Il paraît que les Pâques juifs s'appelle "pesah" - ce que je sais, puisque j'ai assisté deux fois aux Etats Unis, et une fois dans mon enfance, et qu'on prends des Pain d'azymes que voilà, et on les cache:
Les enfants doivent le trouver.
Une fois trouvé, ils reçois des cadeaux.
Avec des gens plus religieux, ils racontent aussi tout l'histoire de la sortie d'Égypte aux enfants.
En plus, si je m'en souviens bien de USA, on goute aussi du miel et d'autres choses pas mal.
Mais c'est le pain d'azyme qui est la seule "pain" qu'on a le droit de manger, si on est un juif croyant, pendant presque une semaine, puisque cela rappelle que ceux sortis d'Egypte n'avait pas de qui faire de pain. Aussi, de l'enfance je me rappelle que mon père aimait mettre dans café aux lait, et oui, c'était très bonne ainsi.
J'aime bien quand ils sont bien croquants.
Sinon, c'est intéressant, qu'en même temps on a tellement des Pâques différents, chacun avec sa tradition. Chez les Greco orthodoxe par exemple, on va le minuit a l'église et on revient avec des cierges allumés. On bat les oeufs un contre l'autre pendant le repas de dimanche.
Pour les Hongrois, les garçons arrosent à cette occasion des filles, et reçoivent des bonbons ou gâteaux, pour leur pain. Dans les villes, on arrose avec eau de Cologne, au village, à la fontaine!
Dans mon adolescence, j'avais envie de pleurer: ma voisine avait pleines des garçons le visitant, moi, pratiquement personne, pourtant j'avais peint des oeufs de tous les couleurs!
Ah, les Pâques, sont toujours une belle période pour moi, parque c'est pendant une dimanche de Pâques que que j'ai commencé ma "carrière" de femme... même s'il y a fort longtemps de cela, il y a des choses qu'on n'oublie jamais.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
mercredi 31 mars 2010
mardi 30 mars 2010
Sous l'arbre dans la pluie
Au fait, la pluie s'était arrêtée pour quelques minutes, de chez moi vers mes petits enfants.
Sur la route, que j'ai prise exprès pour revoir ces fleurs sous l'arbre, entre la rue et les entrées de ces immeubles, la seule point fleuri. A chaque fois que j'y passe, d'autres fleurs s'ouvrent!
Cette fois, entre jonquilles jaunes, petites fleurs bleus, les tulipes rouges étaient là, majestueuses, mais non ouvertes - la pluie les a refermé pour le moment.
Elles étaient encore plus belle, ainsi.
J'ai pris peut être 26 images, de tous les angles! Les voilà.
Diapo Fleurs après la pluie
Ah oui, on peut avoir de la joie même dans le petit calme entre deux pluies! Pendant aussi, mais c'est nettement plus dur d'en prendre une image.
Une fois, dans ma vie, j'ai chanté et dansé au milieu de la route pendant la pluie, et je ne vais jamais l'oublier.
Sur la route, que j'ai prise exprès pour revoir ces fleurs sous l'arbre, entre la rue et les entrées de ces immeubles, la seule point fleuri. A chaque fois que j'y passe, d'autres fleurs s'ouvrent!
Cette fois, entre jonquilles jaunes, petites fleurs bleus, les tulipes rouges étaient là, majestueuses, mais non ouvertes - la pluie les a refermé pour le moment.
Elles étaient encore plus belle, ainsi.
J'ai pris peut être 26 images, de tous les angles! Les voilà.
Diapo Fleurs après la pluie
Ah oui, on peut avoir de la joie même dans le petit calme entre deux pluies! Pendant aussi, mais c'est nettement plus dur d'en prendre une image.
Une fois, dans ma vie, j'ai chanté et dansé au milieu de la route pendant la pluie, et je ne vais jamais l'oublier.
lundi 29 mars 2010
Ils n'étaient plus des inconnus
Lecture d'une page de mon journal, 2004, dans laquelle je parlais de mes début comme portraitiste.
Il ne sont plus inconnus.mp3
dimanche 28 mars 2010
Enfants bilingues
Samedi, j'ai acheté un journal, pleine des informations intéressantes.
Dans un des articles, "gracias mama, thanks dad", il parle des enfants parlant deux langues et le long impact que cela apporte.
Il dit, que plus vite les enfants s'habituent à deux langages différents, mieux leur cerveau travail, ou au moins, leur donne quelque flexibilité, en plus. Ils pourront se connecter bien, aux gens très divers, et comprennent mieux les différences des cultures. Ils ont, parait-il, après cette article, plus de confidence en eux même.
Je ne sais pas ce qui est vrai ou non, de toute cela, mais j'ai dû apprendre une deuxième langue à 12 ans, mes enfants ont devenus bilingues très très jeune. A la maison, on parlait roumain, dehors, français.
Les trois garçons de ma fille, sont "nés" bilingues aussi, leur mère leur parlait en français dès leur naissance, leur père en anglais. Les autres deux, ont appris à 8 respectivement 9 ans, l'anglais, mais déjà ils se sentent tout à fait a l'aise.
J'espère que cela les aidera dans la vie.
Bien sûr, aussi, d'être plongé, une après autre dans leur cas, dans deux cultures et habitudes différentes. J'espère, au moins, qu'à cause de cela, mais pas seulement à cause de cela, on devient plus tolérants envers les diversités.
En tout cas, moi, je pouvais parler et je peux encore, sans différence, avec l'homme qui nettoie les rues par ici, un vieux chrétien bien croyant, et au pdg d'une grande société, à une mère ou une écrivain, etc. Sans différence, ne voyant que des gens, divers, intéressants, dans l'un ou l'autre.
De tout façon, ayant appris, tôt, que nous sommes tous différents.
Bien sûr, je sais qu'il y a aussi des fois des gens méchants, pas autant qu'on croit d'ailleurs, et des fois, cela n'est pas évident, du tout. Quelquefois, il faut des années pour le découvrir! Autrefois, j'ai eu des intuitions dès le début, mais je n'ai pas voulu écouter mes intuitions. Bon, ici je diverge vers mes "hommes" au lieu de rester au sujet des étrangers - mais eux aussi, un jour ont été des étrangers, n'est pas?!
Je me suis laissé emporter, des enfants parlant plusieurs langues, vers des gens qui nous déçoivent. En fait, on se laisse décevoir, en formant en soi une image a laquelle on s'y attache ensuite, ne voyant plus le reste. Mais, cela arrive bien sûr, même si on n'a appris qu'une seule langue dans sa vie!
Dans un des articles, "gracias mama, thanks dad", il parle des enfants parlant deux langues et le long impact que cela apporte.
Il dit, que plus vite les enfants s'habituent à deux langages différents, mieux leur cerveau travail, ou au moins, leur donne quelque flexibilité, en plus. Ils pourront se connecter bien, aux gens très divers, et comprennent mieux les différences des cultures. Ils ont, parait-il, après cette article, plus de confidence en eux même.
Je ne sais pas ce qui est vrai ou non, de toute cela, mais j'ai dû apprendre une deuxième langue à 12 ans, mes enfants ont devenus bilingues très très jeune. A la maison, on parlait roumain, dehors, français.
Les trois garçons de ma fille, sont "nés" bilingues aussi, leur mère leur parlait en français dès leur naissance, leur père en anglais. Les autres deux, ont appris à 8 respectivement 9 ans, l'anglais, mais déjà ils se sentent tout à fait a l'aise.
J'espère que cela les aidera dans la vie.
Bien sûr, aussi, d'être plongé, une après autre dans leur cas, dans deux cultures et habitudes différentes. J'espère, au moins, qu'à cause de cela, mais pas seulement à cause de cela, on devient plus tolérants envers les diversités.
En tout cas, moi, je pouvais parler et je peux encore, sans différence, avec l'homme qui nettoie les rues par ici, un vieux chrétien bien croyant, et au pdg d'une grande société, à une mère ou une écrivain, etc. Sans différence, ne voyant que des gens, divers, intéressants, dans l'un ou l'autre.
De tout façon, ayant appris, tôt, que nous sommes tous différents.
Bien sûr, je sais qu'il y a aussi des fois des gens méchants, pas autant qu'on croit d'ailleurs, et des fois, cela n'est pas évident, du tout. Quelquefois, il faut des années pour le découvrir! Autrefois, j'ai eu des intuitions dès le début, mais je n'ai pas voulu écouter mes intuitions. Bon, ici je diverge vers mes "hommes" au lieu de rester au sujet des étrangers - mais eux aussi, un jour ont été des étrangers, n'est pas?!
Je me suis laissé emporter, des enfants parlant plusieurs langues, vers des gens qui nous déçoivent. En fait, on se laisse décevoir, en formant en soi une image a laquelle on s'y attache ensuite, ne voyant plus le reste. Mais, cela arrive bien sûr, même si on n'a appris qu'une seule langue dans sa vie!
samedi 27 mars 2010
Bus avec étage
Le bus arrive, la nuit, c'est un avec étages. D'autres sont plus simples, mais à Londres, tous sont rouges.
Ce matin, je suis sortie envoyer un paquet avec le camera dans ma poche. J'ai trouvé pleines des belles fleurs dans la cour. Pas beaucoup des fleurs, mais variées. Le reste, est plutôt occupé par l'herbe.
C'est quand même agréable d'avoir des fleurs autour. Des "vieille" et moins vieille dames qui aiment les fleurs, les mets et s'en occupent. J'admire et prends des images.
La deuxième fois que je suis sortie aujourd'hui, il a plu. Pas longtemps, juste assez. J'ai vu qu'ailleurs, certaines parties de la Chine par exemple, il n'a pas plu depuis six mois!
Donc un peu de pluie, n'est pas si mauvais, même s'il me tombe sur la tête au mauvais moment. Je ne suis pas de sucre et ne fonds pas.
J'avais des nausées depuis vendredi soir, après quelques cuillères de médicaments trouvés à la pharmacie, ça va nettement mieux. Mais à cause de cela, j'étais un peu plus "à l'aise" sans faire grande chose.
Recharger mes batteries.
Ce matin, je suis sortie envoyer un paquet avec le camera dans ma poche. J'ai trouvé pleines des belles fleurs dans la cour. Pas beaucoup des fleurs, mais variées. Le reste, est plutôt occupé par l'herbe.
C'est quand même agréable d'avoir des fleurs autour. Des "vieille" et moins vieille dames qui aiment les fleurs, les mets et s'en occupent. J'admire et prends des images.
La deuxième fois que je suis sortie aujourd'hui, il a plu. Pas longtemps, juste assez. J'ai vu qu'ailleurs, certaines parties de la Chine par exemple, il n'a pas plu depuis six mois!
Donc un peu de pluie, n'est pas si mauvais, même s'il me tombe sur la tête au mauvais moment. Je ne suis pas de sucre et ne fonds pas.
J'avais des nausées depuis vendredi soir, après quelques cuillères de médicaments trouvés à la pharmacie, ça va nettement mieux. Mais à cause de cela, j'étais un peu plus "à l'aise" sans faire grande chose.
Recharger mes batteries.
vendredi 26 mars 2010
Juge
Pour une fois, j'étais juge, et pas contestant - vraiment c'est un rôle beaucoup moins fatigante. Décider qui était le meilleur qui a parlé mieux et quel contenu nous plait davantage, était pas aussi difficile que je croyais.
Nous avons eu deux "gagnants" pour deux concours différents hier soir, et, tous les deux ont été aussi ceux choisis par moi, et bien sûr, cinq autres, sans savoir ce que les autres ont mis sur le papier.
Dave, qui est en 4 clubs différents, met tout son temps et énergie dedans. Il a parlé d'absence de communication entre son père et lui, à partir de ses 4 ans, quand, tout en sachant qu'il voulait devenir vétérinaire, son père a tué d'un coup un serpent dans le jardin.
