C'est l'orage qui s'approche, c'est le déménagement qui arrive jusque chez moi, probablement, dès ce matin.
J'ai trouvé que le ciel changeant avec ses nuages gris était juste le bon fond pour montrer un peu ce que je ressens.
Courageuse, oui, mais j'ai eu mal à l'estomac, qui manifestait ainsi mon tourment intérieur que je ne veux pas reconnaître. Admettre.
Il y a plus brave que moi et plus efficace!
Hier soir, ma belle fille est passé chez moi, chercher son téléphone portable disparu dans le tourment, mais finalement, elle a fait place net, tant dehors devant la fenêtre que dans le salon: "pour qu'ils y a de place de travailler".
Elle a vu qu'il n'y a pas beaucoup de place, ça je l'avais vu moi aussi, mais elle a aussi su en faire davantage. Après leur passage (ma petite fille est aussi arrivée et repartie heureuse avec une rose et un petit insecte trouvé dans le jardin) j'étais plus rassurée. Mais aussi un peu plus inquiète: j'avais compris encore davantage que le départ est imminent.
Tout aurait était bien, est je me suis endormie assez tôt, si mon fils ne me téléphone pas avant minuit: elles ne sont pas arrivées à la maison. Nous nous sommes fait de mauvais sang, lui attendant, et moi, ici de loin.
Heureusement, quelques minutes plus tard, elles sont rentrées. Ouf. Alors, d'un coup, rapidement, on minimise tout. Les choses rentrent à leur place. Que c'est un petit changement de lieu?
Même si je ne suis pas venue souvent ces derniers temps, j'admire ton courage, je n'en aurais pas autant et aurais beaucoup de mal à me déraciner. J'espère que nous ne serons pas coupés longtemps de ton lien et que tu nous raconteras ta ré-installation et tes découvertes. (J'ai abandonné l'idée de faire figurer les blogs comme tu l'as fait. Merci en tous cas de m'avoir répondu aussi vite)
RépondreSupprimerje n'avais pas compris que tu avais trouvé ton nouveau point de chute - ou c'est juste transitoire ?
RépondreSupprimerJe pars.
RépondreSupprimerMon fils est muté pour trois ans à Londres et mes petits enfants vont continué l'école là bas,
combien de temps je ne sais pas,
où je vais demeurer, aucune idée encore,
transitoire? je ne crois pas, mais je ne veux ou peux encore décider pour sûr, mais il y a quelque chose sur laquelle on peut compter: je ne me coupera pas de ce blog, je continuerai, même si je n'ai pas tout suite web chez moi, je trouverai un cybercafé!
le "pire" si je ne peux écrire dès le matin, mais la journée est longue, et je vais tâcher trouver un lieu me permettant d'être connecté avec vous!