène sur la page où on peut demander "Size" et puis "original" quand on veut.
C'est en profitant du fait que mon appareil, acheté après le débacle avec l'eau et mon petit fils, permet de prendre des parties même des images où cela apparait originalement tout petit, par contre, il ne me permet pas d'agrandir comme je le voudrais pendant la prise, que j'ai pu extraire les deux dames montrant d'ailleurs des magnifiques jambes pour bronzer, juste à l'entrée du park.
Chacun profitait du parc à sa manière. Se promenant, faisant du gym, jouant, s'étalant ou se cachant au milieu de l'herbe et sous les arbres pour lire seule ou regardant une petite jet d'eau en couple. Ce n'est pas une immense park, mais il a des très belles endroits et pas mal des banks. Celle-ci, j'ai prise d'une banque où je me suis arrêté pour admirer cette arbre et la vie qui se déroulait à cette croisement.
Il y a plusieurs entrées au parc, près d'une autre entrée se trouve le Marché de livre d'occasion qui se tient chaque samedi et dimanche. Assez cher et exclusive, il n'y a énormément des clients, mais j'ai tombé comme j'ai disait hier sur cette livre: la couverture m'a attirée aussitôt.
Certaines des images sont choquants surtout après ce qui est arrivée à quelques adolescentes séquestrés en Belgique, mais voilà deux pages que j'avais photographiée, avant de décider de l'acheter.
J'ai aussi aimé beaucoup ses autoportraits, et le portrait de Balthus, âgé, en comparaison. D'autres peintures sont nuls à mon avis, mais comme avec Picasso, pas parce qu'il ne savait pas peindre: il voulait choquer, il voulait une "style a lui," imitant pas mal d'ailleurs les très anciens peintres dans le composition.
Faut des clients nombreux, plusieurs bouquinists lisait, livres ou journaux.
Le park était magnifique dans le soleil (et pas trop grand)
et à la sortie, très près finalement du tram que j'avais photographié avant dans la pluie, mais cette photo j'avais fait devant le cité Universitaire plusieurs portes avant Portes de Vanves.
Revenue chez moi, j'ai trouvé l'après-midi, mon petit jardin inondé du soleil, mais je suis entrée et joué avec les images jusque tard le soir. Toutfois, voilà de ma fenêtre.
J'arrête, pour pouvoir aller vous lire.
lundi 27 août 2007
La postière arrive
Il n'y a pas de "factrice" mais il existe le mot postière! Chez nous, elle arrive en bicyclette jour après jour. Depuis peu, nous avons une jeune et belle postière, que j'ai rencontré samedi pour la première fois.
Ma voisine d'en face rentrait après avoir acheté sa baguette quotidienne, et le journal pour son mari, et l'a interpelé pour un colis déposé ailleurs, quelle avait réussi à récupérer entre temps.
Aussitôt, elle s'est mis à son téléphone portable, apprendre comment et pourquoi cela c'était passé et avec sourire et détermination elle a résolut la problème.
Elle a même trouvé du temps à poser pour moi, en gardant toujours le sourire. J'espère qu'elle n'est pas là seulement pour quelques jours en remplacement. Ayant partie plus loin, je n'ai pas pu lui demander.
On ne peut pas dire qu'il "ne se passe rien" chez nous. Au moins, quand je sort mon nez de chez moi.
Hier, non seulement je l'ai sorti, mais je suis allée le matin au marché de livre à Paris, dans le park Georges Brassens. Allée, sans aucune problème, au retour je me suis perdue et j'ai fait, sans vouloir un détour à Rungis! Presque une heure de plus pour en sortir et retrouver mon chemin.
J'ai acheté trois livres. Une livre ancienne d'après la guerre sur Paris, photos et vers: comment les vêtements ont changé depuis! Une livre sur un peintre, Baltuz, non connu jusqu'alors, qui a peint des adolescentes surtout, avant et après la guerre "pour choquer et se faire un nom". Et une volume avec quatre romans de Jules Verne, que je n'avais jamais lu en original. J'espère que j'aurais la patience de la faire cette fois-ci.
Je suis aussi revenue avec pleines des images prix dans le park. Images que je reserve pour demain, images qui m'ont données de travail jusque soir. Pleines des gens en activités divers, assises ou marchant ou courant ou même couchés, mais finalement, c'est le Chef Cuisinier du café bistrot où je suis entrée qui m'a offert le plus.