Ensuite, comment, à partir de là, il a interprété tout ce que son père faisait, comme "il ne m'aime pas." Et, il a fallu le mort de son père, et même revoir sa vie récemment, pour comprendre, que son père l'aimait. Il lui a écrit, récemment un lettre: "oui, on peut écrire une lettre même s'il n'est plus là pour le lire."
Sans utiliser trop des tactiques oratoires, ses paroles ont porté.
Un autre, très adroit, nous a parlé des heurtes enfuis en nous, des mauvaises expériences, qui sortent quand quelque chose un peu similaire les réveils "monstre sortie du cave" - même si c'est aussi nécessaire pour nos mécanismes de défense, souvent il déforme la réalité, l'exagère.
Au premier plan ici, celui qui parlait de cela, avec deux collègues de mes clubs, près de lui, me souriant.
C'était une très bonne discours, cette fois dit pour que cinq autre en disent leurs opinion, pour voir qui peut en parler mieux. C'est une femme qui a gagné, cette fois, aussi à mon avis parce qu'elle a réussi a parler le plus encourageante et sincère. Avec émotions, pas seulement tête.
Et oui, encore un autre, a bien parlé, mais pas assez pour gagner le premier prix, sur le conflit entre tête et cœur, souvent en lutte. Et comment souvent le cœur mène la tête, des fois inverse, mais bien sûr, le mieux est quand ils arrivent à marcher main à main.
Le 17 avril, le concours sera au niveau supérieur.
Une autre chose que j'ai appris, et l'importance de n'avoir qu'une seule message. L'importance aussi de dire un récit et pas parler des faits. Y mettre plus de cœur que de tête.
Nous avons eu deux "gagnants" pour deux concours différents hier soir, et, tous les deux ont été aussi ceux choisis par moi, et bien sûr, cinq autres, sans savoir ce que les autres ont mis sur le papier.
Dave, qui est en 4 clubs différents, met tout son temps et énergie dedans. Il a parlé d'absence de communication entre son père et lui, à partir de ses 4 ans, quand, tout en sachant qu'il voulait devenir vétérinaire, son père a tué d'un coup un serpent dans le jardin.
Ensuite, comment, à partir de là, il a interprété tout ce que son père faisait, comme "il ne m'aime pas." Et, il a fallu le mort de son père, et même revoir sa vie récemment, pour comprendre, que son père l'aimait. Il lui a écrit, récemment un lettre: "oui, on peut écrire une lettre même s'il n'est plus là pour le lire."
Sans utiliser trop des tactiques oratoires, ses paroles ont porté.
Un autre, très adroit, nous a parlé des heurtes enfuis en nous, des mauvaises expériences, qui sortent quand quelque chose un peu similaire les réveils "monstre sortie du cave" - même si c'est aussi nécessaire pour nos mécanismes de défense, souvent il déforme la réalité, l'exagère.
Au premier plan ici, celui qui parlait de cela, avec deux collègues de mes clubs, près de lui, me souriant.
C'était une très bonne discours, cette fois dit pour que cinq autre en disent leurs opinion, pour voir qui peut en parler mieux. C'est une femme qui a gagné, cette fois, aussi à mon avis parce qu'elle a réussi a parler le plus encourageante et sincère. Avec émotions, pas seulement tête.
Et oui, encore un autre, a bien parlé, mais pas assez pour gagner le premier prix, sur le conflit entre tête et cœur, souvent en lutte. Et comment souvent le cœur mène la tête, des fois inverse, mais bien sûr, le mieux est quand ils arrivent à marcher main à main.
Le 17 avril, le concours sera au niveau supérieur.
Une autre chose que j'ai appris, et l'importance de n'avoir qu'une seule message. L'importance aussi de dire un récit et pas parler des faits. Y mettre plus de cœur que de tête.
jeudi 25 mars 2010
Tulipe!
Les tulipes commencent à s'ouvrir - assez tôt dans l'année à Londres.
Je présume, que non seulement dans le banlieue où je vis.
J'ai découverte la première ouverte ou presque, il y a trois jours, mais c'est seulement hier, que sortie spécialement plus tôt pour chercher mes petits enfants à l'école, j'ai prise non seulement l'appareil photo, mais un quart d'heure en avance, pour "attraper" les tulipes.
Une rue qui parte de ma rue, bordé d'un côté par la plaine, magnifique odeur des herbes fraichement coupés quand je l'ai traversé lundi, l'autre côté des immeubles de trois étages. Presque sur la rue, quelques arbres, et au pied d'un petit arbre, quelqu'un a planté des fleurs.
Pas seulement des tulipes, mais des crocus et des autres fleurs de toutes les couleurs! Un tout petit coin - magnifique!
Le soir, en revenant, en passant par la exprès, j'ai prise encore une fois des photos des tulipes rouges avec flash. Et les autres aussi de plus loin. Un tout petit coin, que du plaisir!
Toutefois, les tulipes, fleurs des toutes les décorations hongroises aussi, restent mes préférés.
jour et nuit
En plus, pour ceux qui veulent "voir" avec moi, tout l'album où j'ai mise les images des fleurs de bord de rue de Londres, prises hier.
Le printemps n'est pas seulement dans le calendrier, il est vraiment, arrivé, au moins, par ici!
Je présume, que non seulement dans le banlieue où je vis.
J'ai découverte la première ouverte ou presque, il y a trois jours, mais c'est seulement hier, que sortie spécialement plus tôt pour chercher mes petits enfants à l'école, j'ai prise non seulement l'appareil photo, mais un quart d'heure en avance, pour "attraper" les tulipes.
Une rue qui parte de ma rue, bordé d'un côté par la plaine, magnifique odeur des herbes fraichement coupés quand je l'ai traversé lundi, l'autre côté des immeubles de trois étages. Presque sur la rue, quelques arbres, et au pied d'un petit arbre, quelqu'un a planté des fleurs.
Pas seulement des tulipes, mais des crocus et des autres fleurs de toutes les couleurs! Un tout petit coin - magnifique!
Le soir, en revenant, en passant par la exprès, j'ai prise encore une fois des photos des tulipes rouges avec flash. Et les autres aussi de plus loin. Un tout petit coin, que du plaisir!
Toutefois, les tulipes, fleurs des toutes les décorations hongroises aussi, restent mes préférés.
jour et nuit
En plus, pour ceux qui veulent "voir" avec moi, tout l'album où j'ai mise les images des fleurs de bord de rue de Londres, prises hier.
Le printemps n'est pas seulement dans le calendrier, il est vraiment, arrivé, au moins, par ici!
mercredi 24 mars 2010
Réponse pour Claude
Et pour tout les autres qui se demandent "comment on décide des photos les plus intéressantes" de quelqu'un sur flickr.
Claude: c'est une très bonne question.
Sur la site flickr, il y a des millions des photographes montrant leur photos, et des programmes flickr, tient compte de combien des gens vient voir chaque photo et nos photos par jour, combien ont commenté une certaine image, l'ont choisie entre leur images préférés. En plus, il y a un "truc" dit "Interstingness" qui est calculé par un programme en tenant compte de tout cela. Et, peut être quelques critères supplémentaires que je n'ai pas étudié.
Curieusement, moins vous le mettez dans des groupes divers pour la montrer, plus la photo a de chance de monter de ce point de vue.
En gros, bien sûr, c'est ce que les autres photographes aiment davantage et manifestent leur intérêts. Photographes du site Flickr, d'autour du monde.
Vos "contacts" mais aussi ceux d'un groupe donné, où vous l'avez mis et qui ont commenté, aimé ou non. Aussi, ce qui a attiré attention, discussion. Qu'on considère, pour une raison ou autre "intéressante". Ce que encore d'autres, tout à fait étrangers à vous, ni contacts ni dans vos groupes, ont retrouvé grace au titre, ou mot clé, ou...
Je n'ai jamais compris, non plus, pourquoi il y a des jours quand mes photos (pas du tout les dernières même) sont regardés par mille personnes, et le 21, soudain, cela est monté à cinq milles. Je n'avais rien publié ce jour. Le jour avant, c'était des fleurs de printemps.
Probablement, pas mal des gens, ayant encore hiver ou déjà automne chez eux, étaient intéressés, mais il peut y avoir d'autres raisons aussi. Ou alors, le compte flickr fait des erreurs? je ne peux pas savoir.
Je ne me préoccupe de tout cela, mais curieuse de nature, regarde - de temps en temps.
Éventuellement, la choix des images correspond plus ou moins avec le goût "publique" d'une façon ou l'autre. Mais dépend aussi d'autres facteurs assez compliqués et, il y a des photographes qui étudient exprès pour arriver que leur images soit aussi montré dans quelque chose appelé Explore, soit disant les meilleurs des centaines des millions photos ajoutés sur Flickr par jour.
Quelque 76 de mes 40000 photos y sont arrivés entre les 100 premiers à un moment donné et 34 ont resté (les autres remplacés par d'autre photos du jour), mais je ne m'en préoccupe de tout cela.
J'ai mes propres 'aime ou aime moins' toutefois, j'aime me demander des "pourquoi"...
En tout cas, plus de mes photos ont été appréciés quand, nous étions encore moins sur Flickr, comme j'y suis depuis qu'il était en beta test, moins des dernières temps et Londres. Paris attire plus d'intérêt que Londres. Roumanie et Transyvlanie, probablement représentent des lieux plus exotiques? Pour le moment, je reste au questionnement.
Ce qui est sûr, et que le livre photo que j'ai fait faire à partir des 100 plus "intéressantes" choisi entre les autres, reste un des plus réussis que j'ai fait. Je vais y réfléchir, et préparer deux livres ou trois, mettre à disposition, prête à être commandez au fur et à mesure par ce qui le veulent. L'un des 100, l'autre Paris et la troisième Londres.
Et, pourquoi pas une autre, mes voyages en Roumanie, Transylvanie? Tout qui est rouge? Pour le moment, je prépare mon prochaine récit, sur le roi Mathias et le juge abusive de Kolozsvàr. "Notre ville natale."
Demain, je promets la raconter ici, en français. C'était la première que j'ai jamais lu, j'avais pas encore tout à fait sept ans.
Claude: c'est une très bonne question.
Sur la site flickr, il y a des millions des photographes montrant leur photos, et des programmes flickr, tient compte de combien des gens vient voir chaque photo et nos photos par jour, combien ont commenté une certaine image, l'ont choisie entre leur images préférés. En plus, il y a un "truc" dit "Interstingness" qui est calculé par un programme en tenant compte de tout cela. Et, peut être quelques critères supplémentaires que je n'ai pas étudié.
Curieusement, moins vous le mettez dans des groupes divers pour la montrer, plus la photo a de chance de monter de ce point de vue.
En gros, bien sûr, c'est ce que les autres photographes aiment davantage et manifestent leur intérêts. Photographes du site Flickr, d'autour du monde.
Vos "contacts" mais aussi ceux d'un groupe donné, où vous l'avez mis et qui ont commenté, aimé ou non. Aussi, ce qui a attiré attention, discussion. Qu'on considère, pour une raison ou autre "intéressante". Ce que encore d'autres, tout à fait étrangers à vous, ni contacts ni dans vos groupes, ont retrouvé grace au titre, ou mot clé, ou...
Je n'ai jamais compris, non plus, pourquoi il y a des jours quand mes photos (pas du tout les dernières même) sont regardés par mille personnes, et le 21, soudain, cela est monté à cinq milles. Je n'avais rien publié ce jour. Le jour avant, c'était des fleurs de printemps.
Probablement, pas mal des gens, ayant encore hiver ou déjà automne chez eux, étaient intéressés, mais il peut y avoir d'autres raisons aussi. Ou alors, le compte flickr fait des erreurs? je ne peux pas savoir.
Je ne me préoccupe de tout cela, mais curieuse de nature, regarde - de temps en temps.
