mercredi 29 novembre 2006

Sur la route de Paris

Après avoir lu mon courier, écrit mon message blog, commencé à lire les vôtres, je passe de Gelzy et Aben vers David, de Boston (comme dans la chanson des blogeurs de G.). David reprenait justement quelques textes sur des anciens jours d'hiver et finit "sortir, finalement m'a fait comprendre que l'hiver n'est pas si mal qui cela", ce qui m'a décidé à laisser la lecture des autres blogs pour ce soir et sortir, moi aussi.

Je voulais aller regarder, photographier les décorations des rues à Paris.

J'ai pris le bus jusqu'au La Défense. De là, je devais prendre le métro 1 qui travers tout centre Paris, mais comme j'étais déjà là, je me suis dit "regards, d'abord ce que tu trouves là".

Et j'ai vu.

200 photos, pleines des admirables discussions et bonnes contacts, depaysements (chine, manchiuria, inde, russie, corse, maroc, amérique de sud, etc.) et merveilleux objets très différents des uns des autres, comme d'ailleurs beaucoup des visages des vendeurs aussi, je suis revenue à la maison épuisée et ivre de joie.

Je vous montre ici juste quelques décorations, je n'ai pas eu le temps de retravailler toutes les images, de 200 j'ai mise presque la moitié pour le moment sur le flickr et vous pouvez voir à côté les dernières dix ou en bas une diapo de 92.
Christmas at la Défense-014

Christmas at la Défense-013

très curieusement, dans ces balons, une des première image prise vers l'entrée, la photographe est refletée, je ne m'en suis rendu compte.

Si j'avais écrit des courses à l'achat, ne le comprenais pas que je suis contre "mercantilisme": c'est quoi? J'étais aussi, tout comme Aben, même si pas toute ma vie, vendeur d'ailleurs. On vend quand on peut, on utilise les occasions qu'on trouve. On achéte ou non, c'est notre choix, n'est pas. Et je ne crois pas qu'il y a des masses des gens qui ne peuvent rien acheter. Pas tout: il faut faire une choix.

Ce que je n'aimais pas (j'ai eu de chance cette fois, c'était juste l'ouverture et même pas mal des cabanes n'était pas encore prêts) la busculade, le fièvre, etc. qui empêche pour moi la joie. Mais quelle plaisir de découvrir (pour en prendre photo, pas les acheter) tout ces objets héteroclites, certaines très belles, autres tout à fait loufouques!

Je ne regrette pas du tout de n'être arrivée, aujourd'hui, à Paris, une heure et demie parmis tout cela m'a tout à fait suffit comme aventure. A part un seul jeune homme voulant à tout prix me vendre un casse noix, les autres ont été très compréhensifs du fait qu'à la place d'acheter, je voulais seulement photographier. J'ai eu pleines des "sujets" s'y prétant volontiers.

Que des gens sympa existe dans ce monde!

1 commentaire:

  1. Superbes photos. Cela donne envie.
    Les vendeurs ne sont plus ce qu'ils étaient : Un casse-bonbons pour un malheureux casse-noix...
    Bonne continuation pour ce site!

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