J'avais tellement crainte qu'il ne me laisse pas prendre du photo, mais il a était gracieux et j'ai pu prendre autant que j'ai voulu. Il croyais que je suis une étrangère: mon accent... Mais, même après avoir appris que je suis en France depuis 43 ans, il m'a laissé continuer. Si je n'ai pas fait aussi bien que j'aurais pu, je le dois seulement au fait, qu'à chaque fois quand je veux quelques chose très fortement, je perds un peu, ou beaucoup de mes moyens.
C'est comme dans ma jeunesse quand je ne réussissait pas parler au garçon qui me plaisait beaucoup, pourtant je n'avais aucun mal à parler à tous les autres filles ou garçons.
Allez, en avant première voilà quelques images de "mon" Chef, avant que je le lui avais demandé, et après.
ensuite
et puis
Lequel devrais-je lui envoyer?
Ma voisine d'en face rentrait après avoir acheté sa baguette quotidienne, et le journal pour son mari, et l'a interpelé pour un colis déposé ailleurs, quelle avait réussi à récupérer entre temps.
Aussitôt, elle s'est mis à son téléphone portable, apprendre comment et pourquoi cela c'était passé et avec sourire et détermination elle a résolut la problème.
Elle a même trouvé du temps à poser pour moi, en gardant toujours le sourire. J'espère qu'elle n'est pas là seulement pour quelques jours en remplacement. Ayant partie plus loin, je n'ai pas pu lui demander.
On ne peut pas dire qu'il "ne se passe rien" chez nous. Au moins, quand je sort mon nez de chez moi.
Hier, non seulement je l'ai sorti, mais je suis allée le matin au marché de livre à Paris, dans le park Georges Brassens. Allée, sans aucune problème, au retour je me suis perdue et j'ai fait, sans vouloir un détour à Rungis! Presque une heure de plus pour en sortir et retrouver mon chemin.
J'ai acheté trois livres. Une livre ancienne d'après la guerre sur Paris, photos et vers: comment les vêtements ont changé depuis! Une livre sur un peintre, Baltuz, non connu jusqu'alors, qui a peint des adolescentes surtout, avant et après la guerre "pour choquer et se faire un nom". Et une volume avec quatre romans de Jules Verne, que je n'avais jamais lu en original. J'espère que j'aurais la patience de la faire cette fois-ci.
Je suis aussi revenue avec pleines des images prix dans le park. Images que je reserve pour demain, images qui m'ont données de travail jusque soir. Pleines des gens en activités divers, assises ou marchant ou courant ou même couchés, mais finalement, c'est le Chef Cuisinier du café bistrot où je suis entrée qui m'a offert le plus.
J'avais tellement crainte qu'il ne me laisse pas prendre du photo, mais il a était gracieux et j'ai pu prendre autant que j'ai voulu. Il croyais que je suis une étrangère: mon accent... Mais, même après avoir appris que je suis en France depuis 43 ans, il m'a laissé continuer. Si je n'ai pas fait aussi bien que j'aurais pu, je le dois seulement au fait, qu'à chaque fois quand je veux quelques chose très fortement, je perds un peu, ou beaucoup de mes moyens.
C'est comme dans ma jeunesse quand je ne réussissait pas parler au garçon qui me plaisait beaucoup, pourtant je n'avais aucun mal à parler à tous les autres filles ou garçons.
Allez, en avant première voilà quelques images de "mon" Chef, avant que je le lui avais demandé, et après.
ensuite
et puis
Lequel devrais-je lui envoyer?
dimanche 26 août 2007
Je dois apprendre
Je me suis rendu compte, pendant les leçons dans le groupe afterclass sur le flickr, qu'au lieu de les réfléchir et les prendre après m'avoir assurée que tous les réglages sont à leur place pour la scène devant mes yeux, je prend la photo rapidement.
Bien sûr, on ne peut pas beaucoup réfléchir quand on a quelqu'un devant soi dans la rue: un second et non pas une minute après, il repart, continue autre chose, et même des fois change d'avis.
Par contre, quand on prend une photo d'un panorama, on est supposé à avoir le temps, prendre son temps. Réfléchir, non seulement l'angle, la distance, la lumière, mais aussi l'ouverture de 'lobjectif (diafragme) et zoom, etc.
Je ne prends pas assez du temps.
La meilleure photo "paysage" urbaine prise "par moi" la voilà.
en réalité, c'était le paysage que je voulais prendre quand ma batterie m'a laissé tomber, j'ai pointé dessus, et Sophie l'a pris à ma place, j'en suis sûre, mieux que je l'aurais fait.