Éventuellement, la choix des images correspond plus ou moins avec le goût "publique" d'une façon ou l'autre. Mais dépend aussi d'autres facteurs assez compliqués et, il y a des photographes qui étudient exprès pour arriver que leur images soit aussi montré dans quelque chose appelé Explore, soit disant les meilleurs des centaines des millions photos ajoutés sur Flickr par jour.
Quelque 76 de mes 40000 photos y sont arrivés entre les 100 premiers à un moment donné et 34 ont resté (les autres remplacés par d'autre photos du jour), mais je ne m'en préoccupe de tout cela.
J'ai mes propres 'aime ou aime moins' toutefois, j'aime me demander des "pourquoi"...
En tout cas, plus de mes photos ont été appréciés quand, nous étions encore moins sur Flickr, comme j'y suis depuis qu'il était en beta test, moins des dernières temps et Londres. Paris attire plus d'intérêt que Londres. Roumanie et Transyvlanie, probablement représentent des lieux plus exotiques? Pour le moment, je reste au questionnement.
Ce qui est sûr, et que le livre photo que j'ai fait faire à partir des 100 plus "intéressantes" choisi entre les autres, reste un des plus réussis que j'ai fait. Je vais y réfléchir, et préparer deux livres ou trois, mettre à disposition, prête à être commandez au fur et à mesure par ce qui le veulent. L'un des 100, l'autre Paris et la troisième Londres.
Et, pourquoi pas une autre, mes voyages en Roumanie, Transylvanie? Tout qui est rouge? Pour le moment, je prépare mon prochaine récit, sur le roi Mathias et le juge abusive de Kolozsvàr. "Notre ville natale."
Demain, je promets la raconter ici, en français. C'était la première que j'ai jamais lu, j'avais pas encore tout à fait sept ans.
mardi 23 mars 2010
Pourquoi l'une et pas l'autre?
Ce matin, en regardant mes premiers 42 photographies (40 par moi) les plus "intéressantes" entre les quarante mille mise sur la site flickr par moi, j'essaye de comprendre.
Pourquoi, pas une seule des premiers 42 prise à Londres ces derniers mois? Pourquoi 12 entre elles étaient prises en Roumanie, la plupart, en Transylvanie? Je n'étais pas là que un temps court et leur qualité n'est pas non plus la meilleure!
Je comprends que pas mal entre elles sont des portraits, quelques paysages, mais pas mal des images que j'ai prise, je ne comprends pas vraiment leurs attraits.
Vous pouvez voir aussi, bien sûr, mes 100 "plus intéressantes photographies, une à une, si vous le désirez, mais je voudrais bien savoir, je dois vraiment réfléchir, pourquoi cela et pas d'autres!
100 plus intéressantes?
Pourquoi, pas une seule des premiers 42 prise à Londres ces derniers mois? Pourquoi 12 entre elles étaient prises en Roumanie, la plupart, en Transylvanie? Je n'étais pas là que un temps court et leur qualité n'est pas non plus la meilleure!
Je comprends que pas mal entre elles sont des portraits, quelques paysages, mais pas mal des images que j'ai prise, je ne comprends pas vraiment leurs attraits.
Vous pouvez voir aussi, bien sûr, mes 100 "plus intéressantes photographies, une à une, si vous le désirez, mais je voudrais bien savoir, je dois vraiment réfléchir, pourquoi cela et pas d'autres!
100 plus intéressantes?
lundi 22 mars 2010
Différents plaisirs
Nous avons été hier à la piscine d'un "ville" appartenant toujours à la Greenwich bourough of London, un quartier où je ne vais pas souvent.
"C'est facile d'entre a la piscine là", me dit ma petite fille.
Effectivement. La piscine pour enfants, commence à un centimètre, vers un mètre il y a une séparation pour signaler "pas plus loin si on ne nage pas!" et va jusque 2 mètres de profondeur.
En plus, ils nous ont offerte différentes amusements, de l'eau arrivant très forte du haut, dans un coin, pour certain temps et ensuite des vagues aussi.
La plus grande plaisir, pour moi, c'était voir combien ma petite fille nage bien, quelles progrès elle a fait. Nous nous sommes rappelés avec amusement les jours, peut être trois années avant, quand elle avait peur se détacher du bord! Elle riait encore davantage au souvenir que moi.
Au retour, descendu trop tôt, puisque je ne connais pas encore bien cette route, nous sommes passées sous l'autoroute. Qui aurait cru! C'était la partie de voyage que ma petite fille a préféré! Elle était ravie de passer dans le tunnel, sous le pont aussi. Le pont, qui aurait été l'alternative du tunnel. "Non, ici! C'est plus amusante!" ensuite: "S'il te plait, prends moi en photo, ici!"
Sous le tunnel, après le tunnel, encore et encore, nous étions ravies de ne pas faire la route en bus: "c'est tellement plus amusante ainsi!"
J'ai décidé sortir davantage avec seulement un (puis l'autre), je peux ainsi concentrer toute mon attention sur eux, a la place de me perdre dans la lutte, sans issue, de les arrêter à se chamailler.
Nous avons eu tellement des plaisirs différents, ensemble, pendant ces quelques heures!
"C'est facile d'entre a la piscine là", me dit ma petite fille.
Effectivement. La piscine pour enfants, commence à un centimètre, vers un mètre il y a une séparation pour signaler "pas plus loin si on ne nage pas!" et va jusque 2 mètres de profondeur.
En plus, ils nous ont offerte différentes amusements, de l'eau arrivant très forte du haut, dans un coin, pour certain temps et ensuite des vagues aussi.
La plus grande plaisir, pour moi, c'était voir combien ma petite fille nage bien, quelles progrès elle a fait. Nous nous sommes rappelés avec amusement les jours, peut être trois années avant, quand elle avait peur se détacher du bord! Elle riait encore davantage au souvenir que moi.
Au retour, descendu trop tôt, puisque je ne connais pas encore bien cette route, nous sommes passées sous l'autoroute. Qui aurait cru! C'était la partie de voyage que ma petite fille a préféré! Elle était ravie de passer dans le tunnel, sous le pont aussi. Le pont, qui aurait été l'alternative du tunnel. "Non, ici! C'est plus amusante!" ensuite: "S'il te plait, prends moi en photo, ici!"
Sous le tunnel, après le tunnel, encore et encore, nous étions ravies de ne pas faire la route en bus: "c'est tellement plus amusante ainsi!"
J'ai décidé sortir davantage avec seulement un (puis l'autre), je peux ainsi concentrer toute mon attention sur eux
Nous avons eu tellement des plaisirs différents, ensemble, pendant ces quelques heures!
dimanche 21 mars 2010
Voila le poème de Solange, dédié à Gelzy
À Gelzy
Je connais par Solange (avec sa permission)
Je connais la maison, les arbres, le jardin
Je connais la plaine, ses grands champs cultivés
Je connais le coteau, ses sentiers parmi les sapins
Mais je ne te connais pas, amie éloignée
Je connais le chemin qui mène à la mer
Je connais les coquillages, le bruit des vagues sur les rochers
Je connais le vent, le soleil se couchant dans la mer
Mais je ne te connais pas, amie éloignée
Je connais des chansons, leurs compositeurs
Je connais des écrivains, des artistes admirés
Je connais l’avion qui parfois me fait peur
Mais je ne te connais pas, amie éloignée
Je connais tout cela
Et bien d’autres choses encore
J’aime que tu sois là
Sur mon ordi, encore et encore
54 commentaires
J'aurais écrit, pour Gelzy, "Je connais tes chansons" et, moi, je n'ai pas l'impression que vous êtes là, sur mon ordi, mais vraiment là chez vous et, en même temps près de moi, en esprit et cœur. Je n'ai jamais eu 54 commentaires, a la fois, mais je sais pourtant que vous êtes là et je me sens beaucoup, beaucoup, moins seule!
Gelzy, qui a composé et chanté "Blog pour blog" que j'écoute encore et encore. Mais aussi pas mal d'autres, chacun peut choisir sa préféré.
Blog pour blog mais aussi celle-ci, enregistré et publié par Coraline sur Dailymoton
Gelzy :"Le saviez-vous madame"
Uploaded by coralline. - Explore more music videos.
Enregistré par Coraline "le saviez-vous, madame?"
Je connais par Solange (avec sa permission)
Je connais la maison, les arbres, le jardin
Je connais la plaine, ses grands champs cultivés
Je connais le coteau, ses sentiers parmi les sapins
Mais je ne te connais pas, amie éloignée
Je connais le chemin qui mène à la mer
Je connais les coquillages, le bruit des vagues sur les rochers
Je connais le vent, le soleil se couchant dans la mer
Mais je ne te connais pas, amie éloignée
Je connais des chansons, leurs compositeurs
Je connais des écrivains, des artistes admirés
Je connais l’avion qui parfois me fait peur
Mais je ne te connais pas, amie éloignée
Je connais tout cela
Et bien d’autres choses encore
J’aime que tu sois là
Sur mon ordi, encore et encore
54 commentaires
J'aurais écrit, pour Gelzy, "Je connais tes chansons" et, moi, je n'ai pas l'impression que vous êtes là, sur mon ordi, mais vraiment là chez vous et, en même temps près de moi, en esprit et cœur. Je n'ai jamais eu 54 commentaires, a la fois, mais je sais pourtant que vous êtes là et je me sens beaucoup, beaucoup, moins seule!
Gelzy, qui a composé et chanté "Blog pour blog" que j'écoute encore et encore. Mais aussi pas mal d'autres, chacun peut choisir sa préféré.
Blog pour blog
Gelzy :"Le saviez-vous madame"
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Enregistré par Coraline "le saviez-vous, madame?"
samedi 20 mars 2010
Merci, Solange
Solange a prise une photo de moi, merci, et travaillant beaucoup plus que juste le second de prise de vue par moi, elle a peint un acrylique.,
La voilà.
Et bien, j'ai pas résisté à la modifier un peu, la rendant plus claire.
Solange avait besoin de quelque chose de plus sombre, ou alors, l'image originale l'avait été aussi, à côté du texte qu'elle a mise sous l'image, mais moi, je suis une éternelle optimiste.
Surtout, que justement, hier matin, j'ai prise les fleurs, les mêmes, avec la vase, mise sur ma table et prise quelque photos nouvelles.
Une fois vidé tout à fait de l'eau, les fleurs secs ont résisté, peut être desèchées un peu plus, mais restées toujours belles.
Maintenant, elles décorent mon salon.
Je ne savais pas que c'est possible, que je peux la réussir, quoique ma belle fille la fait souvent, pour moi, je crois que c'est la première fois.
En fait, je n'ai pas rien fait. Les fleurs l'ont fait tout seule.
La note de Solange est un peu triste, mais il m'a fait réfléchir, lisez le poème que je ne vais pas recopier ici, sans son accord, la note juste au dessous, résonnant encore en moi. Que c'est fantastique d'avoir le "don" de poésie!
Voila, la photo de hier, prise des mêmes fleurs et même vase.
Ensuite, je suis sortie, avec la poubelle, et derrière la maison, en fait, pas maison mais immeuble pleine des appartements, j'ai trouvé au moins cinq ou six sortes des "vraies" fleurs de début de printemps.
Pas comme cela, que j'ai acheté juste avant que la première fleur de printemps a mis son nez dehors.
Je vais faire un petit album des fleurs de la cour derrière de l'imeuble, pour vous le montrer et pour me démontrer aussi que le printemps est effectivement arrivé, près de chez moi.
Voilà réalisé avec l'aide de Slide, pour ce samedi, pour le moment sans soleil, un peu d'amusement avec les images.
On peut aussi les voir en "plus sérieux" et grand format sur flickr
La voilà.
Et bien, j'ai pas résisté à la modifier un peu, la rendant plus claire.
Solange avait besoin de quelque chose de plus sombre, ou alors, l'image originale l'avait été aussi, à côté du texte qu'elle a mise sous l'image, mais moi, je suis une éternelle optimiste.
