Travail dur, huit heures par terre

Il y a trois ans, j'avais visite Maroc, et avec le groupe une cooperative des femmes. Une travail dur, assise par terre, les jambes ecartes, on casse puis extrait l'huile d'Argan, manuellement.

A Argenteuil, j'ai rencontre des femmes de Maroc, elles m'ont dit que oui, c'était ainsi dans le temps, maintenant elles le font, la plupart de temps avec des appareils plus mécaniques.

Je ne sais pas bien si la façon qu'on les faisait travailler était pour que les touristes s'y arrêtant achètent plus volontiers, voyant les dizaine des femmes travaillant dur devant eux. En tout cas, je viens de retrouver cette image dont j'ai extrait l'essentielle, pour qu'on la voit comment elle le fait.

Par la suite, j'ai prise une portrait d'elle de pres: une tres belle femme!

Je reviens a Maroc aussi, puisque je suis invite d'y retourner avec d'autres photographes de Londres, mais je ne crois pas que j'irai avec eux, d'abord parce qu'en ete Marrakech est tres chaude, puis c'est prévu deux jours sur Architecture et Montagne, paysages, et seulement une au marche qui m'attirerai davantage.

Je ne parle même pas du prix du voyage et du temps que je ne vais pas avoir avec mes activités de organisatrice des réunions durant l'été.

En réalité, quand on veut quelque chose tres fortement, on trouve tous les raisons pour la faire, sinon, on trouve des raisons pour justifier le non. Le cœur décide d'abord, puis nous trouvons des justifications.