Je l'ai imprimé en grande format et le regards chaque jour avec plaisir: il parait comme une peinture allemand ancienne que mon père avait à un moment sur ses murs.
Je ne prends pas assez du temps, c'est vrai. C'est une maladie ancienne, j'ai toujours sauté sur l'occasion, plongé dedans, me suis lancé tête en bas dans pleines des choses.
"je suis ainsi" c'est façile à dire, mais cette-fois, je vais tâcher à experimenter davantage, prendre mon temps avant prendre la photo d'un pont ou ce qui est autour de lui, tâcher à mieux faire.
Ensuite, plus tard, après beaucoup des photos et experimentations plus réfléchis, cela "entre dans le sang", devient instinctif et je pourrais alors de nouveau 'sauter dedans' pendant que mes mains et pieds, comme en conduisant la voiture, font leur travail tout seul.
J'espère, qu'un jour j'y arriverai.
Bien sûr, on ne peut pas beaucoup réfléchir quand on a quelqu'un devant soi dans la rue: un second et non pas une minute après, il repart, continue autre chose, et même des fois change d'avis.
Par contre, quand on prend une photo d'un panorama, on est supposé à avoir le temps, prendre son temps. Réfléchir, non seulement l'angle, la distance, la lumière, mais aussi l'ouverture de 'lobjectif (diafragme) et zoom, etc.
Je ne prends pas assez du temps.
La meilleure photo "paysage" urbaine prise "par moi" la voilà.
en réalité, c'était le paysage que je voulais prendre quand ma batterie m'a laissé tomber, j'ai pointé dessus, et Sophie l'a pris à ma place, j'en suis sûre, mieux que je l'aurais fait.
Je l'ai imprimé en grande format et le regards chaque jour avec plaisir: il parait comme une peinture allemand ancienne que mon père avait à un moment sur ses murs.
Je ne prends pas assez du temps, c'est vrai. C'est une maladie ancienne, j'ai toujours sauté sur l'occasion, plongé dedans, me suis lancé tête en bas dans pleines des choses.
"je suis ainsi" c'est façile à dire, mais cette-fois, je vais tâcher à experimenter davantage, prendre mon temps avant prendre la photo d'un pont ou ce qui est autour de lui, tâcher à mieux faire.
Ensuite, plus tard, après beaucoup des photos et experimentations plus réfléchis, cela "entre dans le sang", devient instinctif et je pourrais alors de nouveau 'sauter dedans' pendant que mes mains et pieds, comme en conduisant la voiture, font leur travail tout seul.
J'espère, qu'un jour j'y arriverai.
samedi 25 août 2007
Ce n'est pas la peine
Ce n'est pas la peine de pleurer sur le lait renversé, sur une branche avec des belles fleurs coupée, même s'il a fallu attendre cinq ans pour que pour la première fois les fleurs apparaissent, même si la branche vous offrait une belle automne devant la fenêtre.
Ce n'est pas la peine de regretter non plus, les belles feuilles genre cactus près de bordure, qu'on vous a coupé, massacré, pour faire place nette.
Il y aura toujours autres choses à admirer.
D'un coup, comme hier vers midi, retournant de la piscine, on aperçoit un bout du bois de la fenêtre de la voiture.
ou même la texture d'un bordure à l'entrée de l'autoroute
Une petite fille qui fatiguée de la piscine dort (ou fait semblant) ou un homme inconnu sortant de sa voiture vous permet à prendre son portrait en vous souriant.
Une maison étroite pas loin d'un pont de Paris.
ou un fleuriste avenue Versailles arrosant ses fleurs.
Non, je ne veux pas pleurer sur tellement des choses que j'avais perdu et ne retrouverai jamais dans ma vie!
Ni les hommes qui sont venus et passés, m'ont aimé et m'ont trahis, ni les livres aimés et puis égarés, ni sur ma peau abimé, mes années perdues non plus: tout a laissé une trace en moi et tous ont eu un impact important dans ma vie.
Ce n'est pas la peine de regretter non plus, les belles feuilles genre cactus près de bordure, qu'on vous a coupé, massacré, pour faire place nette.
Il y aura toujours autres choses à admirer.
D'un coup, comme hier vers midi, retournant de la piscine, on aperçoit un bout du bois de la fenêtre de la voiture.
ou même la texture d'un bordure à l'entrée de l'autoroute
Une petite fille qui fatiguée de la piscine dort (ou fait semblant) ou un homme inconnu sortant de sa voiture vous permet à prendre son portrait en vous souriant.