Surtout, que justement, hier matin, j'ai prise les fleurs, les mêmes, avec la vase, mise sur ma table et prise quelque photos nouvelles.
Une fois vidé tout à fait de l'eau, les fleurs secs ont résisté, peut être desèchées un peu plus, mais restées toujours belles.
Maintenant, elles décorent mon salon.
Je ne savais pas que c'est possible, que je peux la réussir, quoique ma belle fille la fait souvent, pour moi, je crois que c'est la première fois.
En fait, je n'ai pas rien fait. Les fleurs l'ont fait tout seule.
La note de Solange est un peu triste, mais il m'a fait réfléchir, lisez le poème que je ne vais pas recopier ici, sans son accord, la note juste au dessous, résonnant encore en moi. Que c'est fantastique d'avoir le "don" de poésie!
Voila, la photo de hier, prise des mêmes fleurs et même vase.
Ensuite, je suis sortie, avec la poubelle, et derrière la maison, en fait, pas maison mais immeuble pleine des appartements, j'ai trouvé au moins cinq ou six sortes des "vraies" fleurs de début de printemps.
Pas comme cela, que j'ai acheté juste avant que la première fleur de printemps a mis son nez dehors.
Je vais faire un petit album des fleurs de la cour derrière de l'imeuble, pour vous le montrer et pour me démontrer aussi que le printemps est effectivement arrivé, près de chez moi.
Voilà réalisé avec l'aide de Slide, pour ce samedi, pour le moment sans soleil, un peu d'amusement avec les images.
On peut aussi les voir en "plus sérieux" et grand format sur flickr
vendredi 19 mars 2010
Whitney, seule
Il y a deux semaines, j'ai rencontré Whitney centre Londres.
Elle était venu d'Amérique, vit près de New York, mais dans une village à une heure de distance, et travaille de la maison. En plus, organise des réunions et tests utilisateurs et conférences, à Washington et ailleurs, partout dans le monde.
Whitney était curieuse "comment je prends des images des étrangers" et que fais-je pour qu'ils regardent "ainsi".
Après des démonstrations dans deux cafés et le marché près de pont et station de train de Londres, nous avons chacun suivie nos propres voies.
Le soir, elle avait des billets au Théâtre, et elle a commencé à discuter avec cette femme, au guichet, admirant son chapeau et habits. A la fin, elle a obtenu cette merveilleuse sourire, ce portrait qui dit, que nous n'avons pas passé le temps à rien.
Je suis sûre, que dorénavant, elle prendra d'autres, finalement ayant compris, que prendre un portrait et "comme un interview" dépend du contact humaine.
Elle était venu d'Amérique, vit près de New York, mais dans une village à une heure de distance, et travaille de la maison. En plus, organise des réunions et tests utilisateurs et conférences, à Washington et ailleurs, partout dans le monde.
Whitney était curieuse "comment je prends des images des étrangers" et que fais-je pour qu'ils regardent "ainsi".
Après des démonstrations dans deux cafés et le marché près de pont et station de train de Londres, nous avons chacun suivie nos propres voies.
Le soir, elle avait des billets au Théâtre, et elle a commencé à discuter avec cette femme, au guichet, admirant son chapeau et habits. A la fin, elle a obtenu cette merveilleuse sourire, ce portrait qui dit, que nous n'avons pas passé le temps à rien.
Je suis sûre, que dorénavant, elle prendra d'autres, finalement ayant compris, que prendre un portrait et "comme un interview" dépend du contact humaine.
jeudi 18 mars 2010
Mark & Simon, Toastmasters
Le soir de concours de discours à Lewisham est arrivé et passé.
J'ai parlé, moi aussi et deux autres, mieux que moi, mais ce n'est pas celui que j'aurais cru et voté qui est gagné, bien sûr, pas moi non plus.
Au moins, j'ai essayé.
Cette fois, j'ai fait attention au mouvements et à la variété de voix mais j'avais trop changé mon discours, il n'a pas ému, atteint les gens, comme avant, deux fois. Encore, une leçon à ne pas changer trop au dernière instant, surtout quand quelque chose a marché pas mal.
Au lieu du chaud accueil, du jeudi, l'accueil était plutôt froid, même si j'étais "entre copains", presque les même mots, mais des petits maladresses on atténué les effets.
Mark, que vous voyez ici, est revenu, après que je l'avais appelé au téléphone. Près de lui, dernier, et Simon qui a gagné le 1e prix et va nous représenter dans le prochaine niveau.
J'ai aussi testé le four avec un poulet. D'abord, ce n'était pas assez cuit, restant un peu saignant à l'intérieur, ensuite, il était brulé et sec. C'est quelque chose similaire a dû arriver à mon récit aussi, devenant discours au lieu de récit chaleureux et authentique.
Je vais continuer à tester, je ne suis pas sûre, pour le poulet, mais pour les récits oui.
Ma copine, nouvelle, Handrea, m'a encouragé tout au long. Elle sera une excellent Toastmaster et raconteur, j'en suis sûre. Lundi, dans un pub, nous avons bavardé ensemble deux heures.
J'ai parlé, moi aussi et deux autres, mieux que moi, mais ce n'est pas celui que j'aurais cru et voté qui est gagné, bien sûr, pas moi non plus.
Au moins, j'ai essayé.
Cette fois, j'ai fait attention au mouvements et à la variété de voix mais j'avais trop changé mon discours, il n'a pas ému, atteint les gens, comme avant, deux fois. Encore, une leçon à ne pas changer trop au dernière instant, surtout quand quelque chose a marché pas mal.
Au lieu du chaud accueil, du jeudi, l'accueil était plutôt froid, même si j'étais "entre copains", presque les même mots, mais des petits maladresses on atténué les effets.
Mark, que vous voyez ici, est revenu, après que je l'avais appelé au téléphone. Près de lui, dernier, et Simon qui a gagné le 1e prix et va nous représenter dans le prochaine niveau.
J'ai aussi testé le four avec un poulet. D'abord, ce n'était pas assez cuit, restant un peu saignant à l'intérieur, ensuite, il était brulé et sec. C'est quelque chose similaire a dû arriver à mon récit aussi, devenant discours au lieu de récit chaleureux et authentique.
Je vais continuer à tester, je ne suis pas sûre, pour le poulet, mais pour les récits oui.
Ma copine, nouvelle, Handrea, m'a encouragé tout au long. Elle sera une excellent Toastmaster et raconteur, j'en suis sûre. Lundi, dans un pub, nous avons bavardé ensemble deux heures.
mercredi 17 mars 2010
Trois mois en images
A partir de 15 décembre à 15 mars, une condensée de ma vie en images, pour me rappeler, à la fin de l'année que ce n'était pas passé à rien faire.
mardi 16 mars 2010
Le poissonier fier, le poisson moins heureux
Je ne pleure pas pour les poissons qui sont sur le marché, mais dans cette image, on voit que certains entre eux, n'étaient pas du tout heureux d'avoir été attrapés.
En mettant à gris le reste, qui était aussi rouge, ces deux ont ressorti davantage.
Que faire maintenant? il parait presque dire!
Ce soir, je parlerai de "Projet photographie des travailleurs à Londres", demain, de "Penser hors de la boite". Hors des barrières et murs que l'habitude forme en nous, pour découvrir tout ce que nous pouvons faire et tout ce que nous aimons, tout à quoi nous sommes capables.
Nettement plus, qu'en pensant de notre position actuel seulement.
Dans mon cas, il y a trente ans, j'ai trouvé un mur devant moi, je n'ai pas pu continuer la chimie - ou au moins on a réussi à m'en convaincre à ne plus même l'essayer.
Et maintenant?
Avec l'aide de livre de Tom Jackson (il a écrit un autre encore mieux mais contenant tout de l'ancien aussi dedans, 15 ans plus tard) j'avais découverte des plaisirs, compétences et aptitudes, loin de ce que je faisais avant - au moins, en apparence.
Je me suis mise à enseigner la programmation en Basic, puis faire un programme pour un Apple II et de là, sans presque me rendre compte, à vouloir importer en France quelque chose qui n'y existait encore pas. Pas possible de vendre à Fnac sans créer une entreprise. C'est ainsi que j'ai mis mon diplôme de Chimiste dans le tiroir, et suis devenue entrepreneur, acheteur, vendeur.
Lentement, glissant de nouveau vers enseignement, aussi et à l'écriture des livres, mes rêves de jeunesse.
J'ai aimé la chimie, j'ai adoré tout autour de informatique personnelle.
Le mur de chimie délaissé, j'ai trouver une fenêtre ouverte me donnant des joies inattendues.
C'est ce que je vais raconter, demain, de nouveau. Et si c'est possible encore et encore, en donnant courage aux autres et en montrant, comment à partir de auto analyse: "Les quatre choses dont j'étais plus fière ces dernières 5 années d'avoir accomplis" et ensuite, que fallait-il pour que je les réussis, je me suis découverte des nouvelles horizons, il y a 30 ans, et aujourd'hui, encore d'autres peuvent faire autant.
Aujourd'hui, et après-demain encore, je suis convaincue.
En mettant à gris le reste, qui était aussi rouge, ces deux ont ressorti davantage.
Que faire maintenant? il parait presque dire!
Ce soir, je parlerai de "Projet photographie des travailleurs à Londres", demain, de "Penser hors de la boite". Hors des barrières et murs que l'habitude forme en nous, pour découvrir tout ce que nous pouvons faire et tout ce que nous aimons, tout à quoi nous sommes capables.
Nettement plus, qu'en pensant de notre position actuel seulement.
Dans mon cas, il y a trente ans, j'ai trouvé un mur devant moi, je n'ai pas pu continuer la chimie - ou au moins on a réussi à m'en convaincre à ne plus même l'essayer.
Et maintenant?
Avec l'aide de livre de Tom Jackson (il a écrit un autre encore mieux mais contenant tout de l'ancien aussi dedans, 15 ans plus tard) j'avais découverte des plaisirs, compétences et aptitudes, loin de ce que je faisais avant - au moins, en apparence.
Je me suis mise à enseigner la programmation en Basic, puis faire un programme pour un Apple II et de là, sans presque me rendre compte, à vouloir importer en France quelque chose qui n'y existait encore pas. Pas possible de vendre à Fnac sans créer une entreprise. C'est ainsi que j'ai mis mon diplôme de Chimiste dans le tiroir, et suis devenue entrepreneur, acheteur, vendeur.
Lentement, glissant de nouveau vers enseignement, aussi et à l'écriture des livres, mes rêves de jeunesse.
J'ai aimé la chimie, j'ai adoré tout autour de informatique personnelle.
Le mur de chimie délaissé, j'ai trouver une fenêtre ouverte me donnant des joies inattendues.
C'est ce que je vais raconter, demain, de nouveau. Et si c'est possible encore et encore, en donnant courage aux autres et en montrant, comment à partir de auto analyse: "Les quatre choses dont j'étais plus fière ces dernières 5 années d'avoir accomplis" et ensuite, que fallait-il pour que je les réussis, je me suis découverte des nouvelles horizons, il y a 30 ans, et aujourd'hui, encore d'autres peuvent faire autant.
Aujourd'hui, et après-demain encore, je suis convaincue.
lundi 15 mars 2010
Windows live?
Qui utilise "Windows live"?
A quoi c'est bon?
Je viens la mettre, pour la tester, et, pendant qu'il a pris ma voix et mes petites vidéos, comme les images et des textes, quand j'ai voulu voir, à partir de web, ce n'était pas possible.
Il ne réussissait pas l'ouvrir.
"Download first" - mettez la d'abord sur votre bureau.
A quoi bon de le mettre sur le web, à partir de ordinateur, si pour l'utiliser la voir il faut la remettre dans l'ordinateur? Bon, d'accord, on peut l'échanger avec quelqu'un. Mais cela on peut déjà dans un e-mail. D'accord, même avec un groupe. Mais si ils ne peuvent la "voir" vraiment, avant la mettre dans leur ordinateur, ce n'est pas "ça" du tout!
Un jour, Apple, Google, Yahoo, ou même Microsoft fera mieux. Alors, j'y reviendrai.
C'est un peu triste, quand un "cadeau" ne s'avère pas ce qu'on espérait. Mais je suis sûre, qu'avec le concours entre eux, cela arrivera. Vive la démocratie et le libre entreprise!
A quoi c'est bon?
Je viens la mettre, pour la tester, et, pendant qu'il a pris ma voix et mes petites vidéos, comme les images et des textes, quand j'ai voulu voir, à partir de web, ce n'était pas possible.
Il ne réussissait pas l'ouvrir.
"Download first" - mettez la d'abord sur votre bureau.
A quoi bon de le mettre sur le web, à partir de ordinateur, si pour l'utiliser la voir il faut la remettre dans l'ordinateur? Bon, d'accord, on peut l'échanger avec quelqu'un. Mais cela on peut déjà dans un e-mail. D'accord, même avec un groupe. Mais si ils ne peuvent la "voir" vraiment, avant la mettre dans leur ordinateur, ce n'est pas "ça" du tout!
Un jour, Apple, Google, Yahoo, ou même Microsoft fera mieux. Alors, j'y reviendrai.
C'est un peu triste, quand un "cadeau" ne s'avère pas ce qu'on espérait. Mais je suis sûre, qu'avec le concours entre eux, cela arrivera. Vive la démocratie et le libre entreprise!
dimanche 14 mars 2010
Réalité
Cette image est moins spectaculaire que le vendeur avec son énorme poisson dans ses bras, mais c'est un moment de vie véridique.
Je sens, qu'à la longue, en fait, j'aime mieux les images candides prises rapidement sur le moment, des instances de vie, que les poses prises par les uns et les autres, même si la pose dit aussi quelque chose sur eux.
Je suis en train de préparer ma présentation pour mardi, devant les photographes et chercheurs, à l'Université Goldsmith. Le projet "travailleurs de Londres" ou à Londres. En fait, je ne fais pas trop grande différence, entre travailleurs et pas travailleurs.
Un enfant, préparant ces leçons, ou se reposant avant ou après l'école, une mère qui a tant à faire à la maison de matin à soir, une vieille grand mère qui garde ses petits enfants, ne sont pas aussi travailleurs? Travaillant dur, faisant, en générale le mieux qu'ils ou elles peuvent.
Oui, bien sûr, l'homme qui est en train de construire un mur, le marchand de poisson ou des fromages, la serveuse du restaurant, sont des travailleurs, mais aussi l'homme allant a la banque, pleine des gens travaillent à la banque à Londres, et l'homme jouant de trombone dans le métro ou le docteur dans son cabinet de consultation.
L'idée de notre groupe était de partir avec "Londres, une ensemble des villages" - dans une village, tout les gens se connaissent. Approcher et mieux connaitre des gens, travailleurs (ou non) en fait partie. C'est ce que je veux essayer d'expliquer, mardi.
Aussi, raconter (et démontrer par quelques images) comment les gens de plus en plus se sentent devenir "célébrité" d'instant, quand on les demande à accepter à être photographier. On ne "vole" pas leur image, on leur offre de l'appréciation.
Tout cela avec quelques exemples, des images que j'ai déjà prises, en espérant trouver d'autre qui me joindront dans le projet.
Je sens, qu'à la longue, en fait, j'aime mieux les images candides prises rapidement sur le moment, des instances de vie, que les poses prises par les uns et les autres, même si la pose dit aussi quelque chose sur eux.
Je suis en train de préparer ma présentation pour mardi, devant les photographes et chercheurs, à l'Université Goldsmith. Le projet "travailleurs de Londres" ou à Londres. En fait, je ne fais pas trop grande différence, entre travailleurs et pas travailleurs.
Un enfant, préparant ces leçons, ou se reposant avant ou après l'école, une mère qui a tant à faire à la maison de matin à soir, une vieille grand mère qui garde ses petits enfants, ne sont pas aussi travailleurs? Travaillant dur, faisant, en générale le mieux qu'ils ou elles peuvent.
Oui, bien sûr, l'homme qui est en train de construire un mur, le marchand de poisson ou des fromages, la serveuse du restaurant, sont des travailleurs, mais aussi l'homme allant a la banque, pleine des gens travaillent à la banque à Londres, et l'homme jouant de trombone dans le métro ou le docteur dans son cabinet de consultation.
L'idée de notre groupe était de partir avec "Londres, une ensemble des villages" - dans une village, tout les gens se connaissent. Approcher et mieux connaitre des gens, travailleurs (ou non) en fait partie. C'est ce que je veux essayer d'expliquer, mardi.
Aussi, raconter (et démontrer par quelques images) comment les gens de plus en plus se sentent devenir "célébrité" d'instant, quand on les demande à accepter à être photographier. On ne "vole" pas leur image, on leur offre de l'appréciation.
Tout cela avec quelques exemples, des images que j'ai déjà prises, en espérant trouver d'autre qui me joindront dans le projet.
samedi 13 mars 2010
Billingsgate Marché des poissons
Ce matin, je suis sortie avant sept, assez tard, d'ailleurs, puisque le marché en gros de poisson, appelé Billingsgate, s'ouvre à cinq heures, comme Roissy à Paris ou, avant les Halles.
Bien sûr, c'est pas loin de la rivière, quoique je crois qu'il y a surtout des marchands et pas des pêcheurs qui vendent là. Une énorme halle.
Hélas, avant d'arriver, j'ai du d'abord prendre un bus, jusque métro. Le métro, comme souvent le weekend, était en réparation, mais offrait un bus de remplacement, toutefois, cela ne m'a pas déposé où je le voulais, et j'ai dû prendre deux trains pour une courte trajet encore, puis marcher pour arriver enfin au marché.
Ce n'était pas encore fermée, mais pas mal se préparaient déjà au départ, nettoyant. Toutefois, tous les vendeurs, nettoyeurs, transporteurs, la plupart en tout cas, on bien voulu que je prends une photographie d'eux.
Hélas, encore, j'ai pris mon appareil nouvelle qui n'a pas fonctionné telle que j'aurais voulu dans ce lumière très mélangé de énorme halle, et peu des portrait on réussi entre toutes que j'ai pris.
Qu'importe!
Non seulement, j'ai découverte un lieu passionnant, intéressant à y retourner (en semaine! et plus tôt!) mais j'ai prise cette image que voilà. Il a pris un des poissons géants qu'il vendait dans le bras, aussitôt que j'ai demandé: "puis-je" et a posé tout fier.
J'ai aussi prise des images sur la route aller et retour et des poissons. Donc je ne suis pas revenue poche "vide".
Seulement un peu épuisée.
En regardant cette image, je me dis: cela valait la peine!
Et voilà toute mon voyage pour ceux qui ont le temps a la parcourir avec moi.
Bien sûr, c'est pas loin de la rivière, quoique je crois qu'il y a surtout des marchands et pas des pêcheurs qui vendent là. Une énorme halle.
Hélas, avant d'arriver, j'ai du d'abord prendre un bus, jusque métro. Le métro, comme souvent le weekend, était en réparation, mais offrait un bus de remplacement, toutefois, cela ne m'a pas déposé où je le voulais, et j'ai dû prendre deux trains pour une courte trajet encore, puis marcher pour arriver enfin au marché.
Ce n'était pas encore fermée, mais pas mal se préparaient déjà au départ, nettoyant. Toutefois, tous les vendeurs, nettoyeurs, transporteurs, la plupart en tout cas, on bien voulu que je prends une photographie d'eux.
Hélas, encore, j'ai pris mon appareil nouvelle qui n'a pas fonctionné telle que j'aurais voulu dans ce lumière très mélangé de énorme halle, et peu des portrait on réussi entre toutes que j'ai pris.
Qu'importe!
Non seulement, j'ai découverte un lieu passionnant, intéressant à y retourner (en semaine! et plus tôt!) mais j'ai prise cette image que voilà. Il a pris un des poissons géants qu'il vendait dans le bras, aussitôt que j'ai demandé: "puis-je" et a posé tout fier.
J'ai aussi prise des images sur la route aller et retour et des poissons. Donc je ne suis pas revenue poche "vide".
Seulement un peu épuisée.
En regardant cette image, je me dis: cela valait la peine!
Et voilà toute mon voyage pour ceux qui ont le temps a la parcourir avec moi.
vendredi 12 mars 2010
Mystery Speaker
Hier soir, j'étais l'orateur mystérieuse, dans un club "London Corinthians Toastmasters", se réunissant dans un hôtel chic, tout près du Palais Royal, sur le Buckingham Palace Road.
D'abord, au première moitié de soirée de Concours, six orateurs ont parlé, une après l'autre. "Speaker" est plus terre à terre que "orateur" en anglais, mais ce n'étaient pas non plus "intervenants" comme je trouve dans une autre traduction.
Mike, que voilà, a gagné avec un discours sur "ayez courage a vivre, sinon, a la fin de votre vie vous allez regrettez tout ce que vous n'avez pas fait". Il nous a pris dans une maison des vieux et raconté ce qu'une femme, mourante, de 85 ans a dit de regrettez maintenant, tout les trop précautions qu'elle prise dans sa vie.
Le discours et le récit de Mike aurait été parfait, mais mourir à 85 ans? Non merci! Je ne veux pas penser de n'avoir que dix ans de plus à vivre.
Mais il avait raison: agissons, vivons, tant qu'on peut.
Après la pause, j'étais celui donnant un discours, un récit d'une partie de ma vie, mais ce n'est pas moi qui étais jugé, mais six "evaluators" qui ont commenté mon discours, l'un après l'autre, disant ce qui leur a plu et ce que j'aurais pu faire autrement.
Evans, que voilà, avec moi, a gagné ce concours. En gros, ils ont dit tellement de bien de comment j'ai construit mon récit, comment je me suis connecté avec l'audience, et comment le message "pensez hors de la boite" est bien passé, que cela m'a monté dans la tête.
Sur le moment.
Ensuite, vers minuit, en l'écoutant (je l'ai enregistré sur dictaphone) je me suis, heureusement, dégonflée. Bien, ce n'était pas trop mal, j'ai corrigé depuis mardi en mettant un autre début, par exemple, et j'ai eu effectivement une merveilleuse contact avec le public, environ 45, mais ils ont bien exagérés dans leur appréciation.
D'autre côté, oui, ils ont bien remarqué, que j'aurais pu davantage varier ma voix, non seulement vers haut et bas, mais aussi plus rapide et plus lente. Sauf, que si je parle vite, avec mon accent, je suis encore plus dure à comprendre. Le pire, était qu'en voyant le voyante rouge s'allumer pour signaler la fin, j'ai coupé courte, et, de nouveau, j'ai bâclé la fin.
Les fins, ne sont encore mes forts en aucun cas. Ce qui est ma forte, par contre, mon authenticité et bonne humour et contact avec audience est bien ressortie.
Ce qui était la plus important, a la fin, d nouveau, non seulement on m'a félicité, ce n'est rien que bonnes manières - mais deux jeunes noirs (probablement ils avaient plus besoin d'entendre mes conseils de comment trouver ce en quoi nous sommes fortes) et m'ont dit "je suis heureux que je suis venu et je me souviendrai de votre message, je voudrais recopier aussi le titre du livre dont vous avez parlé!"
Mon message a donc vraiment porté.
Non seulement le "pensez hors de la boite", mais aussi "écoutez! c'est très important" et aussi, ce qui était la plus importante pour moi au début: nous devons probablement avoir plus d'une carrière, examinons ce que nous aimons faire, (hors de la boite aussi) et de ce que nous avons été fier d'avoir accomplis. Ensuite, réfléchissons, quelles compétences vous fallait pour les accomplir?