Une maison étroite pas loin d'un pont de Paris.
ou un fleuriste avenue Versailles arrosant ses fleurs.
Non, je ne veux pas pleurer sur tellement des choses que j'avais perdu et ne retrouverai jamais dans ma vie!
Ni les hommes qui sont venus et passés, m'ont aimé et m'ont trahis, ni les livres aimés et puis égarés, ni sur ma peau abimé, mes années perdues non plus: tout a laissé une trace en moi et tous ont eu un impact important dans ma vie.
vendredi 24 août 2007
L'eau
D'abord, sur cette photo: après pleines des images de la tour Eiffel, j'ai trouvé celle-ci, légèrement inclinée.
Au lieu de le mettre à l'endroit, j'ai joué un peu avec en le déformant, tirant: et voilà.
Tout ce qu'on peut faire avec des images!
Je viens de lire davantage sur Paris et ses ponts, hier nous avons passé (ées?) une journée tranquille à la maison, mais mercredi ma petite fille a voulu à tout prix aller à la piscine.
Je lui avait promis le jour avant.
Je n'avais aucune envie d'y aller pourtant et je n'y étais allée depuis presque une année, la joie que nager me procurait dans les temps semblait s'être évaporé quelque part.
J'aime toujours regarder l'eau couler, bouger, s'agiter et même l'eau tranquille dans lequel se réflètent les arbres ou même les immeubles environnants. Mais la plaisir d'y plonger, quand et pourquoi l'ai-je perdu?
Ma petite-fille vient me l'offrir de nouveau.
C'était une joie de lui apprendre à faire la planche sur le dos, avoir le courage de nager dans l'eau même quand elle n'a pas le pieds. C'était une grande plaisir de voir le progrès rapide qu'elle a fait juste pendant quelques minutes, voir heures.
Elle a oublié de temps en temps à respirer ou fermer sa bouche et avalé de l'eau, aie! Mais rien ne l'a empêché de faire comme moi, comprendre, entreprendre, persister. Sauter dans l'eau profonde et en sortir, d'accord, plus comme un petit chien qu'en beauté, puis, avec volonté et joie, recommencer.
Revenir tout au long en nageant sans s'arrêter jusqu'à l'autre bout. Ces deux photos sont de l'année dernière, un soir quand je ne suis pas entrée avec elle, quand j'étais dehors et pas avec elle dedans.
Images de l'année dernière deux photos: la piscine d'ici est bien plus pleine des gens. Mercredi j'étais un des participants actifs.
J'ai réussi à transmettre quelque chose de ce que je savais, de ce que me faisais plaisir, de ce que j'avais appris à son âge à elle.
Je ne me souviens pas si j'avais autant de volonté qu'elle, autant de persévérance, mais je l'admire et ce matin nous retournerons ensemble à la piscine près de chez moi. Il ne me reste plus beaucoup de choses à lui apprendre, mais il restera toujours une grande plaisir à la regarder faire. D'une certaine façon, prendre la relève.
Au lieu de le mettre à l'endroit, j'ai joué un peu avec en le déformant, tirant: et voilà.
Tout ce qu'on peut faire avec des images!
Je viens de lire davantage sur Paris et ses ponts, hier nous avons passé (ées?) une journée tranquille à la maison, mais mercredi ma petite fille a voulu à tout prix aller à la piscine.
Je lui avait promis le jour avant.
Je n'avais aucune envie d'y aller pourtant et je n'y étais allée depuis presque une année, la joie que nager me procurait dans les temps semblait s'être évaporé quelque part.
J'aime toujours regarder l'eau couler, bouger, s'agiter et même l'eau tranquille dans lequel se réflètent les arbres ou même les immeubles environnants. Mais la plaisir d'y plonger, quand et pourquoi l'ai-je perdu?
Ma petite-fille vient me l'offrir de nouveau.
C'était une joie de lui apprendre à faire la planche sur le dos, avoir le courage de nager dans l'eau même quand elle n'a pas le pieds. C'était une grande plaisir de voir le progrès rapide qu'elle a fait juste pendant quelques minutes, voir heures.
Elle a oublié de temps en temps à respirer ou fermer sa bouche et avalé de l'eau, aie! Mais rien ne l'a empêché de faire comme moi, comprendre, entreprendre, persister. Sauter dans l'eau profonde et en sortir, d'accord, plus comme un petit chien qu'en beauté, puis, avec volonté et joie, recommencer.