Pour démontrer comment "penser dehors les cadres" mais aussi faire rire, au milieu de ce récit sérieux des événements quand je ne trouvais pas du travail (il y a trente ans) et qu'on me disait: trop vieille, femme, et pas née ici! j'ai donné une exemple.
J'étais très fière, à l'époque, d'être une bonne amante. Que des rires! Ensuite, je continue "quels dextérités il me fallait?" et, après une pause, je dis: Savoir écouter, était la plus importante. Savoir écouter, les uns et les autres, que j'ai pu tellement utiliser dans mon nouveau métier.
C'est tellement fantastique quand une salle entière éclate en rire, encore et encore! Oui, j'ai eu une magnifique soirée, hier.
Et maintenant, dans mon blog anglais, j'ai mise tel que enregistré avec l'audience, en anglais.
D'abord, au première moitié de soirée de Concours, six orateurs ont parlé, une après l'autre. "Speaker" est plus terre à terre que "orateur" en anglais, mais ce n'étaient pas non plus "intervenants" comme je trouve dans une autre traduction.
Mike, que voilà, a gagné avec un discours sur "ayez courage a vivre, sinon, a la fin de votre vie vous allez regrettez tout ce que vous n'avez pas fait". Il nous a pris dans une maison des vieux et raconté ce qu'une femme, mourante, de 85 ans a dit de regrettez maintenant, tout les trop précautions qu'elle prise dans sa vie.
Le discours et le récit de Mike aurait été parfait, mais mourir à 85 ans? Non merci! Je ne veux pas penser de n'avoir que dix ans de plus à vivre.
Mais il avait raison: agissons, vivons, tant qu'on peut.
Après la pause, j'étais celui donnant un discours, un récit d'une partie de ma vie, mais ce n'est pas moi qui étais jugé, mais six "evaluators" qui ont commenté mon discours, l'un après l'autre, disant ce qui leur a plu et ce que j'aurais pu faire autrement.
Evans, que voilà, avec moi, a gagné ce concours. En gros, ils ont dit tellement de bien de comment j'ai construit mon récit, comment je me suis connecté avec l'audience, et comment le message "pensez hors de la boite" est bien passé, que cela m'a monté dans la tête.
Sur le moment.
Ensuite, vers minuit, en l'écoutant (je l'ai enregistré sur dictaphone) je me suis, heureusement, dégonflée. Bien, ce n'était pas trop mal, j'ai corrigé depuis mardi en mettant un autre début, par exemple, et j'ai eu effectivement une merveilleuse contact avec le public, environ 45, mais ils ont bien exagérés dans leur appréciation.
D'autre côté, oui, ils ont bien remarqué, que j'aurais pu davantage varier ma voix, non seulement vers haut et bas, mais aussi plus rapide et plus lente. Sauf, que si je parle vite, avec mon accent, je suis encore plus dure à comprendre. Le pire, était qu'en voyant le voyante rouge s'allumer pour signaler la fin, j'ai coupé courte, et, de nouveau, j'ai bâclé la fin.
Les fins, ne sont encore mes forts en aucun cas. Ce qui est ma forte, par contre, mon authenticité et bonne humour et contact avec audience est bien ressortie.
Ce qui était la plus important, a la fin, d nouveau, non seulement on m'a félicité, ce n'est rien que bonnes manières - mais deux jeunes noirs (probablement ils avaient plus besoin d'entendre mes conseils de comment trouver ce en quoi nous sommes fortes) et m'ont dit "je suis heureux que je suis venu et je me souviendrai de votre message, je voudrais recopier aussi le titre du livre dont vous avez parlé!"
Mon message a donc vraiment porté.
Non seulement le "pensez hors de la boite", mais aussi "écoutez! c'est très important" et aussi, ce qui était la plus importante pour moi au début: nous devons probablement avoir plus d'une carrière, examinons ce que nous aimons faire, (hors de la boite aussi) et de ce que nous avons été fier d'avoir accomplis. Ensuite, réfléchissons, quelles compétences vous fallait pour les accomplir?
Pour démontrer comment "penser dehors les cadres" mais aussi faire rire, au milieu de ce récit sérieux des événements quand je ne trouvais pas du travail (il y a trente ans) et qu'on me disait: trop vieille, femme, et pas née ici! j'ai donné une exemple.
J'étais très fière, à l'époque, d'être une bonne amante. Que des rires! Ensuite, je continue "quels dextérités il me fallait?" et, après une pause, je dis: Savoir écouter, était la plus importante. Savoir écouter, les uns et les autres, que j'ai pu tellement utiliser dans mon nouveau métier.
C'est tellement fantastique quand une salle entière éclate en rire, encore et encore! Oui, j'ai eu une magnifique soirée, hier.
Et maintenant, dans mon blog anglais, j'ai mise tel que enregistré avec l'audience, en anglais.
jeudi 11 mars 2010
Photo by Whitney
Vendredi dernière, une promenade près de marché Borough, se trouvant tout près de la station de train London Bridge.
Avec Whitney, habitant dans une village, à une heure de New York.
Au début, elle hésitait à prendre image des gens, ou en prenait seulement, après que je les approchais, leur parlais. Avec le temps, elle était de plus en plus enthousiaste et la voilà qu'elle approche elle même cette marchande des poisons fumés.
Le résultat parle d'elle même.
Ce qu'on ne voit pas sur cette image, il faudra l'imaginer, est le visage de Whitney, de plus en plus pleine d'une joie d'une nouvelle découverte.
Ce matin, elle a écrit sur notre rencontre dans son blog, disant que prendre un portrait ressemble à un interview (son métier). Elle décrit comment elle m'a vu approcher et apprivoiser la servante du café, au début de notre rencontre et montre dans son album flickr une image où je parle (avec mes mains aussi) avec deux jeunes filles assises près de nous, dans un deuxième café.
Entre les deux, nous nous sommes promenés dans le marché et eu une "belle récolte" des rencontres et images.
Avec Whitney, habitant dans une village, à une heure de New York.
Au début, elle hésitait à prendre image des gens, ou en prenait seulement, après que je les approchais, leur parlais. Avec le temps, elle était de plus en plus enthousiaste et la voilà qu'elle approche elle même cette marchande des poisons fumés.
Le résultat parle d'elle même.
Ce qu'on ne voit pas sur cette image, il faudra l'imaginer, est le visage de Whitney, de plus en plus pleine d'une joie d'une nouvelle découverte.
Ce matin, elle a écrit sur notre rencontre dans son blog, disant que prendre un portrait ressemble à un interview (son métier). Elle décrit comment elle m'a vu approcher et apprivoiser la servante du café, au début de notre rencontre et montre dans son album flickr une image où je parle (avec mes mains aussi) avec deux jeunes filles assises près de nous, dans un deuxième café.
Entre les deux, nous nous sommes promenés dans le marché et eu une "belle récolte" des rencontres et images.
mercredi 10 mars 2010
Contente de moi même
Contente de moi-même, ce qui est la plus importante.
Je n'ai gagné que la deuxième prix entre trois, "c'était tout près" m'ont dit certains juges qui n'auraient pas eu le droit. Ce n'est pas important. J'ai bien parlé, bien dit ce que je voulais dire.
J'ai réussi à faire réagir, rire, retenir leur souffle, j'ai eu une fantastique lien avec mon audience.
Surtout, deux jeunes hommes du public sont venus chez moi, plus tard, me demander le titre de livre. Ce que j'ai dit était devenu important pour eux et ils ont senti qu'ils ont besoin, eux aussi, de s'auto-analyser et apprendre leurs propres forces.
J'ai jouée depuis le début, et les effets préparés ont "donné" encore mieux que je l'espérais. Je n'ai pas terminé assez forte, puisque j'ai prolongé trop le début et je n'avais pas le temps, mais aussi, parce que je n'étais pas sûre, et ceci est dommage, de la dernière phrase.
Apprenez par coeur le début et la fin, ceci est pourtant une règle. Le reste, on peut "jouer à l'oreille" mais jamais le début et la fin! Le début, je l'ai répété maintes fois avant d'y aller et commencer, et comme je l'ai déjà dit, le milieu, j'en suis contente d'avoir réussi à faire réagir l'audience, encore plus que je l'espérais, mais la fin, c'était bouclée.
En plus, avec toutes les bonnes suggestions, venant des copains qui ont aimé, la semaine prochaine, il sera mieux. En plus, déjà un autre m'a demandé à la raconter dans son club, une autre fois, "c'est important, ton message!"
Demain, je vais essayer à la raconter ici, en français. Au moins, la résumer. Mais que c'est fantastique de se sentir bien dans sa peau et contente de soi!
ps Et merci François, tu es un vrai ami! J'ai besoin qu'on me rappelle de ne pas négliger mon français, non plus!
Je n'ai gagné que la deuxième prix entre trois, "c'était tout près" m'ont dit certains juges qui n'auraient pas eu le droit. Ce n'est pas important. J'ai bien parlé, bien dit ce que je voulais dire.
J'ai réussi à faire réagir, rire, retenir leur souffle, j'ai eu une fantastique lien avec mon audience.
Surtout, deux jeunes hommes du public sont venus chez moi, plus tard, me demander le titre de livre. Ce que j'ai dit était devenu important pour eux et ils ont senti qu'ils ont besoin, eux aussi, de s'auto-analyser et apprendre leurs propres forces.
J'ai jouée depuis le début, et les effets préparés ont "donné" encore mieux que je l'espérais. Je n'ai pas terminé assez forte, puisque j'ai prolongé trop le début et je n'avais pas le temps, mais aussi, parce que je n'étais pas sûre, et ceci est dommage, de la dernière phrase.
Apprenez par coeur le début et la fin, ceci est pourtant une règle. Le reste, on peut "jouer à l'oreille" mais jamais le début et la fin! Le début, je l'ai répété maintes fois avant d'y aller et commencer, et comme je l'ai déjà dit, le milieu, j'en suis contente d'avoir réussi à faire réagir l'audience, encore plus que je l'espérais, mais la fin, c'était bouclée.
En plus, avec toutes les bonnes suggestions, venant des copains qui ont aimé, la semaine prochaine, il sera mieux. En plus, déjà un autre m'a demandé à la raconter dans son club, une autre fois, "c'est important, ton message!"
Demain, je vais essayer à la raconter ici, en français. Au moins, la résumer. Mais que c'est fantastique de se sentir bien dans sa peau et contente de soi!
ps Et merci François, tu es un vrai ami! J'ai besoin qu'on me rappelle de ne pas négliger mon français, non plus!
mardi 9 mars 2010
"Demain je serais marié"
La dernière journée de s'amuser avec les copains qui l'ont habillé ainsi.
Que des gens divers rencontrés samedi lors notre promenade! La plupart, au marché (j'ai compté 44 image des gens prises déjà) mais aussi, d'autres, comme celui-ci, a la station de métro, un roumain jouant du cymbalum sur le pont, et d'autres dans le café où nous nous sommes reposées un peu en buvant, du thé ou du café.
J'essaie à ne pas penser à ce soir, puisque je commence à trembler aussitôt. Même si je me dis, 'qu'importe' ce n'est pas si facile à m'écouter.
Au moins, je viens laver toute la vaisselle accumulée depuis Samedi, et j'ai écouté un livre - pas très bon - sur CD.
Pas toutes les livres se prêtent bien être lus, mais surtout, il faut qu'ils soient vraiment à mon goût pour que j'ai la patience de les écouter sur disque - on ne peut pas sauter des paragraphes ou pages quand une partie ne me plait pas.
Ce dernier livre avait trop de la magie et horreur, a mon avis gratuit, et pas assez de romantisme ou sentiments véridiques. Le héros blessé 'avait affreusement mal' mais se réparait dans une heure, se relevant, n'ayant plus rien. Pas pour moi!
Les vrais blessures, corporels ou sentimentaux durent très longtemps, voire une vie entière, même s'ils se ferment, avec le temps.
Surement, pas dans une heure!
Que des gens divers rencontrés samedi lors notre promenade! La plupart, au marché (j'ai compté 44 image des gens prises déjà) mais aussi, d'autres, comme celui-ci, a la station de métro, un roumain jouant du cymbalum sur le pont, et d'autres dans le café où nous nous sommes reposées un peu en buvant, du thé ou du café.
J'essaie à ne pas penser à ce soir, puisque je commence à trembler aussitôt. Même si je me dis, 'qu'importe' ce n'est pas si facile à m'écouter.
Au moins, je viens laver toute la vaisselle accumulée depuis Samedi, et j'ai écouté un livre - pas très bon - sur CD.
Pas toutes les livres se prêtent bien être lus, mais surtout, il faut qu'ils soient vraiment à mon goût pour que j'ai la patience de les écouter sur disque - on ne peut pas sauter des paragraphes ou pages quand une partie ne me plait pas.
Ce dernier livre avait trop de la magie et horreur, a mon avis gratuit, et pas assez de romantisme ou sentiments véridiques. Le héros blessé 'avait affreusement mal' mais se réparait dans une heure, se relevant, n'ayant plus rien. Pas pour moi!
Les vrais blessures, corporels ou sentimentaux durent très longtemps, voire une vie entière, même s'ils se ferment, avec le temps.
Surement, pas dans une heure!
lundi 8 mars 2010
Samedi, au marché
Le marché près de pont de Londres "London bridge" s'appelle Borough Market, et c'est mieux pour y manger différentes choses préparés sur la place, mais aussi d'acheter des choses de tous les pays.
C'est un paradis pour prendre des images des gens ou marchandises.
C'est un paradis pour prendre des images des gens ou marchandises.
dimanche 7 mars 2010
Fun run 2010
Courir deux kilomètres, ce n'est pas facile!
Pourtant, plus vite ou plus lentement, chacun tel qu'il ou elle pouvait, ils l'ont parcouru! Bravo a tous les aillant terminé.
Je vais aussi "courir" concourir, mardi, et ensuite, la semaine prochaine après cela, parler, même si je ne me sens pas préparé, assez répété, je sais ce que je veux dire, mais je ne sais toujours pas bien comment.
Je vais y foncer pourtant, sept minutes, mes propres deux kilomètres. Essoufflée, je vais arriver à la finish, d'une façon ou l'autre. Comme ma petite fille, même avec un pointe dans les côtes, est fini aujourd'hui, arrivant à la fin de ses propres deux kilomètres.
Chacun, fait ce qu'elle ou il peut, un peu mieux chaque fois que soi même. Hélas, je crois que j'ai déjà donné des meilleurs récits ou discours, mais celle-ci, a un message important.
Réussirais-je a la passer, tel que je peux?
En tout cas, je serais là, au pont de départ et je ne m'arrêterai pas avant la fin.
Pourtant, plus vite ou plus lentement, chacun tel qu'il ou elle pouvait, ils l'ont parcouru! Bravo a tous les aillant terminé.
Je vais aussi "courir" concourir, mardi, et ensuite, la semaine prochaine après cela, parler, même si je ne me sens pas préparé, assez répété, je sais ce que je veux dire, mais je ne sais toujours pas bien comment.
Je vais y foncer pourtant, sept minutes, mes propres deux kilomètres. Essoufflée, je vais arriver à la finish, d'une façon ou l'autre. Comme ma petite fille, même avec un pointe dans les côtes, est fini aujourd'hui, arrivant à la fin de ses propres deux kilomètres.
Chacun, fait ce qu'elle ou il peut, un peu mieux chaque fois que soi même. Hélas, je crois que j'ai déjà donné des meilleurs récits ou discours, mais celle-ci, a un message important.
Réussirais-je a la passer, tel que je peux?
En tout cas, je serais là, au pont de départ et je ne m'arrêterai pas avant la fin.
samedi 6 mars 2010
Lieu de rencontre
La station Charing Cross, tout près de la place Trafalgar et de Musée National, est une des plus petites de Londres, et ma préférée. C'est aussi un lieu de rencontre que j'aime: difficile à ne pas s'y retrouver.
Près de la librairie WH Smith, il y a quatre chaises: bonne place a se reposer, mais aussi d'observer les gens arrivant, partant, attendant le train arriver.
Cette image était prise quand j'attendais isabelle, la Bresilienne étudiant les Beaux Arts à Paris, bientôt, j'y attendrais Whitney, raconteur des histoires et enseignant à Open Universityn qui arrive des Etats Unis.
Habillée, parfumée, coiffée, je suis tout prête et impatiente à la rencontrer! Que c'est merveilleux le web et les être que je rencontre à travers!
Près de la librairie WH Smith, il y a quatre chaises: bonne place a se reposer, mais aussi d'observer les gens arrivant, partant, attendant le train arriver.
Cette image était prise quand j'attendais isabelle, la Bresilienne étudiant les Beaux Arts à Paris, bientôt, j'y attendrais Whitney, raconteur des histoires et enseignant à Open Universityn qui arrive des Etats Unis.
Habillée, parfumée, coiffée, je suis tout prête et impatiente à la rencontrer! Que c'est merveilleux le web et les être que je rencontre à travers!
vendredi 5 mars 2010
Premières dans la cour
Sous les quelques arbres derrière un des immeubles d'où je vis, les perce-neiges ont paru déjà. D'après mes souvenirs, en France, ce sont les fleurs de 1 Mai.
J'en ai prise une, entre elles et l'a apporté dans mon appartement, photographié aussi de gauche et droit avec des fonds différentes. Mais en fait, elles sont plus belles dans leur place dans le jardin.
Cette après-midi, en revenant avec mon petit fils, nous sommes passés les admirer ensemble. Il fait toujours froid, mais au-dessus de 4 ou 5 degré maintenant, et je suis sur, par ici, l'hiver ne reviendra pas, même si le printemps n'arrivera que lentement.
Demain, j'ai un rencontre intéressant, centre Londres, avec une Américaine, travaillant à Open Université et aussi un "storyteller", tout ce que le Web peut apporter des gens intéressantes!
J'en ai prise une, entre elles et l'a apporté dans mon appartement, photographié aussi de gauche et droit avec des fonds différentes. Mais en fait, elles sont plus belles dans leur place dans le jardin.
Cette après-midi, en revenant avec mon petit fils, nous sommes passés les admirer ensemble. Il fait toujours froid, mais au-dessus de 4 ou 5 degré maintenant, et je suis sur, par ici, l'hiver ne reviendra pas, même si le printemps n'arrivera que lentement.
Demain, j'ai un rencontre intéressant, centre Londres, avec une Américaine, travaillant à Open Université et aussi un "storyteller", tout ce que le Web peut apporter des gens intéressantes!
jeudi 4 mars 2010
Queen Elisabeth Hospital
Ce n'est pas un hôpital, mais tout une usine énorme!
Ce que vous voyez sur cette image c'est juste un tout petit coin...
Hier, j'étais obligée d'y aller, pour la première fois, pour qu'on prend de sans à analyser, la laborantine de docteur n'avait pas réussi. Le bus, fait pleines des tours et détours de chez moi avant d'y arriver, mais m'a déposé a la porte, en fait, il y a deux stations de bus, a deux entrées différentes, cela aussi vous montre comment c'est grand.
Arrivée à la service pour qu'on me prenne le sang, sans avoir rien mangé depuis plus de 14 heures déjà (le soir, diner mais pas de petit déjeuner) je me trouve devant une salle comme au cinéma, pleine! Plus de 60 personnes en attente, devant moi!
Choc.
"50 minutes d'attente, environ" on me dit.
Ma tête tournait déjà, que faire? J'étais déjà la, revenir?
"Le matin a huit, a l'ouverture, nous avons autant..."
Bon, attendre. Attendre et attendre encore.
Je dois reconnaitre que je ne croyais pas, en regardant la foule, que une heure sera tout, mais il y a 8 qui "prennent le sang" en 8 cabines, et, ce qui est plus important, quand enfin mon tour arriva, miraculeusement, "oui, c'est vraiment 239!" l'homme infirmier en quelques secondes a trouvé d'où prendre le sang et sans que je le sens, déjà deux réceptacles étaient remplis.
En quelques seconds, tout était fini.
Depuis le matin, 239 prises de sang! Et dedans, on ne compte pas ceux qui étaient "urgent ou avec problème" qu'on les prenait autrement, avant les autres.
Directement, je suis allée prendre un petit déjeuner, tardif, mauvais, mais mettant quelque chose dans mon estomac vide, ma tête tournait moins après. Une dernière photo, celle de début de note, le bus du retour, j'étais chez moi vers 11 heures et demi!
Des fleurs de printemps m'attendaient, au retour, sur la petite place fermée près de chez moi.
Belles et fragiles, jaunes, blancs, et violets, les crocus commencent à sortir leur nez.
La vie est belle!
Ce que vous voyez sur cette image c'est juste un tout petit coin...
Hier, j'étais obligée d'y aller, pour la première fois, pour qu'on prend de sans à analyser, la laborantine de docteur n'avait pas réussi. Le bus, fait pleines des tours et détours de chez moi avant d'y arriver, mais m'a déposé a la porte, en fait, il y a deux stations de bus, a deux entrées différentes, cela aussi vous montre comment c'est grand.
Arrivée à la service pour qu'on me prenne le sang, sans avoir rien mangé depuis plus de 14 heures déjà (le soir, diner mais pas de petit déjeuner) je me trouve devant une salle comme au cinéma, pleine! Plus de 60 personnes en attente, devant moi!
Choc.
"50 minutes d'attente, environ" on me dit.
Ma tête tournait déjà, que faire? J'étais déjà la, revenir?
"Le matin a huit, a l'ouverture, nous avons autant..."
Bon, attendre. Attendre et attendre encore.
Je dois reconnaitre que je ne croyais pas, en regardant la foule, que une heure sera tout, mais il y a 8 qui "prennent le sang" en 8 cabines, et, ce qui est plus important, quand enfin mon tour arriva, miraculeusement, "oui, c'est vraiment 239!" l'homme infirmier en quelques secondes a trouvé d'où prendre le sang et sans que je le sens, déjà deux réceptacles étaient remplis.
En quelques seconds, tout était fini.
Depuis le matin, 239 prises de sang! Et dedans, on ne compte pas ceux qui étaient "urgent ou avec problème" qu'on les prenait autrement, avant les autres.
Directement, je suis allée prendre un petit déjeuner, tardif, mauvais, mais mettant quelque chose dans mon estomac vide, ma tête tournait moins après. Une dernière photo, celle de début de note, le bus du retour, j'étais chez moi vers 11 heures et demi!
Des fleurs de printemps m'attendaient, au retour, sur la petite place fermée près de chez moi.
Belles et fragiles, jaunes, blancs, et violets, les crocus commencent à sortir leur nez.
La vie est belle!
mercredi 3 mars 2010
Courage d'échouer
Entre tous mes discours Toastmaster, le plus important pour moi, personnellement, et qui sait, peut-être pour mes collègues Toastmasters qui l'ont écouté, était l'un avec le titre "Aie du courage à l'échec".
C'était donné au Concours Comique, mais avait un message très sérieux.
À l'époque, j'avais déjà donné six discours, maintenant je ne terminé les dis de manuelle compétente Communicateur. Mais mon message ne varie pas.
"Dare to Fail." - ait courage de errer.
J'ai manqué dans certaines choses à chacune des dix tâches du manuel "Compétant Communicateur".
1. N'es pas eu le temps de terminer mon discours "Ice Breaker" (mais j'ai eu un bon contact avec le public et je suis devenue accro de continuer.)
2. Mes transitions n'ont pas été assez claire pour bien organiser la tâche, mais certains me rappelles encore le récit qui les avait marqué.
3. Mon point "vie après 70" a bien passé, mais ma fin n'était pas assez fort en 3ème discours.
4. J'ai bien parlé avec des mots et des phrases courtes, mais «Quelle a été votre point?", on m'a demandé après le discours.