Revenir tout au long en nageant sans s'arrêter jusqu'à l'autre bout. Ces deux photos sont de l'année dernière, un soir quand je ne suis pas entrée avec elle, quand j'étais dehors et pas avec elle dedans.
Images de l'année dernière deux photos: la piscine d'ici est bien plus pleine des gens. Mercredi j'étais un des participants actifs.
J'ai réussi à transmettre quelque chose de ce que je savais, de ce que me faisais plaisir, de ce que j'avais appris à son âge à elle.
Je ne me souviens pas si j'avais autant de volonté qu'elle, autant de persévérance, mais je l'admire et ce matin nous retournerons ensemble à la piscine près de chez moi. Il ne me reste plus beaucoup de choses à lui apprendre, mais il restera toujours une grande plaisir à la regarder faire. D'une certaine façon, prendre la relève.
jeudi 23 août 2007
La vérité?
En revenant au même lieu de rêve, cette maison biscornu à cause du décor couvrant cinq étages sur l'avenue George V, encore et de nouveau, un jour, soudain, on découvre l'inverse de décor.
La porte du garage s'est ouverte ce matin-là, nous laissant entrevoir la 'vraie maison" ainsi que les machines et gens travaillant à sa rénovation.
C'était étrange de voir les fenêtres glisser, mais triste de apercevoir l'état de maison encore derrière le beau rêve. On découvre ce qu'il recouvre.
Cela arrive des fois dans le vie aussi.
Quelquefois, la patience suffit, la renovation est possible, mais d'autrefois, on reste avec ses rêves a laquelle on a finit de croire, malgré qu'on savait bien au fond, avec sa raison, que ce n'est qu'une facade.
On voulait tant y croire! C'était si beau!
Mais un jour, la réalité nous saute dans la figure.
Pouvons-nous alors continuer à rêver, à y croire à tous les contes et rêves? A ce moment-là, on met côte à côte, comme cette image qui me le montre clairement, et le rêve s'éloigne et la réalité du jour parait maussade.
Oui, les maison autour peuvent être belles, leur fenêtre élégant, mais la vôtre, celle a laquelle vous teniez...
Celle qui vous faisait l'aimer, et rêver...
que rest-en de cela?
Cela arrive dans notre vie aussi de s'en rendre compte, de découvrir l'inverse du décor.
Devant, tout est souriant et nous l'adorons, nous le voulons, nous en aspirons, nous en rêvons.
Derrière on s'appercevoit que ce n'était pas une réalité, on ne peut plus se voiler la face et faire semblant d'y croire encore.
Alors, qu'on veut ou non, puisqu'on ne peut plus se cacher à soi les vérités et il faut ensuite agir en connaissance de cause. Ayant compris que la façade n'est qu'une décor et ayant vu la réalité de ses propres yeux.
La porte du garage s'est ouverte ce matin-là, nous laissant entrevoir la 'vraie maison" ainsi que les machines et gens travaillant à sa rénovation.
C'était étrange de voir les fenêtres glisser, mais triste de apercevoir l'état de maison encore derrière le beau rêve. On découvre ce qu'il recouvre.
Cela arrive des fois dans le vie aussi.
Quelquefois, la patience suffit, la renovation est possible, mais d'autrefois, on reste avec ses rêves a laquelle on a finit de croire, malgré qu'on savait bien au fond, avec sa raison, que ce n'est qu'une facade.
On voulait tant y croire! C'était si beau!
Mais un jour, la réalité nous saute dans la figure.
Pouvons-nous alors continuer à rêver, à y croire à tous les contes et rêves? A ce moment-là, on met côte à côte, comme cette image qui me le montre clairement, et le rêve s'éloigne et la réalité du jour parait maussade.
Oui, les maison autour peuvent être belles, leur fenêtre élégant, mais la vôtre, celle a laquelle vous teniez...
Celle qui vous faisait l'aimer, et rêver...
que rest-en de cela?
Cela arrive dans notre vie aussi de s'en rendre compte, de découvrir l'inverse du décor.
Devant, tout est souriant et nous l'adorons, nous le voulons, nous en aspirons, nous en rêvons.
Derrière on s'appercevoit que ce n'était pas une réalité, on ne peut plus se voiler la face et faire semblant d'y croire encore.
Alors, qu'on veut ou non, puisqu'on ne peut plus se cacher à soi les vérités et il faut ensuite agir en connaissance de cause. Ayant compris que la façade n'est qu'une décor et ayant vu la réalité de ses propres yeux.
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