Trop concentrée sur le "comment" J'ai oublié le "quoi" dilué en quelque sorte.
5. L'utilisation de langage corporel est le point principal du discours 5e et à la fin du mienne, on m'a dit à ma variété vocale a été très bonne, ce qui implique: mais le langage corporelle ...
6. Variété vocale pas si bon, mais excellent langage corporel, on m'a dit lors de la 6e, mais en raison du contenu, j'ai gagné cette fois le «meilleur discours de la soirée". Même si on apprend sur la forme davantage, bien sûr, le contenu compte!
7. Faire des recherches, me fit vais vous lire d'excellents livres, autre que le Communicator manuelle, mais j'ai envahi mon auditoire avec trop de points. Pourtant, on apprend avec le discours du 2e à ne pas faire trop de points, difficiles à retenir ...
8. Les aides visuelles, a été un échec du point de vue des visuelles (le lien avec écran a mal marché), mais beaucoup s'en souviennent comme le discours que leur a montré l'importance de la pause. Et j'ai réussi à m'en tenir à un seul point principal. C'était donc une réussite et échec en même temps.
9. Persuader. J'ai parlé de l'importance du récit dans un bon discours, et l'a démontré avec une exemple concret. Je pense toujours que c'était pas mal du tout, mais mon évaluateur avait dit "mais moi, j'étais persuadé de son importance avant le discours, déjà».
10. Comment inspirer un public? C'est là une question que je craignais d'y répondre. Il m'a fallu beaucoup de temps à trouver ma réponse, et pour l'avoir je suis retourné à des événements de ma petite enfance. C'était pas mal, je crois toujours, mais certains m'ont dit "aurait pu le faire avec moins de langage du corps". Possible.
Des goûts et des couleurs...
Donc, vous voyez, vous n'avez pas à craindre les tâches à partir du manuel et vous améliorer quand même on tombe à chaque fois d'une certaine façon.
Nous faisons à chaque fois ce que nous pouvons mieux, et nous apprenons à chaque fois et progressons lentement.
Je ne peux pas me voir, mais on me dit, dans une année que j'ai passé par les dix tâches du manuel à Toastmaster, j"ai fait beaucoup de progrès, même si j'ai échoué de nombreuses fois.
PS. Ceci est la traduction de ce que j'ai écrit en anglais, mais peut être c'est intéressant même pour ceux qui ne font pas des discours. En générale, je crois, que cela vaut le coup d'essayer. Même si, sur le chemin on tombe dans des trou, on progresse, malgré tout.
C'était donné au Concours Comique, mais avait un message très sérieux.
À l'époque, j'avais déjà donné six discours, maintenant je ne terminé les dis de manuelle compétente Communicateur. Mais mon message ne varie pas.
"Dare to Fail." - ait courage de errer.
J'ai manqué dans certaines choses à chacune des dix tâches du manuel "Compétant Communicateur".
1. N'es pas eu le temps de terminer mon discours "Ice Breaker" (mais j'ai eu un bon contact avec le public et je suis devenue accro de continuer.)
2. Mes transitions n'ont pas été assez claire pour bien organiser la tâche, mais certains me rappelles encore le récit qui les avait marqué.
3. Mon point "vie après 70" a bien passé, mais ma fin n'était pas assez fort en 3ème discours.
4. J'ai bien parlé avec des mots et des phrases courtes, mais «Quelle a été votre point?", on m'a demandé après le discours.
Trop concentrée sur le "comment" J'ai oublié le "quoi" dilué en quelque sorte.
Bien sur, nous devons utiliser à chaque fois tout ce que nous ont appris auparavant.
5. L'utilisation de langage corporel est le point principal du discours 5e et à la fin du mienne, on m'a dit à ma variété vocale a été très bonne, ce qui implique: mais le langage corporelle ...
6. Variété vocale pas si bon, mais excellent langage corporel, on m'a dit lors de la 6e, mais en raison du contenu, j'ai gagné cette fois le «meilleur discours de la soirée". Même si on apprend sur la forme davantage, bien sûr, le contenu compte!
Puis, vint mon "Dare to Fail" discours au compétition comique. J'ai gagné au niveau du club!
7. Faire des recherches, me fit vais vous lire d'excellents livres, autre que le Communicator manuelle, mais j'ai envahi mon auditoire avec trop de points. Pourtant, on apprend avec le discours du 2e à ne pas faire trop de points, difficiles à retenir ...
8. Les aides visuelles, a été un échec du point de vue des visuelles (le lien avec écran a mal marché), mais beaucoup s'en souviennent comme le discours que leur a montré l'importance de la pause. Et j'ai réussi à m'en tenir à un seul point principal. C'était donc une réussite et échec en même temps.
9. Persuader. J'ai parlé de l'importance du récit dans un bon discours, et l'a démontré avec une exemple concret. Je pense toujours que c'était pas mal du tout, mais mon évaluateur avait dit "mais moi, j'étais persuadé de son importance avant le discours, déjà».
J'ai aussi appris à travers mes discours de prendre ce que je veux des évaluateurs, et de ne pas m'inquiéter du reste.
10. Comment inspirer un public? C'est là une question que je craignais d'y répondre. Il m'a fallu beaucoup de temps à trouver ma réponse, et pour l'avoir je suis retourné à des événements de ma petite enfance. C'était pas mal, je crois toujours, mais certains m'ont dit "aurait pu le faire avec moins de langage du corps". Possible.
Des goûts et des couleurs...
Donc, vous voyez, vous n'avez pas à craindre les tâches à partir du manuel et vous améliorer quand même on tombe à chaque fois d'une certaine façon.
Nous faisons à chaque fois ce que nous pouvons mieux, et nous apprenons à chaque fois et progressons lentement.
Je ne peux pas me voir, mais on me dit, dans une année que j'ai passé par les dix tâches du manuel à Toastmaster, j"ai fait beaucoup de progrès, même si j'ai échoué de nombreuses fois.
PS. Ceci est la traduction de ce que j'ai écrit en anglais, mais peut être c'est intéressant même pour ceux qui ne font pas des discours. En générale, je crois, que cela vaut le coup d'essayer. Même si, sur le chemin on tombe dans des trou, on progresse, malgré tout.
mardi 2 mars 2010
Souvenirs
Une note sans image, me parait vide, pourtant, ce matin, se sont les mots qui comptent. Vont-ils couler comme d'habitude, quand je pars d'une image?
Je prépare un discours sur la découverte de ses plaisirs et compétences, nécessaire pour trouver le travail le mieux adapté; dans ce monde où la crise financier s'éloigne, la crise de travaille est loin d'en faire la même, et je sentais qu'expliquer comment j'ai changé du métier, c'était du "rigueur".
En apparence, devenir créateur de entreprise micro informatique, commerçant en gros, était à kilomètres de chimiste, chercheur ou laborantine! Mais, en fait, pleines des même "skills" choses que je savais et aimais faire étaient dans l'un comme dans l'autre.
Ajouter à cela tout ce que j'avais appris à travers les histoires racontés par mon père, qui venait de mourir, juste quelques mois avant, et mes désirs profonds de jeunesse - j'avais trouvé ce qui était encore mieux adapté pour moi!
Tout cela, seulement après un court temps, qu'on m'a dit (une secrétaire du direction quand je voulais voir le directeur pour retrouver un job là où j'avais travaillé avant): Tu es trop vieille (j'avais déjà 45 ans), tu es femme (et j'avais deux enfants à charge en plus), tu n'es pas née ici (ni en France, ni en Angleterre bien sûr). Oui, j'étais tout cela, et alors?
Me sentir tout bas, m'a permis de m'orienter "ailleurs" et autrement, regarder et chercher, et finalement trouver une orientation tout à fait différent; tellement mieux que celle avant!
Et finalement, même réaliser mon rêve d'enfant, d'adolescent: écrire un livre. Deux livres! Les publier, le voir publier et triompher même.
La nécessité de changer de métier, de dévier de ma voie "tracée" habituelle, m'a offert au lieu d'un "job", place pas mal, un autre, merveilleux!
Et préparer "encore un discours" m'a fait découvrir sur mon passé plus que je comprenais, pensais avant. Mon discours n'est toujours pas prête, puisque les nouvelles découvertes vont la changer, mais que de joie dans la préparation déjà!
Je prépare un discours sur la découverte de ses plaisirs et compétences, nécessaire pour trouver le travail le mieux adapté; dans ce monde où la crise financier s'éloigne, la crise de travaille est loin d'en faire la même, et je sentais qu'expliquer comment j'ai changé du métier, c'était du "rigueur".
En apparence, devenir créateur de entreprise micro informatique, commerçant en gros, était à kilomètres de chimiste, chercheur ou laborantine! Mais, en fait, pleines des même "skills" choses que je savais et aimais faire étaient dans l'un comme dans l'autre.
Ajouter à cela tout ce que j'avais appris à travers les histoires racontés par mon père, qui venait de mourir, juste quelques mois avant, et mes désirs profonds de jeunesse - j'avais trouvé ce qui était encore mieux adapté pour moi!
Tout cela, seulement après un court temps, qu'on m'a dit (une secrétaire du direction quand je voulais voir le directeur pour retrouver un job là où j'avais travaillé avant): Tu es trop vieille (j'avais déjà 45 ans), tu es femme (et j'avais deux enfants à charge en plus), tu n'es pas née ici (ni en France, ni en Angleterre bien sûr). Oui, j'étais tout cela, et alors?
Me sentir tout bas, m'a permis de m'orienter "ailleurs" et autrement, regarder et chercher, et finalement trouver une orientation tout à fait différent; tellement mieux que celle avant!
Et finalement, même réaliser mon rêve d'enfant, d'adolescent: écrire un livre. Deux livres! Les publier, le voir publier et triompher même.
La nécessité de changer de métier, de dévier de ma voie "tracée" habituelle, m'a offert au lieu d'un "job", place pas mal, un autre, merveilleux!
Et préparer "encore un discours" m'a fait découvrir sur mon passé plus que je comprenais, pensais avant. Mon discours n'est toujours pas prête, puisque les nouvelles découvertes vont la changer, mais que de joie dans la préparation déjà!
lundi 1 mars 2010
Fleurs de 1e Mars
Les premières crocus sur la petite place près de chez moi, en allant vers le docteur.
Heureusement, rien de sérieux avec moi.
J'avais peur du cœur, il dit, non, ce n'est qu'un muscle. Bien sure, muscle ou tendon ou nerf, de temps en temps cela fait mal quand même d'être vieille.
Quoique... le même bras m'a donné des problèmes similaires, la première fois quand ma petite fille a eu environ quatre ans. Je l'ai soulevé avec un seul bras, gauche, étant gauchère, et voilà.
Probablement, je paye encore pour le tendon heurté alors.
1 Mars, première fleurs, encore en bourgeons, mais la petite place en était pleine. Je n'ai pas eu le temps de prendre des images que j'aurais aimée, mais comme preuve, ce n'est pas mal: le printemps arrive!
C'est vrai, la nuit c'est encore plus près de zéro, mais la journée il parait que on arrivera vers dix!
Heureusement, rien de sérieux avec moi.
J'avais peur du cœur, il dit, non, ce n'est qu'un muscle. Bien sure, muscle ou tendon ou nerf, de temps en temps cela fait mal quand même d'être vieille.
Quoique... le même bras m'a donné des problèmes similaires, la première fois quand ma petite fille a eu environ quatre ans. Je l'ai soulevé avec un seul bras, gauche, étant gauchère, et voilà.
Probablement, je paye encore pour le tendon heurté alors.
1 Mars, première fleurs, encore en bourgeons, mais la petite place en était pleine. Je n'ai pas eu le temps de prendre des images que j'aurais aimée, mais comme preuve, ce n'est pas mal: le printemps arrive!
C'est vrai, la nuit c'est encore plus près de zéro, mais la journée il parait que on arrivera vers dix!
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